DROITS - UN A DIX
LE PRIX DE LA DIGNITE
Ce n’est que par un effet de rhétorique que l’on peut arriver à faire croire que la vérité mathématique en économie ‘’incomplète’’ a autorité suprême, comme si toute vérité pouvait s’émanciper de l’utilité d’un pragmatisme d’échelle présent, pour ensuite venir la justifier, en s’émancipant d’une autre thésaurisation, en prémisses subordonnées d’un passé volontairement rendu valorisant, au profit de postulats en futur particulier… En profit de clans de chaires, d’ors, de robes, de pompes et autre empruntés(es) en compte de valeurs falsifiées…
Rien n’est plus incertain que la conscience
La sagesse maitresse par ses mots affiliés
Murmura aux oreilles de son estudiantin(e) :
‘’ Nous nous laissons souvent séduire,
Et sans fondement sur la belle vision,
Comme tout à chacun et chacune,
D’une certitude nouvellement née,
Croyons fort aisément,
A ce que nous craignons des plus grands désastres
Et désirons du plus grand des plaisirs’’.
Le temps ne s’impose pas en ennemi intérieur, mais il est une composition particulière par l’énergie extérieure des choses de la vie…
On connait la célèbre définition qu’a donnée Kant de la dignité :
‘’ Dans le règne des fins tout a un PRIX ou une DIGNITE. Ce qui a un prix peut être aussi bien remplacé par quelque chose d’autre à titre équivalent ; au contraire ce qui est supérieur à tout prix, ce qui par suite n’admet pas d’équivalent, c’est ce qui a une dignité. La dignité, étant ‘’supérieure à tout prix’’, échappe par définition au calcul économique. A ce premier inconvénient, elle en ajoute un second : en tant qu’impératif catégorique, elle constitue un devoir, et pas seulement un droit individuel...
Dans le cadre de la ‘’pensée primitive’’, la personne humaine est constituée de l’ensemble des choses où sa présence est perceptible par autrui […]. […] La personne, c’est son corps, son ombre, toutes les représentations qui peuvent être faites d’elle (photos, enregistrement de sa voix, etc…), les rognures de ses ongles, les mèches de ses cheveux, ses vêtements, le trace de ses pas au sol, voire, dans la pensée rationnelle chinoise, les caractères la représentant dans la langue écrite, etc… Tous ces éléments sont en effet susceptibles d’évoquer à autrui sa présence ; Lévy-Bruhl les appelle les ‘’appartenances’’ de la personne.
Chaque mammifère-humain est enfant de la connexion d’un individu mâle et d’une femelle. Nous sommes enfants d’une rencontre, et parents d’enfants pour la plus grande partie des adultes. Nous sommes affiliés à une origine terrestre dont nous ne connaissons pas encore exactement la date de notre apparition en tant qu’espèce d’hominidés, mais avant tout nous sommes des êtres-vivants de type mammifère-bipède appartenant au genre humain doués des capacités cognitives suffisantes à l’analyse de toute situation constituée de sujets-objets positionnés dans notre zone d’existence. La retransmission de nos valeurs en tant qu’« adultes » est d’une importance capitale pour la génération suivante, et ces apprentissages, tant manuels qu’intellectuels ne sauraient être soumis à dogmes particuliers, au nom de prosélytismes n’ayant à cœur que l’expression complotasse d’une thèse en partisannerie sectaire, n’alimentant que les feux de la division.
Toutes ces définitions de la personne opèrent, dès qu’elles sont assimilées à leur réelle fonction sociale, philosophique et culturelle attachée à la pensée partagée et à l’idée du débat démocratique, alors les intérêts individuels alimentant les corporatismes délétères ne sauraient résister au pouvoir émancipateur du collectivisme… Ces aptitudes d’échanges, d’attention et de respect orientent universellement, au sens où elles valent pour tout individu et dans toutes communautés et sociétés, y compris pour celui dont il est question : de la même manière qu’autrui peut considérer comme étant variations associatives pour tout ce qui évoque pour lui, ma propre représentation de ce qu’est ma personne comme même : l’ensemble des choses qui évoquent ma présence à autrui et, inversement, comme ces choses d’autrui envers ma présence.
Au sein des sociétés, le domaine du Moi s’étend bien au-delà de l’image du corps propre à travers de nombreuses ramifications qui nous paraissent excessives, à nous les individus lucides, dont la perception du Moi est beaucoup plus ramassée autour de l’image du miroir. Ce domaine du Moi au-delà du corps propre correspond aux « APPARTENANCES ».
Pourtant, la propriété privée exacerbée dans nos sociétés contemporaines hyper-médiatisées, étend le domaine de nos appartenances de manière pléthorique, multipliant les moyens par lesquels les autres, et les objets eux-mêmes, ont une emprise sur nous.
Chaque être humain pris isolément a participé dans son enfance aux souvenirs de ses grands-parents, et, devenu vieillard, participe aux espoirs de ses petits-enfants ; il embrasse ainsi cinq générations, soit entre cent et cent vingt ans.
On est autant de personnes différentes qu’on a été de fois disciple.
Il faut juger doublement de l’expérience : dans la mesure où elle exalte la conscience de soi, et selon le degré auquel elle la réprime.
La pensée fait-elle le langage ou le langage fait-il la pensée ?
Ne serait-il pas temps de considérer les échanges inter-linguistiques et culturels comme source de la pensée multidisciplinaire ?
La confiance, même ; ne saurait exister dans les intérêts particuliers dénudés de toutes attentions en sollicitude…
DROITS DE 1 A 10
Par le RSAyste déchaîné.
ETUDE NUMERO UNE
- DROIT A L’ERREUR DE LA BIEN-PENSANCE DE PAPIER ET/OU CELLE DES FIGURINES MASQUEES… ???
Ô Jupiter en exercice gouvernemental de pacotilles ;
N’est-ce pas vous, devant suceurs de micro-maniaques, médias de palais, ministères de chaires, secrétariats de pompes et autres empruntés(es) d’estrade ébahis(es) par vos histoires mythologiques pour ânesses et mulets en prosternation de lèches-bottes, voire couchettes aménagées en foire de palais, qui avez discouru en docte parisienne de droits et de devoirs d’assistés(es), précaires, chômeurs de longue durée et autres affiliés(es) à organismes sociaux d’Etat, tel le ‘’RSAyste’’ que je suis devenu en janvier 2013, après plus de 36 ans d’activité en différentes branches , professionnel dans le domaine des énergies, employé et actif en industrie, second-œuvre bâtiment, responsable technique et commercial, petit et autoentrepreneur dans la grande (Ï) cité lyonnaise à cheval sur deux fleuves, comme autant d’autres travailleurs, employés(es), artisans, entrepreneurs de la génération suivante, assise sur celle bancale de mai 68, éprise de liberté, mais s’étant pour partie, adroitement, fourvoyée dans les ors du pouvoir, la financiarisation du commerce international dérégulé ou les asthénies historico-culturelles… Votre souhait législatif est-il, par les voix et grâces du gouvernement, d’exécuter une partie des précaires et/ou de préparer une augmentation de la fournée de pauvres, afin que les adeptes fétichistes, lécheurs et lécheuses du Veau d’or, descendants de Rothschild, Rockefeller ou des grands argentiers, autres empruntés(es) de chaires ou de paires puissent danser avec les mini-stars logo-médiatisées, poussées au vent des Trumpistes en caricatures de monstruosités Gogoliennes, libérées des mécanismes cognitifs ?
Tout cela par des paroles en location européenne aux sons de membres sinologues en zoo de démarque ?
Oh, les petits prétentieux en comités et académie de bien-pensance, ne soyez pas outragé par mes propos et autres attenants à quelques figurines de papier bien désobligeantes envers les droits et devoirs citoyens, et assurément posées aux clans des fourvoiements et frappées à l’eau boueuse du Marais des Psychédélices. Avant vos éruditions concernant les devoirs de la grande pute royale qu’est devenue notre république démocratique française, avez-vous vérifié que les organismes de son Etat, faisaient correctement leurs devoirs de réelle citoyenneté sociale… Envers les moins lotis en biens et arguments ???
Aaaaah, ben non, trop occupé en rond de jambes, et autres lèches vitrines !
Et toutes et tous, élus(es) de France et de Navarre, vous me semblez connaitre rien de bien édifiant en les liens de la fin de ligne d’une potentielle valeur ajoutée par comptes collectifs, me semble-t-il…
Vous préférez vous occupez en festivités de contes pour enfants soldés aux réels savoirs faires et véritables savoirs être français.
