LA PHILOSOPHIE N'EST PAS UNE SCIENCE
LA PHILOSOPHIE N’EST PAS UNE SCIENCE.
Tant mieux !
C’est pourquoi chacun et/ou chacune doit avoir la sienne.
N’est-il point sot de penser la fugacité des moments, comme il est tout aussi déprimant de croire qu’ils vont devenir insondables ?
Les années faisant chemin vers l’inexistence du corps, les instants de vie passant hors de notre temps touchable, sont-ils suffisants à engendrer l’abstinence psychologique et l’obsolescence physiologique… Afin de croire, que la sérénité serait de s’abandonner à l’inaction envers toutes choses présentes en ce monde ?
Et à sceller son attachement au temps d’un dieu… ?
Que la curiosité envers toutes choses serait mauvaise, et admirable envers une seule ?
Quelques congénères, j’en suis certain, pensent que j’ai grand tort à n’éprouver aucun attachement envers l’image d’un dieu créationniste ?
Mon songe est de penser l’attention, entre liberté et attachement !
Cette entité nommé ‘’Dieu’’ aurait créé le Monde, la terre, l’air, l’atmosphère, l’eau et jardins d’Eden ?
Il a dû faire quelques erreurs, notamment au niveau des atmosphères et des cultures.
Ah oui, il aurait également engendré les fondements de la nature, du vivant ; aussi branché l’esprit des hommes à la lumière divine et à sa lucidité…
Il y eu certainement quelques néfastes connexions… ???
Qu’elle est perfide, cette ‘’chose’’ humaine, notamment sur le fond des épreuves.
Tout cela devrait-il nous interdire curiosités bien aiguisées, ou nous empêcher d’être suffisamment insouciant avec un hédonisme singulier, pour n’avoir plus besoin de croire en la force de penser autrement ?
C’est ce que doivent imaginer les croyants envers les athées et les non-croyants…
Mais en aucune façon les agnostiques pensent cela.
La position des croyants, est d’infliger aux non-croyants un point de vue liberticide de l’attachement envers les choses de dieu, et par là-même foncièrement anti-laïque, et flouté par une sémantique particulièrement corporatiste et anti-universaliste.
Et aux agnostiques, comme aux athées, une filiation notoire avec l’imbécilité, attachée à morphosyntaxique débile et sémasiographie inefficiente.
Ont-ils oublié que le sens de la ‘’gnose’’ est la connaissance, envers toutes ‘’choses’’… ?
Et dans athée, le déterminant ‘’thèse’’.
En la pluridisciplinarité des ‘’choses’’ épistémologiques, ontologiques, et l’évolution par l’assiduité des échanges ???
Je pense, personnellement, que tous les croyants, bigots et bigotes sont choses sottes, effarouchées, par des manipulateurs de consciences sourdes, aveugles et déculturées aux réels sens du monde naturel du Vivant Ces choses de la conscience humaine, ont elles aussi oubliées que le genre humain ne saurait survivre sans la croyance dans le goût de vivre, même si cela n’est qu’un faible sentiment à la suffisance des hommes de dieu … ???
La philosophie n’est pas une science ; c’est pourquoi personne ne peut philosopher à votre place, mais seulement, parfois, vous inciter à l’aborder.
Je n’ai pas d’autre souhait dans mes petits statuts et notifications, dont je ne prétends en aucune façon, pouvoir égaler ce que disait Montaigne dans ses ‘’essais’’ : « Ce sont ici mes humeurs et opinions ; je les donne pour ce qui est en ma créance, non pour ce qui est à croire » …
A la perdition, vanité fit jeux homolatéraux
La prescription se crût synopsis des grâces morales
La presqu’île de lemme s’y fige sous les oboles
La manie nie coquine, les aiguilles piquent au vif
Je te fiche mon billet qu’idolâtrie est mesquine
M.A
Je vous envoie aujourd’hui le profil de l’audace, la morsure du froid, le gel à pierre fendre, l’auberge espagnol et quantités de menus objets dont vous trouverez bien à vous distraire pendant vos veilles. Quelques autres activités, permettez-moi de vous le dire, sont un puissant réconfort dans l’ennui : ce n’est pas en coupant le brouillard au couteau, ni en filant le train que vous parviendrez à d’excellents résultats, non ; le mieux est encore de jouer à qui perd gagne avec n’importe quoi. Rien de plus sain, rien de plus exaltant que ce jeu. N’hésitez donc pas à me dire vos progrès ou vos revers, je saurai me réjouir avec vous, ou m’irriter…
Roger Kowalski
DOUCEURS
Tombée en vertu, dans la nuit
Je n’avais perçu sa présence
Une douceur émanait d’elle
Au réveil, écarquillant les yeux
Je vis qu’elle avait, sans fracas
Convertit les courbes du paysage
Avec un silence prévenant
Préparant mon petit déjeuner
Je songeais à autres desseins
Un oiseau sur le fil, se posa
Je le vis aux travers des carreaux
‘’Que n'as-tu donc pas fait’’, semblait-il dire
Chose que tu aurais exécuté auparavant ?
Non encore réalisée en cette période.
Je confectionnais une petite boule de nourriture
Au fil de l’étendage, je la suspendis
L’oiseau du matin était parti
Mais j'étais sûr, il reviendra
Avec autres sonorités colorées…
Comme la saison dernière
Michel asti
Date de dernière mise à jour : 02/12/2017
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