LOGIQUE - FORME ET GRAPHES
LOGIQUE – FORMES ET GRAPHES
ICI… ; Seul, les « REELS(LES) » m’interpellent…
[…] Quelques notes sur le langage…
« Le monde est une résonnance qui invente la dissertation »
DOCUMENT AU FORMAT PDF - 6 PAGES A4 : Logique formes et graphes (509.13 Ko)
Essayons quand même de démontrer à minimum l'impossibilité physique de ces quatre propositions:
- La bissection de l’angle
- La trisection du triangle
- La quadrature du cercle
- La duplication du cube qui n'est qu'un volume à potentiel plus ou moins cubique défini comme degré non sphérique tendant à osciller entre forme elliptique 3D et un cube… Et peut-être perçu comme non stabilisé à l'instant constaté sur le référentiel ou dans l’espace de référence, par l’observateur. Tout cela en essayant d’y mettre un peu d’humour, c’est plus sympa, surtout pour ce genre de sujet.
Tout est question … […] … (…) … De degré, d’échelle ; de perspective, et de point de vue… Au sein de tout système composé des ‘’machines-humaines’’ ; où en aucun cas le phénomène holistique de la pensée collective ne saurait être évincé.
- Le cercle n'existe pas et le carré non plus dans l’immatérialité logique, sauf à être matérialisés immobiles sur un référentiel par définition de leurs deux dimensions conceptuelles représentantes de leur seule longueur et largeur en plan euclidien, mais existant pour chacun d'eux dans leur réalité existentielle, à minimum de trois dimensions considérées, permettant par cette singularité de visualiser le cercle comme une ligne courbée à potentiel fermé et le carré représenté par quatre lignes droites à potentiel fermé en ses quatre angles. Et c’est tout pour l’instant, ou peut-être à imaginer qu’il existe toujours une élévation, même infinitésimale de leur hauteur, jamais égale à zéro, (0), même si nous ne percevons plus cette profondeur ou épaisseur avec notre vision ou notre toucher, lorsque cette ‘’distance d'élévation’’ est inférieure à nos potentiels biophysiques et physiologiques d'en percevoir cette ‘’propriété’’, pour la simple raison qu'il m'est impossible de voir, de toucher, d'entendre, de sentir ou de goûter un ‘’proton’’, que certains outils nous ont permis de définir, avec certitude comme sphérique. Sauf à voir la molécule pas forcément sphérique au ‘’microscope électronique’’, ou à ‘’casser’’ cette petite sphère de matière dans un cyclotron afin d'en percevoir ses effets... Mais ce n'est pas mon art et ma faculté. C'est l'affaire des Physiciens(nes), Mathématiciens(nes), ou autres Décortiqueurs (ses) de sujets et objets, afin d’en trouver la ou les forces d‘attractions et énergies qui permettent un tel assemblage de ces infimes corpuscules de matière invisibles à l’œil nu.
Dessinons un ‘’cercle rond’’, un ‘’rond carré’’ et un ‘’carré rond’’, et ce n’est pas tout, mais arrêtons là pour l'instant, car il ne sert à rien de compliquer ce qui l'est déjà.
Je dessinais ces trois formes au tableau en essayant de voir son expression. Je compris immédiatement que cette fois ci, elle me prenait vraiment pour un fou égoïste qui ne pouvait vivre que seul dans sa propre dimension. Ce qui est d’une totale vérité, pour tous autant que nous sommes…
Mais seulement par notions périodiques ! Auxquels, il faut au moins laisser liberté d’exister, afin de peut-être nous comprendre nous-mêmes. Mais elle continuait quand même à regarder ce que je posais sur le tableau.
- À partir de quel moment angulaire la ligne fermée sera considérée comme forme circulaire ou forme rectangulaire ?
Je continuais sans attendre une quelconque réponse.
Impossible à déterminer physiquement sans intégré l'immobilité de mouvement hors du ‘’temps’’, et également impossible à définir dans ou sur tout autre référentiel autre que le support existant à l'instant où est représentée la forme en surface de cette structure dimensionnée qu'est pour l'instant le tableau, la feuille ou ‘’quelque chose’’ de ressemblant permettant la pose d'un autre ‘’quelque chose’’ en tant qu'objet physiquement reconnu comme tel, en plus en étant conscient de la méconnaissance du moment de sa transformation par notion ‘’d'énergie temporelle’’, sauf en la représentation potentiellement et formellement ‘’jaugée’’ jumelle que la craie, ou tout autre objet permettant de laisser sa trace sur le référentiel en question, pourrait en faire, quand il en sera décidé ainsi par notion de temps ‘’d’après’’.
