ANNE 1978 - UTOPIE EN ACCORDS DE CLANS
ANNEE 1978 – UTOPIE EN ACCORDS DE CLANS…
Les uns disent que non, les autres disent que oui ; et moi je dis que oui et non. (Sganarelle, sur une difficile question de médecine) Molière, Le Médecin malgré lui
Il faut avoir entièrement foi en quelqu’un pour pouvoir lui faire vraiment confiance dans les détails. Une intelligence ordinaire est comme un mauvais chien de chasse, qui se met rapidement sur la piste d’une pensée et la perd non moins rapidement ; une intelligence hors du commun est comme un limier qui ne se laisse pas détourner de la piste jusqu’à ce qu’il ait attrapé sa proie vivante : LA VEULERIE HUMAINE…
De la façon dont la communication, la connaissance et l’information s’effectueront, au cours du XXIème siècle, sera déterminant pour l’Acceptable ou Néfaste Evolution de la civilisation humaine – mondiale – et du vivant sur Terre… M.A
Le potier hait le potier, l’architecte – l’architecte, le mendiant fuit le mendiant
Et le chanteur, le chanteur… Hésiode
Quelles instances, de quelle ordre, fussent-elles ou soient-elles, sont-elles à même d’indiquer un sens à chaque vie quant à l’existence du ‘’mammifère humain’’, alors que depuis la naissance de la conscience, cette espèce de bipède inaboutie passe la plus claire partie de son temps à vivre dans une espérance désuète, lui donnant ‘’assurance’’ que le bonheur ce trouverait ‘’ailleurs’’ et par-là même s’occupant plus à croire en paradigmes inaccessibles plutôt que de ce provenant de la réalité du monde naturel du et des vivants… ; et pour les clans les plus obscurs à essayer de manigancer des stratégies, en lecture de textes sacrés, au nom de religiosités-politiciennes ou politiques-templières en vils contes, dont le but principal est de maintenir un conflit continu entre possédés(es) et possédants(es)…
‘’Bienséants(es’’ à néfastes Catéchèses, Torahnies, Coranies, et autres cauchemars,
Tout cela n’est-il pas la limite de l’anathème,
Et pour l’homme à suffire de penser, être un demi-dieu,
Alors que sa conscience ressemble encore à celle d’un infâme messager,
Agité par expressions mégalomaniaques, attachées à essentialisme de bas compte…
Pour une sémantique des textes. Questions d’épistémologie.
Au plan épistémologique, le sociologisme issu de certaines formes périmées du Marxisme – Léniniste, du communisme d’antan, puis du capitalisme ‘’débridé’’, et de l’ordo-libéralisme subjugué par principe de subsidiarité, (une utopie hors formes de népotisme), a perdu les moyens théoriques de leurs servir de langage commun ; elles sont confrontées à des tentatives de réductions provenant des neurosciences et de sciences cognitives. Enfin la ‘’techno-logo-médiatisation’’ croissante de la recherche scientifique conduit à ne plus vraiment subventionner que des programmes susceptibles d’aboutir en principal à des brevets rentables et commercialisables ‘’rapidement’’ ; quitte pour arriver au but proche d’un corporatisme absolutiste, à faire fi des notions de responsabilités dans le système à réseaux ‘’humains’’…
Quant à l’objet des sciences sociales, on ne fait qu’accumuler des connaissances sans précédent sur la diversité des langues et des sociétés humaines, avec un effort sans précédent lui aussi, en tant qu’inventaire et conservation du patrimoine culturel à l’échelon mondial, alors que son véritable degré appelle à présent une réflexion théorique afin de penser la diversité de ce patrimoine, dans le temps comme dans l’espace. Nous sommes confrontés au défi de mettre en valeur la diversité culturelle d’aujourd’hui, pour éviter qu’elle ne se réduise à la portion congrue de sa propre incompréhension aseptisée ; voire irrationnelle ou psychotique. Cela n’exige pas d’opposer un relativisme frileux à un universalisme dogmatique ; mais loin des réductions biologiques, anthropologiques, ethnologiques ou sociologiques qui ont tentées depuis l’avènement de l’ère industriel, après la Renaissance et le temps des Lumières, d’en déterminer uniquement les lois et règles sur les états successifs des fonctionnements des biosystèmes et écosystèmes, en faisant trop souvent abstraction ou déni des liens communautaires et culturels des échangistes en, et entre ces différents systèmes à réseaux ‘’vivants’’…
Cela conduit à affirmer l’autonomie concise et la spécificité sociologique de la sphère culturelle, et ainsi à poursuivre dans la direction tracée par l’entreprise philosophique des formes symboliques, permettant d’en définir les potentiels contours d’une sémiologie des cultures, fédérant en premier lieu les échanges par la linguistique, les mathématiques, la philosophie, l’histoire, l’anthropologie, la métaphysique (sachant que méta signifie : plus, après, entre, plus loin… Et pas autres choses spéculatives non prouvables par les connaissances épistémologiques) et l’étude de tous ces langages en tant que sigles, symboles, axiomes, lemmes, mots et expressions multiformes, qu’ils, elles soient émis(es), sous formes sonores ou écrites…
Par conséquent, cette question technique pose la question d’un projet refondateur pour les sciences sociales, depuis naguère, et encore aujourd’hui teintées par diverses idéologies et néologismes ‘’troubles’’ au rapport épistémologique de l’éthique ontologique… ; et culturelle assujetties à la déontologie économique et commerciale. (Vastes sujets)…
L’étude des objets culturels complexes apporte en ce sens de multiples enseignements. Aussi, François Rastier (Directeur de recherche au CNRS) aborde dans ses analyses et par sa compétence, quelques questions et réflexions sur la ‘’sémantique du texte’’. La linguistique en reste bien souvent à la phrase et la morphosyntaxe, et constitue de l’avis général son domaine de prédilection. Elle doit encore beaucoup à l’héritage séculaire de la grammaire – la linguistique historique et comparée fondait ses fonctionnalités sur l’analyse morphosyntaxique… Le positivisme contemporain a renforcé cette prédilection. Où le vecteur le plus disqualifiant en est assurément la liberté de croire que l’attachement séculaire ne saurait être en aucune façon facteur déstabilisant par le manque d’attentions et le déni de justes curiosités envers ce, celles et ceux présents en ce monde naturel, assujetti à phénomènes holistiques incompréhensibles…
Qu’est-il marche à ne pas franchir tant avec une rhétorique en calomnies qu’en une violence en épithète de falsification envers la différence d’émissions en contradiction du rapport des institutions frappées au sceau des inepties d’une Démocratie Républicaine achoppée à une scénographie politique dansant aux sceaux de l’injustice sociale-économique ?
