LE FMI : UNE PERSPECTIVE HISTORIQUE ?
LE FMI : UNE PERSPECTIVE HISTORIQUE ?
Quelques notions de « Sciences-Economico-Sociales »
La « science » économique est un discours dogmatique dont l’usage est d’être invoqué par les financiers.
Dans leurs conversations avec les politiques, ils l’invoquent essentiellement pour faire taire un contradicteur éventuel. La science économique est fondée sur des postulats : i.e. des hypothèses que nul ne songe à comprendre et en aucune façon à tester les rapports de forces existants au sein de l’économie REELLE, sauf, pour des incultes et ignorants(es) à être, sans analyse pluridisciplinaire, en accord avec les initiés(es) de la SHERE FINANCIERE ou, en cas de refus de leur thésaurisation socio-financière inique, à être évincé.
Il faut souligner les liens étroits existants entre, POLITIQUES, ECONOMISTES & FINANCIERS.
Le prix Nobel d’économie fut créé par la volonté d’économistes ultra-libéraux contre les thèses de la société du Mont-Pèlerin, avec pour particularité commune à ces deux thésaurisations, en celle d’avoir oublié – volontairement – que la science économique est en aucun cas NEUTRE et APOLITIQUE.
Le petit-fils Alfred Nobel dénonça en 2001, cette contrefaçon concernant la création du prix d’économie, estimant que ‘’la banque royale de Suède avait déposé son œuf dans le nid d’un autre oiseau’’.
La société du Mont-Pèlerin fut créée en 1947 grâce au soutien du patronat suisse ; son objectif affirmé était de contrer l’influence des travaux de Keynes, et de prôner vigoureusement le laisser faire en matière d’économie. L’école de Chicago, foyer intellectuel de l’ultralibéralisme, s’est illustrée en particulier par son soutien militant au régime d’Augusto PINOCHET durant la dictature militaire au Chili.
PROTECTIONNISME ECONOMIQUE : UN LEURRE ?
Alors les ‘’imbéciles’’ ayant voté, pour le Grand Ordonnateur Trumpiste… Heureux ?
Je crois, que votre Président, vous a vendu un sacré bordel nationale et international ?
Que son équipe de ravageurs et experts en ‘’Klan’’ de ‘’Ku’’ merdeux, ont réussi à faire gober, sans autre analyse que celle de croire que la très grande faute ‘’sociale-économique’’ des dirigeants envers leur ‘’peuple’’ serait uniquement d’ordre migratoire ?
Quant aux Européens, faites un peu d’histoire, avant que vous ne tombiez dans les mêmes travers que ces ‘’Méphistophélès’’, en gouvernances de pouvoir inique dont les figurines de la Commission Européenne sont déjà en fonction depuis la création de l’UE…
Ce n’est pas le radicalisme et les extrêmes, montantes, qui vont permettre de trouver des solutions acceptables autorisant quelques équilibres salutaires. Dans une économie ultra-libérale mondialiste, la solution est bien évidemment ailleurs… ; pour comprendre que les us, coutumes, orthodoxies, cultures et politiques-économiques sont des règles financières conservatoires et théories monétaires uniquement constituées pour les bienfaits de clans de pourris et salauds se foutant royalement du sort de leurs compatriotes. Leur but est uniquement l’application d’une fonction usurière globalement inégalitaire envers toutes celles et ceux n’entrant pas leur cercle de sociopathes de tous ordres identito-culturels fracturant allègrement le peu de qu’il reste d’un semblant d’humanisme communautaire…
Les institutions européennes et organismes de régulation n’ont pas les moyens de surveillance envers les modalités de transferts monétaires internationales. Qui plus est les lois votées par le parlement européen ne sont pas des outils suffisamment performants pour contrôler les malversations financières, le dumping social-économique entre les nations et les conflits d’intérêt entre les différents acteurs du marché européen.