Je vais donc prendre comme référentiel la représentation du ‘’O’’, Origine du cercle sur le référentiel ‘’feuille’’… Ce ‘’cercle’’ (O) existe uniquement de par sa représentation visuelle, car ce cercle physiquement réel possède la propriété d'avoir une ‘’épaisseur’’ au moins logiquement, toujours légèrement supérieure à zéro (0) pour exister matériellement, tel que ce cercle existe physiquement par le nom de cylindre ouvert telle, que sa représentation à minimum de trois dimensions vues soit la forme suivante tel un cercle en 3D.
Soit en langage mathématique le signe : ? LETTRE LATINE CLIC BILABIAL
- Oui Mickael ! Je sais tout cela, et je vois même où tu veux en venir, mais continues jusqu'à la fin de ton raisonnement et je te communiquerai ma ‘’vision’’, après.
- Ok, ‘’Mathéo’’, et je t'en remercie. Je voulais juste faire remarquer, suivant la façon dont nous attribuons certaines propriétés à certains existants, perçus par nos sens, dont la vision en est une faculté essentielle, mais empreinte, hors étude logique, de certaines incertitudes suivant la ‘’distance’’ existante entre ‘’l'objet vu’’ et son ‘’contact touchable’’, nous pouvons les considérer parfois de façons différentes. Donc laissons ces propositions de côté pour l'instant. Maintenant que nous avons visualisé, l’objet composé de plusieurs formes sur cet espace euclidien, regardons attentivement ce ‘’nouvel objet’’ apparu sur la feuille afin d'en percevoir aux moins deux autres ; propriétés.
- Excuses-moi de t'interrompre, mais tout le monde sait cela. Nous voyons soit le carré noir devant le carré blanc. Soit l'inverse. Mais c'est un effet d'optique ou de perspective et il a été souvent expliqué, tu ne vas pas s'en arrêt remettre tout en question, considère que ceci a été prouvé et acquis.
- Excuses-moi ‘’Mathéo’’, et toi aussi ‘’Emma’’.
Je sentais une petite tension créée par ce que je venais d'émettre.
- Je ne remets rien en question de tous ces états phénoménologiques définis comme autant d’existants ‘’vrais’’ par les mathématiques la chimie et la physique ! Et au combien je connais ta belle pratique de ces arts. Je sais aussi que c'est une propriété de notre vision de voir quelques déphasages lumineux en la représentation de certains objets, mais mon but est de savoir pourquoi nous voyons cela de cette façon au moment où, nous la percevons, et d'une façon différente à un autre moment, et ainsi de suite. Nous ne pouvons pas nous fier à notre vision ?... Comme par ailleurs cette évocation du dialogue entre Einstein et Schrödinger sur l’allégorie du ‘’Chat Mort-Vivant’’, appelé plus tard le ‘’chat de Schrödinger’’… ?
Mais laissons cela de côté pour l’instant…
Alors que dans les deux cas l’épaisseur de tous les carrés est toujours supérieur à ‘’0’’ ... Me semble-t-il…
- Voyons Mickael, tu es parfois un peu bizarre. Einstein et Schrödinger avaient certainement absorbé des produits euphorisants avant leur histoire de ‘’chat mort-vivant’’ et tu sais aussi bien que moi, que certains de nos attributs et mécanismes de cognition, ont des propriétés et facultés qui nous échappent encore. Alors, s'il te plaît, continuons ce que nous avons commencé l'autre fois, et pour ton bien, car je ne souhaite que cela pour toi, cesse de torturer ton esprit avec ces questions sur la nature physique, biophysique, voire métaphysique ; dont leur essentielle belle fonction est celle d'être ‘’posée’’, mais dont la réponse n'est pour l'instant en la profondeur du savoir et concrétisation de nos connaissances, que ‘’peut-être’’. Et encore une fois au nom de cela, continuons ce que nous avons commencé, et ne me dis pas, où, tu as été pêché cette proposition: ‘’Et si est un… Et je ne sais quoi, et où… ?’’.
Et à ce moment-là, ‘’Emma’’, qui n'avait émis aucun mot sonore depuis le début de la conversation dit: ‘’Stp, Mathéo, je ressens qu'il a tellement de choses à exprimer. Il a besoin de ton aide, et sans aucune prétention de ma part, peut être aussi du mien. Alors au nom de moi, laisses-le continuer’’.
Et là, je vis le regard de ‘’Mathéo’’ changé. Je compris de par ces mots émis, qu'un problème venait de surgir, je ne savais d'où…
Si je savais !
J'avais senti que la force l’ayant créé n'avait pas été ‘’contre carré’’ par le ‘’au nom de moi’’, qu'il n'avait pas entendu de par les mots dits ; de ‘’Emma’’.
