PARADOXE ''CORPS-ESPRIT''
PARADOXE ''CORPS-ESPRIT'' et/ou [ MATERIALISME & EXISTENTIALISME ]... ???
CHAPITRE 7
- Janvier 2016
Après 3 ans de chômage, je n’avais toujours pas trouvé d’emploi, même dans le cadre d’un CDD, temps partiel ou en intérim dans mon domaine de professionnalisation exercé depuis plus de 34 ans. J’avais reçu une réponse positive de la part d’une autre maison d’édition me paraissant sérieuse et compétente - http://mickael-montest.e-monsite.com/pages/livres-et-liens/metamorphose-des-reseaux-editoriaux-1.html - suite à l’envoi de mon dernier manuscrit, mais je ne pouvais dans l’instant subvenir au montant participatif indiqué dans le contrat de publication. Je restais donc dans ces mêmes conditions de vie acceptables, grâce à quelques subsides en revenus sociaux, mais d’investissement encore insuffisant pour me permettre d’envisager quelques changements à l’horizon de mes souhaits et désirs… Malgré cela, je n’étais ; par et en aucune intendance proche de quelques désespoirs.
Je continuais à pratiquer cet exercice d’écriture que j’aimais tout particulièrement, et de temps en temps je descendais sur Firminy ou Roche la Molière rejoindre l’ami Jo – Avait-il changé… ? – retrouvé grâce au réseau Facebook, après 25 ans ; en attendant de disposer d’une connexion sur Montméal. Cette liaison me permettait d’accéder à Internet, afin de faire vivre mes blogs, échanges réseaux, journal Facebook et réussir à pratiquer quelques excellentes édictions textuelles avec les amis(es) virtuels(es) dont le nombre augmentait sensiblement, depuis que j’émettais des statuts sur évènements édités par les médias, ainsi qu’autres articles touchant à divers sujets, enrichis par d’autres formalisations, pensées et idées émanant de ces sources amicales assurément assujetties aux extraordinaires connaissances et éminents savoirs, accompagnés par les recherches informatives utiles et nécessaires aux complétudes des miennes… ; où au cours des mois suivants, les évènements, sociaux, économiques, politiques, identitaires, culturels et faits divers amalgamés aux incohérences humaines allaient fournir matière à mon inextinguible curiosité. Cela me donnait une réelle satisfaction teintée aux couleurs nécessaires au maintien de mes croyances envers la bonne nature intérieure assujettie aux extraordinaires ‘’être-humains’’ que je rencontrais au grès de la ‘’toile’’…
Par cette activité liée aux réseaux sociaux, accompagnée par l’exercice de l’écriture et ces prises d’informations complétées par la lecture et les recherches nécessaires à mon rapprochement envers le monde de l’édition, j’avais cette étrange impression que la fresque médiatico-livresque était atteinte de quelques frémissements fonctionnels que je nommerai : ‘’Métamorphose des réseaux éditoriaux’’… Ces changements me semblaient pour l’instant de faibles nécessités, mais imaginer en la complémentarité du livre papier et celui au format numérique, même si le premier ‘’support’’ restait encore majoritaire en France – notamment dans les places fortes des éditeurs institutionnels demandant aux auteurs(es) l’envoi de leurs écrits au format papier, uniquement – où dans les deux cas le bénéfice de retransmission pour l’auteur, et autres de ses expressions étaient encore intimement lié à celui du média-éditeur. J’avais également cette autre sensation que cet outil numérique, assez paradoxal, était encore fortement affecté par les dogmatismes de certaines entités atteintes de violentes tendances conservatrices aux profits de leur sectarisme média-politico-financier, dont les quelques dinosaures affichés à conformisme socio-économico-identito-cultu(r)el avaient encore suffisamment de pouvoir et persuasions pour convertir, à leurs rectitudes corporatistes, les indécis légèrement réticents à d’autres fonctionnalités de meilleures ouvertures, quitte à faire taire de nouvelles idées pouvant mettre en péril leurs hégémonies, où mes uniques réponses étaient que des individus, alliances et concomitances, dopés aux frénétiques individualismes et autres milieux à veule protectionnisme économico-culturel avaient oublié [???] – le réel sens des postulats suivants : « C'est la personne humaine, libre et créatrice qui façonne le beau et le sublime, alors que les masses restent entraînées dans une ronde infernale d'imbécillité et d'abrutissement. Que chacun et chacune raisonne en son âme et conscience, qu'il se fasse une idée fondée sur ses propres lectures et non d'après les racontars de viles retransmissions…
La théorie, c’est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c’est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi… Ici, nous avons réuni théorie et pratique, rien ne fonctionne et personne ne sait pourquoi » … Albert Einstein.