Quels contradicteurs, interlocutrices, locuteurs en corporatismes sensés édicteraient nomenclature claire et pluridisciplinaire en ces temps d’individualisme acéré… ; saignés aux consternations du déclassement et des ghettoïsations ?
Je crois malheureusement que ces consciences grossières ont une chose en commun, formellement, proche d’un mécanisme cognitif logo-atomisé par négociants en spiritualité, guides en reliques cultuelles, despotes, potentats et autres dévots ayant réussi à faire gober les plus ravageurs illogismes au rapport de leur déconsidération envers la condition échangiste naturelle humaine… Et dans ce paralogisme datant de la naissance de la conscience et des intelligences, concomitantes au mammifère humanoïde, le plus néfaste attribut est, sans doute, l’apparition depuis quelques décennies d’une espèce de néo-scientisme immature indexé en vulgaire marchandising par souscription d’opérateurs en flux d’omission (volontaire ?) d’étude et analyses logiques envers le sujet ontologique au rapport de l’objet physique… Dans un psychédélique contrat en vacuité psychologique et physiologique. En toute vraisemblance, je me devais pour me libérer des esprits chancelants, faibles ou par trop opportunistes de ne plus chercher à comprendre leur danse de Saint Guy, et même à m’en éloigner.
Car à percevoir leurs gesticules sans véritable fondement pragmatique et par là-même inopérantes à rendre lucidité à leurs actions utiles à la nécessité d’une potentielle préservation du bien commun, ne réussissaient qu’à m’irriter. Leurs us, coutumes, échanges, liens, accords et orthodoxies alliées de l’espace commercial où la réelle valeur du sujet-objet considéré comme provision suffisante en le degré le plus haut de son essentialité étaient pathétiques. Non que je m’offusquasse plus que le commun des hybridations grégaires à ne pouvoir y émettre attentions suffisantes aux raisons de leurs devoirs d’engagement particuliers en l’attachement envers un authentique humanisme, moins à même d’apporter à notre conceptualisation du système socio-économico-culturel affichée à l’esprit de ma communauté formulée par les bienséances d’échanges pour compréhension collectiviste, que la falsification de leurs tares dans un e-commerce, à vacuité de doctes, pourvu à un militantisme anti-pluridisciplinaire, où sous couvert d’inattention ; Big Brother était en train de vaciller sous les coups des applicateurs et applicatrices de B to B, en Bla-Bla des nouveaux monnayeurs d’esclavagisme sans chaînes apparentes…
Quelle bandes de sots, inconscients et inconscientes quant à la facture en solde de leurs enfants soumis aux ravages d’un népotisme culturel et/ou ségrégation d’intérêts particuliers, sans valeurs tangibles où l’information en transmission de savoirs me semblait proche d’une affiche collée au mur du sectarisme intellectuel, en allégation de rares onces de pédagogie, par dissidences de bienveillance intergénérationnelle, au profit de certitude en images de logo-atomisation appropriées par quelques pervers narcissiques, partiellement inutiles aux délais d’apprentissage et de respect des lois naturelles.
J’y mettais entre ces interstices textuels des consistances didactiques en vœux de libre échange imaginatif une espèce de déshérence en sollicitude de dimensions touchantes par une volonté à vouloir vaincre les intendances prônant un empirisme, sans distinction de zones d’existence non sécurisées, en règne de possession absolutiste, avec pour singularité en celle de laisser croire que ce matérialisme inique ne serait pas source malheureuse en grande consommatrice d’énergies falsifiées par accaparante désuétude, et, par trop souvent, exsangue des forces en bienveillance humaniste. Même si je pensais en comprendre partiellement la peur existentielle de mes congénères, je n’en approuvais guère la méthode et le discours, frappé au sceau de l’individualisme outrancier.
Mais enfin, le logis n’est-il pas chose utile au même titre que la nourriture nécessaire à l’action et au mouvement ?
Quant à la présence de l’eau, n’est-ce pas là aussi évidence essentielle à l’existence du vivant ?