Alors, à votre émancipation portée aux approches d’une porcherie de potentats en vol de malveillance, voire perversité, je vous serai gré, hors de votre clan à foutres, de bien vouloir considérer ce qui suit :
« Depuis mes derniers droits au chômage d’un montant de 536 € versé le 6 décembre 2017, par l’assurance du ‘’Pôle des Astres’’, je puis vous démontrer le désengagement des Directions de ces organismes fomenteurs de paradoxes en sondages de chiffrages indigestes proche d’un pamphlet abruti en devoirs désastreux. En effet, cela ayant été mon test personnel depuis janvier 2013, envers ces joueurs de droits faussés où le ‘’je m’en foutisme’’ généralisé des ‘’petits chefs’’ en est le ressort de leurs incapacités professionnelles, détaxées, depuis plus de quarante ans par les princes de France, potentats de basse-cours et rois de pacotilles, je peux en être constat de la vilénie outrancière du système économique, social et culturel, notamment par des administrations, aimant à enfoncer ou faire taire la voix de dissidences destituées du minimum à vies dignes, afin de les parquer en quelques ‘’no mans land’’ ou zones de non-vie décente éloignées des grandes bienveillances centrales de la mégapole économique parisienne. Sachez également que le RSA est un droit inaliénable et un dû insaisissable. Par conséquent, y ayant droit depuis la fin de mes droits au chômage le 16 novembre 2017, en comptabilisation des jours de carence, j’y ai normalement droit depuis le 1er décembre2017, et ferai donc un rappel auprès de la CAF de la Loire, au cas où la somme ne me serait pas réglée en totalité de la période subséquente à la fin de mes droits assurantiels auprès du PÔLE DESASTRE ».
La lie des choses en droit social minimal a repris son cours depuis le 24 janvier 2017…
J’en suis fort aise, mais la bise hivernale n’est pas terminée, et mon souhait serait de retrouver une activité rémunératrice au juste rapport de mes compétences professionnelles et personnelles…
En effet, de ce que je viens d’émettre maintenant et auparavant, de ma vie de bon petit soldat citoyen des territoires et contrées françaises, émancipé aux feuilles du manuscrit ‘’AU DELA DES QUARANTE MALENCONTREUSES, j’y ajoute une notification à cette parodie de voleurs, tristes courtisanes, inutiles à décence d’existence honorable pour petites gens, qu’il en fallu au secours de mes filles pour disposer de quelques menues monnaies, m’autorisant à acheter nourriture nécessaire à faire vivre mon corps et apporter énergie essentielle à mes mécanismes cognitifs, chargés ''AU VENT DES EMOIS''...
Trouvez-vous, Mr Macron, ainsi que votre gouvernement, la chose normale et humainement acceptable dans une République Démocratique attachée aux Droits de l’homme, de la femme et de l’enfant ?
A moins que cela n’est pas de votre ressort d’homme d’Etat sensible aux notions de liberté, d’égalité, de fraternité et de justice pour toutes et tous, mais plus à même d’y insérer dans l’esprit des nouveaux illuminés de Mammon, les anciens cavaliers de l’apocalypse… ???
En fin de compte, je crois fermement que vous vous en foutez royalement.
Croix de bois, croix de fer, si je mens j’irai en enfer.
Le temps législatif vous donnera certainement droit à l’erreur comme dans la nouvelle vidéo publicitaire de la SNCF vantant ces ‘’OUI Voyages’’, mais ignorante de ses anciennes mauvaises voies ou faisant un déni de ses néo-voix internes, comme certainement autres experts en toutes matières, docteurs en grâce de la condition humaine, génies de l’économie et du commerce, autres sorciers de la finance et spécialistes en communication et marketing, comme autant de gardiens et gardiennes du ‘’Veau d’or’’, à la panse remplie de trop de valeurs nauséabondes, au déprimant souhait des intelligences de cœur, chevaliers des temps modernes et nouvelles amazones véhiculant leur vocalises sur les circuits d’aisance humaniste, dans les territoires du monde naturel des vrais esprit libres vivants…
Vous comprendrez, Monsieur et tous vos ânes de Troie, que je n’ai aucune envie de vous souhaiter bon voyage pour le reste de votre temps présidentiel, mandaté au premier tour des élections de 2017, par seulement 25% des votants en béatitude devant les discours de vos suceurs en politique de starisation médiatico-politique soufflée à la partisannerie de ''caves'' .
Comme cette destitution logique du monde des Républicains agenouillés devant la dépouille d’un valet rouillé…
En second couteau des ors Sarkoziens.
L’Hollandinie sans magie s’en suivit, et aujourd’hui la Macronie en futur de pathologie assignée à déconstruction schumpétérienne, inefficace, s’immisce sournoisement au sein même de la Démocratie…
Mais toujours cette odeur de sang, d'injustice et de montée des présomptions fractales édifiées par un néo-ordolibéralisme en déficience de politique sociologie sans attention, ni respect du PRIX de le DIGNITE...
LE CLAN, LE ROI, LE PRINCE ET LES ADORATEURS
Des signes éclairés aux foudres du ciel
Du feu sorti des entrailles de la Terre
Le nouveau prince se senti pousser des ailes
Et par cette ignorance de la nature et des hommes
Il s’autoproclama messager du grand ordonnateur
A l’éloge de son père, petit bourgeois de province
La louange fut sienne et par là même, la chose engagée
Le discours encore confus, il s’en alla déterminer
Prêt à lire philosophes et engager conversation usurière
Et par autres voix chercha Sophia, fille de Vénus et Simonide
Ceux sont là bien des maximes bonnes et valorisantes
Auxquels nous voudrions en porter ferveurs et allégeances
Rousseau n’en dit pas moins, et quant à moi y souscrit
Mais l’homme moderne n’en est pas moins un génuflecteur
Adorateurs, adoratrices, néanmoins il mange, boit, dort et aime
La sélection naturelle l’a fait robuste et agile
La maladie, l’existentialisme humaniste, la mort il veut s’en décharger
Il n’a même pas conscience de son activité grégaire chancelante
Ses sens communs sont d’une extrême vivacité accaparante
Sa sensibilité n’est souvent que réflexion matérialiste
Son objectivé s’arrête aux frontières de la cour des contre-mesures
Par son dieu, il construit les suspicions aux abords des politiques templières
Il se souci plus de la voûte céleste que du monde des vivants
Le beau prince par narcisse envoya bordée d’échos à droite et à gauche
Oubliant que peuple ne peut s’abouter à justes devises sans réelle bienfaisance
Que bienséance ne se résume pas à transmission inique sectorisée
Si les convives ne sont choisis qu’aux abords des guéridons du clan
Si peur de perdre dû, n’est que gré de la louange du roi
Alors Festine et Bacchus de votre table de mauvaises humeurs
Ne riront, mangeront, boiront et ne festoieront point
Le prince par vénalité absconse, par la sottise et l’injustice ajoutées
Son aveuglement et abus, exemptèrent le juste contrat social
Serviteurs s’y fourvoyèrent avec les oboles du riche charitable
Par soumission et idolâtrie envers reines de Saba et rois de Pique
Adorateurs furent incapables de s’afficher à la cour des reines de cœur et poètes esthètes
Les chevaliers des temps modernes sous couverture des nouvelles amazones
Prirent voies vers la presqu’ile de Lemme
Et sans perdre le prix des vers, avertirent le clan des domestiques
Sous les pendules des justes et des innocents d’antan
Que le discours des nouveaux adorateurs du prince,
Associés aux chants falsifiés des sirènes du souverain d’éloquence
Ne pourront empêcher, par temps faire, dans les conspirations du pouvoir
Que cette maison, dans les oubliettes du château, ne sombre à l’envers.
Pourtant jadis, l’Olympe et le mont Parnasse avaient frères et bons amis(es)
A contre-courant de la mondanité libertine
Dans le silence de Port Royal, au pinacle de l’austère
Des solitaires aux ordres de l’abbesse Angélique, Pascal
Par les lettres de Louis de Montalte, provincial de ses amis
Pestèrent reliquats symboliques, aux grâces divines entre Jésuites et Jansénistes
Adossées à disputations des soixante et onze docteurs de la Sorbonne.
L’échange fut grandiose, à examiner ce qu’il y avait de faux ou de réel
Epanchement exercé par la véritable conscience des uns et des autres
Dans ce qu’il y avait de bon en dieu, ou de mauvais chez les hommes
Ne surent rien, avec certitude définir, même pas leur portée
Vide de l’esprit flirtant aux accords enchanteurs entre charnel et extase
Au présent des commissures entre attachement et liberté
Les coercitions des anciens, à l’attention des connexions nouvelles
Les néo-jeunes ne purent s’affranchir des nouvelles vacuités cessibles
Emancipées aux évasions virtuelles, où flottent encore quelques vagues à l’âme.