Alors pour essayer de l'éloigner, je dis à ‘’Mathéo’’:
- Je pense qu'elle a juste voulu entendre la suite de nos échanges, car certains des mots et expressions retransmis pendant ce laps de temps étaient peut-être en accord avec son ‘’art’’, et pour partie avec le ‘’tien’’.
Je savais ; si je m'employais à utiliser ces mots, il comprendrait.
Je le connaissais assez bien.
- Excuses-moi, Mickael, et toi aussi ‘’Emma’’. Continues et racontes-nous…
J'aimerai savoir où tu vas chercher toutes ces idées farfelues ?
- Tu le sais !
- Oui, mais je me demande si cela n'a pas mauvaise influence sur toi ?
- Voyons les garçons !
Ne nous égarons pas, et reprenons notre discussion ; cela me plaît.
- Tu as raison, dit-il.
- Je comprends, ta réaction concernant la proposition. Elle était normale. Car elle ne peut être considérée que comme un anachronisme, dont la réponse est apparemment physiquement insoluble, en l'état de celle-ci, afin de la comprendre. Et pourtant. Il y a un, une ou plusieurs ‘’inconnus(es)’’ potentiellement existants(es), dans cet ensemble, ou hors de cette proposition, en tant que trace, pouvant peut-être laissé croire, que cet(te) inconnu(e) existe peut-être quelque part en tant que phénomène cyclique ignoré ou incompris, par ses propriétés dont une marque a été conservée dans sa propre dimension, permettraient de vérifier l'ensemble de mots, éléments de la proposition, composée de quatre de ces expressions incluses dans l’axiome initial, qui sont: ‘’Et si est un’’... ou, et, si est 1’’… Et/ou une…
- Où as-tu envisagé une trace potentiellement existante qui permettrait de vérifier cette partie de la proposition en tant que potentiellement vraie ?... Puisqu'elle est fausse, ‘’et’’, n'est pas ‘’est’’, et ‘’si’’ n'est pas ‘’un’’ ; ni ‘’une’’… Et par conséquent, en cet axiome ‘’est’’, n’est pas…
Me semble-t-il… ?
- Dans tout ce qui m'entoure ! Tu as raison ce sujet-objet’’, en tant que composition textuelle vue comme cela, est potentiellement fausse, en sa représentation visuelle, mais ayant potentiel à devenir ‘’vraie’’, telle celle-là: ‘’Et ;……Si ; ……Est’’… ? ‘’Est’’, est bien, puisqu'il existe sur la feuille, alors, pourquoi pas ‘’un’’, si ‘’un’’ est sur la feuille, dire : ‘’Et si est un et une’’ ? … Alors… 2 !?...
- Tu vois, ‘’Emma’’, ce garçon à un ‘’grain’’, et c’est du grand n’importe quoi.
Je n'étais pas offensé par sa remarque. Je voyais son sourire. Et par ailleurs, ‘’Emma’’, l'avait également remarqué, puisqu'elle lui dit:
‘’Chéri, arrêtes de le taquiner.’’
- Oh, Mais tu viens de m'appeler ‘’chéri’’ !
- Oui, j'en avais envie.
- Bon, je peux continuer les ‘’chéris’’, leurs dis-je en rigolant.
- Oui, espèce de cinglé. En chœur. ‘’Même si tu n’es pas encore au point’’.
- Bien, je vois que nous sommes en phase.
Elle venait d’entrer dans la dimension sensible commune.
- Je vais essayer de formuler le plus clairement possible ma pensée, je vous demande juste une chose, c'est de me laisser aller au bout, même si certains éléments vous paraissent bizarres dans et par l'expression de ceux-ci.
- ‘’D'accord, Mickaël’’. A l’unisson.
- OK est une représentation d'un accord avec ‘’D’’ apostrophe, qui n'est pas ‘’Accord’’, ni ‘’De’’! OK ? Et l’accord en tant que lien existant entre un ‘’quelque chose’’ et un ‘’autre quelque chose’’, serait peut-être perçu autrement par ce ‘’quelque chose’’ appelé chauve-souris, percevant uniquement les ultra-sons. Et pourtant en ne possédant que deux sons, ‘’O’’ ; ‘’K’’, l’émetteur a cette faculté d'en laisser supposer un lien de consonance, avec un potentiel synchronisme, par ‘’accord’’, envers le sujet et l’objet, en ce CAS… KO ou CHAOS ???
OK ou pas d’accord… Mathéo ?
- Mathéo, regardant Emma, en souriant: ‘’Tu vas voir, il va essayer de nous retourner le cerveau, surtout à moi car je suis chauve, mais il me prend pour un sot ?’’ En éclatant de rire. Ce mec est dingue.