Alors, à moins d’être en capacité de construire un gîte, de pouvoir cueillir, faire pousser, de réussir à chasser ou élever animaux et enfin connaitre les processus utiles à générer cultures vivrières, je ne saurai voir autres facultés utiles à pratiques nourricières et structures protectrices des corps vivants, que celles de l’échange et la transmission des savoirs, dans la société des hommes, des femmes et des enfants…
Je ne peux me constituer qu’en ces quelques maximes afin que je puisse m’exposer en la raison d’obéir à ces lois de la nature… ; que toutes contestations envers elles ne résulteraient que du produit d’un refus administré par des régences sans provisions quant à la ritualité d’une éthique de conservation et de protection pour tous.
A FLEUR D’EVIDENCES
Rien n’est plus incertain que la conscience
La sagesse maitresse par ses mots affiliés
Murmura aux oreilles de son estudiantin(e) :
‘’ Nous nous laissons souvent séduire,
Et sans fondement sur la belle vision,
Comme tout à chacun et chacune,
D’une certitude nouvellement née,
Croyons fort aisément,
A ce que nous craignons des plus grands désastres
Et désirons du plus grand des plaisirs’’…
M.A
16 Mars : MAREE NOIRE EN BRETAGNE
Victime d’une avarie et de mauvaises conditions climatiques, le supertanker Amoco Cadiz, battant pavillon libérien, fait naufrage au large des côtes bretonnes, à hauteur de Porsall (Finistère). Ce sera la pire catastrophe ECOLOGIQUE ayant jusqu’à présent affecté le littoral français. Le supertanker transportait dans ses soutes plus de 200 000tonnes de pétrole brut, dont une bonne partie s’est répandue sur les côtes bretonnes.
19 Mars : ELECTIONS LEGISLATIVES EN FRANCE
Elles sont remportées d’EXTRÊME justesse par la droite (nouveau SIGNE de son effritement) qui revendique au soir du second tour 290 sièges contre 201 à la gauche. A cette occasion, et pour la première fois depuis la LIBERATION, le Parti socialiste de François Mitterand arrive devant le Parti communiste. Raymond barre demeure PREMIER MINISTRE…
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lections_l%C3%A9gislatives_fran%C3%A7aises_de_1978
23 et 24 septembre : FRANCOIS MITTERAND A LONS-LE-SAULNIER
En cette année d’année d’élections législatives le premier secrétaire du Parti Socialiste est à Lons. C’est la première fête de la rose ces 23 et 24 septembre 1978, et François Mitterrand est attendu pour prononcer une allocution le 24 à 17 heures sous le chapiteau dressé place de Verdun. Après avoir partagé le déjeuner à Beaurepaire avec des responsables locaux, il se promène tranquillement au sein des stands de la fête, à la rencontre des militants de base, distribuant des poignées de main, tout en dédicaçant son dernier ouvrage : L’Abeille et l’architecte.
Le potier hait le potier, l’architecte – l’architecte, le mendiant fuit le mendiant
Et le chanteur, le chanteur… Hésiode
L’essayiste – Le versificateur et la poétesse … ? RAS
17 Juillet : ACCORDS DE CAMP DAVID
En présence du président américain Jimmy Carter, et au sein même de sa résidence d’été de Camp David, l’égyptien Anouar el-Sadate et l’israélien Menahem Begin établissent la paix entre les deux nations. Quelques temps plus tard un EXTREMISTE, tirant sur le président égyptien, mettra fin au PROCESSUS DE PAIX.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Accords_de_Camp_David
Octobre : JEAN-PAUL II ACCEDE AU PONTIFICAT
Le 16 octobre, après trois jours de conclave et huit jours de scrutin, Jean-Paul II, pape venant de l’Est de l’Europe, est ELU premier pape non-italien, depuis 1522. Il n’était qu’un papabile possible dans une liste assez fournie, il avait contre lui le fait d’être jeune (58 ans) et surtout de ne pas être italien, nationalité requise pour le POSTE depuis… 1520. Autant dire que lorsqu’est annoncé le résultat du SCRUTIN et par conséquent, l’ACCESSION aux TRÔNE de Saint-Pierre du cardinal polonais Karol Wojtyla provoque la surprise, bien AU-DELÂ des seuls catholiques. Mais il est vrai, aussi, que la succession de Paul IV, décédé le 6 août de cette même année, n’a pas été des plus aisées. Dans ma mesure où son premier successeur, Albino Luciani, archevêque de Venise, devenu pape sous le nom de Jean-Paul 1er, n’aura finalement accompli qu’un pontificat de 33 jours, avant son décès brutal, le 28 septembre 1978. Jean-Paul II, puisque c’est là le nom (PRE-NOM) qu’il s’est choisi, va au contraire régner très longtemps – plus de 26 ans – et redonner à l’église catholique une meilleure visibilité – TRES CONFORMISTE – et une plus grande influence au cours de ce pontificat marqué par de nombreux évènements d’importance sur la scène INTERNATIONALE. A commencer par l’effondrement du communisme, à l’Est, un fait auquel ce Pape, ne sera pas tout à fait ETRANGER.