J’avais également ce triste ressentiment me laissant objecter que le problème majeur des réseaux sociaux ‘’buzziques’’ était celui d’y avoir environ 60% des utilisateurs pouvant être définis entre les vrais ‘’cons’’ et les faux ‘’intelligents’’, 30% des gens dotés de sensibles pensées intelligentes, et les 10% restant étant ; soient des malfaisants…
Soient des bienveillants.
Pour les médias traditionnels, il y a certainement 30% de sociopathes égocentriques, 30% d’incultes et 30% de véritables nuisibles atteints de cupidité intransigeante.
Ces mêmes proportions peuvent se percevoir en philosophie- politicienne, où par le résultat de l’addition avec les deux cas précédents permettant l’association médiatico-politico-économico-culturelle, il est particulièrement difficile de savoir si la mixité des trois, fait 30% de malfaisants(es) ou 30% de bienfaisants(es), au rapport de la totalité de la population libre de penser, consciente et soucieuse du ‘’bien commun’’, dans le système socio-économico-culturel…
Mon inextinguible optimisme me permet encore de présager d’un ‘’minimum’’ de 3 x 10% de personnes douées de belles factures, approchant les valeurs du Beau, du Bleu, du Bien…
Et du bons sens du vent…
Mais, même en conséquence de cette désinvolture, je vous laisse imaginer la proportion du défaut d’analyse lié aux servitudes dans la dimension des illogismes et paralogismes politico-sociaux-économico-culturels béatifiées par la sémiologie des icônes déchues, insipides ou formatées...
Dans et par le néologisme médiatico-virtuel starisé…???
PETITS BONHOMMES DE PACOTILLE
A tous ces petits bonhommes sans ouverture, se souciant plus de leur confort individualiste que d’un véritable collectivisme intercommunautaire, et souscrivant allègrement à un ‘’je m’en foutisme’’ généralisé…
A tous ces individus ‘’sectaires’’, pour ne pas dire ‘’vieux cons’’ ou jeunes ‘’imbéciles’’, atteints par une vision suffisamment étroite, pour ne pas voir la réalité affligeante existante hors de leur ‘’zone de confort’’ à morne aseptisation…
A tous ces ‘’petit hommes’’ apathiques, ou ‘’petits rebelles’’ asthéniques, en attitude de clans de ‘’petits mâles’’ en ignorance historico-philosophique flagrante, affiliés à une inculture intergénérationnelle patente, hormis un individualisme de piètres bonhommes sans réelle valeur sociologique humaniste…
A tous ces prétentieux narcissiques, petits césars, satrapes, vils potentats, et autres cyniques empruntés(es) se souciant plus de leur petite assise en césure de fausses factures, lèches-culs, cire-pompes, soumis(es) en perfides comptes, ronds de jambe et starisation de mini-stars, parfois assurés(es) en népotisme de sournoise suffisance ; mais, en tout cas, dans un fonctionnement cognitif en anthropocentrisme inique associé à insuffisance de culture programmée par déni envers communautés attentionnées à valeurs humainement acceptables… Dont la singularité de l’éducation pourrie de ces néo-impérieux est assurément affichée à celle d’un filoutage quant au juste combat affecté au véritable sens des adages suivants :
‘’Toute juste valeur ajoutée se définie par tous ces citoyens et citoyennes proches de la juste conscience lorsqu’elle est exercée avec lucidité, sincérité, honnêteté, accompagnée par tout l’amour et la déontologie des savoirs faire afin qu’ils, elles, puissent aspirer à ce que cela devienne un ‘’art’’ de vivre… Pour les générations arrivantes !...