- Emma lui rendant son rire: ‘’Je ne pense pas, chéri ! Par contre, je crois que le surnom de ‘’décortiqueur’’, dont tu l'as affublé, lui va comme un gant. Et, je pense aussi que l'expression de sa ‘’fuzzy logic’’ doit parfois agacer, voir irriter, Hihihi i…
Je leurs répondis en riant:
- Oui, vous avez raison, mais je ne peux m'en empêcher, car j'ai ressenti que l'ensemble composé de la physique, la logique, la philosophie, la sémiologie, la philologie, la grammaire, la rhétorique, l’ontologie, l’épistémologie, l’arithmétique, la géométrie, l’astronomie tout ça accompagné d’un peu de poésie et d’humour étaient pour moi, une source de joies et de satisfactions immenses et assez extraordinaires. Je me suis aperçu de cela, il y a malheureusement, pas très longtemps. Et puis si parfois j'agace un peu, ce n'est jamais par méchanceté, c'est juste pour essayer de faire partager ces quelques moments de jubilation, devenus une denrée de plus en plus difficile à trouver, tel un arbre n’ayant plus place en nos sociétés et devenu par manque d’attention et formatage du juste nécessaire économique, le producteur presque insignifiant de ces beaux fruits interdits ou défendus par expressions souvent incohérentes, anti-communautaires, antisociales et argumentées par quelques conformistes inopérants en et par leur manque d’imagination, et, qui pourtant, grâce à tous ces échanges linguistiques, littéraires, et sémiotiques nous parvenons souvent à percevoir de belles et parfois merveilleuses ‘’choses’’ dans les zones de bien-être propres aux fabuleuses caractéristiques de la nature et du monde des vivants’. Alors j'essaie de faire de mon mieux pour créer ce type d'espace-temps, m'y adapter, et laisser la porte ouverte à toutes celles et ceux désireux(ses) de s'accorder à cette dimension.
Alors si : ‘’Et si est’’, je peux croire en, ‘’moi ami toi’’ ; ‘’vous’’, bande de cinglés…’’.
Ils éclatèrent de rire tous les trois.
Nous venions de croiser une ludique composition d’« Harmonie », dans son espace de jeu.
- Vous savez tous les deux, que la seule certitude en laquelle nous pouvons croire fermement, est l'accord qui existe entre notre vision et notre toucher, et est beaucoup plus important que les liens existants entre la vision et l'odorat ou l'ouïe, ou les trois ensemble, sauf chez certains ’’autres vivants’’, chez qui l'écart entre ces trois différents ‘’sens’’, dont le principal, en notre possession, chez nous ‘’êtres humains’’, est le couple, vision-toucher, diminue, ou augmente suivant la distance, car leurs sens secondaires sont plus développés pour en percevoir ‘’autres choses’’, que nous. Nous pouvons même imaginer de par la logique physico-chimique et biophysique de la ‘’vie’’, qu'elle nous en a doté d'autres. Mais pour l'instant, contentons-nous de ce que nous maîtrisons apparemment bien. Donc, toi, ‘’Mathéo’’ qui me connaît bien, en tant ‘’qu’être humain’’ existant en ce lieu, tu peux certainement comprendre que certains petits grains de matière organique dont tous sont dotés de ce bel outil qu'est la pensée cognitive, utilisent ce ‘’dispositif’’ de façons très différentes pour essayer de trouver les inconnus(es), nécessaires à leur recherche des ‘’savoirs’’, intérêts personnels, communautaires et collectivistes, même s’ils ont oublié certaines questions existentielles, afin d'en trouver des réponses humainement raisonnables, avec pour singularité à ce que chacun, chacune ‘’d'eux’’ suit son idéologie, et parfois, certains de ces êtres vivants ont des concepts communs, alors ils s'allient… Parfois pour le pire…
Mon ‘’problème’’ à moi, est de croire que la ‘’vérité’’ est présente pour partie infinitésimale dans tout ce, celles et ceux qui nous entourent, et il faut, pour uniquement espérer l'entrevoir par notion de temps, partir à la recherche de tous ces inconnus et inconnues parfois invisibles, intouchables, inodores, inaudibles et incomestibles, ‘’in goutables’’ ou difficilement compréhensibles et acceptables, mais potentiellement existibles par notion de perception, de l’espace touchant, afin de les connaitre au nom de cette recherche, qui a commencé dans les temps d'avant, il y a maintenant fort loin, par autres penseurs… Théoriciens, sociologues, épistémologues, linguistes, sémiologues, scientifiques, psychologues, philosophes, artistes et poètes… ; et autres ATTRACTEURS(ES)…
M.A – LA CLE DU TEMPS DES MURMURES
Date de dernière mise à jour : 13/03/2019
Ajouter un commentaire