LE PRINCE ET LE PHILOSOPHE
LE PRINCE N'A JAMAIS ETE PHILOSOPHE ; NI N'A MÊME JAMAIS ECOUTE LE PHILOSOPHE...
NI LE VERITABLE HUMANISME, LE ROMANTISME ET LE POETE...
A moins qu'il advienne que, soit les philosophes deviennent rois des nations, soit ceux que l'on appelle aujourd'hui rois et princes soient inspirés par une dose suffisante de philosophie AUTHENTIQUE, autrement dit, à moins que le pouvoir politique et la philosophie soient réunis en la même personne - la plupart des esprits qui de nos jours exercent l'une à l'exclusion de l'autre étant catégoriquement privés de l'un et de l'autre - ; il n'y aura pas de délivrance pour les nations, chères et chers amis(es), ni d'avantage, selon nous, Idéoles et Ideols, pour le genre humains...
LA PLEBE, DEMOCRYTOS ET FELONIE
Que nous n’en avons vu passé, depuis tant de temps
Ces palabreurs d’amphitryon, simulacres de Thémis et Théocrite
Savants prétentieux, experts en politique et philosophie
Opportunistes de caves, rats de laboratoire, sorciers de l’usure
Où notre seul ornement fut de plébiscité bouquet d’effervescences
Nous les gens sans étiquette, ni presbytère, temple, et régime
Nous qui adorons, les fées, les contes, les fables et les anges gardiens
Poètes de l’impossible et épistémologues tendres
Artistes à desseins vivants, chantres des sons accordés
Gaies luronnes et joyeux drilles, contre les pisses froid
Par Cyrène et Dionysies; irons voiles gonflées, avec lemmes d’Hédonie
Sans tourner vinaigre sur contrée des rois mages et leur colline noire
Les horizons sans lumière, n’ont pour ligne, que songes sans réalité
Les éclairs de Zeus, le Trident de Neptune et le marteau de Thor
Ne nous servent, par dérision faite de notre genre à valeur sagace
Qu’à décrire les fioritures de l’homme d’ignominie, comme malheur
Envers les bonnes natures, et les charmeuses de délicatesses
Où les eaux nourricières, ne sont plus que boues nécrosées
Sur l’échiquier de l’inconscience, les barbares et fous d’exérèse mutilent
Nous en avions déjà cités, des plus félons, par seule linguistique démonstrative
Où les feuilles du temps et de la raison, n’ont eu que parachèvement de l’inutile
Par ignorance des mots à sentence éclaircie, le couperet de l’injustice, ici et là exerce
Les figurines de la digue des justes, ne sont plus que cris voués à la paranoïa,
Aux soldats des prêcheurs d’obscurantisme, les cycles de l’histoire,
Par l’exigence des hommes incultes, d’avoir guide suprême,
Fit, à chaque cycle, déclin civilisationnel, avec chiens de guerre et soldats des dieux
A toute chose, il aurait fallu considérer le sens, avant la fin
Les sacrifices n’ont-ils pas jalonné la chronologie civilisationnelle ?
Des animaux, aux humains, et aujourd’hui à Nature qui les contient
Les communautés humaines, après apogée de leurs sciences,
N’ont-elles pas sombré dans les méandres de la décomposition
Des Aztèques vénérant Soleil et Lune, sacrifiant jeunes vierges
Les pyramides d’Isis et Osiris avec les pharaons d’Egypte
Babylone, avec la loi du Talion en Mésopotamie,
La déesse Kälï, Shiva, l’Hindouisme avec ces castes
La Grèce, Rome, où la plèbe ne réussit à faire entendre meilleure voix
Les nouveaux Empires et Dictatures affichés aux yeux des hommes,
Où dans cette évolution machiavélique, quelques équilibres eurent lieu
Vite dénaturés par commande des dieux, affiliée à quelques sombres dévots
Bienséants à néfastes Catéchèses, Thoranies, Coranies, et autres cauchemars
Tout cela n’est-il pas la limite de l’anathème,
Et pour l’homme à suffire de penser, être un demi-dieu
Alors que sa conscience ressemble encore à celle d’un infâme messager
Agité par expressions mégalomaniaques, attachées à essentialisme de bas compte…
Date de dernière mise à jour : 15/08/2017
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