ENTRE LA MALADIE DU BLE JAUNE ET LE VIRUS DU SARRAZIN
ENTRE LA MALADIE DU BLE JAUNE ET LE VIRUS DU SARRAZIN…
La 4 octobre 2017, Encore une phrase à rhétorique Macroniste uniquement utile à engendrer la division économico-socio-culturelle.
J’ai écrit des articles au printemps 2016, postés sur mes réseaux et blog, et cela avant les élections présidentielles de cette même année.
Certains éditorialistes politiques sur certains réseaux médiatiques, ainsi qu’autres ‘’éveillés(es)’’ présents(es) sur les réseaux sociaux, avaient également perçu la ‘’direction’’ Macronique derrière le flou artistique de son programme (annoncé), mais non compris dans cette forme de philosophie politicienne axée sur un ordo-libéralisme social-économique néolibéral Macronien, ayant relégué le problème identito-culturel au rang d’une insolvabilité économico-socio-culturelle dans une République Laïque, avec pour crédit à son ‘’intelligence’’ en celui de laisser cette fracture palpable dans le système sociétal français s’organiser par et avec les partis d’opposition, au profit de son association de malfaiteur. I.e. : la sphère économico-financière ayant bien compris que pour continuer son règne, AUTRES CLANS, ELLE SE DOIT DE DIVISER…
Et cela peut-importe les dommages collatéraux.
Entrée en matière d’un de mes articles
Le parti des ‘’Insoumis’’, ne sera pas présent au 2ème tour des présidentielles… Autres Indignés(es) et Révoltés(es) seront insuffisants au 1er tour…
La ‘’Rose’’ n’a su cultiver que ‘’Pisses-en-lit’’, ‘’Cris-sans-thème’’ et ‘’œillets à bobos’’…
Les électeurs et électrices indécis(es) n’auront choix qu’entre :
- La maladie du blé jaune, et, le virus du sarrasin
- C’est-à-dire entre le parti ‘’En Marche’’ et le ‘’Front National’’
Et peu importe le résultat du choix entre la peste et le choléra…
Ce sera un système fractal, tant au niveau de l’économie-sociale que des communautaristes identito-culturels exacerbés…
La France politique était à cette époque divisée en cinq, et non en quatre comme l’on définie certains ‘’experts’’. Macron avait très bien vu cette division, lorsqu’il a créé son mouvement ‘’En Marche’’, et cela s’est vérifié, lors du premier tour de l’élection présidentielle par laquelle, il obtint au 1er tour 24% de l’électorat.
Donc, quelle était, et est cette division politique française :
1 – La gauche ‘’bobo’’ initiée en 1981 par Mitterrand, puis réinitialisée en 2012 par Hollande
2 – La droite catho-identitaire à capitalisme libéral
3 – La droite identitaire à communautarisme exacerbée
4 – Le partie des Insoumis, culturellement et économiquement à ‘’l’extrême’’ gauche de l’échiquier politique.
5 – Le parti ‘’En Marche’’, ni à gauche, ni à droite, même pas au centre, ayant convoqué le ‘’chaos’’ économico-financier du libéralisme Benthamien (Initialement nommé utilitarisme), déjà détricoté par l’ultralibéralisme Thatchérien par et avec son association de malfaiteurs, ayant connaissances suffisantes des flux monétaires et juridiction des échanges commerciaux ‘’utiles’’ à créer cette asociale-économie, avec aujourd’hui des ramifications mondiales, et commencé depuis plusieurs décennies.
L’ULTRALIBERALISME, qui place la loi sous l’égide du calcul économique. Etendu à toutes les activités humaines, le paradigme du Marché occupe désormais la place de Norme fondamentale à l’échelle du globe’’. (Supiot - 2015)
L’UTILITARISME est une théorie conséquentialiste, évaluant une action (ou une règle) uniquement en fonction des conséquences escomptées. En tant que doctrine, elle est qualifiée d'eudémoniste, mais à l'opposé de l'égoïsme, l'utilitarisme insiste sur le fait qu'il faut considérer le bien-être de tous et non le bien-être de l'acteur seul. Elle se distingue donc de toute morale idéaliste, plaçant la raison à la source des actions, ou encore de toute morale rationnelle telle que celle de Kant.
L'utilitarisme se conçoit donc comme une éthique devant être appliquée tant aux actions individuelles qu'aux décisions politiques et tant dans le domaine économique que dans les domaines sociaux ou judiciaires.
Les crises monétaires, sous des formes variées, nous rappellent que les monnaies sont mortelles. Continuellement, de manière plus ou moins latente, la société marchande interroge sa monnaie, sonde l'aptitude cohérente de celle-ci à remplir sa fonction d'intermédiaire impartial des échanges.
Comment s'exprime ce questionnement ?
Quels en sont les déterminants ?
Conformément à une tradition où l'on trouve des théoriciens aussi prestigieux que K. Marx et J. M. Keynes, nous pensons que c'est la monnaie en tant que moyen de réserve qui constitue le lieu où ce soupçon s'élabore.
En effet, dans la répétition inlassable du mouvement des échanges, la monnaie se dématérialise: « Son existence fonctionnelle absorbe son existence matérielle », mais, dans la thésaurisation, la monnaie se donne à voir dans toute sa plénitude… « Elle se dresse face aux marchandises usuelles comme l'unique incarnation adéquate de leur valeur ». L’unique valeur symbolique est en ce cas l’argent,
Et la monnaie est une subjectivité de l’apparat corporatiste.