LE RSAYSTE DECHAÎNE
ETUDE NUMËRO DEUX
- DROIT DE CHOIX
Il est quelqu'un d'ordinaire qui a crû à tout ce que la société des hommes et des femmes lui a montré pendant son apprentissage, il a fait de son mieux pour coller à cette vision, il n'en avait pas d'autres. De par la compréhension de sa conscience, il a pensé que cela consistait à bien apprendre et appliquer de cette société à réseaux d’échanges ‘’humains’’, ses valeurs, lois, règles et codes définis et retransmis. Actifs et valeurs apprises et emmagasinées en tant que priorité de nécessité pour y être, mais plus difficilement pour y bien-être, son extraordinaire maîtresse la ‘’VIE’’ ; le lui a fait entrevoir, assez tard il est vrai. Il a compris, dans cette société, il vaut mieux savoir conjuguer le verbe ‘’avoir’’, que le verbe ‘’être’’, et elle avait raison pour ce lieu, mais pour Elle, il préfère continuer à conjuguer le verbe ‘’être’’.
Ici, lorsque tu n'as matériellement et financièrement presque plus rien, tu n'es pratiquement plus rien, sauf pour celles et ceux dont le regard ne s'est pas détourné et la ‘’voix’’ n'est pas devenue volontairement silence, car ils, elles savent que tu es resté le même, même si tu n'as pas ou plus moyens spéculatifs et outils palpables à le démontrer. Et une partie ‘’d'« ELLE »’’, en tant qu’attentions, sensations, attachement, émotions et souhaits, est encore forcément en ‘’toi’’, et ce seul petit nombre, lui a suffi pour continuer à ‘’être’’.
Il est apolitique et agnostique ascendant schisme, au sens de la dispersion, volontaire. Et oui, il n’a pas choisi ! Certains de ces ancêtres avaient curiosités, envers le schisme entre la grâce, les cieux, l’enfer, les femmes et les hommes, tels Aristote, Kant, Locke, Voltaire, Hume, Freud, Nietzsche, Pascal, Diderot, Rousseau, Dumas, Einstein et autres extraordinaires esprits didactiques potentiellement intelligibles. Cela n'est que sa vision à lui et pour lui, car il pense que la politique et la religion, sont de croire à des convictions adoptées par un nombre strictement inférieur à celui pour lequel elles doivent obligatoirement être désignées, afin de les faire adopter par le plus grand nombre possible en tant que nécessité de vérité et de salut, sans pour cela être sûr de la ‘’chose’’ en tant que vertu, à l’instant où elle a été préconisée et exposée, dans ses états épistémologiques, philosophiques, sociologiques, éthiques, ontologiques, et rarement comblée par quelques vertus et bienséances pédagogiques, mais assurément pour s’approprier pouvoir, au nom de je ne sais quel monothéisme religieux ou politique templière assujettie à quelques dévots à incohérences patentes et verbiages affectant les esprits désuets croyant en l’existence de paradigmes ‘’hors sol’’ terrestre, où le jugement dernier serait de penser que toutes les inconsciences absorbées par l’ordre de l’ignorance seraient absoutes par cette entité ‘’virtuelle’’, capable de donner pardon à l’amoralité liée aux consciences dogmatiques du paradoxe entre le diktat du malin et les postures envers la grâce particulière… ???
Le pouvoir n’est pas une donnée tombée du ciel ou sortie des tréfonds de la terre. Il est une volonté de certains hommes et femmes à se croire au-dessus du monde Naturel, aux faits holistiques des vicissitudes de femmes et hommes, ignorants ou non instruits au réel et juste ordre intelligible de la meilleure attention et transmission possibles quant à une existence humainement acceptable au milieu des leurs ; TERRIENS ET TERRIENNES DANS LE MONDE NATUREL DES VIVANTS.
Corpus universaliste n’est en aucune façon, l’abri des éruditions unipersonnelles de l’entre soi, mais le partage du ‘’TOUT’’ !...
Dans la mesure des connaissances actuelles et réels savoirs acquis.
Cela devrait être la première des maximes à acquérir dès le plus jeune âge, après le langage, et bien avant, vouloir à n’importe quel prix humain ou valeur sacrificielle, faire comprendre les potentiels bienfaits ou malfaisances des anciennes écritures ou nouvelles servitudes, de n’importe quel ordre, source, origine, usure, philologie, sémiologie, ou sémantique que sont les émanations textuelles, expressions, desseins d’ici et pensées d’ailleurs… Et inversement. Il n’en est hélas pas souvent le cas, notamment chez ces femmes et hommes de doctrine à peu de considération envers leurs congénères de toutes échelles, socio-culturelles et de tous âges, entre les deux dimensions théologiques et ontologiques que sont celles des : – Cieux et de l’Enfer. Alors que chez les hommes, ce dogmatisme paradoxale n’est en fin de compte, souvent qu’affaires de droit, d’intérêts individuels et de pouvoir entre les possédés(es) et les possédants(es)…
Me semble-t-il ?
Faust pactisa avec le maitre des profondeurs obscures
Machiavel savoura plaisir et sévérité du pouvoir, et ses arcanes
Le marquis de Sade explora le sadomasochisme, et formes extrêmes de soumission et subordination.
Freud cherchât l’esprit du père, de la mère, du fils et de la fille… Et l’aspect charnel de femme et homme.
Descartes considéra l’indifférence comme le plus bas degré de la liberté.
Rousseau eut des enfants sans véritablement leurs apporter éducation essentielle et transmissions utiles ; laissant ces apprentissages à autres considérations… Ce qu’il regretta.
Pascal laissa voguer ses pensées aux grâces de l’austère et la vision attractive de la société libertine.
Einstein précisa que l’homme est une infime partie du tout que nous appelons ‘’Univers’’…
Et le jour où la technologie dépassera les capacités humaines, le monde risque alors de voir une génération de parfaits imbéciles.
La Fontaine fut le premier à entrevoir que l’homme est très souvent un animal ridicule, prétentieux et égocentrique, dopé aux pires reliquats de la vénalité, l’accaparement systémique et la soumission au Grand Argentier.
Et tout cela au nom du dieu de la possession au lieu d’un alléluia envers la divinité de la sagesse, où les enfants d’Irène, déesse Grecque de l’équilibre et de la réconciliation, n’auront eût que peu de persuasion à ce que la descendance de Caïn, puisse faire un déni du dogme du père leurs ayant édicté :
‘’L'infernale convoitise pousse les enfants de ‘’Caïn’’ à s'emparer de tout ce qui est à leur portée, et comme si ce n'était pas assez qu'un seul accapare ce qui suffisait à des milliers de ses semblables, il voudrait s'y établir, lui et toute sa couvée pour toute l'éternité’’.
Mais peut-être, comme le stipulait Nietzsche : ‘’Parfois, les gens ne veulent pas entendre la vérité, parce qu’ils ne veulent pas que leurs illusions se détruisent.’’
Par conséquent, nous pourrions peut-être considérer cela, comme un impossible accord entre le corps et l’esprit, ou matérialisme et existentialisme, ou encore la dualité [Onde-Corpuscule], soit ‘’Matière-Energie’’. Laissons, pour l’instant, ce dernier de côté, il s’agit d’un autre domaine d’étude…
La dimension cognitive attachée à cette théorie, sont les savoirs et, la connaissance nécessaires au recours à un certain type de représentations collectives, totems, signes, expressions, symboles et statuts pour fonder les institutions, notamment celles attachées à une véritable sociologie permettant à l’humanité, évolution acceptable dans son milieu naturel, sans dégradation intempestive de ses zones de vies, écosystèmes et autres biosystèmes.
Ces interrogations rejoignent celles des esprits libres, quand ils analysent la position d'un pur rationalisme pragmatique, aux termes de laquelle l'utilisation de ces représentations apparaît comme un détour inutile, voire falsifié, où l’application des bases d’avant, est considérée majoritairement sans valeur cognitive intrinsèque, mais juste à être reproduite.
Cette thèse pragmatique se suffit-elle à elle-même?
N’est-ce pas là une forme d’habitude morne adossé à imaginaire asthénique ?
Ou plutôt une forme de pouvoir attaché à l’image de l’inique royaltie élitiste ?
