IMPOSTURE
IMPOSTURE EN MARKETING DE FAUSSES FACTURES
Qui fait quoi, avec qui, à PRECISER ce que j'aime ou n'aime pas... !
A quel moins néfaste DILEMME puis-je faire CONFIANCE… ?
Et avec quelle emphase en circonspection équilatérale puis-je m’associer dans cette distanciation véhiculée aux confins de l’IRRATIONNEL… ???
Non seulement, nos boites aux lettres sont remplies de PROSPECTUS inutiles et encombrants, mais en plus, la PUBLICITE est devenue une LOGOTO-MEDIATISATION du COMMERCE à n’importe quelle VALEUR et à tout PRIX, même celui d’un échange sans compte férir autre que celui de la CONSOMMATION ENDIABLEE dans un PRODUCTIVISME EFFRENE… Avec pour particularité, en ces sociétés MODERNES l’exponentielle demande de toujours plus que le JOUR d’AVANT... ; soumis à la DOSE IRRATIONNELLE de RESSOURCES TERRESTRES INFINIES…
PLATON fut un menteur mégalomane !
Il condamne l’IMITATION mais en contre-mesure de son DESIR immodéré de PLAIRE, il utilise une sémantique analogique faite de métaphores lorsqu’il est contre dit par le LANGAGE de la logique associé au REEL. Il en va même à s’assujettir à l’IMPOSTURE pour ABUSER de la CONFIANCE de ses amis et faire ACTE de subterfuges envers les incrédules quant à un REALISME en position de DICHOTOMIE entre MATERIALISME et EXISTENTIALISME, avec oubli de la définition même du VERITABLE ESSENTIALISME. Pourtant, il aurait suffi et suffi encore de nos jours d’un peu de curiosité bien placée, d’attention à toutes ces choses de la vie et de concentration envers tout ce qui nous entoure pour unifier nécessité de pragmatismes et utilité du discours entre les sciences et les arts.
A l’HEURE de l’INFORMATION, nous pouvons mieux comprendre le succès des revues et des émissions "PEOPLE". Elles répondent à ce besoin inné de savoir ce que font nos voisins et plus généralement nos contemporains dans une INQUISITION en IMPOSTES SEMIOTIQUES FALLACIEUSES... Et cela dans une forme INTELLECTUELLE proche d’une ASEPTISATION CULTURELLE au PROFIT d’intérêts de VILS COMPTES…
Il existe une grande malédiction chez les hommes d’indigence textuelle et sémiotique qui n’ayant aucune compréhension logique des actions en flux d’échanges intercommunautaires, ou qui en refusent le portage en justice d’analyse usurière, par peur d’en perdre leurs acquisitions liberticides, s’en crûrent capable de faire des lois donnant insolvabilité à tous sujet-objets n’entrant pas dans les règles de leurs pastiches textuels en paralogisme népotique d’affiliation à pouvoir de division et soustraction au bénéfice d’un déterminisme matérialiste impérieux de clans formatés aux pires formes de l’herméneutique sophistique fracturant allègrement le bien commun…
NOTES SUR LE LANGAGE
Chez le mammifère-humain, existe deux langages en celui SONORE, et celui VISUEL en tant que réception des EXPRESSIONS, deux langages en celui de l’ODORAT et du GOÛT en tant que réception des IMPRESSIONS sensitives, le langage du TOUCHER en tant que SENSIBILITE physique et le langage du TOUCHANT en tant que transmissions des SENSATIONS émotionnelles.
Tous les langages ECRITS et VOCAUX en sont leurs dérivés en tant que REPRESENTATIONS sensibles des PENSEES, du REEL et de l’IMAGINAIRE sur la grande SCENES des ECHANGES de BIEN(S) et SERVICES… ; FORMULES au sens de l’existence du VIVANT et la conservation de ses différentes EXPRESSIONS…
ICI… ; Seul, les « REELS-LES » nous interpellent…
Le temps ne s’impose pas en ennemi intérieur, mais il est une composition particulière par l’énergie extérieure des choses de la vie…
La recherche du superflu donne une plaisante excitation, plus grande que l’acquisition du nécessaire. L'homme est une création du désir, non pas une création du besoin. Le bonheur, n'est pas un idéal de la raison, c'est un idéal de l'imagination, par la vision de la totalité des satisfactions possibles… Où le murmure entre les sciences et les arts ne saurait, en aucun cas, être une contrainte à l’étude des pensées d’autres temps, analyse et compréhension d’autres savoirs, connaissances et cultures…
MISSIVE AUX PERROQUETS ET PERRUCHES DU PAF…
SI TOUTES FORMATIONS ET/OU APPRENTISSAGES PROFESSIONNELS ETAIENT SYNONYME DE PLEIN EMPLOI ; IL N’Y AURAIT PLUS DE CHÔMAGE !