Emmanuel Macron est l’incarnation absolue du libéralisme économique et des intérêts financiers internationaux, intercontinentaux et mondiaux. Avec ses amis financiers, ils se sont dit que la classe politique et les partis institutionnels français traditionnels étaient cramés (ce qui est vrai). Qu’il n’y avait plus aucun intérêt à les soutenir et qu’il fallait mieux faire le boulot soi-même. C’est-à-dire reprendre la main, notamment avec la chancelière, Mme Merkel, afin de décider de la politique sociale-économique à mener en Europe. Qui est peut-être celle affichée par une certaine forme d’ordo-libéralisme ALLEMAND collectivement déficient, et trop paradoxal pour être appliqué en FRANCE.
Le respect intrinsèque de la loi de 1905, ne peut admettre cette thèse affiliée à toutes formes de politique-templière. Et en France, à la différence de l’Allemagne, l’église n’est pas financée par l’impôt. Ce qui personnellement me semble être une bonne chose, afin de maintenir l’indépendance de la Démocratie Républicaine, au rapport de la liberté de conscience individuelle et personnelle envers édictions cultuelles. Même si certaines passerelles existent encore entre corps républicains et ecclésiastiques…
J’espère me tromper, mais il me semble que dans notre beau pays, certaines politiques-économiques sociale-démocrates, démocrate-chrétiennes, herméneutique-protestantes, de droite-catholiques et autres religiosités-politiques , ont été et sont encore empreintes de trop du principe de subsidiarité affilié au ‘’Grand Architecte’’, si vous préférez, ‘’le Grand Argentier’’ ou le ‘’Grand Ordonnateur’’ édictant : ‘’Aides-toi, le ciel t’aidera’’ ; pour pouvoir mettre en place une réelle République Démocratique à vectorisation humaniste… Affectée à une véritable et juste sociale-économie de marché dans la société des droits de l’homme, de la femme et de l’enfant.
Ils disaient : ‘’Les hommes naissent égaux et libres entre eux’’. Et les femmes… Ils les ont oubliées ? De même que dans certains pays le maintien du permis de faire travailler des enfants.
Ppfffft… Copie à revoir.
Et en plus depuis quelques années, nous avons, en différentes contrées du monde, l’islamisme politique… Où les règles du Coran, s’octroient le droit à vouloir prendre le pas sur les lois de la République.
Aucune interprétation géo-politico-sociale-économique humaine à tendance équilibrée ; respectueuse de l’individu, de la nature et du vivant ne saurait exister sans compréhension de cet adage :
« L’économie de marché moderne n’est pas l’économie de marché libre des flibustiers libéraux d’une ‘’guerre’’ économico-financière révolue ; mais une économie de marché à engagement social qui permet à l’individu de s’épanouir, qui accorde la priorité à la valeur de la personnalité et qui récompense la performance avec un rendement à juste et équitable valorisation ; dans un système collectiviste à réseaux humains nommé : DEMOCRATIE REPUBLICAINE ».
A l’attention du ‘’Pôle Emploi’’ de Firminy, de France, organismes de recrutement, gestionnaires de bien(s) et services, gouvernances nationales, territoriales, etc…
LETTRE D’UN PROVINCIAL AUX ELITES, SACHANTS, ECONOMISTES ET POLITICIENS
DE TRISTES ET NEFASTES ALOIS…
Mesdames et Messieurs les ‘’Sachants’’, Elites et Soumissionnaires, allez-vous continuer encore longtemps à exercer cette désuète rhétorique consistant trop souvent à faire un déni d’analyse ‘’prévisionnel’’ quant à meilleure évolution des liens interindividuels et intercommunautaires… ???
Au profit des actions et réactions immédiates et irréfléchies ??? Où vous ‘’hommes’’ de peu de conscience ‘’humanisante’’, n’avez que néfaste jeu à entretenir tous corporatismes conflictuels, qu’ils soient sociaux, économiques, financiers, politiques, éducatifs, culturels, intercommunautaires, voire intergénérationnels…
Vous comptez aller jusqu’où, avec vos prosélytismes désuets et pensées délétères ? A persister vers le déclassement social-économique, la ghettoïsation, la fracture socio-culturelle, une certaine forme d’eugénisme ‘’virtuel’’ et ‘’psychologique’’ ???
L’abolition d’autres retransmissions et échanges ne convenant pas à votre despotisme intellectuel ?
Je crois malheureusement que l’égocentrisme, l’insensibilité et la cupidité ne seront ; dans la continuité des prétentions imbéciles du paradoxe entre l’esprit à volonté matérialiste absolutiste, et le corps à désir existentialiste machiavélique ; qu’une ineptie envers les meilleures raisons de notre propre existence dans le monde naturel des vivants… A savoir la liberté, l’égalité, la fraternité et la justice dans la société des droits de l’homme, de la femme et de l’enfant.
Dont le résultat de cette plaie narcissique, ne produira qu’augmentation de la fracture sociale-économique et culturelle, où les politiques actuelles n’ont que peu d’émancipations philosophique et sociologique, pour arriver à éloigner le chaos généralisé, poussant vers l’augmentation des conflits intercommunautaires, voire guerriers, où ces derniers sont assurément la fonction la plus indigence de ‘’l’homo erectus’’ infecté par les misérables croyances infécondes, arrosées aux poisons de la supériorité prédatrice inefficace au maintien des libertés, où la seule sienne eut été de se dresser sur ses deux pattes de derrière, tout en ayant oublié, qu’à l’inutilité d’être une mauvaise langue, il aurait été mieux inspiré, en donnant la sienne au chat de l’écrivain…. Du poète… Du philosophe… De l’humaniste…Et autres amoureux (ses) des signes-mots.
Le biologiste François Jacob a utilisé, à propos de notre cerveau une image admirable : ‘’Le cerveau humain est comme une brouette sur laquelle aurait été greffé un moteur à réaction’’.