Il y a deux sortes de pouvoirs ;
- 1 : Le pouvoir matériel et physique (conflits armés)
- 2 : Le pouvoir psychologique (conflits des idéaux)
Lorsque le deuxième a atteint la limite de son propre pouvoir lié à la dialectique, la sémantique et la rhétorique, alors le clan, la tribu, la communauté, la secte ou tout autre système à réseau échangiste et par là-même connecté à l’information de cet espace de dialogue intercommunautaire, intergénérationnel, multiculturel et multi-identitaire, exsangue, sera affecté par la seule loi régissant le but d’imposition à la différence ou non-conformité du clan d’en face, une forme de soumission ou de terrorisme intellectuel, permettant de créer une dimension fractale, débouchant dans la plupart des cas, lorsque que les règles du matérialisme et l’opposition géophysique sont réunies, sur guerres et violences physiques entre les belligérants des deux camps, déterminés comme opposition intellectuelle ou territoriale, entre ces deux clans, ou communautés. Et avoir les moyens et outils suffisants et nécessaires à engager le conflit guerrier au rapport des idéaux de la tribu, par son chef élu, que ses prosélytismes soient bons ou néfastes envers ses congénères, et autres, hors de son clan ou sa fratrie, au nom de sa survie ou la postérité de ses lois, règles, dogmes et sa vérité inique…
Et par là-même le zèle du chef de la dynastie et son dévot ne permettent plus l’évolution de quelque clan et communauté, quel qu’il ou elle soit, car ils proclament qu'ils ne déguiseraient jamais leurs sentiments pour quoi que ce fût : que c'était leur créance ; et que lui et tous les siens la défendraient jusqu'à la mort, comme étant la pure doctrine du maître de leurs ‘’cieux’’ ou de leur ‘’enfer’’.
Et tout cela car la dialectique entre les échangistes présents dans les différentes communautés et cités n’est plus en mesure de s’accorder à la sémiotique des échanges sincères entre les différents protagonistes de la grande scène des rapports ‘’humains’’… La poésie, la musique, la danse, le romantisme, la culture, l’humour, la dérision et l’espièglerie ne sont plus les extraordinaires accords autorisant la merveilleuse parodie, respectueuse des harmonies personnelles et des jeux duaux… Soumis à opprobres perfides.
Mais les contraintes des sociétés où nous vivons devenant de plus en plus nombreuses par les degrés et le nombre de décalages existants entre les justes attitudes et sincères aptitudes au rapport de cette réalité consciente, qu'il en devient par voie de conséquence, très difficile d'en entendre ses bonnes voix au nom des justes causes, bonnes raisons et belles devises, parmi toutes les émissions sonores et visuelles qui en édictent toutes les variances bonnes ou mauvaises, émérites ou non, qui avec un peu moins de ces croyances, souvent nécessaires, mais parfois excessives, en cette incertaine conviction monothéiste compulsive, constituante de l’accumulation de richesses matérielles au nom de Mammon, par déni d'autres, pourraient peut-être, par meilleure vision, et juste écoute du bon sens de la ‘’Vie’’, nous permettre de se rapprocher de son extraordinaire beauté, et de s'éloigner de certains lieux, où il ne fait plus bon vivre, par nombre exponentiellement devenu trop grand, pour juste pouvoir y survivre, et dont les différentes unités, se tourneront invariablement, vers des croyances, encore plus irréelles, divulguées par les voix de cette irréalité intouchable, qu'ils n'arrivent plus à considérer comme touchante en son réel bien être, car le nombre de groupes ayant eu accès en la fausse croyance du réel bien avoir, possèdent maintenant la propriété d'accéder en cette ultime croyance du bien être absolu par le bien avoir tout. Ce qui est d'une totale ineptie, car le seul maître du jeu est, le ‘’Temps’’, qui est le plus sûr et meilleur allié de la vie, qui par beau temps devient resplendissante, avec cette petite certitude, que tout essentiel à une vie n’a pas propriété à être considérée et approchée par moins d’une réalité touchable. Tout simplement car moins(-) d’une vie’, n’a aucune définition physiquement réelle, en ou hors de son lieu d’existence biophysique naturel...
Or si la politique à la vertu de penser qu'elle peut apporter le ‘’bien-être’’ général, en ses lieux de compétences et la religion la vertu de croire en ‘’l'être-bien’’ en ses lieux de savoirs théologiques, il n'y a jamais eu de preuves réellement durables, sauf peut-être dans notre mémoire ancestrale en son lieu d’incompétences, le subconscient.
Mais continuons à croire à ce que nous pensons être le bien en autres, afin de le faire adopter par le plus grand nombre, et cela n'est ni politique, ni religion, c'est juste le bon sens du beau, du bien et du bleu de la merveilleuse force de la vie. Certains hommes et femmes possesseurs de cette vertu, ont réussi à la diffuser sans contraintes, tout au long de l'histoire existante depuis la naissance de la ‘’Vie’’ consciente, et, certains et certaines continuent encore aujourd'hui, me semble-t-il, malgré les difficultés grandissantes attachées à l’incompréhension et à l’inattention de certains Êtres, envers ‘’Elle’’… Et le monde naturel dans l’espace-temps des ‘’ Sûrs-Vivants’’…
Je crois en cela, d'ailleurs une de mes filles m'a dit une fois que j'avais des gros yeux, des grandes oreilles, et une bouche que j'utilisais parfois pour émettre des invectives bizarres dont leurs propriétés étaient de ressembler à des noms d’oiseaux, d’animaux ou d’insectes… Déjà émis de bien meilleure façon en d’extraordinaires proses, par la verve de ce cher Jean de La Fontaine…
Je vois donc aujourd'hui, le surnom dont elles ont dû m'affubler.
Ce doit être de l'ordre de: ‘’NOTRE PÈRE TEST FOU’’ ;
‘’PÈRE FOUTEST’’, ou encore peut-être : ‘’PAPA NOTRE BIEN FOU’’…
J'aime bien la dernière. Hihihi…
‘’L'obligation cesse d'être une contrainte quand les valeurs illustrées par les mœurs, us et coutumes prennent le visage de quelqu'un et sont portées par l'élan de nos désirs ou convictions. Alors la contrainte devient appel’’.
Bon, d'accord, il peut être considéré, comme partie de vérité les louanges de certaines valeurs, règles et lois propres à ce système sociétal...
Majoritairement dans et par certaines de leurs compositions douées d’attention humaniste; mais beaucoup moins dans leurs représentations, applications eet utilisations, parfois tordues ou floutées par de mauvaises intendances corporatistes et néfastes esprits, envers autres… Certes, il mentirait s'il disait ne pas avoir obtenu quelques bienfaits et satisfactions par certains échanges et circonvolutions, à une époque antérieure, mais cette jolie maîtresse, encore elle, lui a, à un certain moment indiqué un autre chemin qui n'est plus tout à fait celui en lequel il avait crû des années durant, et cette ancienne croyance s'efface doucement au profit de la nouvelle, avec laquelle, il se trouve en meilleure osmose. Il a connu la joie, les plaisirs, la tristesse et toutes ses éèmotions nées des impacts du conscient sur notre corps. Sa conscience à analyser ces percussions, et a fait ce qu'il est aujourd'hui, et jusqu'à plus. Cette conscience essaie pourtant bien en priorité de garder précieusement le beau, le bleu et le bon sens du vent présent chez son potentiel ‘’allié’’, l'inconscient. Mais cette conscience ne connaît pas trop la direction du vent chez son ‘’meilleur ennemi’’. Elle a donc quelques difficultés à trouver le bon sens du vent, en essayant de percevoir et ressentir, puis jongler avec les courants ascendants et descendants. Alors, elle veut bien croire à cela, temps qu'elle ne considère pas les contraintes infligées à ce corps qui l'héberge ou autres proches comme atteintes graves à ce corps ou autres, à la vie, à sa nature ou à son ordre des choses, car dans ce cas- là, elle pourrait envisager de faire subir à ce corps ou autres en réponse, des contraintes telles qu'elle serait, à l'extrême, capable d'organiser des actes de destruction vis-à-vis de ce corps et autres.
