LE PERE NOEL EST UNE ORDURE
LE PERE NOËL EST UNE ORDURE
Je n’ai, contre vous, vous et vous, toi ou toi devant ton ordinateur ou ton smartphone aucune aigreur, rancœur, jalousie ou autres ressentiments inutiles et/ou néfastes.
Je suis juste en colère contre ces gens de pouvoir d’Etats, Gouvernements et Gouvernances, sorciers de l’économie, génies de la finance, experts en toutes matières qui ont, depuis plus de quarante ans, engendrés les pires formes de déclassement économique, de fracture sociale, ghettoïsation, défiance communautaire et augmentation des peurs vendues au marché des dissidences, œuvrant dans le milieu associatif destitué de son véritable rôle, normalement, non substantif à un Etat de Droits et de Devoirs.
Et tout cela dans un climat de ‘’je m’en foutisme’’ généralisé, un individualisme exacerbé par une martingale digne des plus grandes parades paranoïaques, voilées sous les pudeurs d’un mercantilisme de bas étage.
Oui, ce beau pays FRANCE est devenu une zone d’agression et de soumission liberticide, où les permanences ont le fumet des odeurs nauséabondes persistant à dénaturer les commodités des communautés attachées aux Droits de l’homme, de la femme, de l’enfant, de la liberté, de l’égalité de la fraternité et de la justice où cette dernière ne sue plus que par les pores liés aux flatulences des ordres de chaires, d’ors, de pompes, de notables, de robes, clans iniques et autres empruntés(es) au machiavélisme matérialiste et à la perversité narcissique d’une médication-logo-médiatique inopérante et surtout lobotomisant le pragmatisme intelligible…
Malgré, comme autres, toutes mes difficultés et contraintes affligées par une administration exsangue envers les véritables dysfonctionnements, je ne me soumettrai jamais à ce système délétère, je ne plierai pas, je ne lècherai aucune malséance et aucun faux-cul, je ne me tairai pas, je ne courberai pas l’échine et je ne partirai pas en silence…
C’EST QUOI LA FRATERNITE ?
LE SAVOIR ; LA CULTURE ET LES CONNAISSANCES SONT LE SEL DE LA VIE. LES RELLES AMITIES ET LA VERITABLE FRATERNITE EN SONT LE SUCRE.
TOUT CELA FAIT LA FERVEUR ET L’EVANESCENCE DANS LE MONDE DES VIVANTS…
J’aimerais beaucoup connaitre la véritable définition du TRAVAIL, le réel déterminant d’une ACTIVITE à juste valeur ajoutée, dans le monde des actions, réactions, mouvements et mobilités, ainsi que la notion d’EMPLOI rémunéré au rapport de l’utilité et l’essentialité dans la sphère des bien(s) et services marchands, notamment par la dialectique assujettie à ces savants en toutes MATIERES, épistémologues, philosophes, voire théologiens, théoriciens, politiciens, experts de tous ORDRES, ‘’génies’’ des sciences économiques et financières, ET/OU ‘’sorciers’’ de L’USURE…
Merci à celles et ceux qui réussissent à approcher ces notions dans le monde des échanges communicants à réseaux ‘’humanisant’’ de bien vouloir communiquer vos conclusions…
Au lieu, pour les autres, de persister dans l’entre soi voué à l’ordre du clan ou quelques ordonnances à vacations politico-religieuses, politiques-templières et autres déficientes orthodoxies, considérant que la vérité est intrinsèquement celle de la servitude envers le ‘’Grand Architecte, Ordonnateur ou Argentier’’… Plus (+) qu’à œuvrer pour la liberté, l’égalité, la fraternité et la justice au nom des droits de l’homme, de la femme et de l’enfant !
2016
A la lecture de vos lettres Monsieur Pascal, j’avoue en être tout affligé. L’agnostique du XXIème que je suis, tout comme certainement l’athée et l’attaché à la ‘’gnose’’, de cette même période sont foncièrement circonspects quant à la métamorphose réalisée depuis 361 ans, par le genre ‘’humain’’, moutons, agneaux, autres brebis, rats, lions, loups, renards, corbeaux, guides, dévots de chaires, d’ors, de pompes, administrateurs du haut de chaîne, et autres mammipho-humanoïdes affectés par les incertitudes causées par les mauvais sauts des grenouilles de bénitiers, prosternations, servitudes et autres postures indigentes ou désuètes circonscrits par ces génuflecteurs trop éloignées de la danse à mille temps, enchantés par la liberté de ne pas croire aux méfaits des prosélytismes asservis aux verbiages affectant les esprits désuets croyant en l’existence de paradigmes ‘’hors sol’’ terrestre, où le jugement dernier serait de penser que toutes les inconsciences absorbées par l’ordre de l’ignorance seraient absoutes par cette entité ‘’virtuelle’’, capable de donner pardon à l’amoralité liée aux consciences dogmatiques du paradoxe entre la vilénie et la grâce… ???
Et exécutées au nom d’un monothéisme protégé sous l’art pervers des flagorneurs et courtisanes d’hier et d’aujourd’hui… ???
Néfastes consciences et autres empruntés(es)… ???
Que le scélératisme doit quelque peu les habiter ; ou alors est-ce cette faculté de la dénégation des mauvais arbitres et néfastes transmetteurs qui engendrent l’inculture généralisée dans l’esprit des honnêtes gens … ???
Je crois malheureusement que cela est ainsi…
Etc ; etc ; etc….