LE MANDAT DU FMI
De Bretton Woods…
Il n’y a jamais eu un cadre global régulant les MOUVEMENTS transfrontaliers de CAPITAUX, à la différence de ce qui a été construit pour le COMMERCE INTERNATIONAL. Durant la période couverte par les accords de Bretton Woods, les organismes internationaux et les accords multilatéraux se sont focalisés sur la levée des barrières aux échanges de marchandises, notamment sous l’égide du General Agreement on Tariffs and Trade(GATT) dès 1947. Dès sa fondation en 1945 le FMI, quant à lui, a eu pour mandat de veiller au bon fonctionnement du système multilatéral de paiements.
D’après l’Article VIII de son acte constitutif, l’imposition par un pays membre de restrictions aux transferts courants, associés aux règlements du commerce international, ne peut se faire sans l’autorisation du Fonds. En revanche, le mandat concernant la régulation des flux financiers a été bien plus RE.STREINT ET AMBIGU De fait, l’Article XXX stipule que le Fonds ne dispose pas de « JURIDICTION » sur la plupart des transactions concernant les capitaux, i.e. il n’a pas la CAPACITE juridique de FAIRE RESPECTER ses éventuelles recommandations sur les POLITIQUES affectant le compte de transfert financier ou d’empêcher ses membres de le réguler comme ils l’entendent (cf. FMI, 2010).
À l’origine, cette exclusion délibérée reflétait un consensus parmi les architectes du FMI, en tête desquels J.M. Keynes et H.D. White : dans le système de changes quasi fixes qui allait prévaloir par la suite, l’expérience
de l’entre-deux-guerres suggérait qu’il était légitime de décourager les flux financiers privés, perçus comme étant spéculatifs et déstabilisants. Les restrictions à la mobilité de capitaux apparaissaient également nécessaires pour permettre aux autorités nationales de garder l’autonomie de leur politique monétaire (Aglietta et Moatti, 2000).
Aussi, l’Article VI (section 3) reconnaissait le droit des pays membres à mettre en place des contrôles sur les flux financiers, dans la mesure où les paiements courants n’étaient pas remis en cause. Qui plus est, il prévoyait même des sanctions (inéligibilité) pour les pays contraints de demander des ressources au Fonds dans le cas où ils auraient négligé d’utiliser leur droit aux contrôles pour limiter une sortie significative de capitaux.
Ainsi, dans le système monétaire international des années cinquante et soixante, les mouvements de fonds transfrontaliers consistaient majoritairement en flux officiels, et les contrôles sur les capitaux privés étaient une pratique habituelle. L’évolution du contexte à partir des années soixante a cependant encouragé la LEVEE de ces RESTRICTIONS, notamment dans les PAYS industrialisés.
Premièrement, la libéralisation des paiements et des transferts courants, ainsi que le progrès de l’innovation financière, ont rendu difficile de facto une APPLICATION EFFECTIVE des contrôles de CAPITAUX, dont le contournement était devenu plus facile ; deuxièmement, nombre de pays ont entrepris une OUVERTURE de JURE du compte financier lorsqu’ils ont adhéré à des TRAITES MULTILATERAUX, tels les codes de libéralisation des mouvements de capitaux de l’OCDE (à partir de 1961) (IEO, 2005).
L’accroissement des flux de capitaux privés qui s’en est suivi a amené dans son sillage des entraves aux politiques macroéconomiques et une remise en cause de la STABILITE des DEVISES des pays membres, notamment après la fin du système de changes quasi fixes de Bretton Woods. Le Fonds a ainsi dû repenser l’approche et les outils pour réguler le SMI : Système Mondial International. Bien que le deuxième amendement des articles constitutifs du Fonds, en 1978, ait laissé inchangé le contenu de l’Article VI, le droit des pays membres à réguler leur compte financier a été restreint de facto par l’Article IV (section 1) : on considérait désormais que la manipulation par un pays du taux de change de sa DEVISE pouvait constituer un MANQUEMENT à ses OBLIGATIONS vis-à-vis de l’Article IV. Par ailleurs, si le FMI n’avait pas de juridiction directe, la Décision de surveillance des politiques de taux de change de 1977 lui conférait un rôle actif comme superviseur des mesures affectant le compte financier (FMI, 2010).