Dans ces cas extrêmes, cette conscience commettrait une grave erreur de direction, car dans ce ‘’conscient’’ là, son vrai et réel territoire, même la destruction effectuée, cette conscience sera analysée, jugée par toutes les consciences individuelles, et elle restera dans les consciences proches, peut-être dans la conscience ordinaire ou plus, dans la mémoire collective, voire dans la mémoire ancestrale, en tant que notions de vrai, faux, bien ou mal adoptées par le nombre le plus grand de ces consciences individuelles ou déraison par le nombre restant. Et la réponse de certaines de ces consciences actives, sera majoritairement empreinte de ces notions considérées par elles comme ‘’vraies’’ ou ‘’fausses, en fonction de la notion du ‘’bien’’ ou du ‘’mal’’ née de leur propre perception en l'analyse du degré d'équilibre entre ces échelons les plus haut et les plus bas, au rapport de toutes ces ‘’notions appréhendées’’, sans certitudes absolues, mais avec toutes leurs convictions bonnes ou mauvaises, qui leurs ont été inculquées par les croyances d'avant et les leurs, en tant que projections d'une possible meilleure réalité future, par oubli que l'existence ne peut juste être celle de ‘’maintenant’’, poussée doucement par le bon sens des espaces touchants de ‘’plus loin’’ et assurément proche de la belle vie et du bon temps dans la zone sociologique ou contrée géographique naturelle…
Alors oui, cette conscience fera toujours de son mieux pour combattre les contraintes qu’elle considère comme insupportables par ce corps qui l'héberge, et celles liées à sa propre condition, qui consiste en fonction de ses connaissances acquises, à déchiffrer les codes de sa propre dimension, ceux de sa matrice et de son environnement, afin d'appréhender les prémices de la compréhension pour espérer connaître la ‘’réponse’’, quitte parfois, par, non acceptation et refus, à s'en faire déposséder de la dernière partie du bon sens ‘’d'elle’’, par temps mauvais...
Cette vie, nous envoie toujours des signes, il faut juste comprendre les codes, signes, symboles et expressions de son extraordinaire langage…
ETUDE NUMËRO TROIS – Copie au Directeur de la CAF de la Loire.
- DROIT A LA LIBERTE D’EXPRESSION
MISSIVE AUX TUBERCULES DAVOSIENNES, POURRIES.
Alors les Da-Vauriens, bien passée cette réunion dans l’air du temps de Davos ?
Bonne ambiance en festivités de nullités économico-financières envers le bien commun mondial ?
Car à réunir chaque année les cercles d’étude soustractive, voire divisionnaire consistant en fin de compte annuel à constater, pour 2017, à ce que un pourcent (1%) des plus riches, par toutes sortes de mécanismes opérationnels légaux ou illégaux, ont raflé la plus grosse mise, soit quatre-vingt-deux pourcents (82%) des richesses mondiales tient plus de la manipulation en perversité de branlette intellectuelle de clans, que d’une gestion sociale-économique claire et respectueuse des créations de bien(s) et services marchand vers un commerce équitable suivant saines valeurs échangistes entre femmes et hommes civilisés(es).
Quant à toi le Prince de la ‘’baise’’ des droits sociaux, au lieu de parler de Partage, Bons Investissements et Protection, à des ‘’têtes de nœud’’ se foutant royalement de ce que tu racontes, tu ferais mieux de convoquer tes sous sous-fifres incompétents, afin de leur préciser leur mission, tel le Directeur de la CAF de la Loire, pour qu’ils s’enquièrent à bouger leur cul, et qu’ainsi mon dossier de renouvellement de DROITS AU RSA puisse aboutir au versement de cette aide sociale de 480€ mensuelle, et ensuite pouvoir logiquement payer mes factures d’électricité, consommation d’eau, frais de logement et réussir à acheter quelques nourritures terrestres essentielles à mon corps et mon esprit. Ce qui aurait pour action louable, en celle que mes trois filles, qui ont-elles-mêmes des enfants, ne soient pas dans l’obligation ‘’démocratique’’ d’envoyer quelque argent à leur vieux père pour qu’il puisse disposer du minimal à vie digne et peut-être honorable.
Pour le reste de vos incompétences volontaires, je puis juste exprimer mes doutes par écoute et visualisation de vos inepties m’autorisant à avoir ‘’matière’’ utile à mes ébats textuels libres…
Ah oui, le petit narcissique, si tu pouvais murmurer à la grosse vache allemande (je sais, ce n’est pas politiquement correct) d’arrêter sa ‘’Soziale Marktwirtschaft’’ (sociale-économie de marché) de bousiers Luthériens, cela me tenterait à penser que tu es doué d’un culot certain, plutôt qu’à faire croire à tes histoires de bisounours et contes pour enfants sages.
Mais bon, en attendant cette utopie, je vais m’atteler à concocter un bon gros cochon farci au blé noir des fauchés(es), tout cela accompagné d’une sauce aux glyphosates et fumé sur charbon de bois bien trempé aux sources de l’intelligible, afin de le servir l’année prochaine à tous les ravis de la crèche Davoisienne, ainsi qu’à tous les crétins ébahis par les voix de l’impénétrable et pourtant puissante bêtise de l’homme moderne…
Pas bien cordialement, les faux jetons.
Le RSAyste déchainé.
ETUDE NUMËRO QUATRE
- DROIT A LA DIFFERENCE
En toute vraisemblance, je me devais pour me libérer des esprits chancelants, faibles ou par trop opportunistes de ne plus chercher à comprendre leur danse de Saint Guy, et même à m’en éloigner. Car à percevoir leurs gesticules sans fondements pragmatiques et par là-même inopérantes à rendre lucidité à leurs actions utiles à la nécessité d’une potentielle préservation du bien commun, ne réussissaient qu’à m’irriter. Leurs us, coutumes et orthodoxies alliées de l’espace commercial où la réelle valeur du sujet-objet considéré comme provision suffisante en le degré le plus haut de son essentialité étaient pathétiques.
Non que je m’offusquasse plus que le commun des hybridations grégaires à ne pouvoir y émettre attentions suffisantes aux raisons de leurs devoirs d’engagement particuliers en l’attachement envers un véritable humanisme, moins à même d’apporter à notre conceptualisation du système socio-économico-culturel affichée à ma communauté formulée par les bienséances d’échanges pour compréhension mutualistes, que la falsification de leurs tares dans un e-commerce à docte d’éréthisme pourvu à un militantisme anti-pluridisciplinaire où sous couvert d’inattention ; Big Brothers étaient en train de vaciller sous les coups des applicateurs et applicatrices de B to B, en Bla-Blas de nouveaux monnayeurs d’esclavagisme sans chaînes apparentes…
Quelle bandes de sots, inconscients et inconscientes quant à la facture en solde de leurs enfants soumis aux ravages d’un népotisme culturel sans valeurs tangibles où l’information en transmission de savoirs me semblait proche d’une affiche collée au mur du sectarisme intellectuel, en allégation de rares onces de pédagogie, par bienveillance intergénérationnelle, au profit de certitude en images de logo-atomisation appropriées par quelques pervers narcissiques, partiellement inutiles aux délais d’apprentissage et de respect des lois naturelles.
J’y mettais entre ces interstices des consistances en vœux de libre échange une espèce de déshérence en sollicitude de dimensions touchantes par une volonté à vouloir vaincre les intendances prônant un empirisme, sans distinction de zones d’existences non sécurisées, en règne de possession absolutiste, avec pour singularité en celle de laisser croire que ce matérialisme inique ne serait pas source malheureuse en grande consommatrice d’énergies accaparatrices. Même si je pensais en comprendre partiellement la peur existentielle de mes congénères, je n’en approuvais guère la méthode et le discours, surtout lorsque leur bonne partie en était obérée par des institutions étatiques en seul estime de projet corporatiste par validité d’individualisme clandestin, où l’unique image du marchandising en office d’opérateurs d’aseptisation antinaturelle serait la plus belle part de leurs propositions contre les inondations en stérilité d’innovations…
http://mickael-montest.e-monsite.com/pages/sciences-sociales/les-tics.html
- QU’EST-CE QUE LE SENS DE Ï’E-COMMERCE… ?
« La visualisation la plus large possible des utiles savoirs faire au sein de chaque entreprise, société ou groupe, additionnés aux réels savoirs être personnel OU/ET de groupes et communautés. »…
Je n’étais pas certain que cette connaissance soit toujours de bonne déontologie au sens même du véritable utilitarisme dans toutes les branches de la société d’échanges de bien(s) et services valorisées à leur essentiel coût au rapport des besoins de consommation et nécessités de préservation du bien commun et des normes éthiques applicables envers tout écosystème et biosystème naturels… ???
En cette période de ma vie, il me semblait plus utile de me régler en fonction de celles et ceux avec lesquels j’aurai peut-être à vivre matérialisme de raison exercée, et que pour savoir qu’elles étaient leurs opinions, je devais plutôt prendre garde à ce qu’ils pratiquaient de véritable qu’à ce que leurs idées n’y pouvaient s’insérer en compromissions d’activités non solubles avec quelques principes de précaution. Il y avait peu de gens de mes anciennes connaissances, en covalence d’esprit, qui s’exerçaient en suffisances de sincérité pour que je n’eusse en les agitations cognitives qu’indifférence d’affection envers les nouvelles initiatives.