Pour qui : « Il n'y a plus rien d'ontologiquement réel au-dessus de l'être particulier ». Et pourtant l’épistémologie ontologique devrait édicter : ‘’Les groupes de population que nous pouvons visualiser comme un nombre communautaire strictement supérieur à deux, capables de faire évoluer un espace de vies, social économique harmonieux, sont ceux et celles qui ont la vision philosophique, humaine, sociale, culturelle, économique et financière la plus objective et la moins spoliatrice possible, accompagnée du respect permanent de la vie, de la liberté et de la propriété, afin d’en atteindre avec amour, la sagesse et l’équilibre.’’
Michel Asti
Mais par l’image, le mensonge politique a conquis sa pleine légitimité. L’image ment !
Mais peu importe. Car ce n’est pas toujours le politique qui ment, c’est surtout l’image. Ce n’est pas l’acteur qui est pris en flagrant délit de tromperie, c’est l’image qui ment.
Qui fait mentir l’image ?
Cette société veut à toute chose un coupable, mais on ne saurait dire en l’espèce qui est coupable : le cadreur, le journaliste, le monteur, le rédacteur en chef, le producteur, le décorateur, le diffuseur, le communicant, l’impresario le réalisateur ou le législateur ? On le sait d’autant moins que l’image est mensongère par ce qu’elle suggère, plus par ce qu’elle est. Le spectateur devient complice du mensonge à cause de l’évidence de l’image. Le mensonge qui progresse est de plus en plus facile et de plus en plus innocent.
A cause de l’imperfection du langage, il y a toujours quelque chose de vilain, voire d’avilissant, dans .l’exhibition de la vérité toute nue. Recourir à l’image qui fait rêver, plutôt qu’à l’écrit qui fait penser, est l’ultime espièglerie de la communication politique. Le mensonge a gagné. La fausse authenticité de l’image s’est substituée à l’imperfection du langage.
Le Prince, la Cour, le Peuple – Atticus – Editions Odile Jacob.
LE CLAN, LE ROI, LE PRINCE ET LES ADORATEURS
Des signes éclairés aux foudres du ciel
Du feu sorti des entrailles de la Terre
Le nouveau prince se senti pousser des ailes
Et par cette ignorance de la nature et des hommes
Il s’autoproclama messager du grand ordonnateur
A l’éloge de son père, petit bourgeois de province
La louange fut sienne et par là même, la chose engagée
Le discours encore confus, il s’en alla déterminer
Prêt à lire philosophes et engager conversation usurière
Et par autres voix chercha Sophia, fille de Vénus et Simonide
Ceux sont là bien des maximes bonnes et valorisantes
Auxquels nous voudrions en porter ferveurs et allégeances
Rousseau n’en dit pas moins, et quant à moi y souscrit
Mais l’homme moderne n’en est pas moins un génuflecteur
Adorateurs, adoratrices, néanmoins il mange, boit, dort et aime
La sélection naturelle l’a fait robuste et agile
La maladie, l’existentialisme humaniste, la mort il veut s’en décharger
Il n’a même pas conscience de son activité grégaire chancelante
Ses sens communs sont d’une extrême vivacité accaparante
Sa sensibilité n’est souvent que réflexion matérialiste
Son objectivé s’arrête aux frontières de la cour des contre-mesures
Par son dieu, il construit les suspicions aux abords des politiques templières
Il se souci plus de la voûte céleste que du monde des vivants
Le beau prince par narcisse envoya bordée d’échos à droite et à gauche
Oubliant que peuple ne peut s’abouter à justes devises sans réelle bienfaisance
Que bienséance ne se résume pas à transmission inique sectorisée
Si les convives ne sont choisis qu’aux abords des guéridons du clan
Si peur de perdre dû, n’est que gré de la louange du roi
Alors Festine et Bacchus de votre table de mauvaises humeurs
Ne riront, mangeront, boiront et ne festoieront point
Le prince par vénalité absconse, par la sottise et l’injustice ajoutées
Son aveuglement et abus, exemptèrent le juste contrat social
Serviteurs s’y fourvoyèrent avec les oboles du riche charitable
Par soumission et idolâtrie envers reines de Sabbat et rois de Pique
Adorateurs furent incapables de s’afficher à la cour des reines de cœur et poètes esthètes
Les chevaliers des temps modernes sous couverture des nouvelles amazones
Prirent voies vers la presqu’ile de Lemme
Et sans perdre le prix des vers, avertirent le clan des domestiques
Sous les pendules des justes et des innocents d’antan
Que le discours des nouveaux adorateurs du prince,
Associés aux chants falsifiés des sirènes du souverain d’éloquence
Ne pourront empêcher, par temps faire, dans les conspirations du pouvoir
Que cette maison, dans les oubliettes du château, ne sombre à l’envers.
Pourtant jadis, l’Olympe et le mont Parnasse avaient frères et bons amis(es)
A contre-courant de la mondanité libertine
Dans le silence de Port Royal, au pinacle de l’austère
Des solitaires aux ordres de l’abbesse Angélique, Pascal
Par les lettres de Louis de Montalte, provincial de ses amis
Pestèrent reliquats symboliques, aux grâces divines entre Jésuites et Jansénistes
Adossées à disputations des soixante et onze docteurs de la Sorbonne.
L’échange fut grandiose, à examiner ce qu’il y avait de faux ou de réel
Epanchement exercé par la véritable conscience des uns et des autres
Dans ce qu’il y avait de bon en dieu, ou de mauvais chez les hommes
Ne surent rien, avec certitude définir, même pas leur portée
Vide de l’esprit flirtant aux accords enchanteurs entre charnel et extase
Au présent des commissures entre attachement et liberté
Les coercitions des anciens, à l’attention des connexions nouvelles
Les néo-jeunes ne purent s’affranchir des nouvelles vacuités cessibles
Emancipées aux évasions virtuelles, où flottent encore quelques vagues à l’âme.
M.A
Date de dernière mise à jour : 05/11/2019
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