Par ce texte, il est tout à fait possible de comprendre, à postériori, que la suite ‘’voulue’’ ne devait être que la mise en place de l’EURO, en tant que MONNAIE UNIQUE EUROPEENNE. Et en conclusion pouvoir penser que la construction européenne ne fut qu’un conglomérat de COMMERCIAUX & BANQUIERS avant d’être un ensemble SOCIAL-ECONOMIQUE COHERENT de NATIONS & D’ETATS…
Au total, les rapports de l’Article IV suggèrent qu’il n’y a pas eu une véritable unité de pensée dans le choix du Policy-Mix conseillé par le Fonds aux pays membres, notamment en ce qui concerne la PRESCRIPTION de REFORMES structurelles pour le SECTEUR financier et les CONTRÔLES de capitaux.
La science économique postule une juxtaposition d’individus RATIONNELS, appelé : ‘’homo œconomicus’’, qui visent donc à maximiser leur utilité individuelle par des choix souscrivant aux Droits et Devoirs dans une société respectueuse de la préservation du bien commun, ainsi que des dignités de chacun et chacune, refusant d’induire sciemment toute forme d’ostracisme pour des valeurs individuelles en thésaurisation inique de Groupes, Gouvernances et Etats fallacieux.
Par conséquent : « L’économie de marché moderne n’est pas l’économie de marché libre des flibustiers ordo et néo libéraux d’une guerre économico-financière révolue ; mais une économie de marché à engagement social qui permet à l’individu de s’épanouir, qui accorde la priorité à la valeur de la personnalité et qui récompense la performance avec un rendement mérité et communautairement gratifiant »,
(LUDWIG ERHARD, CONGRES DU CDU, RECKLINGHAUSEN, 28 AOÛT 1948).
Où les probabilités modales de la politique sociale-économique sont aussi importantes que ‘’l’équilatéralité’’ collective…
En ces temps de rapprochement avec l’élection présidentielle de 2017, nos chers politiques se réclament presque tous du Général de Gaulle... Corporatisme idéologique et identitaire, ou manque d'imagination politico-socio-économico-culturelle ?
De Gaulle, outre son activité pendant la 2ème guerre mondiale, a lutté contre le premier président de la commission européenne: Walter Hallstein. Allemand fait prisonnier en 1944 par les américains, amené aux USA, puis libéré et renvoyé en Allemagne, où quelque temps après il devint le premier président de la commission européenne. De Gaulle ne souhaitait pas l'établissement de sa vision européenne, privilégiant la ‘’partition’’ de l'Allemagne....
De Gaulle reconnaissait les services d'Hallstein à l'idée européenne, mais l'attribuait davantage à une certaine forme de patriotisme exacerbé, servant les intérêts de l'Allemagne, afin qu'elle retrouve le respect et un statut en Europe. De Gaulle n'appréciait pas le rôle de Hallstein, pour lui un simple technocrate. Il le voyait chaire de président de la CEE instituée par des États étrangers. Quelques années plus tard il s'oppose à l'entrée de l'Angleterre dans l'Union Européenne, la CEE à l'époque, car il avait certainement entrevu le but sous-jacent du néocapitalisme anglo-saxon, même si les Ricains avaient libéré l'Europe...
Avec l'URSS....
Hallstein affirmait que l'intégration institutionnelle était dans l'intérêt d'une industrie allemande forte à l'exportation. Ludwig Erhard et le ministère de l'économie considérait eux qu'il fallait une intégration fonctionnelle plus souple et défendaient la coopération économique intergouvernementale. Erhard était opposé aux structures supranationales et considérait que les propositions de l'office des Affaires étrangères sur une Europe fédérale comme méconnaissant les réalités économiques. Dans ce différend, Adenauer soutint finalement Hallstein mettant un terme au conflit acrimonieux et public entre Hallstein et Erhard.
De Gaulle prit une position très prononcée au sujet de la politique agricole commune et, le 21 octobre 1964, le ministre français de l'information Alain Peyrefitte annonça que la France quitterait la CEE si le marché agricole européen n'était pas mis en œuvre au 15 décembre 1964.