Ses origines, combinées avec son ENTREGENT et un anticommunisme viscéral, lui ayant permis de FAIRE efficacement porter sa voix très AU-DELÂ du RIDEAU DE FER. En revanche au niveau de la DOCTRINE de l’Eglise, le nouveau pape marquera surtout les esprits par son attachement traditionnaliste aux ORTHODOXIES catholiques… Même s’il déclarait, dès le début de son pontificat, vouloir demeurer fidèle à l’héritage du concile Vatican II.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Paul_II
22 Octobre 2018, KTO (Télévision catholique) débat (contradictoire ?) sur les ‘’bienfaits’’ du pontificat de Jean-Paul II, 40 ans après…
https://www.youtube.com/watch?v=OnqyYxGmNqQ
17 Octobre : LES MILICES CHRETIENNES RESPONSABLES
‘’Les milices chrétiennes sont responsables des massacres de Beyrouth’’ affirme, en termes peu diplomatiques, M. de Guiringaud. Prenant la parole hier, à Paris, devant la presse anglo-américaine. M. de Guiringaud a accusé les milices chrétiennes de porter la responsabilité des massacres de Beyrouth. Mais il l’a fait en des termes peu diplomatiques et avec un manque de mesure qui irritera nombre de français. Comment oublier les images insoutenables qui nous arrivaient de Beyrouth, il y quelques jours à peine, où l’on voyait toute une communauté écrasée dans les ruines d’Achrafieh. M. Camille Chamoun a d’ailleurs élevé dès hier soir une vive protestation.
Source : Journal Le Progrès.
17 Novembre : DEBUT DU QUART D’HEURE DE NOTORIETE DU NEGATIONNISTE ROBERT FAURISSON.
L’arrêté vient de tomber et a été signé de la main du président de l’UNIVERSITE LYON II. Il a été décidé de suspendre de ses cours un maître de conférences de LITTERATURE contemporaine, un certain Robert Faurisson. L’écrit qui a motivé la sanction, paru la veille dans le Matin de Paris et intitulé « LES CHAMBRES A GAZ : CA N’EXISTE PAS », a en effet relayé la PAROLE de l’universitaire en lui permettant d’étaler à loisir ses THESES délirantes sur l’inexistence des chambres à gaz et l’irréalité de la « LA SOLUTION FINALE »…
Source : Journal Le Progrès
18 Novembre : SUICIDE COLLECTIF AU GUYANA
A Jonestown, au Guyana, plus de 900 membres de la secte du temple du peuple (dirigée par un GOUROU se faisant appeler le révérend Jim Jones) décident de se suicider collectivement, la plupart en s’empoisonnant.
Qu’est-il marche à ne pas franchir tant avec une rhétorique en calomnies qu’en une violence en épithète de falsification envers la différence d’émissions en contradiction du rapport des institutions frappées au sceau des inepties d’une Démocratie Républicaine achoppée à une scénographie politique dansant aux sceaux de l’injustice sociale-économique ?
Quels contradicteurs, interlocutrices, locuteurs en corporatismes sensés édicteraient nomenclature claire et pluridisciplinaire en ces temps d’individualisme acéré… ; saignés aux consternations du déclassement et des ghettoïsations ?
Quelles énergies faut-il employer pour y entamer force collaboratrice de l’Ecriture dans une potentielle raison en dose d’impédance suffisante aux syllogismes, de la tradition ; ciblés aux vents de la nouveauté épistémologique et sociologique pour ne pas être taxé d’intransigeance intercommunautaire et d’incongruités en sollicitude ; afin de démontrer la logique humainement acceptable qu’il en peut être décelé dans un échange évanescent lorsque le but n’est pas celui intrinsèquement lié à l’envie de tuer son ennemi en trahison que de lui, avoir reçu des coups d’épée par derrière dans une piètre embûche et ainsi qu’il en est que d’acheter un bénéfice qui n’eusse valeur ajoutée que celle d’une soumission à monnaie de singes comme motif à la résignation, au nom d’un déni apparié à culte d’obsolescence programmée par des usuriers pactisant au seul motif de la possession, tant des objets que des sujets. N’y-a-t-il donc plus matière qu’il en faut toutes les méprisées de ce même triste jeu qu’il en fut du mérite d’être uniquement distribué par le prix de la moquerie comblée au mur de la suffisance de précieux ; courbés sous le joug d’une culture intellectualisée par la fourberie des poisons d’anathèmes… ???
La réelle culture de l’autre, de la nature et du vivant, fusse-t-elle uniquement criée par une poignée d’humanistes que l’autorisation ne saurait être donnée, en aucune néfaste manie, aux désuètes culturations de monothéismes soumis aux seules lois de leur cieux ou de leur enfer… ; et ainsi d’y prétendre suffisance de connaissance en une vérité inabordable émise par leur inique focal…
Quelle fourberie les habite, donc ; pour qu’ils en soient ainsi des serviteurs de prescriptions inaliénables… ?
Mais peut-être, comme le stipulait Nietzsche : ‘’Parfois, les gens ne veulent pas entendre la vérité, parce qu’ils ne veulent pas que leurs illusions se détruisent.’’ Par conséquent, nous pourrions peut-être considérer cela, comme un impossible accord entre le corps et l’esprit, ou matérialisme et existentialisme, ou encore la dualité [Onde-Corpuscule], soit ‘’Matière-Energie’’. Laissons ce dernier de côté, il s’agit d’un autre domaine d’étude. La dimension cognitive attachée à cette théorie, sont les savoirs et, la connaissance nécessaire au recours à un certain type de représentations collectives, totems, signes, expressions, symboles et statuts pour fonder les institutions, notamment celles attachées à une véritable sociologie permettant à l’humanité évolution acceptable dans son milieu naturel, sans dégradation intempestive de ses zones de vies, et autres écosystèmes.
