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LE MONDE EST UNE RESONNANCE QUI INVENTE LA DISSERTATION

LE MONDE EST UNE RESONNANCE QUI INVENTE LA DISSERTATION

S'intéresser au monde dans lequel nous vivons, n’est-il pas un prérequis pour que nous puissions y trouver la société idéale dans laquelle nous souhaiterions vivre ? Participer à sa mise en place n’est-il pas le meilleur moyen d’y parvenir ? Si la passivité des citoyens est compréhensible dans des dictatures, où toute forme d’expression contradictoire au pouvoir peut entraîner une condamnation à mort, qu’en penser dans les pays démocratiques ?

« Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter.» - « Que les gens sont absurdes ! Ils ne se servent jamais des libertés qu'ils possèdent, mais réclament celles qu'ils ne possèdent pas ; ils ont la liberté de pensée, ils exigent la liberté de parole.» - « L’humoriste, comme le fauve, va toujours seul.» Sören Kierkegaard

Tout l’agrément de la vie est fondé sur un retour régulier des choses extérieures. L’alternance du jour et de la nuit, des saisons, des erreurs et des fruits, et toutes les autres choses qui viennent à notre rencontre périodiquement afin que nous puissions et devions en jouir, voilà les véritables ressorts de la vie terrestre. Plus nous sommes ouverts à ces jouissances, et plus nous nous sentons heureux. Goethe, Poésie et Vérité (Livre XIII)

Les uns disent que non, les autres disent que oui ; et moi je dis que oui et non. (Sganarelle, sur une difficile question de médecine) – Molière ‘’Médecin malgré lui’’.

« Ce qui importe par-dessus tout dans une œuvre d'art, c'est la profondeur vitale de laquelle elle a pu jaillir. » Joyce

Le potier hait le potier, l’architecte l’architecte, le mendiant fuit le mendiant et le chanteur le chanteur. Heliode

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Jean-Jacques Rousseau

Rousseau par Raymond Trousson

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<< Lorsque la société soi-disant évoluée inhibe trop tôt les rêves de sa jeunesse, et maintient trop longtemps une grande partie des générations précédentes dans le cauchemar des désillusions, elle ne saurait évoluer vers autres chemins que celui du désespoir…

De la rancœur, et de l’indifférente violence… Psychologique… Où celle physique risque parfois malheureusement d’apparaître.

‘’Car cet homme des lointains, c’est un animal semblable aux autres animaux : il mange, boit, dort. La sélection naturelle l’a fait robuste, agile, il ignore la maladie et n’a même pas conscience de son existence dans son milieu. Car si cet être a, des sens d’une extrême acuité, il ne pense pas’’.

Rousseau, qui contredit ainsi ceux qui attribuaient à l’homme originel la supériorité d’une raison toute formée, ajoute ceci qui indigne ses contemporains :

‘’J’ose presque assurer que l’état de réflexion est contre nature et l’homme qui médite, hors analyse sensible et objective est un animal dépravé’’.

Dépravé… ?

C’est-à-dire dénaturé, en rupture avec l’état naturel, qui ne suppose pas la faculté de penser… ; le juste, l’équitable et le sensé… Enlever à l’homme sa mémoire. Il n’aura plus haine, ni amour. Il restera juste ce mammifère prédateur, que les esprits doués d’intelligence sensible, pourront peut-être comprendre…

Où parfois, trop d’inutiles bigoteries, inhibent l’esprit logique et ne permettent plus d’entrevoir cette extraordinaire capacité d’être simplement humain dans le Monde Naturel Vivant… >>

 

 

Rousseau et la volonté générale

Chaque individu peut avoir une volonté particulière différente de la volonté générale, mais dans le cadre du contrat, la volonté particulière peut être contrainte de se soumettre à la volonté générale. La volonté générale n’équivaut pas à la volonté de tous les individus, car ce n’est pas la somme de tous les intérêts particuliers. La volonté générale ne peut en effet être une somme des volontés individuelles dans la mesure où leur but est opposé, la première étant inspirée par le bien commun.

La souveraineté est la volonté générale. Ce souverain s’incarne dans le corps politique. La souveraineté, selon Rousseau, est inaliénable et indivisible, en ce sens une république qui divise sa souveraineté n’est plus une république et ne peut plus représenter l’intérêt public.