Le 1er décembre 1964, Erhard, alors à la tête du gouvernement allemand, annonça que l'Allemagne accepterait les exigences françaises pour un marché commun du blé et, le 15 décembre, le Conseil des ministres établit un prix commun du grain valable à partir du 1er juillet 1967 et demanda à la Commission de soumettre des propositions sur le financement de la politique agricole commune avant le 1er juillet 1965. Les différences entre la France et la Commission – particulièrement entre de Gaulle et Hallstein – se réaffirmèrent quand la France occupa la présidence du Conseil, de janvier à juin 1965. Le 20 octobre 1965, Couve de Murville, à l'Assemblée nationale, poussa pour une révision des traités. Ceci fut rejeté par les cinq autres États membres. Lors d'une réunion du Conseil des 25 et 26 octobre, ils passèrent une résolution déclarant qu'une solution « doit être trouvée dans les dispositions existantes des traités ».
En guise de compromis, toutefois, ils maintinrent la possibilité d'une réunion extraordinaire du Conseil pour discuter de « la situation générale des Communautés » – sans toutefois inviter la Commission.Après les élections présidentielles françaises des 5 novembre et 19 décembre 1965, de Gaulle accepta l'offre. Durant ces négociations des 17 et 18 janvier 1966, le ministre français des affaires étrangères, Couve de Murville, abandonna la plus importante des exigences françaises.
L’« Union des Nations Européennes » (UNE) au profit des Etats (UE).
ECONOMIE SOCIALE DE MARCHE QU’EST-CE QUE CELA SIGNIFIE CONCRETEMENT ?
Siegfried F. Franke ; David Gregosz
Déjà en 1948, Ludwig Erhard, ce personnage de la sociale économie avait-il prétexte rationnel par cette morphosyntaxique de sociale économie de marché ; ‘’Soziale Marktwirtschaft’’ ?
Ou celle d’« Economie Sociale de Marché » ?...
Aujourd’hui, seuls trouveront les accords à cet adage : ‘’ Les groupes de population que nous pouvons visualiser comme un nombre communautaire, strictement supérieur à deux, capables de faire évoluer un espace de vies, politico-social-économique et culturel harmonieux, tout en ayant la vision philosophique, humaine, sociale, culturelle, économique et financière la plus objective et la moins spoliatrice possible, accompagnée du respect permanent de la vie, de la liberté et de la propriété, afin d’en atteindre avec attention, la sagesse et l’équilibre’’.
« N'espérez jamais trouver votre sûreté dans les armes de la fortune. » Sénèque. Nelson Mandela disait : ‘’Une population instruite, éclairée et informée est une des façons les plus sûres de promouvoir la bonne santé de la démocratie…’’. Et Benjamin Franklin : ‘’Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’un, ni l’autre et finit par perdre les deux’’.
Et l’humanité au tournant de son histoire perdra les deux, lorsque Dame Nature, mère de tout le Vivant, aura suffisamment grondé, et déversera toutes sa résurgence dépressionnaire, source de vies en ses pôles nord et sud, sur tout le vaste monde. A ce moment-là, même le diable, démons et autres serviteurs du Vilain s’agenouilleront et la regarderont tristement en lui demandant pardon…Mais il lui faudra un peu de temps pour recréer quelques indices de confiance et d’épanouissement dans le poulailler, afin que la poule aux œufs d’or puisse poser la question à sa classe de ‘’CPV’’ (Classe Préparatoire à la Vie) : ‘’A quoi ça sert, la Vie ?’’… Et que toutes les petites mains se lèvent, afin que la maitresse ou le maitre d’école puisse enfin demander à ce cancre de Toto : ‘’Peux-tu me répondre Toto ?’’.
- Oui, Madame. C’est prendre soin de Dame Nature, participé à la réalisation de tout ce que nous indique la vie, afin de voir toute sa beauté et percevoir son extraordinaire biodiversité au nom des bons ‘’tempos’’.