Ces interrogations rejoignent celles des ‘’Esprits Libres’’ quand elles analysent la position d'un pur rationalisme pragmatique, aux termes de laquelle l'utilisation de ces représentations apparaît comme un détour inutile, où l’application des bases d’avant, est considérée majoritairement sans valeur cognitive intrinsèque, mais juste à être reproduite. La thèse pragmatique se suffit-elle à elle-même…?
Pourquoi ne pas simplement recommander l’évanescence psychologique et physiologique contre l’ordre matérialiste individualiste despotique et les corporatismes impérieux servis par de vils comtes et barons mafieux… ?
La réponse est : ‘’Qu'une simple convention sociale serait trop transparente’’. Il est besoin d'un principe naturalisateur qui lui donne le sceau de la légitimité. L’homme dans sa majorité condescendante est trop souvent un animal moutonnier à comportements répétitifs, soumis aux peurs, à l’incertitude et la servitude envers les guides à néfastes philosophie-ontologique.
Il y a deux sortes de pouvoirs ;
- 1 : Le pouvoir matériel et physique (conflits armés)
- 2 : Le pouvoir psychologique (conflits des idéaux)
Lorsque le deuxième a atteint la limite de son ‘’propre’’ pouvoir lié à la dialectique, la sémantique et la rhétorique, alors le clan, la tribu, la communauté, la secte ou tout autre système à réseau échangiste et par là-même connecté à l’information de cet espace de dialogue intercommunautaire, intergénérationnel, multiculturel et multi-identitaire, créé, sera affecté par la seule loi régissant le but d’imposition à la différence ou non-conformité du clan d’en face, une forme de soumission ou de ‘’terrorisme’’ intellectuel, permettant de créer une dimension fractale, débouchant dans la plupart des cas, lorsque que les règles du matérialisme et l’opposition géophysique sont réunies, sur guerres et violences physiques entre les belligérants des deux camps, déterminés comme opposition intellectuelle ou territoriale, entre ces deux clans, ou communautés. Et avoir les moyens et outils suffisants et nécessaires à engager le conflit au rapport des idéaux de la tribu par son chef élu, que ses prosélytismes soient bons ou néfastes envers ses congénères, et autres, hors de son clan ou sa ‘’fratrie’’ au nom de sa survie ou la postérité de ses lois, règles et dogmes.
Par là-même le zèle du chef de la dynastie et le dévot ne permet plus l’évolution de quelque clan ou communauté, quel qu’il ou elle soit, car ils proclament qu'ils ne déguiseraient jamais leurs sentiments pour quoi que ce fût : que c'était leur créance ; et que lui et tous les siens la défendraient jusqu'à la mort, comme étant la pure doctrine du maître de leurs ‘’cieux’’ ou de leur ‘’enfer’’.
Et tout cela car la dialectique entre les échangistes présents dans les différentes communautés et cités n’est plus en mesure de s’accorder à la sémiotique des échanges sincères entre les différents protagonistes de la grande scène des rapports ‘’humains’’… La poésie, la musique, la danse, le romantisme, la culture, l’humour ne sont plus les extraordinaires accords autorisant la merveilleuse parodie, respectueuse des harmonies personnelles et des jeux duaux… Soumis à opprobres perfides.
Conclusion – Par définition du sujet-objet, lorsqu’il est établi proche de l’indifférence, du refus, de l’exclusion, de l’ostracisme, ou du déni, ne peut devenir à terme, qu’exclusion du système établi par règles et lois, sans en avoir l‘absolue certitude, que toutes soient adaptées pour l’ensemble des acteurs et actrices vivant dans la zone gérée, depuis un temps supérieur à celui d’une génération, où une partie de la suivante ne souhaite, trop souvent, que le conformisme modifié par la puissance des nouvelles technologies, alors que la précédente par peur de pertes d’acquis refuse tout changement socio-économico-culturel, où les réelles sensibilités sont oubliées, par préférence corporatiste ou, et cultuelle… Certains esprits sont parfois un peu inconscients ou dramatiquement engagés au demiurge démoniaque dans la conceptualisation de fonctionnements politico-socio-culturels illogiques, uniquement hors de leurs concepts et portées imaginées trop souvent inflexiblement corporatistes ou électoralistes, et parfois tordues déontologiquement par des programmes logiquement indispensables aux développements de leurs intérêts lobbyistes, à tendance particulièrement unilatérale, invectivée par quelques sources dysfonctionnelles nécessaires à l’acquisition du tout avoir, tel une prosternation devant le dieu de la possession plutôt qu’un alléluia envers la déesse de la sagesse, où la liberté, l’égalité, la fraternité et la justice n’ont plus que l’apparence de statures disloquées. Hou la là, que de sujets indélicats et épineux car insensiblement dépourvu de ce que je nomme : L’intelligence de cœur et de raison
Et malheureusement, j’ai bien l’impression dans ce système sociétal, que le fonctionnement primaire est bien en celui des baiseurs et des baisés, où les premiers se doivent de dépenser une énergie phénoménale s’ils ne souhaitent pas faire partie de la deuxième catégorie, et où dans toute cette agitation, ceux qui ont le vrai pouvoir ‘’enculent’’ tous les autres… Mêmes celles et ceux croyant en avoir un petit… De pouvoir…Tout cela en évinçant les potentielles meilleures formes de la liberté d’expression, ou la plus névrosée est celle de faire un déni d’analyses et d’études envers de potentielles meilleures compréhensions. Où en ces temps troublés, je réussis souvent à percevoir cette capacité assez particulière, affichée par certaines ‘’entités humanoïdes’’ leur laissant supposer qu’elles détiennent la ‘’vérité’’ par leurs croyances en certains évènements survenus bien avant leur présence sur cette belle planète verte et bleue nommée ‘’TERRE’’.