Et celles en partances…
L’entreprise ne fait pas les femmes et les hommes !
Ceux sont les écosystèmes sociétaux de ceux et celles d’avant et de maintenant qui les éduquent, les imaginent, les composent, les ordonnent et les font vivre, afin qu’ils, elles participent par l’addition de leurs savoirs faire et compétences particulières à l’évolution de la belle sensibilité socio-économico-culturelle du savoir être dans les sociétés et entreprises du Monde.
Lorsque la société soi-disant évoluée inhibe trop tôt les rêves de sa jeunesse, et maintient trop longtemps une grande partie des générations précédentes dans le cauchemar des désillusions, elle ne saurait évoluer vers autres chemins que ceux du désespoir… De la rancœur…
Et de l’indifférente violence… Psychologique… Où celle physique risque malheureux d’apparaitre.
Je crois que votre posture de suffisance, prétention intellectuelle, narcissisme de ‘’branleurs’’, pouvoir de Méphistophélès et édiction de petits bonhommes de pacotille ne réussiront jamais à vous apporter ouverture d’esprit suffisante pour ne plus croire que TOUT les chômeurs de courte, moyenne ou longue durée sont des fainéants, sots et incultes, où le statut de ‘’ sans emploi’’ est rarement choisi, pour la simple raison que tout travail et toute activité MANUELLE ou/et INTELLECTUELLE est toujours présente, sauf après la mort, et par votre insalubrité intellectuelle la valeur usurière fractale y entame déclin civilisationnel.
Le pouvoir n’est pas une donnée tombée du ciel ou sortie des tréfonds de la terre. Il est une volonté de certains ‘’mammifère-humanoïdes’’ à se croire au-dessus du monde Naturel, aux faits holistiques des vicissitudes de femmes et hommes, ignorants ou non instruits au réel et juste ordre intelligible de la meilleure attention et transmission possibles quant à une existence humainement acceptable, entre attachement et liberté, envers les leurs, TERRIENS & TERRIENNES.
Corpus universaliste n’est en aucune façon, l’abri des éruditions unipersonnelles de l’entre soi, mais le partage du ‘’TOUT’’…! Dans la mesure des connaissances actuelles et savoirs acquis. Cela devrait être la première des maximes à acquérir dès le plus jeune âge, après le langage, et bien avant, vouloir à n’importe quel prix humain, confiscation de l’usure ou valeur ‘’sacrificielle’’, faire comprendre les potentiels bienfaits ou malfaisances des anciennes écritures ou nouvelles servitudes, de n’importe quel ordre, source, origine, philologie, sémiologie, ou sémantique que sont les émanations textuelles, desseins d’ici et pensées d’ailleurs ; et inversement. Il n’en est hélas pas souvent le cas, notamment chez ces femmes et hommes de doctrine à peu de considération envers leurs congénères de toutes échelles, socio-culturelles et de tous âges, entre les deux dimensions théologiques et ontologiques que sont celles des : – Cieux et de l’Enfer – Entre : Liberté et Attachement. Alors que chez l’homme, ce dogmatisme en étude paradoxale n’est en fin de compte, qu’affaires de droit, d’intérêts individualistes, d’hideux conflits et pouvoir entre les possédés(es) et possédants(es)…
Faust pactisa avec le maitre des profondeurs obscures.