Il y a peu de gens qui veillent au langage de la logique humainement acceptable autorisant à dire tout ce qu’ils croient, mais aussi à cause que les premiers l’ignorent eux-mêmes, car l’action de penser la ‘’chose’’ différente de celle par laquelle on la croit mauvaise est souvent le déni de bonnes intentions.
L’enfer est pavé de bonnes intentions…
J’espère seulement que mes écrits auront peut-être apportés quelques petits indices positifs, paradoxalement à cette vision particulièrement négative que j’ai au rapport des fonctionnements étatiques envers ce beau pays France où certains de ses habitants, sont encore respectueux de ces belles valeurs attachées aux justes et équitables systèmes sociologiques à réseaux ‘’humanisant’’, dont quelques-unes sont trop souvent floutées par le 4ème pouvoir dans et par son côté obscur, où la plus néfaste expression en est assurément la logo-médiatisation des termes tendancieux impropres à une juste culture démocratique… Destituée de quelques formes de justice, d’égalité et de fraternité, autorisant pourtant par effet contraire la perception de potentiels signes annonciateurs de quelques salvatrices petites libertés d’expressions propres aux lieux d’existence de l’être humanoïde dans le monde des vivants. Qui ne sauraient être imaginées hors d’un équitable et juste ordre géo-politico-socio-économico-culturel soucieux de la totalité des énergies naturels et celles affichées par tous ces petits morceaux de matière organique doués des meilleures pensées cognitives et extraordinaires imaginations accompagnées par les bonnes consciences attentives aux nécessaires savoirs être et utiles savoirs faire, dans le cadre des droits de l’homme, de la femme et de l’enfant.
LA SOCIALE ECONOMIE DE MARCHE ALLEMANDE ET L’ECONOMIE SOCIALE DE MARCHE FRANCAISE…
La France est, me semble-t-il devenue une basse-cour de la sociale économie de marché, où ceux et celles sonnant le chant du ‘’coq’’ ont pour essentiel désir à se battre pour retrouver la poule aux œufs d’or, en oubliant que les ‘’rôtisseurs’’ d’avant l’ont déjà déplumée et envoyé ses restes aux quatre coins du poulailler. C’est à mon avis, en principal, le refus de ce démembrement corporatiste, et la non pratique par ses sphères de gouvernances, de pouvoirs et de gestion économique qui ont permis à l’Allemagne d’avoir une balance commerciale positive et en second lieu en ayant privilégié, après-guerre les apprentissages et savoirs faire techniques, technologiques et industriels. Cela a assurément permis à cette Allemagne d’avant et d’après-guerre, d’engendrer son évolution économique globalement positive et son équilibre commercial statutaire dominateur au sein de l’Europe. Quitte aujourd’hui parfois, à faire déchanter le marché des ‘’coqs criards’’ et ‘’poulets’’ cuisinés aux aigreurs, qui pour quelques-uns, sont pourtant enchantés d’acheter et devenir propriétaires de certains biens industriels, matériels, cultures et aliments produits par ce pays avec l’aide de travailleurs détachés payés moins que le tarif ‘’marché’’, en favorisant par cet effet de concurrence en phase avec les lois amorales de la mondialisation, le PNB allemand et soutenant son revenu par habitant évalué en tant que composant du peuple germanique, oubliant parfois le lien de ‘’cousin germain’’.
Et pendant que d’autres coqs européens s’égosillent sur les infertilités sociales-économiques de l’ultra-libéralisme divisionnaire et ghettoïsant, de l’ordo-libéralisme à idéologie déficiente, du capitalisme antisocial outrancier et du communisme d’antan inopérant, sans réussir à proposer de réelles et véritables solutions acceptables par majorité des ‘’paons’’ européens vocalisant leurs égos, le ‘’chat physique’’ de Schrödinger joue avec ses amis financiers et danse sur cette pseudo sociale économie de marché au classement frappé du sceau de l’inégalité rafistolée au déterminisme du protestantisme Luthérien, et aujourd’hui, à la croisée des chemins, celui de la division Cultura-identitaire… Coqs, paons et petits poulets aveuglés… Méfiez-vous des états à pensées iniques et de la capacité des félidés à retomber sur leurs pattes. Le ‘’chat’’ allemand ronronne ; et pour l’instant il veut bien continuer à écouter la valse émanant des salons feutrés parisiens, et même si après avoir effectué quelques pas de Flamenco, il n’a plus envie de danser le Sirtakis, tout en refusant de chanter quelques notes de la Traviata ; ne pas oublier l’histoire des pays du vieux continent, même si cette contrée germanique à influences romanes chevauchant mers du Nord et Baltique a réussi, après destruction du mur de la honte, à construire un certain modèle d’unification malgré le difficile exercice, en composant avec les différentes formes de sensibilités sociales, libertés économiques, perturbations sociétales, ainsi que les intérêts et discordances liées à certains mauvais corporatismes politico-économico-asociaux trop liberticides envers quelques flux, marquant la monnaie impérieuse et l’échange de biens et services marchands pourtant nécessaires et utiles dans et par leur juste partie et indispensable à une véritable économie sociale de marché, composant avec argent et art des gens… Alors qu’auparavant certains penseurs eussent été incapables de se résoudre à l’idée que les seules principes potentiellement viables en termes de politique économique sont à réaliser dans le cadre d’un ordre économique de marchés assujettis au concept originel du socialisme démocratique, et non à une politique ordo-libérale séculaire inapte à néologisme habile… ‘’Kel Mère’’ ce ‘’chat’’ Teuton…
Et à se dévoyer avec des états à institutions cultuelles de peu de considérations envers les mammifère-humanoïdes adeptes du respect de la femme, de l’enfant, et de la liberté d’expression, alors que ces clans mensongers prétendent ne pas vouloir convertir la liberté d’exister à leur vérité spirituelle obscure. J’ai quelques doutes… Avec l’empire Ottomaniaque… Et, quelques désaccords d’interprétation du point d’équilibre de la sociale-économie entre le pragmatisme patriotique de la physicienne, à peu de philosophie politique, et les quelques résistances de son danseur préféré, lui envoyant en certains cas compliqués quelques aficionados, afin qu’ils apprennent à danser la Salsa du démon de Francfort, tandis que le monocle à chapeau melon, entra par pas chassés dans la chorale européenne, et sortira à reculons de l’EU, certainement pour cause de devises communautairement inaptes à l’individualisme, mais toutefois toujours révérencieux par l’exercice de statures telles celles propres à l’imposture , en chantant ‘’I’m just a gigolo’’…
Tout en écoutant au loin à l’Ouest de la finance londonienne datant des accords de Brettons-Wood et du plan Marshall l’irrésistible complainte à masque fraternel ordonnatrice, édictant: ‘’Je suis le fondateur du néo-libéralisme adopte le schiste, c’est l’indépendance énergétique et le commerce Taftaien, à défaut d’une sociale-économie Européenne défaillante’’. Où à l’Est du nouvel Eden, lorsque les puits d’énergies fossiles auront fini de cracher leurs dernières liquidités noires, les hymnes nationaux des anciens régimes autocratiques auront cessé d’émettre les mauvais accords impropres à une possible synchronique socio-culturelle, et que le petit homme sage drapé d’un sarrau blanc, avec un regard malicieux chaussé d’une paire de lunettes rondes, se sera définitivement détourné de la route du sel, car il aura compris que la destruction de celui de la vie est engendré par les 14 milliards de pieds avançant toujours avec frénésie vers plus de consommation devenue compulsion consumériste anarchique envers Dame Nature. Et tout cela au nom du dieu de la possession au lieu d’un alléluia envers la divinité de la sagesse, où les enfants d’Irène, déesse Grecque de l’équilibre et de la réconciliation, n’auront eût que peu de persuasion à ce que la descendance de Caïn, puisse faire un déni du dogme du père leurs ayant édicté : ‘’L'infernale convoitise pousse les enfants de Caïn à s'emparer de tout ce qui est à leur portée, et comme si ce n'était pas assez qu'un seul accapare ce qui suffisait à des milliers de ses semblables, il voudrait s'y établir, lui et toute sa couvée pour toute l'éternité’’.
Par conséquent : « L’économie de marché moderne n’est pas l’économie de marché libre des flibustiers ordo et néo libéraux d’une guerre économico-financière révolue ; mais une économie de marché à engagement social qui permet à l’individu de s’épanouir, qui accorde la priorité à la valeur de la personnalité et qui récompense la performance avec un rendement mérité et communautairement gratifiant »,
(LUDWIG ERHARD, CONGRES DU CDU, RECKLINGHAUSEN, 28 AOÛT 1948).