Au nom de je ne sais quelle propriété physique ou immatérielle dont ils en seraient les détenteurs, les autorisant à prétendre savoir interpréter les mots, signes et codes venus d’autres époques où les conditions générales d’existence de majorité de ces petits grains de matière organique inconscients n’étaient qu’effrois, anxiétés, dénuements, incertitudes démiurgiques quant aux fonctionnements physiques de la Matière, des Energies de la Nature et du Vivant, où les moins septiques réussissaient à émettre quelques théories qui s’avèreront vraies, alors que les ‘’autres’’ trouveront de par leurs incapacités d’analyse et défaut de compréhension a seulement y accoler les mots miracles ou magies. Et depuis des siècles d’évolutions scientifiques et technologiques, l’espèce humaine n’a réussi que petitement à indexer certains dogmes, vers d’autres possibles vérités plus proches du ‘’vrai’’ sens ontologique de la représentation de l’être physique… Qui est pourtant juste celui d’essayer de comprendre ses espaces touchables et touchant, où cette deuxième ‘’dimension’’ ne peut commencer à être perceptible que grâce à ‘’l’Intelligence de Cœur et de Raison’’… Ici ! Là ! Maintenant ! Au nom de nos petits et petites devenirs…
Et pour comprendre cela, il n’y a aucun besoin d’invoquer certains paradigmes, que nous n’avons de toutes façons, en l’état de nos connaissances, savoirs, et compositions biophysiques aucun pouvoir à approcher ! Alors que pourtant ; depuis longtemps les plus beaux espaces temps se trouvent assurément en certains merveilleux jardins existants, encore en quelques petits recoins, de cette belle ‘’sphère’’ bleue teintée aux couleurs de l’arc en ciel, devenant malheureusement de plus en plus rares, où le principal vecteur à ce phénomène de déstructuration, engendré par l’inconscience et l’égocentrisme, en est sans aucun doute, encore aujourd’hui le ‘’facteur humain’’, trop souvent volontairement hermétique à penser que certains de ses objectifs et intérêts corporatistes ne sont que sources de chaos lorsque les zones de ‘’libertés’’ apprêtées aux meilleurs savoirs être et utiles savoirs faire se réduisent comme peau de chagrin, où encore en trop d’Etats ces ‘’fous’’ de croyances spéculatives envers d’irréels modèles, ont dévié le véritable sens sémiologique des écritures par leurs incultures épistémologiques, philosophiques, éthiques, biophysiques, anthropologiques, paléontologiques, spirituelles, philologiques, au détriment de laisser liberté à croire en d’autres pensées et cultures beaucoup plus logiques et réelles, et assurément plus proches du respect de la Nature, du Vivant et des belles théories…
Plusieurs années avant nous ‘’l’Homme’’ ne comprenait rien aux éclipses, ni aux autres phénomènes physiques saisonniers, circonvolutions astrophysiques et autres transformations, covalences ou évolutions inexplicables à l’époque, qu’elles soient assignées à notre Terre, notre Système Solaire, ou plus loin dans l’Univers… Ils, elles croyaient que les dieux et les déesses étaient les auteurs(es) responsables de ces fonctionnements. Et depuis la révolution industrielle liée aux avancées scientifiques et technologiques devancées par quelques génies et théoriciens des sciences physiques et chimiques des temps immémoriaux des lumières ; puis grâce aux découvertes initiées par quelques Chercheurs-Trouveurs-Assembleurs et Attracteurs(es) – CT2A – efficients ; dont leurs prédécesseurs avaient déjà commencé à évoquer quelques théories, ils, elles, nous ont permis d’apprendre et de comprendre pour parties, en l’état de nos savoirs, certains aspects et paramètres de la physique, de l’astrophysique, de la mécanique quantique, la biophysique, la chimie et de par la gnose, la phénoménologie ; l’étude des assemblages permettant cette composition minérale, végétale et organique terrestre incluse dans l’univers cosmologique, où dans cet espace-temps intrinsèquement métaphysique, l’homme se prend trop souvent pour un ‘’dieu’’, alors que son apparence ressemble encore à celle d’un ‘’âne’’ dopé à la culture sectorielle antisociale, anti-communautaire et antihumaniste source de fractures, à contrario de celle multidisciplinaire en rapport avec les magnificences du monde, de la nature, de l’univers connu, et les espaces ayant potentiel à être reconnus dans leurs dimensions touchantes… Proches des langages poétiques, du romantisme, la lecture, la dialectologie, l’épistémologie, l’éthologie, la sémiotique et l’efficiente curiosité.