Machiavel savoura plaisir et sévérité du pouvoir, et ses arcanes. Le marquis de Sade explora le sadomasochisme, et formes extrêmes de soumission et subordination.
Freud cherchât l’esprit du père, de la mère, du fils et de la fille… Et l’aspect charnel de femme et homme.
Descartes considéra l’indifférence comme le plus bas degré de la liberté.
Rousseau eut des enfants sans véritablement leurs apporter éducation essentielle et transmissions utiles (il le regretta); laissant ces apprentissages à autres considérations…
Pascal laissa voguer ses pensées aux ‘’grâces’’ de l’austère et la vision attractive de la société libertine.
Einstein précisa que l’homme est une infime partie du tout que nous appelons ‘’Univers’’…
Et le jour où la technologie dépassera les capacités humaines, le monde risque alors de voir une génération de parfaits imbéciles.
La Fontaine fut le premier à entrevoir que l’homme est très souvent un animal ridicule, prétentieux et égocentrique, dopé aux pires reliquats de la vénalité, l’accaparement systémique et la soumission au Grand Argentier ou Grand Ordonnateur…
Et tout cela au nom du dieu de la possession au lieu d’un alléluia envers la divinité de la sagesse, où les enfants d’Irène, déesse Grecque de l’équilibre et de la réconciliation, n’auront eût que peu de persuasion à ce que la descendance de Caïn, puisse faire un déni du dogme du père leurs ayant édicté :
‘’L'infernale convoitise pousse les enfants de ‘’Caïn’’ à s'emparer de tout ce qui est à leur portée, et comme si ce n'était pas assez qu'un seul accapare ce qui suffisait à des milliers de ses semblables, il voudrait s'y établir, lui et toute sa couvée pour toute l'éternité’’. Mais peut-être, comme le stipulait Nietzsche : ‘’Parfois, les gens ne veulent pas entendre la vérité, parce qu’ils ne veulent pas que leurs illusions se détruisent.’’
Par conséquent, nous pourrions peut-être considérer cela, comme un impossible accord entre le corps et l’esprit, ou matérialisme et existentialisme, ou encore la dualité [Onde-Corpuscule], soit ‘’Matière-Energie’’. Laissons ce dernier de côté, il s’agit d’un autre domaine d’étude. La dimension cognitive attachée à cette théorie, sont les savoirs et, la connaissance nécessaires au recours à un certain type de représentations collectives, totems, signes, expressions, symboles et statuts pour fonder les institutions, notamment celles attachées à une véritable sociologie permettant à l’humanité évolution acceptable dans son milieu naturel, sans dégradation intempestive de ses zones de vies, et autres écosystèmes. Ces interrogations rejoignent les nôtres quand elles analysent la position d'un pur rationalisme pragmatique, aux termes de laquelle l'utilisation de ces représentations apparaît comme un détour inutile, où l’application des bases d’avant, est considérée majoritairement sans valeur cognitive intrinsèque, mais juste à être reproduite. La thèse pragmatique se suffit-elle à elle-même ?
Pourquoi ne pas simplement recommander l’évanescence psychologique et physiologique contre l’ordre matérialiste individualiste despotique et les corporatismes impérieux servis par de vils comtes et barons mafieux… ?
La réponse est : ‘’Qu'une simple convention sociale serait trop transparente’’. Il est besoin d'un principe naturalisateur qui lui donne le sceau de la légitimité. L’homme dans sa majorité condescendante est trop souvent un animal moutonnier à comportements répétitifs, soumis aux peurs, à l’incertitude et la servitude envers les guides à néfastes philosophie-ontologique.