Où les probabilités modales de la politique sociale-économique sont aussi importantes que ‘’l’équilatéralité’’ collective…
En ces temps de rapprochement avec l’élection présidentielle de 2017, nos chers politiques se réclament presque tous du Général de Gaulle... Corporatisme idéologique et identitaire, ou manque d'imagination politico-socio-économico-culturelle ?
De Gaulle, outre son activité pendant la 2ème guerre mondiale, a lutté contre le premier président de la commission européenne: Walter Hallstein. Allemand fait prisonnier en 1944 par les américains, amené aux USA, puis libéré et renvoyé en Allemagne, où quelque temps après il devint le premier président de la commission européenne. De Gaulle ne souhaitait pas l'établissement de sa vision européenne, privilégiant la ‘’partition’’ de l'Allemagne....
De Gaulle reconnaissait les services d'Hallstein à l'idée européenne, mais l'attribuait davantage à une certaine forme de patriotisme exacerbé, servant les intérêts de l'Allemagne, afin qu'elle retrouve le respect et un statut en Europe. De Gaulle n'appréciait pas le rôle de Hallstein, pour lui un simple technocrate. Il le voyait chaire de président de la CEE instituée par des États étrangers. Quelques années plus tard il s'oppose à l'entrée de l'Angleterre dans l'Union Européenne, la CEE à l'époque, car il avait certainement entrevu le but sous-jacent du néocapitalisme anglo-saxon, même si les Ricains avaient libéré l'Europe... Avec l'URSS.... Hallstein affirmait que l'intégration institutionnelle était dans l'intérêt d'une industrie allemande forte à l'exportation. Ludwig Erhard et le ministère de l'économie considérait eux qu'il fallait une intégration fonctionnelle plus souple et défendaient la coopération économique intergouvernementale. Erhard était opposé aux structures supranationales et considérait que les propositions de l'office des Affaires étrangères sur une Europe fédérale comme méconnaissant les réalités économiques. Dans ce différend, Adenauer soutint finalement Hallstein mettant un terme au conflit acrimonieux et public entre Hallstein et Erhard.
De Gaulle prit une position très prononcée au sujet de la politique agricole commune et, le 21 octobre 1964, le ministre français de l'information Alain Peyrefitte annonça que la France quitterait la CEE si le marché agricole européen n'était pas mis en œuvre au 15 décembre 1964. Le 1er décembre 1964, Erhard, alors à la tête du gouvernement allemand, annonça que l'Allemagne accepterait les exigences françaises pour un marché commun du blé et, le 15 décembre, le Conseil des ministres établit un prix commun du grain valable à partir du 1er juillet 1967 et demanda à la Commission de soumettre des propositions sur le financement de la politique agricole commune avant le 1er juillet 1965.
Les différences entre la France et la Commission – particulièrement entre de Gaulle et Hallstein – se réaffirmèrent quand la France occupa la présidence du Conseil, de janvier à juin 1965. Le 20 octobre 1965, Couve de Murville, à l'Assemblée nationale, poussa pour une révision des traités. Ceci fut rejeté par les cinq autres États membres. Lors d'une réunion du Conseil des 25 et 26 octobre, ils passèrent une résolution déclarant qu'une solution « doit être trouvée dans les dispositions existantes des traités ». En guise de compromis, toutefois, ils maintinrent la possibilité d'une réunion extraordinaire du Conseil pour discuter de « la situation générale des Communautés » – sans toutefois inviter la Commission.
Après les élections présidentielles françaises des 5 novembre et 19 décembre 1965, de Gaulle accepta l'offre. Durant ces négociations des 17 et 18 janvier 1966, le ministre français des affaires étrangères, Couve de Murville, abandonna la plus importante des exigences françaises.
L’Union des Nations…
ECONOMIE SOCIALE DE MARCHE QU’EST-CE QUE CELA SIGNIFIE CONCRETEMENT ?
Siegfried F. Franke ; David Gregosz
Déjà en 1948, Ludwig Erhard, ce personnage de la sociale économie avait-il juste raison par cette morphosyntaxique de sociale économie de marché ; ‘’Soziale Marktwirtschaft’’ ?
Ou celle d’économie sociale de marché ?
Aujourd’hui, seuls trouveront les accords à cet adage : ‘’Les groupes de population que nous pouvons visualiser comme un nombre, communautaire d’individus, strictement supérieur à deux capables de faire évoluer un espace de vies, politico-social-économique harmonieux, tout en ayant la vision philosophique, humaine, sociale, culturelle, économique et financière la plus objective et la moins spoliatrice possible, accompagnée du respect permanent de la vie, de la liberté et de la propriété, afin d’en atteindre avec amour, la sagesse et l’équilibre’’.
Nelson Mandela disait : ‘’Une population instruite, éclairée et informée est une des façons les plus sûres de promouvoir la bonne santé de la démocratie…’’.
Et Benjamin Franklin : ‘’Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’un, ni l’autre, et finit par perdre les deux’’.
Et l’humanité au tournant de son histoire perdra les deux, lorsque Dame Nature, mère de tout le ‘’Vivant’’, aura suffisamment grondé, et déversera toutes sa résurgence dépressionnaire, source de vies en ses pôles nord et sud, sur tout le vaste monde. Et à ce moment-là, même le ‘’diable’’, ‘’démons’’ et autres serviteurs du ‘’Vilain’’ s’agenouilleront et la regarderont tristement en lui demandant pardon…Mais il lui faudra un peu de temps pour recréer quelques indices de confiance et d’épanouissement dans le poulailler, afin que la poule aux œufs d’or puisse poser la question à sa classe de ‘’CPV’’ (Classe Préparatoire à la Vie) : ‘’A quoi ça sert, la Vie ?’’… Et que toutes les petites mains se lèvent, afin que la maitresse ou le maitre d’école puisse enfin demander à ce cancre de Toto :
‘’Peux-tu me répondre Toto ?’’.
- Oui, Madame. C’est prendre soin de Dame Nature, participé à la réalisation de tout ce que nous indique la vie, afin de voir toute sa beauté et percevoir son extraordinaire biodiversité au nom des bons ‘’tempos’’.
- Bien Toto, et vous, tous les autres ‘’petites et petits devenirs’’, qu’auriez-vous répondu ?
- La même chose, Madame, en riant tous en chœur…
Voilà, je souhaitais finir ce petit statut ‘’libre’’ par un peu de poésie, car je trouve qu’il en manque trop souvent dans l’ère du temps. Et grâce à quelques livres et documentaires trouvés sur internet, accompagnés par autres lectures et extraordinaires échanges avec des ‘’étants’’ de bons savoirs, présents sur les ‘’réseaux’’, j’ai réussi depuis plus de quatre ans, bien après avoir intégré en 1975 le monde du travail rémunéré, à recommencer à lire, apprendre et entrevoir que ‘’l’homme’’ est trop souvent pire que certains animaux, ou bipèdes inconscients. Et par quelques analyses philosophiques, ontologiques et épistémologiques, peut-être réussir à comprendre, après en avoir écouté toutes les variances, ce qu’était une possible juste et équitable ‘’Sociale Economie de Marché’’, m’autorisant à décoder quelques accords propres aux différents couples Franco-Allemand après 1945, accompagnés par quelques études fonctionnelles concernant d’autres états souverains et peuples mystifiés, permettant de décomposer les comportements et covalences paradoxales ; m’ayant peut-être permis de ne pas franchir les portes du communautarisme exacerbé, des prosélytismes infondés et de l’obscurantisme vénère, qui ne seraient en ce cas d’adoption, qu’une ouverture, vers le pire de ce que peut engendrer l’être égocentrique ‘’déshumanisé’’.
Je suis arrivé en ce monde après cette horrible guerre, et avant celle économique, toujours actuelle et devenant de plus en plus conflits ‘’géo-politico énergétiques’’; en 1959 sur le continent Africain. J’étais le résultat de l’union, d’une mère alsacienne et d’un père d’origine italienne. Cette femme était née en 1939, cet homme en 1933 et fut envoyé en Algérie, l’année après l’insurrection du 1er novembre 1954, suite à quelques échanges ‘’musclés’’ avec un supérieur. Vous envisagez le bordel qui s’en suivi même après les accords d’Evian en 1962 ?