ALORS QU’IL N’A CESSE D’AUGMENTER AU COURS DES QUARANTE DERNIERES ANNES… ;
POUR DES RAISONS QUE JE N’OSE ENCORE PENSER AUX ORDRES DE QUELQUES MALFAISANTS & MALVEILLANTES COURBEES AUX FLAGELLATIONS D’ESPRITS TORDUS…
Commentateurs, commentatrices, lorsque vous faîtes partiellement référence à des textes pendant vos passages sur le Paysage Audiovisuel Français (PAF), le patriotisme de ce beaux pays du vieux continent, aimerait que vous respectiez l’UTILITARISME affilié aux MOTS, SIGNIFIANTS et DETREMINANTS liés au langage d’une SCENOGRAPHIE SOCIOLOGIQUE pensée avec une LOGIQUE HUMAINEMENT ACCEPTABLE, surtout lorsque l’émission informative, même si elle peut être vue et écoutée en d’autres contrées du Monde, a sa source sur son sol… A moins que vous préfériez, pour des raisons, causes et devises particulières, participer ‘’inconsciemment’’ à une forme d’anglicisation des mots, lemmes et phonèmes attachés à cette chère linguistique francophone… ???
Au profit d’un bellicisme anglo-saxon de néfaste et vil compte…
En conséquence, ce même patriotisme, de belles inspirations, respirations et verves, vous demande instamment d’essayer de ne plus outrager outre mesure cet outil d’échange entre les différentes communautés de bons usages paroliers…. Axées sur les Droits de l’homme, de la femme, de l’enfance, citoyennes et citoyens soucieux d’une VERITABLE justice SOCIALE-ECONOMIQUE et REEL COLLECTIVISME intergénérationnelle. Cela éviterait, par votre sémantique fractale, d’infliger soustraction de savoirs faire par filoutage corporatiste et division en savoirs être, supplémentaires, à l’existant compréhensible et analysable, dans territoires de France…
Dans vos débats d’experts et docteurs en toutes matières, je vous demande expressément, par vos DISPUTATONS AUDIOVISUELLES de l’entre soit, voire l’entre-suit en béatitude de benoits et niaises, de bien vouloir respecter certains déterminants textuels. Notamment, à essayer d’insérer les mots : TRAVAIL, EMPLOI, PROFESSIONNALISME, EDUCATION, APPRENTISSAGE, CULTURE… ; dans un juste focus didactique, encadré par une sémiotique attachée à préserver le bien commun français, tout cela, en évitant de laisser croire que la théorie économique du ‘’RUISSELLEMENT’’, qui n’a jamais eue d’effets positifs dans le champ des exclues et autres proches de la porte de sortie du système d’échange de bien(s) et services marchand, n’aurait pas son origine dans quelques RELIQUE DES TEMPS PASSES…
Qui plus est sachant que les ors et la pompe de la politique, chaires théologiques de l’église et le culte de Mammon sont intimement liés par les lois des hommes et celles des textes sacrés, dans un corporatisme de ‘’Lèches-culs’’, Césars, Satrapes, Conformistes Béats, Grandes Ecoles Nationales, Incompétents(es) et autres ignorants en flux monétaires, sciences sociales-économiques réaffirmés par une pédagogie suffisamment éloignée du discours entre les sciences et les arts, pour laisser la discussion aux seuls(es) néo-scientistes de la grande scénographie, pédante, starifiée par une bande de crétins adoubée par le GUIDE, dévots et autres philosophes tatoués au nombril de leur monde.
Imaginer une catastrophe qui ne s’est jamais produite dans notre affect ne nous fait pas peur.
« Le travail, notamment celui désengagé de tout collectivisme, ne me fait, personnellement pas peur.
Je peux rester, tout seul, des heures à l’observer »
Avec cet optimisme ou formes de jeux plus dangereux, notamment en la prétention anthropocentrique du ‘’MOI’’, il nous est possible, sans attentions pluridisciplinaires, de nous mettre dans des situations que nous pouvons qualifier de : ‘’BORDER LINE’’, soit en français ‘’LIGNES ROUGES’’.
De par cette prétention, en nos capacités ‘’biophysiques’’ et facultés ‘’intellectuelles’’ ; nous avons cette impudence particulière, ‘’inconsciente’’ ; de parvenir à une position de bien-être innervant, pouvant devenir carrément stupide lorsqu’elle met en insécurité l’existence même de l’autre ET/OU de la communauté pour des raisons uniquement individualistes, marquées au sceau d’un démiurge sans foi ni loi.