Afin de lutter contre des groupes d’individus voulant accaparer la volonté générale et la détourner à leur profit, Rousseau a imaginé de créer une institution uniquement orientée vers le bien commun : c’est le Législateur.

Rousseau utilise le terme de «république» pour désigner toute société régie par la loi ou qui est gouvernée par la volonté générale de son peuple. Un droit civil est un acte de la volonté générale, selon Rousseau, et la volonté générale doit être obéie par tous. Ainsi, l’obéissance à la loi civile est requise pour tous les individus par les termes du contrat social. Toutefois, l’institution du gouvernement n’est pas un contrat, mais un acte de la volonté générale.

En conséquence du contrat social, les lois civiles sont décidées par un vote majoritaire des magistrats qui sont élus pour représenter le peuple. La minorité qui s’oppose à la volonté de la majorité doit accepter tous les actes de la volonté générale, et il ne peut pas refuser de se soumettre à la volonté générale, sans violer les termes du contrat.

Le contrat social implique un abandon total et inconditionnel par chaque individu de ses propres droits naturels afin d’obtenir les droits associés à la citoyenneté. Il n’est pas nécessaire pour le pouvoir souverain de garantir la liberté civile et les droits juridiques de ses sujets, parce que ses intérêts sont identiques à ceux du peuple. Si quelqu’un refuse de se conformer à la volonté générale, le citoyen peut alors être forcé à se conformer par le corps politique : c’est le sens du fameux passage dans lequel Rousseau affirme que le citoyen peut être «forcé d’être libre».

Malgré tout, Rousseau avait conscience que la perfection du régime démocratique relevait d’un idéal politique : “S’il y avait un peuple de dieux, il se gouvernerait démocratiquement. Un gouvernement si parfait ne convient pas à des hommes […] Il n’a jamais existé de véritable démocratie et il n’en existera jamais”.

Il est certain que le Contrat Social est l’oeuvre la plus influence de la philo politique des Lumières.

Extraits du contrat social :

-“Il n’est pas bon que celui qui fait les lois les exécute, ni que le corps du peuple détourne son attention des vues générales pour les donner aux objets particuliers. Rien n’est plus dangereux que l’influence des intérêts privés dans les affaires publiques, et l’abus des lois par le gouvernement est un mal moindre que la corruption du législateur, suite infaillible des vues particulières. Alors, l’État étant altéré dans sa substance, toute réforme devient impossible. Un peuple qui n’abuserait jamais du gouvernement n’abuserait pas non plus de l’indépendance; un peuple qui gouvernerait toujours bien n’aurait pas besoin d’être gouverné.” (citations de Rousseau)

– “Le souverain, n’ayant d’autre force que la puissance législative, n’agit que par des lois; et les lois n’étant que des actes authentiques de la volonté générale, le souverain ne saurait agir que quand le peuple est assemblé. Le peuple assemblé, dira-t-on, quelle chimère! C’est une chimère aujourd’hui; mais ce n’en était pas une il y a deux mille ans. Les hommes ont-ils changé de nature?”

– “s’il n’est pas impossible qu’une volonté particulière s’accorde sur quelque point avec la volonté générale, il est impossible au moins que cet accord soit durable et constant; car la volonté particulière tend, par sa nature, aux préférences, et la volonté générale à l’égalité. Il est plus impossible encore qu’on ait un garant de cet accord, quand même il devrait toujours exister; ce ne serait pas un effet de l’art, mais du hasard. Le souverain peut bien dire: «Je veux actuellement ce que veut un tel homme, ou du moins ce qu’il dit vouloir»; mais il ne peut pas dire: «Ce que cet homme voudra demain, je le voudrai encore», puisqu’il est absurde que la volonté se donne des chaînes pour l’avenir, et puisqu’il ne dépend d’aucune volonté de consentir à rien de contraire au bien de l’être qui veut. Si donc le peuple promet simplement d’obéir, il se dissout par cet acte, il perd sa qualité de peuple; à l’instant qu’il y a un maître, il n’y a plus de souverain, et dès lors le corps politique est détruit.”