Ce qui peut laisser penser, après analyse de cet excellent aphorisme, que la conscience arrive en majorité d’états, à faire un diagnostic objectif, uniquement après la bataille…
Et encore pas toujours, lorsque l’égocentrisme fait loi, et accord avec le pouvoir théocratique insidieux, la fonction matérialiste dominatrice et l’existentialisme théologique frelaté…
N’oubliez jamais cela : << Par tout ce que ‘’l’homo-erectus’’ sociologiquement et chronologiquement inculte refuse de circonscrire hors de ses propres intérêts cupides et narcissiques, il ne saurait exister aucune subtile intelligence suffisante pour réussir à vaincre son ignorance qu'il souhaite garder par déni, (que je n’ai pas, comme autres amis(es) réseaux), des belles facettes amendées à la curiosité physique, philosophique, épistémologique, ontologique accompagnée d'un soupçon de poésie et romantisme, et surtout à ne même plus faire une recherche sérieuse et objective, afin de connaitre la réalité qui se cache derrière le ‘’filoutage’’ des images et des sons dans l'espace de la médication logoto-médiatisante déféquée par la sphère audio-visuelle culturellement sectaire prônant dans la cacophonie générale la division des meilleurs savoirs-être... Et soustraction des savoirs faire dont ‘’l’homme moderne’’ en est assurément le servile benêt... Des imprésarios et réalisateurs de la dramaturgie didactique échangiste, voire civilisationnelle... Et tout cela au détriment de la possible allégeance des extraordinaires pensées, encore présentes chez quelques philosophes, sociologues, poètes, romantiques, analystes et théoriciens de justes mots...
A potentielle renaissance ‘’humanisante’’... >>
DECENTRALISATION - DU MYTHE A LA PAGAILLE.
En 1981, lorsque les socialistes ont dans le sillage de l’élection de F. Mitterrand à la présidence de la République, obtenu une majorité parlementaire qui leur permettait toute les audaces, l’organisation des pouvoirs politiques territoriaux résultait, pour l’essentiel, de lois centenaires, elles-mêmes d’héritage napoléonien. L’occasion était belle de fonder, par une révolution, de nouvelles libertés qui marqueraient le siècle.
Des lois et des décrets multiples et complexes, échafaudés dans la fièvre et les clameurs de victoire, ont alors épaissi le corpus juridique. Avec l’assentiment complice d’une opposition exsangue, incrédule et impatiente de remonter les marches du pouvoir, fût-ce en repartant de tout en bas, l’articulation nouvelle des pouvoirs locaux a pris sa place sans heurt. Les commissaires de la République nouvellement institués avaient, dans un sursaut corporatiste, réussi à sauver leur grade de préfet et leurs logements de fonction, en se soumettant à une toquade ministérielle toute symbolique pour un intitulé de charge conforme au vocabulaire de la mythologie révolutionnaire. Ils ont accompagné cette évolution d’un œil morne.
Tout le monde attendait depuis longtemps, mais sans trop oser y toucher, que la structure territoriale soit, rénovée. Les textes fondateurs s’étaient dégradés. Leurs stipulations étaient manifestement en retrait de la pratique quotidienne. Malgré l’interdiction formelle de la loi, les collectivités cherchaient, par diverses subterfuges et souvent au risque et détriment de leurs contribuables, à s’immiscer dans des choix d’entreprises en subventionnant des localisations industrielles.
Le général de Gaulle avait échoué à imposer par référendum une modeste évolution institutionnelle qui heurtait les intérêts des notables. Georges Pompidou, président de la République, avait, à sa manière cauteleuse, installé une région molle et timide, mais étayée par une première personnalité juridique. Chacun sentait bien qu’elle progressait vers plus d’ampleur et de puissance.
Enfin les socialistes et leurs alliés communistes, passaient un nouveau pas, instituaient pour les départements et les régions, des exécutifs élus indépendants de l’état, affranchissaient les actes des collectivités de la tutelle de l’état. Prudemment toutefois, pour ne pas perdre la main sur la ‘’légalité’’, ils concédaient aux préfets et sous-préfets un rôle ambigu, de contrôle à postériori sur les actes des collectivités.
Cette surveillance vague et craintive tolérera, sans gloire, l’éclosion de la corruption, et les débordements budgétaires et fiscaux. La République s’était fortifiée avec les notables. Elle venait de donner naissance à des roitelets.
Quelques-uns deviendront des potentats…
Personne dans l’opposition parlementaire d’alors certes, (et de maintenant ?), mais aussi peu lucide (pareille qu’aujourd’hui ?), n’a mesuré les coûts, l’impact sur la moralité publique de ces réformes à la hussarde. Et peut-être en train d’être renouvelée… ???
La France avait crû, après 1968, pouvoir inhaler un air plus sain, et y avait pris goût dans le coup de frais giscardien. Elle étouffait encore.
Elle s’est alors offert l’euphorie d’inspirer de plus grandes bouffées. Pendant que le gouvernement de la gauche, d’une main enserrait l’économie, par des nationalisations d’entreprises dont la seule utilité fut de pouvoir obtenir plus tard un produit budgétaire, de l’autre il donnait leur ‘’liberté’’ aux collectivités locales, ou plutôt à leurs barons. Ce qui restait de la droite comptait bien faire de ce nouveau dispositif le point d’appui de sa reconquête politique – Recyclage politicien Constructif ?