Cette pathologie fait naître une multitude ‘’d’états’’ où la délimitation du ‘’MOI’’ d’avec le monde extérieur devient incertaine et par là-même peut engendrer un tracé réellement inadapté, voire inexact, au sein de la zones de vies en somme de ces parties psychiques, épistémologiques, philosophiques, physiologiques, économiques, sociologiques et culturelles dans, par et avec leurs limites humainement inacceptables.
Ainsi dans le domaine du ‘’MOI’’, et peut-être du ‘’NOUS’’, il ne saurait être question de mettre en sous-valeurs ou sur-potentialités ses limites inconstantes, ainsi que d’évincer, sans débats mais sciemment, toutes dissidences non conformes à la norme ‘’démocratique’’ en vigueur ou prosélytismes infondés, assujettis à autres formes fractales en attachement particulier, ayant omis – volontairement ? – l’analyse linguistique, textuelle et didactique émise par les esprits libres…
Le collectivisme en préservation du bien commun en est le contrepoison et l’étude du discours entre les sciences et les arts est l’antidote.
l’hominidé est un mammifère de type bipède, grégaire, moutonnier, conformisme et souvent soumis à la servitude ‘’confortable’’ – les experts de la finance, génies de l’économie et sorciers en fonctions usurières sont uniquement des idiots ‘’intelligents’’ et empruntés(es) à l’ordre impérieux affecté au pouvoir de Mammon. Aucun d’eux ne parle de NEUTRALITE ECONOMIQUE. Certains édictent quelques possibles zones de neutralité monétaire. Ce qui est également une vaste filouterie intellectuelle, car toute MONNAIE est temporellement MORTELLE et est intrinsèquement soumise au principe de la rareté ou celui de la subsidiarité…
La solution factuelle est intellectuellement et pragmatiquement ailleurs. En thésaurisation (économie) financière, plus un ‘’objet’’ est rare plus il a de valeur. Dans et avec cette monnaie non sociologique – devenue depuis plusieurs années monnaie scripturale – quelle est la valeur d’un homme et/ou d’une femme ?
D’une machine… ; humaine ? D’un enfant ?
D’un actif ? D’un travail ?
D’un emploi ? D’un(e) employé(e) ?
D’un utilitarisme social-économique ?
Du poids de l’usure ? D’une nécessité ?
D’un essentialisme ? D’une obligation ?
De l’existentialisme ? D’une servitude ?
Entre matérialisme et dignité ?
Liberté et honorabilité ?
Du besoin ?
Du nécessaire ?
De l’utile ?
Du superflu ?
De la vie ?
De la Nature ? Du vivant ?
D’une usure temporelle ? Virtuelle ?
Une mécanique particulière ? Universelle ?
De toutes actions ? Comportements ?
Réactions ? Mobilités ?
Mouvements ? Moments ?
Mécanismes cognitifs humains ?
Mécanismes biophysiques ?
Automatisation ? Robotisation ?
Temporalité ?
L’intelligence artificielle ?
La pensée sur le réel ? Et inversement…
L’imaginaire ?
L’évolution ?
ET, la neutralité ECONOMICO-CULTURA-FINANCIERE ?
Dans un système d’ECHANGES de BIEN(S) & SERVICES MARCHAND ?
Territoriale ? Nationale ? Européenne ?
Continentale ?
Inter-Mondialiste ?
Je crains fort, malheureusement, que les ‘’portes’’ restantes à ouvrir et autorisant à imaginer quelques meilleures tendances aux lignes de l’horizon terrestre, servis aux aubes des vilénies, ne soient devenues que stratagème en culs-de-sac, mortifères… Où les gardiens des lumières ne sont que FIGURINES DE PAPIERS, en LIVREES de ventosités et dissidences en flatulences intellectuelles.
Le langage est-il un jeu d’imitation… ; lié à singularité politico-philosophique ?
- La ‘’machine’’ est-elle soumise à jeu d’imitation ?
- La pensée multidisciplinaire peut-elle faire évoluer positivement ou négativement les modalités socio culturelles dans un ensemble (E) … ; composé des machines humaines… ???
L’enjeu du XXème siècle fut-il une imitation affichée à une table de vérités soluble au rapport d’un théorème d’incomplétude particulier ?
Ce jeu se limite-t-il à créer une machine que saurait suffisamment imiter homo-économico-erectus dans le système de valorisation des mouvements, mobilités, actions, réactions et comportements nationaux, continentaux et mondiaux… ???
Au bord de l’extinction, une civilisation humaine a-t-elle ressources suffisantes et volonté utile pour triompher de l’irrationalité attachée à certaines pensées philosophico-culturelles monopolistiques… ?