- Bien Toto, et vous, tous les autres ‘’petites et petits devenirs’’, qu’auriez-vous répondu ?
- La même chose, Madame, en riant tous en chœur…
Voilà, je souhaitais finir ce petit statut ‘’libre’’ par un peu de poésie, car je trouve qu’il en manque trop souvent dans l’ère du temps. Et grâce à quelques livres et documentaires trouvés sur internet, accompagnés par autres lectures et extraordinaires échanges avec des ‘’étants’’ de bons savoirs, présents sur les ‘’réseaux’’, j’ai réussi depuis plus de cinq ans, bien après avoir intégré en 1975 le monde du travail rémunéré, à recommencer à lire, apprendre et entrevoir que ‘’l’homme’’ est trop souvent pire que certains animaux, ou bipèdes inconscients. Et par quelques analyses philosophiques, ontologiques et épistémologiques, peut-être réussir à comprendre, après en avoir écouté toutes les variances, ce qu’était une possible juste et équitable ‘’Sociale Economie de Marché’’, m’autorisant à décoder quelques accords propres aux différents couples Franco-Allemand après 1945, accompagnés par quelques études fonctionnelles concernant d’autres états souverains et peuples mystifiés, permettant de décomposer les comportements et covalences paradoxales ; m’ayant peut-être permis de ne pas franchir les portes du communautarisme exacerbé, des prosélytismes infondés et de l’obscurantisme vénère, qui ne seraient en ce cas d’adoption, qu’une ouverture, vers le pire de ce que peut engendrer l’être égocentrique ‘’déshumanisé’’.
Je suis arrivé en ce monde après cette horrible guerre, et avant celle économique, toujours actuelle et devenant de plus en plus conflits ‘’géo-politico énergétiques’’; en 1959 sur le continent Africain. J’étais le résultat de l’union, d’une mère alsacienne et d’un père d’origine italienne. Cette femme était née en 1939, cet homme en 1933 et fut envoyé en Algérie, l’année après l’insurrection du 1er novembre 1954, suite à quelques échanges ‘’musclés’’ avec un supérieur. Vous envisagez le bordel qui s’en suivi même après les accords d’Evian en 1962 ? Mais je continue à essayer d’assouvir mon inextinguible curiosité envers le ‘’Monde’’ et ses habitants, tout en étant lucide de la nécessaire utilité à être attentionné aux choses de la nature, organismes vivants et gens alentours, proches ou un peu plus éloignés de moi… Où les trois valeurs sociétales de bases en sont depuis bien longtemps, dans les pays civilisés, le ‘’travail soumis à juste rémunération’’, ‘’l’esprit fraternel’’, et les ‘’droits de l’homme, de la femme et de l’enfant’’…
Même si certaines personnes, parfois très proches, ont été soumises à quelques incompréhensions, envers ma singulière identité qui pourtant me semble-t-il, n’est pas fondamentalement différente de celle de mes congénères ! Sauf peut-être chez ceux et celles possédant les quelques obscurs dogmatismes suffisants et nécessaires à éloigner la pensée humaniste des ‘’masses’’, vers le refuge nationaliste ‘’absolu’’, ou sa pire forme est celle juste après le sectarisme engendré par les peurs identitaires, la division des identités-culturelles… Décelables pour parties en et par tous conflits sociétaux, puis révoltes civiles et autres rebellions… Voire plus… Où parfois, trop d’inutiles croyances, inhibent l’esprit logique et ne permettent plus d’entrevoir cette extraordinaire capacité d’être simplement humain dans le Monde Naturel Vivant…
Et tout cela, accompagné par une certaine forme d’allégeance intergénérationnelle, par ouverture d’esprit suffisante et utile à la retransmission des meilleures connaissances et justes savoirs par celles et ceux d’avant et de maintenant, au nom de la possibilité de bien-être pour les générations arrivantes dans ce monde naturel minéral, végétal et organique, teinté aux plus extraordinaires pensées transmises et véhiculées par le discours entre les sciences et les arts…
Michel Asti – Au-delà des quarante malencontreuses
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