Pour cette simple raison qu’en l’analyse, et l’étude sémiologique autorisant la compréhension des liens entre la physique, la philologie, la philosophie, la logique et les langages mathématiques et peut-être autres plus songeurs, nous en sommes toujours à l’âge-de-pierre concernant la nature ontologique de l’être humain. Et tout cela car souvent les mauvaises consciences prédatrices, narcissiques et cupides sont devenues sourdes et aveugles aux vrais sens de l’existence du vivant. Sont-elles persuadées d’être proche d’un dieu décideur et organisateur, alors que bien souvent ils ont revêtis les habits des croyances fantomatiques indéfinissables, voire imbéciles, déraisonnables et sont irrémédiablement étanches au savoir universel… ? Avec pour les plus mauvais esprits, le prix d’excellence dans l’exercice de la désorganisation, où dans ces états l’activité de prédilection en est généralement l’art de la guerre, qu’elle soit idéologique, territoriale, éducative, économique, sociale, intergénérationnelle, culturelle, religieuse et bientôt civilisationnelle, avec pour seule indigence intellectuelle celle de maintenir un équilibre suffisant et nécessaire, afin que le genre anthropocentrique puisse éloigner d’eux les conflits ethniques, sociétaux ou culturels, afin que les libertés d’expression consistant en l’art de penser autrement, ne puissent entraver leurs dogmatismes frappés au mur de l’incertitude, ou malheureusement, les hommes et femmes sincères envers leurs sensibilités partagées et surtout les enfants en subissent les pires outrages pour des intérêts individualistes et didactiques trop souvent voués à l’ordre du ‘’Malin’’.
Tout cela en étant inconscient que dans cette illogisme, tous et toutes pourront, à terme, avoir la certitude que le ‘’monde’’ ne sera plus seulement proche de la mauvaise évolution, mais assurément devenu à ce moment-là, synonyme de chaos, destructions, obscurantisme et asthénies enclavées dans la caverne de Platon… Certaines ‘’entités’’, ont elles également éclipsé cette adage universel édictant… ? :
- ‘’Tout élément soustrait ou diviser tend invariablement vers le moins… Et aucune vie n’a possibilité à être vue, entendue et touchée par moins d’une, tout simplement car moins (-) d’une vie n’a aucune définition réelle en ou hors de son lieu d’existence biophysique et matériel’’…
Mais bon, nous entrons là dans le domaine du réalisme philosophique, où lorsque cet ‘’art’' de l’analyse aura disparu, alors l’incompréhension sera totale, avec pour état final la désintégration de la nature et du vivant. Et en toutes les façons, en premier lieu par invective déshumanisée, car cette belle ‘’TERRE’’ pourra, même sans ‘’nous’’, encore tourner rond pour environ 4,5 milliard d’années…
Ce qui n’est pas le cas de toutes et tous…
Citation
L’ouvrage ‘’Universalys’’ n’a pas pour objet de prétendre apporter une analyse et étude complète sur tous ces sujets, objets, concepts, théories si complexes que nous pouvons approcher tout au long de la vie, et assurément proches de ces neuf arts libéraux nommés communément :
La Grammaire
L’Astronomie
La Logique
La Géométrie
La Physique
L’Arithmétique
La Rhétorique
La Musique
La Philosophie
[…]
Mais réussir à trouver les clés permettant d’éveiller quelques curiosités et intéressements envers le savoir ‘’universel’’, qui par le lien de ce dixième art un peu singulier en la ‘’poésie’’ et le ‘’romantisme’’ autoriserait peut-être le juste bénéfique apport envers certains merveilleux entendements, agrémentés par les extraordinaires imaginaires ; sensibilisés aux belles pensées cognitives, déjà émises par ceux et celles d’avant, depuis les origines de la conscience… Au nom des meilleures compositions, pour tous ces ‘’petites et petits devenirs’’ arrivant sur cette belle sphère bleue… ; verte et teintée aux autres couleurs de l’arc en ciel…
LA PLEBE, DEMOCRYTOS ET FELONIE
Que nous n’en avons vu passé, depuis tant de temps,
Ces palabreurs d’amphitryon, simulacres de Thémis et Théocrite,
Savants prétentieux, experts en politique et philosophie,
Opportunistes de caves, rats de laboratoire, sorciers de l’usure,
Où notre seul ornement fut de plébiscité bouquet d’effervescences,
Nous les gens sans étiquette, ni presbytère, temple, et régime,
Nous qui adorons, les fées, les contes, les fables et les anges gardiens,
Poètes de l’impossible et épistémologues tendres,
Artistes à desseins vivants, chantres des sons accordés,
Gaies luronnes et joyeux drilles, contre les pisses froid,
Par Cyrène et Dionysos; irons voiles gonflées, avec lemmes d’Hédonie,
Sans tourner vinaigre sur contrée des rois mages et leur colline noire,
Les horizons sans lumière, n’ont pour ligne, que songes sans réalité,
Les éclairs de Zeus, le Trident de Neptune et le marteau de Thor,
Ne nous servent, par dérision faite de notre genre à valeur sagace,
Qu’à décrire les fioritures de l’homme d’ignominie, comme malheur,
Envers les bonnes natures, et les charmeuses de délicatesses,
Où les eaux nourricières, ne sont plus que boues nécrosées,
Sur l’échiquier de l’inconscience, les barbares et fous d’exérèse mutilent,
Nous en avions déjà cités, des plus félons, par seule linguistique démonstrative,
Où les feuilles du temps et de la raison, n’ont eu que parachèvement de l’inutile,
Par ignorance des mots à sentence éclaircie, le couperet de l’injustice, ici et là exerce,
Les figurines de la digue des justes, ne sont plus que cris voués à la paranoïa,
Aux soldats des prêcheurs d’obscurantisme, les cycles de l’histoire,
Par l’exigence des hommes incultes, d’avoir guide suprême,
Fit, à chaque cycle, déclin civilisationnel, avec chiens de guerre et soldats des dieux,
A toute chose, il aurait fallu considérer le sens, avant la fin.