M.A
Ma méthode dialectique, non seulement diffère par la base de la méthode hégélienne, mais elle en est l’exacte opposée. Pour Hegel, le mouvement de la pensée, qu’il personnifie sous le nom de l’Idée, est le démiurge de la réalité, laquelle n’est que la forme phénoménale de l’Idée. Pour moi, au contraire, le mouvement de la pensée n’est que la réflexion du mouvement réel, transporté et transposé dans le cerveau de l’homme
Karl Marx
L’Homme est un mammifère : VRAI
Tous les hommes et toutes les femmes sont des mammifères : VRAI
L’Homme est un bipède humanoïde : VRAI
Tous les hommes et toutes les femmes sont des êtres-humains cultivés et intelligents : FAUX
L’Homme est un animal grégaire à actions répétitives et réactions désordonnées existant dans un système sociétal multiculturel à conformisme béat et consumérisme endiablé : PEUT-ÊTRE…
Chez l'homme, c'est la capacité observée d'exprimer une pensée et de communiquer entre autres au moyen d'un système de signes par un support extérieur ou non. Cette capacité comprend des fonctions linguistiques telles que la phonétique (où l'on peut observer les actions physiques dans la bouche), la phonologie (les dessins qui sont présents à travers plusieurs langues et ceux qui ne sont que dans une langue spécifique), la syntaxe (la représentation des phrases et des mots dans l'esprit tout juste avant de parler), la pragmatique (les définitions qu'on trouve en parlant qui sont moins évidentes et imagées mais aussi typiques pour ceux qui parlent la langue en question). Bien sûr ces systèmes aussi compliqués ont quelques nuances que le ‘’média’’ et d'autres publications utilisent afin de persuader ou de distraire l'audience à laquelle les paroles et pensées sont dirigées. Très souvent, on voit que ces systèmes ne sont pas limités au langage vocal. L'écriture est souvent aussi véritablement efficace.
PHILOSOPHIE DU LANGAGE
Selon Hegel, ‘’on croit ordinairement […] que ce qu'il y a de plus haut c'est l'ineffable…’’.
Mais c'est là une opinion superficielle et sans fondement ; car en réalité l'ineffable c'est la pensée obscure, la pensée à l'état de fermentation, et qui ne devient claire que lorsqu'elle trouve le mot. Ainsi, le mot donne à la pensée son existence la plus haute et la plus vraie. Il ajoute par ailleurs : « C'est dans les mots que nous pensons. »
Bergson pense que le langage ne nous est pas totalement acquis car on ne peut pas tout dire avec, on ne peut clairement expliquer un sentiment.
C'est là notre seul problème.
Selon Aristote, dans la mesure où nous parlons nous nous rapprochons pour former une cité. Dans la mesure où nous vivons en société, nous parlons pour échanger, pour communiquer aux autres soit nos passions, soit un besoin. Le langage tire donc sa raison de la société et en est lui-même l'effet.
Cette corrélation du langage et de la société explique le caractère conventionnel du langage, c'est-à-dire son fondement par des règles arbitraires éditées par l'Homme. Cet arbitraire est débattu dans Le Cratyle de Platon, selon le sophiste Cratyle, le lien entre le mot et la chose désignée est fondé sur la "rectitude naturelle des noms". Il affirme que les mots sont justes lorsqu'ils ressemblent à ce qu'ils désignent.
Le lien serait donc naturel.
Cependant, la fin du dialogue entre Cratyle et Socrate affirme l'impasse d'une telle théorie et cela malgré la séduction qu'elle exerce y compris sur Socrate.
Ferdinand De Saussure, fondateur de la linguistique, définit le langage ainsi dans le Cours de Linguistique générale écrit par ses étudiants : le langage est un système de signes qui unit par convention une idée, un concept et un son, une image acoustique. Selon lui, le lien entre la chose (signifié) et le mot composé d'une suite de sons (signifiant) n'est pas motivé, il est arbitraire : il n'existe aucun rapport intérieur entre le mot "sœur" et le son "sœ?" associé au mot. Une objection consisterait à dire que les onomatopées sont la preuve qu'il existe un lien motivé entre le signifié et le signifiant : le son de l'onomatopée imiterait le son provoqué par la chose désignée ; "cocorico" pour désigner le chant du coq par exemple.
Ferdinand De Saussure répond que l'onomatopée reste arbitraire et donne pour preuve la variation de l'onomatopée selon les langues : en anglais, "cock-a-doodle-do" désigne à son tour le chant du coq et n'a a priori rien à voir avec notre "cocorico". De la même façon nous pensons parfois que le mot "fouet" aurait un rapport naturel avec la chose fouet car il imiterait le sifflement de celui-ci. De Saussure rappelle qu'étymologiquement, le mot "fouet" désigne le hêtre, bois dont est fait le fouet et non son sifflement
PLURALITE DES LANGAGES
Le terme langage s'applique à des notions très diverses.