Tous les gouvernements se sont, depuis, entêtés à prétendre porter encore plus haut la flamme de la décentralisation : une intention d’efficacité. Le plus ardent à pousser les feux pour accéder à une nouvelle phase a été, dès son retour au pouvoir, le gouvernement d’une droite convertie à la religion de la décentralisation. Ses initiatives se sont enluminées d’une vertueuse obstination et de belles envolées dans le langage parlementaire. Mais soit que les compromis aient obscurcis le contenu, soit que les idées aient pu être confuses pour paraître audacieuses, lorsque Jean-Pierre Raffarin, Premier ministre, eut achevé son ouvrage, la pagaille était mémorable. Elle fut exacerbée sous Nicolas Sarkozy, dans la tension et l’impatience qui ont caractérisé son règne, par des prétentions méprisantes et irréalistes, enterrées après les élections de 2012, mais prêtes à renaitre, tel un ‘’millefeuille’’ territorial institué par un état national, et composé délibérément par une technocratie absconse à toutes pensées moins corporatistes, voire paradoxalement trop proches des audaces intellectuelles clandestines… Par signalisations ‘’séculières’’ définissant quelques politiques-templières… ??? Ou autres religiosités-politiciennes hermétiques à une véritable philosophie-politique autorisant moindre fractures sociales-économiques… ???
Et culturelles…
En outre une réforme fiscale sert un intérêt fiscal, pas un objectif institutionnel.
Et ce n’est pas un levier de réforme DANS l’Etat…
Le Prince, la Cour, le Peuple - Atticus
PRAGMATISME
Vers quel nombre tendre par moins disant
A faire une nouvelle opération soustractive
Envers devenu cher à contribution
A oublier sujets intégralement présentés
Au soin d’autres dissidences bâclées
Plutôt qu’à persister dans l’analyse
Inutile aux angoisses des flux contrariés
Chiffrage des amertumes clandestines
Suffit à décider des gibiers de potence
A vies exsangues aux bastions de l’ancienne garde
Le masque cynique des aptitudes savantes
Ni apposa que la symbolique sans partition
Aux sciences inhumaines ex-machina contribuera
Sans aucun scintillement à l’amplitude de l’action
La vaseline des suppositoires multiplie les têtes de cul
La thèse pragmatique n’est que contre-valeurs suceuses
Les figurines frappées au sceau scriptural
Ont déposé la monnaie de singes
Il me semble que dans notre beau pays, certaines politiques sociale-démocrate corporatiste, ordo-libérale déficiente, démocrate-chrétienne vouée aux seules lois du ''marché'', herméneutique-protestante, droite à bigots(es), gauche défroquée, gardiens (nes) des mines du Roi Salomon, sont encore empreintes de trop du principe de subsidiarité affilié au ‘’grand ordonnateur’’, pour pouvoir mettre en place une réelle République Démocratique Laïque… Autorisant de potentiels accords entre le riche raisonnable et le précaire, le donneur d'ordres sensé et le courtisan, le maitre sagace et l’estudiantin, l’homme ‘’esthète’’ et la femme conquise (et inversement), la liberté et l’attachement…
Hors croyance exaltée envers la religiosité-politicienne ou autres politiques-templières…
Keynes disait : ‘’Suggérer à la City de Londres une action de type social dans une perspective de bien public est l’équivalent de discuter de l’Origine des espèces avec un évêque, il y a soixante-dix ans [dans les années 1870]. La réaction instinctive n’est pas d’ordre intellectuel, mais moral. C’est une orthodoxie qui est mise en question, et plus les arguments seront convaincants, plus grave sera l’offense’’…
Tout est question de point de vue, de degré et de perspective…
D’anthropocentrisme … ? … ; d’égocentrisme ? De symbolisme… ?
De corporatismes iniques ? Ou alors de paradoxe entre le corps et l’esprit ?
D’accaparement ? Ou encore un défi obscur entre possédants(es) et possédé(es) … ?
Entre ces deux ‘’dimensions’’ que sont : la Liberté et … ; l’Attachement…
N’aurait-il pas mieux valu ; en considérer le sens avant la fin ?
Courrier envoyé au Pôle Emploi de Firminy, le 4 Novembre 2014 (Bien sûr resté sans réponse…)
Monsieur le Directeur ;
Et peut-être, Monsieur le Président, ses Directeurs Généraux… Et corps intermédiaires ;…
Suite à la réception d’un courrier daté du 10 octobre 2014 concernant une convocation à un Forum Emploi le 14 octobre 2014, alors que ma présence était déjà définie pour une ’’évaluation par simulation préalable au recrutement’’, dont le but en était d’intégrer une formation de ’’régleur sur machines-outils numériques’’, je me devais d’être ce même jour, sur le site Pôle Emploi à Montbrison… Et un autre envoi également daté du 10 octobre 2014 par lequel l’actualisation de mon PPAE m’était adressée afin que je retourne ces documents signés.
Ce que j’ai fait car je risque des ’’sanctions‘’.
Et par conséquent, j’accompagne vos documents de ce courrier d’explications car mon Projet Personnel d’Accès à l’Emploi n‘a pas été réactualisé en fonction de ma volonté d’élargir le champ de recherche par ce projet personnalisé, dont une partie a été effectuée avec un de vos prestataires de services, et terminée depuis fin septembre, avec pour but initial la mise en pratique des concepts nécessaires à un possible ‘’retour à l’emploi’’…
En l’occurrence de ce cas, ‘’moi’ !… Et ‘’Idée Formation’’.
Il m’était par conséquent impossible de ne pas donner suite par la présente, à tous ces courriers émis par les différents services de ce ‘’pôle’’, essayant bien de gérer, malgré certaines solutions parfois individuellement inadaptées et impropres à la juste sociale économie de marché, le retour à l’emploi de tous ses ‘’adhérents’’ qui, eux n’en ont plus, et parfois depuis beaucoup trop longtemps, à mon goût.
C’est aussi mon cas ! Et, il est ’’amer’’ !...
Même si vous n’en êtes totalement responsable.
Après lecture de votre courrier, m’est apparue une interrogation que je vous soumets ci-après.