Les sacrifices n’ont-ils pas jalonné la chronologie civilisationnelle ?
Des animaux, aux humains, et aujourd’hui à Nature qui les contient,
Les communautés humaines, après apogée de leurs sciences,
N’ont-elles pas sombré dans les méandres de la décomposition,
Des Aztèques vénérant Soleil et Lune, sacrifiant jeunes vierges,
Les pyramides d’Isis et Osiris avec les pharaons d’Egypte,
Babylone, avec la loi du Talion, en Mésopotamie,
La déesse Kälï, Shiva, l’Hindouisme avec ses castes,
La Grèce, Rome, où la plèbe ne réussit à faire entendre meilleure voix,
Les nouveaux Empires et Dictatures affichées aux yeux des hommes,
Où dans cette évolution machiavélique, quelques équilibres eurent lieu
Vite dénaturés par commande des dieux, affiliée à quelques sombres dévots,
Bienséants à néfastes Catéchèses, Torahnies, Coranies, et autres cauchemars,
Tout cela n’est-il pas la limite de l’anathème,
Et pour l’homme à suffire de penser, être un demi-dieu,
Alors que sa conscience ressemble encore à celle d’un infâme messager,
Agité par expressions mégalomaniaques, attachées à essentialisme de bas compte…
LA MORT ET LE LABORIEUX
Un pauvre esprit à peu d’estime envers son fardeau demanda à la mort :
- Pourquoi ta copine la pénitence fait tant et tant par l’effort mon obéissance ?
La mort lui répondit :
- L’effort que tu consacres à possible jouissance matérielle ne sera jamais suffisant au ravissement du moment partagé. Reposes toi de temps en temps, afin de t’ouvrir à autres médites existentielles envers le bon temps & la belle vie.
- Est-ce là un luxe pour un des plus pauvres œuvrant douze heures par jour et toute une vie pour cette machine infernale ? Ma femme, nos enfants, mes créanciers, mes contraintes, l’impôt, la corvée et l’usure, font mon tableau noir et toujours inachevé.
- Alors tu aimes donc la vie !
Elle est une extraordinaire et laborieuse semeuse, alors que moi, je ne suis qu’une petite faucheuse.
Le malheureux bûcheron courbé sous son fagot lui dit :
- Je ne comprends rien à ce que tu me racontes.
- Si je n’étais pas si paresseuse, possédés(es) et possédants(es), je vous aurais tous fait mourir d’efforts et de chagrin, lui répondit-elle.
Et lorsque tu auras compris, que le pire n’est pas moi, mais la souffrance, l’injustice, l’accaparement, la cupidité et l’iniquité chez les hommes, alors tu sauras que je n’y suis que pour peu de choses quant à la lourdeur de ton fardeau.
Plus je vieillis, plus je me rends compte que je ne veux plus être entouré de mauvaises causes et néfastes devises. Je désire tout simplement un lieu confortable, un peu de nourriture, quelques élixirs augustes, des gens agréables et des amis(es) dopés(es) à cette extraordinaire intelligence de cœur ; avec lesquels(les) je puisse partager ces merveilleux moments, un peu magiques, assujettis à sincères amitiés, amours évanescents et charmants. Les autres, je les écouterai lorsqu'ils auront commencé à construire une réelle fraternité, la solidarité, la paix et une véritable justice chez les hommes…
Être obsédé par les règles sans le sens revient à étudier la grammaire en espérant comprendre la poésie.
Les limites sans les lumières, d’autres temps, contrées et cultures, jamais n’indiqueront le juste chemin…
LE LIVRE
Le LIVRE s'ouvre sur un poème testament : DEMAIN...
Le vent du lendemain lèvera les ombres ;
Tu souviendras-tu des aubes s'illuminant au film de tes nuits ;
Pour le jour à ne pas baisser ta garde,
A t'efforcer de ne pas défaillir
Lorsque tu tentes de pénétrer dans l'aiguille par la pointe ;
A tourner autour de ces baraques de cendres et de feux ;
Après que la cause n'eut laissé que meurtrissures,
Que les devises de la grande pute républicaine,
Royalties en servitudes clandestines, furent défigurées ;
Abasourdies par les symboles d'un dieu mort-né,
A ne pas condamner la porte à paumelles rouillées
Où le temps n'est que reflet des hurlements lugubres ;
A mon chevet, sous mes feuilles, gardez un visage humain
Illuminons un lieu d’un langage aux reflets des étoiles
Sur la mer, aux vagues de son lit, pareilles aux songes…
Michel Asti
Ecrire est la meilleure façon de s’exprimer sans être dérangé ET/OU interrompu…
Jules Renard
Date de dernière mise à jour : 16/06/2019
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