On parle par exemple de : Langage humain
Le langage peut être défini selon plusieurs caractéristiques :
La première est la fonction symbolique. En effet, le langage est l'utilisation de signes chez des individus qui sont capables de manier des représentations mentales associées.
La deuxième est la conjugaison, c’est-à-dire la perspective du temps ou des souvenirs et de l'espoir, prise en compte dans le discours.
La troisième est la grammaire. Elle permet d'intervertir les mots afin de changer le sens de ce qui est dit.
La quatrième est la phonétique. En changeant les phonèmes on change le sens.
La cinquième est l'intonation, qui permet de transformer une affirmation, pour qu'elle devienne un ordre, un souhait ou une question.
QUELQUES REMARQUES SUR LE LANGAGE
On considère souvent le langage comme le moyen d'exprimer une idée ; il serait donc un instrument de la pensée. Il y a pourtant des cas où le langage semble nous dépasser : dans le cas du lapsus ou dyslexie, nous disons autre chose que ce que nous voulons dire ; et dans le cas où l'on parle pour ne rien dire, comme quand on parle de la pluie et du beau temps.
Le langage n'est-il qu'un instrument de communication et d'expression ? Ne fait-il qu'exprimer une pensée ?
Cette problématique philosophique du langage concerne le statut métaphysique de la pensée : si la pensée préexiste au langage, il est possible de se passer de cette forme matérielle ; mais si la pensée ne peut se réduire au langage, alors ce dernier a un pouvoir spécifique, indépendant des autres facultés.
Ce problème de la liaison du langage et de la raison est lié également à la question de savoir si le langage révèle la nature spirituelle de l'Homme.
Fonctions du langage
• Fonction phatique
• Fonction de subsistance
• Fonction d'intégrité de l'identité
Selon Bühler :
• Fonction émotive
• Fonction conative
• Fonction représentative
Selon Jakobson :
• Fonction émotive
• Fonction conative
• Fonction représentative
• Fonction phatique
• Fonction métalinguistique
• Fonction poétique
Selon Britton :
• Fonctions transactionnelles, impliquant des interlocuteurs, parmi lesquelles la fonction conative
• Fonction expressive
• Fonction poétique
Il existe plusieurs sortes de langages : - le langage familier - le langage courant - le langage soutenu - l'argot, le langage vulgaire ; ... etc. » …
HISTOIRE DU LANGAGE
Origine du langage.
Notre société a complètement assimilé le langage comme partie intégrante de l'être humain. C'est même l'un des éléments rassurants qui peut nous différencier des autres animaux. D'où l'importance accordée aux premiers mots de bébé : "il a dit papa"... un véritable exploit !
Le sujet des origines du langage reste toutefois complexe. Le fait de parler ne laisse, de façon directe, ni traces, ni fossiles !
Les scientifiques sont donc obligés de recouper différentes informations déjà recensées (l'outillage, les migrations de populations, l'analyse des crânes...) avec des études actuelles (la communication des grands singes, des bébés...). Ils peuvent ensuite se servir de ces observations pour élaborer leurs théories...
Depuis le 17e siècle la question se posait : depuis quand l'homme utilisait-il le langage articuler ?
De nombreuses théories ont été avancées dont certaines très farfelues En 1866 la Société de Linguistique de Paris (fondée en 1864) mit un coup d'arrêt à ces tentatives fantaisistes et interdit tout simplement la publication de textes relatifs à l'origine du langage.
Ce n'est qu'à la fin du XXe siècle que le veto fut levé et que l'origine du langage devint un sujet d'étude.
Dans les années 80 la majorité des scientifiques penchaient vers une origine du langage plutôt tardive, il y a 40 000 ans. Cette période était également celle de la "révolution symbolique" (développement des arts avec les grottes ornées, des outils de plus en plus perfectionnés et des sépultures).
Il est maintenant permis de penser que les origines du langage sont beaucoup plus anciennes. Les dernières études sur les aptitudes anatomiques des premiers hominidés repoussent les prémisses du langage à 2 millions d'années.
Une étude du mois d'avril 2011 du Dr Quentin Atkinson (Université d'Auckland) trouve l'origine du langage humain en Afrique. Il a répertorié et comparé le nombre et la diversité des phonèmes de 504 langues à travers le monde.