Depuis 19 mois je suis inscrit auprès du Pôle Emploi, présent sur le Territoire National, où ma signalisation auprès de ce service d’aide au retour à l’emploi, c’est faîte sur le site de VALENCE, en janvier 2013, dans le département de la Drôme (26), suite à quelques désagréments… Notamment la perte de la nécessaire rétribution financière, liée à mon activité professionnelle, survenue dans la vie de ce ‘’chômeur de longue durée’’ que je suis devenu.
Alors que j’étais quelques temps avant cela, encore un professionnel du secteur du bâtiment, avec pour domaine de prédilection, les spécialités attribuables aux ‘’énergies’’, avec pour les miennes maintenant, la volonté de continuer à exercer mes compétences dans les secteurs du chauffage, de la climatisation, réfrigération, ventilation, plomberie pratiqués depuis environ 33 ans dont les débuts en étaient, l’obtention d’un CFPA de plombier-chauffagiste, puis un BEP en froid et climatisation en cours du soir, et autres formations intra professionnelles, m’ayant permis d’accéder par ces ‘’portes’’ au monde du travail rémunéré, dans lequel j’ai exercé des postes de monteur, technicien SAV avec mises au point d’installations, conducteur de travaux, chargé d’affaires, responsable technique et commercial d’agences, où ces expériences acquises et complétées par de bonnes connaissances en électricité, régulation, domotique, utilisation de l’informatique et autres utilités nécessaires à l’approche de la gestion technique, comptable et administrative, n’ont assurément eu, depuis trop longtemps, que peu ‘’d’échos’’ envers les potentiels employeurs…
Les retransmissions de mes compétences et expériences sont-elles ‘’mal vues’’… ?
J’ai même créé mon entreprise, mais les fonds financiers nécessaires insuffisants, le manque de consistance de mes réseaux commerciaux, ou leurs inadaptabilités, ainsi que quelques impayés (c’est courant dans le secteur du bâtiment), et de mauvaises et délétères rencontres ont induit, avec quelques autres aléas de ‘’vie privée’’, la cessation de cette activité d’entrepreneur.
Peut-être n’étais-je pas fait pour cela, ou n’avais-je pas toutes les compétences pour exercer cette activité entrepreneuriale ?
Mais bon, cette expérience n’était pas qu’inintéressante !
Elle m’a permis d’entrevoir certains paramètres encore inconnus à l’époque, et pourtant attachés au monde de la gestion d‘entreprises…
Quoiqu’il en soit, j’ai fait ce qu’il me semblait être bon et juste, avant mon inscription au Pôle Emploi, et bien sûr après, avec l’accompagnement de ses conseillers et conseillères.
Nous avons ensemble défini tous les paramètres indispensables et nécessaires à mon désir de retrouver un emploi auprès des entreprises et sociétés exerçant leurs activités en corrélation avec mes compétences professionnelles, même si ’’d’autres’’ m’ont paru parfois teinter de quelques bizarreries et inadéquations dans leurs manœuvres, dont je vais vous narrer la première ci-après, qui me semble être assurément une composition signée par quelques ’’ressources humaines’’ d’entreprises, via leurs services de recrutement aujourd’hui incompétents et surtout inadaptés aux notions de bases des valeurs ajoutées humaines liées à une véritable et juste sociale-économie. Et surtout en celles de la détermination des justes bons sujets…
Utiles à l’entreprise, et aux sociétés participantes de l’économie des bien(s) et services marchands…
En effet, je me suis rapidement aperçu des contraintes et difficultés à vaincre ce dogme assez particulier, surtout dans la dimension de la gestion d’entreprises, devenue plus financière que sociale-économique, alors que les trois vacations des sociétés et entreprises sont biens en celles d‘engendrer, de maintenir et développer ce tissu économique et social, et non en celle d’induire la fragilité du système, par cette pensée peu objective laissant croire que certains et certaines ’’autres qu’eux’’, arrivés à un certain moment de notre vie, ne sont plus que des ’’bons à rien’’, et donc ne servent également plus à rien. Chercher l’erreur…, et la liaison exacte et surtout précise en tant que déterminant de ‘’bien’’, de ’’rien’’, et d’égalité comme valeur ‘’d’équité’’ en tant que degrés du ’’plus’’ (+) et du ’’moins’’ (-) ?
Ah, pas facile !
Surtout si nous ne faisons preuve d’aucune recherche, étude, analyse autorisant une possible compréhension philosophique, logique, sociologique, historique, psychologique, sémiologique objective…, et ’’humainement’’ admissible…
Oh, ne vous inquiétez pas outre que mesure, vous y parviendrez le jour où vous ferez preuve d’attention, et de compréhension envers toutes celles et ceux proches ou éloignés(es) de votre corporatisme délétère…
Eh, oui, cela demande des aptitudes d’écoute, de vision et de cognition proches de la bonne et belle conscience… !