 

LE CLAN, LE ROI, LE PRINCE ET LES ADORATEURS

 

Des signes éclairés aux foudres du ciel

Du feu sorti des entrailles de la Terre

Le nouveau prince se senti pousser des ailes

Et par cette ignorance de la nature et des hommes

Il s’autoproclama messager du grand ordonnateur

 

A l’éloge de son père, petit bourgeois de province

La louange fut sienne et par là même, la chose engagée

Le discours encore confus, il s’en alla déterminer

Prêt à lire philosophes et engager conversation usurière

Et par autres voix chercha Sophia, fille de Vénus et Simonide

 

Ceux sont là bien des maximes bonnes et valorisantes

Auxquels nous voudrions en porter ferveurs et allégeances

Rousseau n’en dit pas moins, et quant à moi y souscrit

Mais l’homme moderne n’en est pas moins un génuflecteur

Adorateurs, adoratrices, néanmoins il mange, boit, dort et aime

La sélection naturelle l’a fait robuste et agile

 

La maladie, l’existentialisme humaniste, la mort il veut s’en décharger

Il n’a même pas conscience de son activité grégaire chancelante

Ses sens communs sont d’une extrême vivacité accaparante

Sa sensibilité n’est souvent que réflexion matérialiste

Son objectivé s’arrête aux frontières de la cour des contre-mesures

Par son dieu, il construit les suspicions aux abords des politiques templières

Il se souci plus de la voûte céleste que du monde des vivants

 

Le beau prince par narcisse envoya bordée d’échos à droite et à gauche

Oubliant que peuple ne peut s’abouter à justes devises sans réelle bienfaisance

Que bienséance ne se résume pas à transmission inique sectorisée

Si les convives ne sont choisis qu’aux abords des guéridons du clan

Si peur de perdre dû, n’est que gré de la louange du roi

Alors Festine et Bacchus de votre table de mauvaises humeurs

Ne riront, mangeront, boiront et ne festoieront point

 

Le prince par vénalité absconse, par la sottise et l’injustice ajoutées

Son aveuglement et abus, exemptèrent le juste contrat social

Serviteurs s’y fourvoyèrent avec les oboles du riche charitable

Par soumission et idolâtrie envers reines de Saba et rois de Pique

Adorateurs furent incapables de s’afficher à la cour des reines de cœur et poètes esthètes

Les chevaliers des temps modernes sous couverture des nouvelles amazones

Prirent voies vers la presqu’ile de Lemme

 

Et sans perdre le prix des vers, avertirent le clan des domestiques

Sous les pendules des justes et des innocents d’antan

Que le discours des nouveaux adorateurs du prince,

Associés aux chants falsifiés des sirènes du souverain d’éloquence

Ne pourront empêcher, par temps faire, dans les conspirations du pouvoir

Que cette maison, dans les oubliettes du château, ne sombre à l’envers.

 

Pourtant jadis, l’Olympe et le mont Parnasse avaient frères et bons amis(es)

 

A contre-courant de la mondanité libertine

Dans le silence de Port Royal, au pinacle de l’austère

Des solitaires aux ordres de l’abbesse Angélique, Pascal

Par les lettres de Louis de Montalte, provincial de ses amis

Pestèrent reliquats symboliques, aux grâces divines entre Jésuites et Jansénistes

Adossées à disputations des soixante et onze docteurs de la Sorbonne.

 

L’échange fut grandiose, à examiner ce qu’il y avait de faux ou de réel

Epanchement exercé par la véritable conscience des uns et des autres

Dans ce qu’il y avait de bon en dieu, ou de mauvais chez les hommes

Ne surent rien, avec certitude définir, même pas leur portée

Vide de l’esprit flirtant aux accords enchanteurs entre charnel et extase

 

Au présent des commissures entre attachement et liberté

Les coercitions des anciens, à l’attention des connexions nouvelles

Les néo-jeunes ne purent s’affranchir des nouvelles vacuités cessibles

Emancipées aux évasions virtuelles, où flottent encore quelques vagues à l’âme.

 

Michel Asti : https://www.facebook.com/media/set/?set=a.283706301765654.1073741826.100003788581173&type=3

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