Il a ainsi pu calculer que les langues les plus riches en phonèmes diversifiés se trouvaient en Afrique et principalement sur une bande côtière qui va du Sénégal à l'Afrique du Sud. A l'inverse les langues les moins riches se retrouvent en Océanie et en Amériques du Nord... qui sont les continents les plus récemment conquis par l'homme. Cette nouvelle découverte confirme les origines africaines de l'humanité. Etude parue dans les revues Science et Nature. A noter, les travaux de Quentin Atkinson ont été remis en cause en 2012 par une autre équipe pour qui la diffusion du langage humain ne s'est pas forcément réalisée comme la dispersion génétique.
Les différentes hypothèses d'une origine tardive
LE LANGAGE MIMETIQUE
Cette théorie, développée par Merlin Donald, propose une première forme de langage mimant les actions ou les objets. Il s'appuie pour cela sur le chimpanzé à qui il arrive de singer ou de "copier" une action.
Par exemple, pour proposer une chasse à ses congénères, l'hominidé aurait simulé le lancer d'une sagaie vers un animal imaginaire. Il faut noter que cette hypothèse ne permet de représenter que des objets ou des actions simples et concrètes : manger, ‘’bison’’, boire. Il est par contre impossible de mimer toute les notions abstraites comme "demain nous irons à la chasse"" ou "hier j'ai vu un bison près de la rivière".
Cette théorie du mimétisme est séduisante mais nous pouvons remarquer que si certains primates ou de jeunes enfants font du mimétisme c'est toujours dans un but de jeu ou d'apprentissage, et jamais pour uniquement communiquer.
L'origine gestuelle du langage
Michael Corbalis propose, lui, une communication à base de gestes qui aurait précédé le langage articulé. Il base son argumentation sur les avantages découlant des gestes muets :
- pas de bruit pour attirer les prédateurs ou traquer les proies
- praticité du geste pour montrer une direction (que nous pratiquons toujours aujourd'hui !)
Jean-François Dortier souligne que si cette pratique du geste apportait autant d'avantages, il faudrait savoir pourquoi elle a été abandonnée et comment les hominidés pouvaient communiquer dans l'obscurité...
LE PROTOLANGAGE
Développé par le linguiste Derek Bickerton, le protolangage part d'un langage primitif il y a 2 millions d'années qui se serait progressivement enrichi. Composé de juxtapositions de mots concrets il ne possèderait pas de grammaire. Nos ancêtres auraient donc pu faire des phrases du type "Rahan manger fruits " ou "manger fruits Rahan" sans que cela nuise au sens global de la phrase...
Le protolangage aurait évolué vers un langage plus élaboré il y a 50 000 ans.
Cette théorie se base sur l'étude de quatre sources différentes de ce qu'aurait pu être notre langage primitif :
- le langage des grands singes à qui l'on a appris le langage des signes
- le langage des enfants de moins de 2 ans
- le langage de Génie, "enfant-placard" séquestrée pendant 13 ans
- le pidgin, langage utilisé et créé par des populations différentes contraintes à vivre ensemble et donc à trouver un langage commun.
Le protolangage est maintenant l'hypothèse la plus couramment admise.
Quel est le premier hominidé à avoir utilisé le langage ?
Selon certains anthropologues, les hominidés pourvus d’un larynx en position basse, ont également une base de crâne plate. Cette caractéristique ne se retrouve que chez nos ancêtres de moins de 2,5 millions d’années : les paranthropes et les Homo. Ce caractère est toutefois jugé peu pertinent par Pascal Picq.
Pour Phillip Tobias, les moulages endocrâniens montrent qu’Homo habilis possédait des aires de Broca et de Wernicke, spécialisées dans la compréhension et l’élaboration du langage. Mais d’autres études démontrent que, physiquement parlant, son larynx n’était pas descendu et qu’il ne pouvait donc pas « articuler de manière correcte ».
Pour certains scientifiques Homo erectus devait posséder le langage car sa production de silex (Levallois) nécessitait une maîtrise et une technique qui ne pouvait se transmettre qu’avec un moyen de communication élaboré.
Les études se suivent et se contredisent. Selon des chercheurs américains, la position de son larynx et sa morphologie ne permettaient pas la production d’une gamme étendue de sons (quelques consonnes et peu de voyelles)… Pour l’anthropologue française Anne-Marie Tillier (CNRS Bordeaux) il n’y a aucun doute : Neandertal possédait un langage articulé élaboré.
POURQUOI LE LANGAGE
Même si cela nous paraît évident nous pouvons nous poser la question de savoir à quoi le langage nous sert...