Et cette ‘’disposition’’ se nomme la : [Philosophie Réalité]…, avec étude des langages servant de supports aux échanges sociologiques, culturels et économiques…
Entres êtres ‘’humains’’ civilisés…
En dépit de ce ressentiment, j’avais pourtant à plus de 50 ans appliqué les mêmes recettes que celles pouvant être effectuées par un chômeur de quelques années de moins, voir un jeune homme ou jeune femme ayant terminé ses études, où l’apprentissage nécessaire à son entrée dans le milieu de l’emploi rétribué à sa juste valeur aurait peut-être eu capacité à être choisi et anticipé, mais surtout en permettant une certaine indépendance financière source de ces sentiments particuliers proches du ‘’bien-être’’ et peut-être valorisés par quelques singularités autorisant à croire aux belles facultés de la justice économique, sociale et culturelle, lorsqu’elles sont proches de l’attention…
Et de l’équité nécessaire à l’équilibre communautaire et collectif…
Je ne dois pas me tromper beaucoup quant à ma description de vies sociétales imaginées justes et normales, mais malheureusement assez lointaines de l’existence réelle de certaines sujets de types ‘’mammipho-humanoïdes’’…
Mais, je n’avais malheureusement pas réussi, après quelques mois, même en m’attachant les conseils des spécialistes de l’emploi à retrouver un travail dans mon ancien secteur d’activité professionnelle, ainsi qu’en analysant les offres d’emplois dans différents secteurs d’affairements, voire autres zones géographiques intérieures, ou extérieures à la France. Je suis peut-être maintenant trop âgé pour en exercer ‘’un’’ avec cette pensée proche de celle des esprits recruteurs leur laissant croire que le ’’professionnel’’ arrivé à un moment de sa vie, n’a plus capacité de productivité au même titre que la disparition de l’acquisition des expériences, savoirs et compétences, dont il n’est assurément pas nécessaire de retransmettre aux ‘’arrivants‘’, puisque cela, comme il se doit d’être au coût le plus faible possible, n’est pas utile !
Quitte à en oublier que le respect et l’addition des compétences et ’’savoirs faire’’ de chacun et chacune permet l’évolution qualitative de toutes et tous, au nom de certaines belles valeurs ajoutées ‘’universelles’’ et autres ‘’savoirs être’’, pour les générations futures !
De plus par cette ’’logique‘’, il est de notoriété publique que les connaissances et savoirs ont déjà été appris, et globalement sus, dans le cadre de l’éducation nationale, de la transmission des éruditions universitaires, ainsi que les instructions et les apprentissages sectoriels dont l’organisation, et je parle bien d’organisation et non de compétences, ce qui n’est pas la même chose, est comme tout le monde le sait ’’infaillible’’ en ces lieux de transmissions des connaissances, des techniques, des langages et cultures…Pfft… (Copie à revoir).
S’il vous plait, gente de raison et de bonnes décisions orientez l’apprentissage et l’éducation dans la direction de la considération, de l’attention, la reconnaissance et le respect de certaines activités ‘’professionnelles’’, au nom de celles et ceux qui souhaitent les pratiquer de la meilleure des façons possibles, grâce à l’acquisition des savoirs ’’intellectuels’’ et ’’manuels’’, en permettant par ce phénomène d’additions de compétences, le potentiel à imaginer créer un beau ‘’tissu industriel’’, aujourd’hui quelque peu déchiré en ce paysage français, où, actuellement la graine plantée, se doit de donner la plus belle des plantes ou plus puissant des arbres, et tout cela en faisant ’’fi’’ du temps nécessaire à cette réalisation, puisque le ‘’sens’’ établi par majorité en ces endroits en est bien de vouloir l’objet convoité le plus rapidement possible, en ne respectant même plus le temps nécessaire à sa ‘’création‘’ ou sa ‘’métamorphose’’, ainsi que la juste rémunération liée à l’ouvrage. Où aujourd’hui, comme depuis longtemps, nombre de travaux manuels sont déclassés au nom du déni d’utilité et de nécessité, et pourtant exercés par mise en œuvre des ‘’énergies’’ en tant que propriétés
et facultés de ceux et celles participant à la découverte, l’extraction des matières premières minérales, la culture et les récoltes de celles végétales indispensables, et nécessaires à la nourriture des organismes, ainsi que la création de nouveaux matériaux et outils, utiles à la réalisation de tous ‘’objets’’ manufacturés, ou autres améliorations des conditions d’existence du sujet ‘’vivant’’…
Et ‘’çà’’, ce n’est pas du ‘’virtuel’’ ! Mais, assurément pour les entités de peu de considération et d’attention envers le travail rémunéré à sa juste valeur et le ‘’vivant’’, une obscure superficialité interactionnelle. Ou alors, n’ont-ils plus besoin de personnes comme moi susceptibles de n’être pas suffisamment ‘’malléable’’ à leur concept d’économie dont le vecteur essentiel à honorer cette faculté en serait principalement en l’adhésion inconditionnelle à leurs savoirs faire n‘importe quoi au nom de la rémunération reçue de certains donneurs d‘ordres peu scrupuleux de ‘’l‘état’’ de leurs sous-traitants activés, ’’aficionados’’ ou autres ‘’imposteurs’’, telle une stature de prosternation devant le dieu de la possession, au détriment d’un alléluia auprès de la déesse de la sagesse.
Désolé, ce système de gestion corporatiste devenu trop souvent ’’sectaire’’, n’est pas concevable pour et par mon ’’humaine’’ et acceptable compréhension, car il engendre manque de considération et de confiance, irrespect, rejet, voire à terme, désespoir, colères, rancœurs, conflits….
Et plus encore, lorsque disparaissent les possibles bonnes consciences, et qu’apparaissent les vilaines pensées, sources des mauvais actes, et causes de possibles manifestations souvent génératrices de détériorations lorsqu’elles sont déviées de leur but originel, au nom de certaines raisons auxquelles je n’adhère pas, car elles ne sont plus de justes et primordiales causes, de par leurs effets constatés trop proches de la division communautaire engendrant dislocation sociale…
Que nous pouvons aujourd’hui percevoir grâce à la retransmission des sons et images en différents ’’coins’’ de cette belle planète bleue, nommée TERRE, destituée de ses merveilleuses Devises… ; et meilleurs Etats. Car, sur ce thème de ’’l’économie asociale’’, je ne comprends plus grand chose, mais je m’aperçois que l’âge de la retraite augmente, celui pour commencer à être considéré comme compétent afin de pouvoir entrer dans le secteur du travail rémunéré se décale, la période où nous sommes considérés comme performant diminue. Il me semble bien entrevoir un problème de chiffres dans tout cela. Les ’’jeunes’’ commencent à recevoir aujourd’hui, un salaire soumis à cotisations ’’pleines’’ en moyenne, vers 23 ans, et à partir de 54 ans, voir avant (c‘était mon âge en 2013), nous sommes soit disant insuffisamment compétitifs pour continuer cette activité professionnelle, qui nous a permis d’exister dans ce système en tant que lien politico-social-économique et culturel en permettant une vie honorable et digne.