Il y a deux sortes de pouvoirs ;
- 1 : Le pouvoir matériel et physique (conflits armés)
- 2 : Le pouvoir psychologique (conflits des idéaux)
Lorsque le deuxième a atteint la limite de son ‘’propre’’ pouvoir lié à la dialectique, la sémantique et la rhétorique, alors le clan, la tribu, la communauté, la secte ou tout autre système à réseau échangiste et par là-même connecté à l’information de cet espace de dialogue intercommunautaire, intergénérationnel, multiculturel et multi-identitaire, créé, sera affecté par la seule loi régissant le but d’imposition à la différence ou non-conformité du clan d’en face, une forme de soumission ou de ‘’terrorisme’’ intellectuel, permettant de créer une dimension fractale, débouchant dans la plupart des cas, lorsque que les règles du matérialisme et l’opposition géophysique sont réunies, sur guerres et violences physiques entre les belligérants des deux camps, déterminés comme opposition intellectuelle ou territoriale, entre ces deux clans, ou communautés.
Et avoir les moyens et outils suffisants et nécessaires à engager le conflit au rapport des idéaux de la tribu par son chef élu, que ses prosélytismes soient bons ou néfastes envers ses congénères, et autres, hors de son clan ou sa ‘’fratrie’’ au nom de sa survie ou la postérité de ses lois, règles et dogmes.
Et par là-même le zèle du chef de la dynastie et le dévot ne permet plus l’évolution de quelque clan ou communauté, quel qu’il ou elle soit, car ils proclament qu'ils ne déguiseraient jamais leurs sentiments pour quoi que ce fût : que c'était leur créance ; et que lui et tous les siens la défendraient jusqu'à la mort, comme étant la pure doctrine du maître de leurs ‘’cieux’’ ou de leur ‘’enfer’’.
Et tout cela car la dialectique entre les échangistes présents dans les différentes communautés et cités n’est plus en mesure de s’accorder à la sémiotique des échanges sincères entre les différents protagonistes de la grande scène des rapports ‘’humains’’… La poésie, la musique, la danse, le romantisme, la culture, l’humour ne sont plus les extraordinaires accords autorisant la merveilleuse parodie, respectueuse des harmonies personnelles et des jeux duaux… Soumis à opprobres perfides.
Enfin, le logis n’est-il pas chose utile au même titre que la nourriture nécessaire à l’action et au mouvement ?
Quant à la présence de l’eau, n’est-ce pas là aussi évidence essentielle à l’existence du vivant ?
Alors, à moins d’être en capacité de construire un gîte, de pouvoir cueillir, faire pousser, de réussir à chasser ou élever animaux et enfin connaitre les processus utiles à générer cultures vivrières, je ne saurai voir autres facultés utiles à pratiques nourricières et structures protectrices des corps vivants, que celles de l’échange et la transmission des savoirs, dans la société des hommes, des femmes et des enfants…
Je ne peux me constituer qu’en ces quelques maximes afin que je puisse m’exposer en la raison d’obéir à ces lois de la nature… ; que toutes contestations envers elles ne résulteraient que du produit d’un refus administré par des régences sans provisions quant à la ritualité d’une éthique de conservation et de protection pour tous.
Si toutes autres coutumes en mon pays, retiennent constamment les instructions données par des opinions modérées, telles qu’elles ne fussent en pratiques d’us séculaires que celles de mots affiliés à d’incommensurables reliques abasourdies par des prises de garde sans attentions envers les différences de modes partagés, alors je crains que la médisante sécularisation n’y vienne défigurer quelques vivacités suffisamment éloignées des excès d’opportunistes pour que je n’y puisse point trouver inclination sensée près d’une appartenance avec laquelle j’aurais à vivre en contrées françaises, ainsi qu’en l’éventualité d’y partager quelques effervescences textuelles, d’ici ou d’ailleurs, auquel d’aucun cas qui ne puisse m’engager à ne pas croire aux bienfaits des expositions, pour que j’hume volonté de justesse à l’affection inspiratrice, afin de les modeler avec bienséance, par-delà les ombres fermées aux sensibilités des échanges de groupes, ouverts à pluridisciplinarité et intéressement envers ces choses de la nature et du vivant…
Date de dernière mise à jour : 16/08/2020
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