Bien sûr, c'est avant tout un moyen de communication au sens général. On peut supposer qu'il a donné de vrais avantages aux premiers hommes qui l'ont utilisé :
- construction plus rapide en commun d'une hutte ou d'un abri "moi ramasser branches", "toi arracher feuilles"
- chasse d'une même proie, à plusieurs, avec stratégie du type "Toi passer ici" et Moi passer derrière"
- communication rapide d'un danger immédiat "Fuir serpent ici" ...
Tous ces exemples montrent les bénéfices immédiats du langage en termes de rapidité, de facilité ou de survie...
Il existe toutefois un courant néodarwiniste qui réfute ce genre d'argument : le langage n'apporterait pas d'avantage évolutif. Il serait même dangereux d'échanger des informations, de communiquer : c'est la théorie néo-darwinienne de l'intelligence machiavélique. Il serait plus profitable à l'individu de se taire et de ne pas communiquer avec ses congénères...
Cette hypothèse ne supporte pas les faits : le développement du langage s'est réalisé dans toutes les populations, y compris les plus isolées... Et cela n'a pas empêché l'espèce humaine de se développer sur toute la planète !
Il existe également des théories moins simplistes sur l'utilité du langage.
Robin Dunbar (primatologue) pense que le langage apporte surtout un maintien des relations sociales avec son entourage (tribu, famille...). Il s'appuie pour cela sur une étude portant sur le sujet des conversations de nos contemporains (dans des lieux divers : cafétérias, bars, trains...). Les résultats sont étonnants : nous passons plus de 65 % de notre temps à parler de sujets sociaux.
Qui fait quoi, avec qui, ce que j'aime ou n'aime pas... !
Nous pouvons mieux comprendre le succès des revues et des émissions "PEOPLE".
Elles répondent à ce besoin inné de savoir ce que font nos voisins et plus généralement nos contemporains...
DISCERNEMENT
A qui, n’en, croire sincère intéressement
Pour nul s’en fasse figure guerrière,
Aux objets en structure inconsistante
Sans sujets à marteler,
Aux officines, enchères, déchues.
Par épistémologie à rivets compensatoires,
Avec versatiles en commodités viscérales,
Les fils du tissage en irritations,
Rien n’en fit ostensibles conditions,
Aux consultations des ridules appointées.
Avec romance sans passage captivant,
Sous présages des crépuscules énamourés
En sursis des condensats aseptisés,
Les promiscuités d’quintessences censurées,
Sues les soubresauts en filigranes,
Aux résistances des circonspections affables.
Sans se soucier des vues ravagées,
Ici, en contrées d’évasion,
Aux sens des dissidences inhabituelles,
Les vocalises en finitude, sans intolérances,
S’accordèrent moment pausé aux frontons malicieux ;
Au nom des discernements sans raisons précipitées…
AU VENT DES PARADOXES
La perfection n’est pas de ce monde ; mais la trahison patente, à chaque initiative de groupes, s’y immisce sournoisement pour lui faire offense intergénérationnelle.
La volonté d’en faire recherche et analyse personnelle échangées dans une potentielle étude fraternelle ne saurait aboutir à la concoction ‘’métaphysique’’ dans l’hystérésis concomitante à la malversation communautaire actuelle paraphée par des politiques philosophiques tatouées au nombril de leur monde.
Les ambiances du matérialisme impérieux associé au cynisme ontologique accaparant en sont les principales faillibilités de l’épistémologie sociologique, à réseaux liberticides, véhiculée par les néfastes clowns abrités des mauvaises zones de vie.
Le vent des émois égocentriques a pris le pas sur le temps des incontinences philosophiques au bénéfice des croyances aliénées par un docte scientiste édictant que vivre dans un paralogisme de groupes fermés serait le syllogisme intellectuel d’une politique sociale économique et culturelle ouverte.
Quelle connerie perfide !
La sémantique de l’inorganique n’y changera rien, temps que la pensée humaniste ne s’opposera pas aux conformismes religieux et tout ordre spirituel laissant croire à la plèbe que l’émancipation, physiologique et psychologique, est proche de cette citation édictant que :
‘’Vivre ne serait que le plus lent des suicides’’.
Et par conséquent, pourquoi, en cette vergeture sociale, l’opprobre à satisfaisons confortables aurait attention suffisante envers l’exclusion et la différence, si ce n’est à laisser les poisons de l’indifférence s’installés dans l’ignorance des classes inutiles à matérialisme inflationniste… ???
Que la sociologie la plus récente rencontre quelques sagesses anciennes, cela serait une bonne nouvelle.
Mais même cela ne peut démontrer que l’intelligence humaine et la modernité sont une folie.