Si je compte bien, cela fait pour ’’moi’’, et pour ’’autres’’ en pareil cas, environ trente et une années de cotisations, alors qu’il faut dans notre pays, plus de 41 annuités en permettant les versements ’’normaux’’, proportionnels à une réelle activité’ rémunérée exercée au juste montant ’’absolu’’ en tant que déterminant des prélèvements nécessaires à l’obtention d’une retraite par répartition à taux ‘’plein‘’ en adéquation avec des normes de vie acceptables pour ceux et celles en activité au même titre que les retraités bénéficiant uniquement de cette ‘’rente‘’, me semble-t-il …?
A moins d’avoir réussi à cotiser à des assurances et autres caisses privées… Et fonds de pensions, ou avoir réussi à amasser suffisamment de ‘’biens’’ sécuritaires avant le ‘’grand départ’’… !
(Je n’ai pas écrit de ‘’bêtises’’ dans cette composition, j’espère ?…).
Je pense que le résultat de toutes ces ’’applications’’ risque malheureusement d’être en celui d’y avoir nombre de problèmes supplémentaires d’ici quelques années, pour une grosse partie de la génération suivante à la mienne, en dehors de ceux existants et présents à l’heure actuelle consistant majoritairement dans ces pays soit disant avancés technologiquement et ethnologiquement à essayer de vendre de ‘’l’intelligence grise’’ pas toujours adaptée à certains systèmes sociétaux non encore réceptifs aux nouvelles données comportementales des communautés, où la vraie réalité ’’sociale économique’’ de base, reste pourtant encore bien pour partie en celle de certaines de ses ’’belles entités’’, proches de l’appareil créateur et générateur de produits manufacturés marchands, mais trop souvent destituées de leurs fonctions logiques par quelques mauvais génies sans scrupules, mais sûrs de savoir comment gagner de l’argent par d’autres principes, peut-être moins honnêtes, voire totalement ’’indécents’’ , à fin d’en acquérir le maximum de ’’biens’’ financiers et matériels, dans un temps le plus court possible, sans considération pour les quelques entités restées sur le bord des chemins, ainsi que pour le fondement de l’appareil des ’’savoirs techniques’’ transmissibles et exécutables par les savoirs faire ‘’manuels‘’ et ’’intellectuels‘’, en tant qu’additions de ‘’valeurs ajoutées’’, grâce à tous ces savoirs pourtant indissociables les uns des autres, se trouvant dans la création, la fabrication, la distribution et l’acquisition de ‘’l’objet’’ vital, indispensable, utile, nécessaire, souhaité, essentiel, superflu, jetable, désiré, …Etcétéra… ;
Et puis quoi encore ?... Pour quoi, ou pour qui ?... Rejeté, Néo mieux, néo vieux, néo jeunes, nouvelle économie, nouvelle évolution, que sais-je encore ??? ... ∞
Au nom d’us et coutumes établis par ceux et celles d’avant ?
Ou nouvelles sociétés ethnologiquement viables ?
Ou enfin, au nom de la belle évolution pour nos petites et petits ‘’apprentis(es)’’ ?… Astreints(es) à belles pédagogies… ???
Où le vecteur commun à toutes ces conceptualisations est bien évidemment chez ‘’l’être humain’’ en l’attrait de la nouveauté, indexée et invectivée par de belles évolutions technologiques, mais maintenant bien souvent établies au détriment des modifications ’’ethnologiques’’, humainement inacceptables car empreintes de trop de ce corporatisme qui lorsque sa définition est déterminée ou appréciée comme insuffisamment communautaire se rapprochera inéluctablement des frontières du sectarisme, où l’effet de ce mauvais élément ne saurait entrainer autres opérations que celles de la division et de la soustraction avec toutes les conséquences applicables à ce pandémique phénomène…
Certains ’’esprits sots’’ sont parfois doués de trop d’inconscience, et trop peu d’analyses et ajustements dans la conceptualisation de fonctionnements sociétaux illogiques, uniquement hors de leurs pensées, concepts et portées imaginées parfois quelques peu inflexiblement corporatistes, ou électoralistes ?…
Hou la là, sujets indélicats et épineux, car insensiblement dépourvus de cette ‘’chose’’ que je nomme : Intelligence de Cœur…
Et j’en ai marre de leur stupidité égocentrique, narcissique et cupide !
Ces politiciens(nes) n’ont-ils pas encore compris, que la société française (peut-être autres aussi) est une puissance en déliquescence, et participera avec certaines autres néfastes gouvernances, sans aucun état d’utiles compréhensions quant aux diverses incompétences politiques impropres au respect de la Nature, du Vivant, de l’identité culturelle, de l’enfant, de la femme et de l’homme doués(es) de meilleures obédiences ‘’humanisantes’’, à la désintégration de l’UE… ; où sa version originelle a déjà été défigurée et traumatisée, dans et par les corporatismes exacerbés, les débiles conflits entre partis politiques, accompagnés par les reliques religieuses dopées à l’obscurantisme invasif… Dont la logique de covalence en est assurément la servitude des peuples, destinés à l’adoration des icônes starisées, et aux blâmes de la génuflexion, tout en leurs ayant fait oublier que la danse à mille temps est nettement plus enrichissante, que les palliatifs de la logo-médiatisation médicamenteuse, inopérante dans un système de ‘’lobbyisation’’ des peurs où l’institution de l’insécurité socio-économico-culturelle généralisée prédispose, avec pour particularité en celle que la société moderne devienne un système à prédisposition individualiste, au détriment du bien commun et du collectivisme…
Mais bon, revenons à nos moutons; j’en ai côtoyé d’autres pendant ma recherche d’emploi, et, je vous l’assure, certains étaient des moutons à ‘’cinq pattes‘’ souscrivant allègrement au bal des dindes et des dindons, dont l’un en est aujourd’hui Monsieur le Recruteur travaillant certainement comme consultant pour le compte de l’entreprise à laquelle j’avais fait parvenir par les ’’convenances établies’’, mon CV accompagné d’une lettre de motivation au mois de juillet 2014 par internet, suite à une proposition d’offre d’emploi communiquée par les soins du ‘’Pôle Emploi’’, dont la définition du poste me semblait en parfaite adéquation avec mes compétences, comme certainement ’’autres’’, désireux d’accéder à cet emploi, je pense…
J’avais bien évidemment avant cela orienté ma recherche d’emploi depuis janvier 2013 en fonction de toutes les potentialités communes effectuées avec vos services et les miennes propres à mes convictions, dont j’avais réussi à en percevoir certains biens fondés, notamment par les informations relatives aux possibles autres axes d’emplois plus ’’flexibles’’ en permettant l’éventuelle obtention d’un emploi dont la rémunération en serait supérieure à celle du RSA, sans pour cela prétendre à un salaire démesurément en inadéquation avec mes compétences réelles au rapport de l’emploi exercé. J’ai également abondé au mois d’avril 2014 à d’autres applications ayant probité à induire un résultat positif pour un possible retour au travail rémunéré, et notamment par l’accompagnement d’un de vos prestataires dans le cadre d’un projet d’aide au retour à l’emploi, comprenant également l’établissement d’un profil et d’un bilan professionnel.
Deux appels téléphoniques ont été passé conjointement avec ce partenaire auprès de l’entreprise en question entre août et septembre dont les demandes en étaient les informations liées à l’envoi de ma proposition de candidature au mois de juillet, avec pour réponse que les ‘’profils’’ seraient analysés la première quinzaine de septembre. Cela m’a paru normal et logique, au regard de la période des vacances estivales, alors qu’en d’autres instances suite à l‘envoi de mon ’’CV‘’, je n’ai reçu aucune réponse… Ce qui est des plus affligeant pour ‘’moi’’, par l’irrespect entrevu et le manque de considération de la part de certains et certaines pour ’’autres’’ qu’eux, alors que nous composons toutes et tous, ce qui est défini globalement en tant que ’’genre humain’’, et ‘’ici’ en tant que citoyennes et citoyens français me semble-t-il ? Ou alors, je n’ai rien compris aux définitions linguistiques… Et notamment la sémantique et la rhétorique propre à notre chère langue française ?
Surtout dans le cas d’une proposition de candidature en tant que responsable d’encadrement pour des chantiers d’insertions professionnelles, où j’avais essayé de joindre le ‘’Président’’, après envoi de mon Curriculum Vitae. Sans succès !
Cela n’est pas possible, il doit y avoir un je m’en ’’foutisme’’ général dans ce merdier ; entretenu ?
Et ce qui est encore pire, c’est toutes ces sociétés dont les CV, envoyés par les chercheurs(ses) d’emplois servent uniquement à alimenter les bases de données, dont leurs non-consultations périodiques induites par cette faculté extraordinaire des recruteurs consistant à se désintéresser des déterminants entrés dans le système d’exploitation, pour la simple incompréhension, qu’une fois dedans, la personne sera uniquement soumise aux dictats des programmes informatiques et autres langages algorithmiques... Et si le ’’chargé’’ du recrutement ne fait pas une recherche personnelle et particulière, envers le CV resté trop longtemps dans les bacs, alors qu’il possède encore de potentiels accords avec une nouvelle offre d’emploi, où dans ce cas la proposition d’embauche restera nulle et non à venue, sauf si la candidature remplit toutes les conditions entrées, auparavant dans le système d’exploitation par le recruteur ayant consciencieusement délimité les normes d’accessibilités du candidat au rapport de la demande à potentiel d’adéquation avec l’offre, où ces quatre paramètres (le recruteur, le candidat, l’offre, la demande) se doivent d’être analysé et étudié objectivement par un professionnel composant dans le cadre de son métier, au ‘’sujet’’ de son activité, à savoir dans ce cas, les ‘’Ressources Humaines’’…
‘’C’est se jouer des paroles de dire que vous êtes d’accord à cause des termes communs dont vous usez, quand vous êtes contraire dans le sens’’.
Pascal, les Provinciales, première lettre.
Comme tous symbolismes, la monnaie, en tant que moyen de réserve, est l'instrument pratique de la société politico-économique, contre les incertitudes et errances existentialistes ou désir intrinsèque d’accaparement et de possession matérialiste, désolidarisé de la communauté de bien(s) et services, et du bien commun…
C'est la détention totalitariste privée de monnaie qui permet aux individus d'exprimer leurs doutes, voire ignorances, quant à la justesse des convoitions et convictions de prévalences du système sociologique et communautaire, où eux-mêmes existent territorialement. C'est donc dans l'apparition de la monnaie comme moyen de réserve, autrement dit dans la rupture de la circularité, que se concentrent la spécificité, voire la formalisation des valeurs individualistes intrinsèques.
L’imaginaire collectif en est l’antidote…
Date de dernière mise à jour : 20/10/2017
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