Qu’il existe dans le présent, un réel toujours plus fort, refusant de croire que rien d’autre n’est à connaitre, que plus rien n’est à aimer… ; est vrai. Que le changement ne serait qu’une histoire sans défis dans un flot d’évènements, de rencontres et d’échanges aseptisés, apeurés par l’incertitude des croisements multiples et dépassements accentogènes, dans un monde d’asthénie psychologiques, de fourvoiements physiologiques et malentendus métaphysiques… ; est faux.
Mais que le monde, ainsi versé dans les commodités des zones de confort pressantes, semblerait d’une tristesse infinie pour qui préfère la danse à milles temps notée aux accords des désirs et souhaits sensibles scindées à jeux épars, où le verbe des amitiés et des amours serait teinté aux puissances de la verve des temps passés, dans un présent, riche des traits de lumière, réfléchissant à la couleur des feuilles mortes, tourbillonnant encore au sens de vigoureuses tourmentes… ; pour qui aime à flirter ‘’Au vent des émois‘’ ; est une évidence humainement acceptable.
L’essence même de l’existence fait la réalité de chaque vie. Elle ne précède pas l’essence, ni ne la suit – elle lui donne un sens – elle est la seule vérité, toujours changeante, toujours singulière, parfois imprévisible, peut-être imparfaite, mais toujours d’instants en instants à préserver. Quant au devenir de notre propre vie, est-il suffisamment incertain pour ne regarder que notre nombril, ou trop népotique pour croire que la seule évidence serait d’afficher notre créance sur les tabloïdes des mini-stars… ; en déni de nos propres incohérences et paradoxes.
‘’Toutes choses’’ est mortelle. Le temps est le gardien de toutes les actions vivantes. Cela est-il, toutefois, suffisant pour infliger la lente usure des hautes classes fascinantes, à toutes les ignorances des petites et moyennes… ???
Est-il louable de pérenniser le déni d’attentions au profit d’attachements particuliers… ???
Entre indifférence de notation et attachement de triage, n’existe-t-il rien d’autre que compositions liberticides… ???
L’homme ‘’moderne’’ est-il suffisamment stupide pour être devenu le soumissionnaire d’une imagination encadrée par une sémiologie, de faux contes, aboutée à lobbying de mauvaises factures… ?
La communication intelligible des esprits multidisciplinaires nous libère… Les communautés ne cesserons de se libérer… ; par la culture, par la révolte, par l’invention, par l’innovation au service de l’Homme, l’économie régulée, les meilleures technologies comprises, les nouveaux comportements, aptitudes et attitudes respectueuses des ressources terrestres et du bien commun… Tout cela s’appelle l’esprit de conservation du et des vivants présents, au nom de la préservation des générations arrivantes, ainsi que la lexicographie affichée au bien commun.
Plus je vieillis, plus je me rends compte que je ne veux plus être entouré de mauvaises causes et néfastes devises. Je désire tout simplement un lieu confortable, un peu de nourriture, quelque élixir fort auguste, des gens agréables et des amis(es) dopés(es) à cette extraordinaire intelligence de cœur et de raison ; avec lesquels(les) je puisse partager ces merveilleux moments, un peu magiques, assujettis à sincère amitié, amours évanescents et charmants. Les autres, je les écouterai lorsqu'ils auront commencé à construire une réelle fraternité, la solidarité, la paix et une véritable justice chez les hommes…
Être obsédé par les règles sans le sens revient à étudier la grammaire en espérant comprendre la poésie. Les limites sans les lumières, d’autres temps, contrées, cultures et savoirs, jamais n’indiqueront le juste chemin….
Il y a aussi, ancrée à leur puissance, cette non-limite, cette espèce de vaste possible qu'ils, elles baladent avec nonchalance et élégance depuis des ans en tout plein de gens.
La vigueur des vers et l'absence de limites textuelles, ces deux expressions que j'ai toujours versées aux sources naissantes des ruisseaux, puis jetées à la couleur transparente des torrents tumultueux.
Au fond, l'on aime chez les autres ce que l'on a, parfois pendant des années, bâillonné en soi, mais qu'instinctivement, l'on reconnaît.
Mais, il existe une grande malédiction chez les hommes d’indigence textuelle et sémiotique qui n’ayant aucune compréhension logique des actions en flux d’échanges intercommunautaires, ou qui en refusent le portage en justice d’analyse usurière, par peur d’en perdre leurs acquisitions liberticides, s’en crûrent capable de faire des lois donnant insolvabilité à tous sujet-objets n’entrant pas dans les règles de leurs pastiches textuels en paralogisme népotique d’affiliation à pouvoir de division et soustraction au bénéfice d’un déterminisme matérialiste impérieux de clans formatés aux pires formes de l’herméneutique sophistique fracturant allègrement le bien commun…
Dans le monde naturel du et des vivants.
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Date de dernière mise à jour : 04/12/2018
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