Mais je continue à essayer d’assouvir mon inextinguible curiosité envers le ‘’Monde’’ et ses habitants, tout en étant lucide de la nécessaire utilité à être attentionné aux choses de la nature, organismes vivants et gens alentours, proches ou un peu plus éloignés de moi… Où les trois valeurs sociétales de bases en sont depuis bien longtemps, dans les pays civilisés, le ‘’travail soumis à juste rémunération’’, ‘’l’esprit fraternel’’, et les ‘’droits de l’homme, de la femme et de l’enfant’’… Même si certaines personnes, parfois très proches, ont été soumises à quelques incompréhensions, envers ma singulière identité qui pourtant me semble-t-il, n’est pas fondamentalement différente de celle de mes congénères ! Sauf peut-être chez ceux et celles possédant les quelques obscurs dogmatismes suffisants et nécessaires à éloigner la pensée humaniste des ‘’masses’’, vers le refuge nationaliste ‘’absolu’’, ou sa pire forme est celle juste après le sectarisme engendré par les peurs identitaires, la division des identités-culturelles… Décelables pour parties en et par tous conflits sociétaux, puis révoltes civiles et autres rebellions…
Voire plus…
Où parfois, trop d’inutiles croyances, inhibent l’esprit logique et ne permettent plus d’entrevoir cette extraordinaire capacité d’être simplement humain dans le Monde Naturel Vivant… Et tout cela, accompagné par une certaine forme d’allégeance intergénérationnelle, par ouverture d’esprit suffisante et utile à la retransmission des meilleures connaissances et justes savoirs par celles et ceux d’avant et de maintenant, au nom de la possibilité de bien-être pour les générations arrivantes dans ce monde naturel minéral, végétal et organique, teinté aux plus extraordinaires pensées transmises et véhiculées par le discours entre les sciences et les arts…
ETUDE NUMËRO CINQ
- DROIT A LA RÉUSSITE
L’indifférence est le plus bas degré de la liberté – Descartes
La recherche du superflu donne une plaisante excitation, plus grande que l’acquisition du nécessaire. L'homme est une création du désir, non pas une création du besoin. Le bonheur, n'est pas un idéal de la raison, c'est un idéal de l'imagination, par la vision de la totalité des satisfactions possibles…
Où le murmure entre les sciences et les arts ne saurait, en aucun cas, être une contrainte à l’étude des pensées d’autres temps, analyse et compréhension d’autres savoirs, connaissances et cultures…
Et vous avez crû que les francs tricheurs ont quelque amour pour la sincérité de leur profil et humour envers leurs démons de papier… ?
Cela est comme croire qu’ils seraient tous damnés par manque de vertus.
Les addictions vicieuses de ces individus masqués, potentats sans mélange, prêcheurs pleins, souscripteurs endurcis et prétentieux achevés font quotité viscérale à leurs attaches, et aucune cause sensée ne saurait contenir leurs pensées et devises, car ils ont depuis longtemps trompé, même, Félonie, et cela en parfaite assurance que l’inverse ne pourrait leurs arriver.
Leur saisissement émotionnel est en la parure de leurs tentatives, désespérées, de jouissance uniquement personnelle. Mais c’est souvent dans la prétention de leurs écrits atrabilaires ou vocalises sillonnées à l’arbitraire qu’apparaît l’achoppement de l’illogisme linguistique et didactique de leur égo frustré dans les caractères voilés de leurs viles figurines embusquées.
Vous imaginez le truc… ?
C’est comme si on trouvait un esprit Darwinien exacerbé dans un corps Schumpetérien desservi.
Vous voyez le mec. Genre narcissique frustré avec un melon hypertrophié et des chevilles tellement enflées qu’il ne réussirait plus à trouver chaussure à son pied.
A son esprit frustré révélé aux yeux des membres de sa communauté, son égo n’y résisterait. Son corps serait partiellement déstructuré, ses organes génitaux destitués, son cœur fracturé, son cerveau gauche et droit fragmenté, et l’hypothalamus atomisé…
J’en ai rarement rencontré des suffisamment idiots pour montrer leur véritable profil sournois et marcher totalement à découvert. Le peu que j’ai croisé, après quelques temps, je ne les ai plus revus… Ont-ils disparu à l’aune de mes nouveaux horizons ou alors se sont-ils fourvoyés avec d’autres organismes partiaux, bloqués, douteux ou falsifiés… ???
J’avoue que je ne sais pas, et à vrai dire, ils sont l’insignifiance de mes souhaits, j’ai bien d’autres chats hirsutes et vilaines chattes à fouetter…
Pour chaque être humain, lorsque le but individualiste devient plus important que le chemin pour y parvenir, alors la réussite ne peut plus être facteur d’attentions mutuelles, mais seulement le demiurge malencontreux de la triste réussite…
De l'innée au devenir, de l'attachement à la liberté, de l'essentiel au superflu, des passions à la raison, des pulsions au plaisir, du réel à l'imaginaire, du faux au vrai, du mal au bien, de la peur au courage, de la lâcheté à la vanité, de soi à autres, des certitudes aux doutes, de l'amour à la haine, de la souffrance à la sérénité, de l'obscur à la lumière, de la destruction à l'unité, de l'existence à la disparition, du rien au tout, de l'ignorance à la connaissance, de la connaissance à la sagesse, de l'unité à l'union, de ET à EST, quels sont les chemins à parcourir, afin de parvenir à cette conscience qui fera qu'un jour ce petit morceau de matière doté de la pensée sera en harmonie avec tout ce qui l'entoure, respectera toutes les consciences de ce lieu, à partir du moment où les incertaines et néfastes, n'auront pas commis actes de destruction dictés par intérêts obscurs, convictions égoïstes, pouvoir narcissique ou déraisons inacceptables bien souvent nés des premières croyances, philosophie-politiques et politiques-templières néfastes, spiritualités déficientes, peurs, souffrances…
Veules ou désuètes mystifications et pénitences vénères...
Ou encore autres prosélytismes de mauvaises et tristes augures...
Déféquées par les idéaux, dogmatismes, et suppositions obscures.
Où la meilleure porte à ouvrir est celle de la transmission des meilleurs savoirs être et utiles savoirs faire, afin que le temps des justes lumières élucidées n'ait d'importance que par l'addition des nouvelles connaissances et savoirs affétés aux beaux instants présents partagés, s’écoulant avec joie, afin que ce temps ‘’d’ici’’ ait une texture de plus en plus douce, permettant, ce jour-là, d'avoir la sensation qu'ils, avec elles, auront commencé à percevoir la présence durable d'une petite harmonie, héritière de la belle vie et du bon temps.
Par conséquent toute pensée douée de cognition est en potentielle capacité de s’approcher de la bonne conscience grâce à l’attention et à l’intelligence de cœur ; bienveillante…
Si la liberté humaine qui tend à décider du bien, n'est qu'une oscillation de la pensée humaine en fonction de ce qu'elle considère comme ; ‘’bien’’.
Si la liberté humaine qui tend à considérer le vrai, n'est que le degré de connaissance humaine en fonction de ce qu'elle a acquis comme réel.
Alors l'être humain qui tend à acquérir le ‘’bien-vrai’’ ou le ‘’vrai-bien’’ est une tendance de notre conscience en fonction de ce que notre corps peut accepter comme contraintes. Et la pensée humaine qui tend à imaginer la liberté de bien être, est peut être juste la volonté de notre inconscient en fonction de ce qu'il peut exprimer de vrai en tant qu’être bien, par la réelle bonne conscience en son lieu d'existence.
En conclusion, la liberté ne peut se côtoyer, que par l'action d'exprimer, de rechercher sans cesse, sans peur et sans immobilisme, en tant que nécessité de notre propre compréhension, au nom de la liberté d'existence par non annexion consciente de l'objet conscient et non annexion inconsciente de la conscience, autorisant discours objectif entre les sciences et les arts.
Il raconte ce qu'il ressent avec ses mots à lui, et même s'il peut paraître prétentieux, cela lui permet de croire qu'il a, à sa portée un tout petit peu de lumières, avec lesquelles il souhaiterait juste éclairer les quelques espaces touchants où résident les êtres qu'il aime, et ceux de tous ces anges désenchantés qu'il rencontrera encore et ceux qu’il a rencontré… Dont il entendra peut être à nouveau la petite voix, tout au loin du chemin, même s'il est conscient de cette utopie, aujourd'hui.
Et à ce moment-là, le philosophe des temps modernes, repris son bâton de pèlerin, afin de parcourir ces nouveaux chemins sidérants de multiplicités ontologiques, épistémologiques, et poétiques où l’exercice le plus difficile, est de trouver l’équilibre phénoménologique, autorisant la belle pratique de la composition amendée aux extraordinaires voltigeurs de la toile…
Depuis quelques temps, il cherche un nouveau sens à son existence, il ne trouvera peut-être pas, mais il sait, malgré la difficulté de maintenir allumer cette petite lumière présente en lui, cette merveilleuse lanterne, à laquelle le temps fait parfois perdre son éclat…
Cette clarté qui nous a été donné à notre arrivée, et nous fait continuer encore et encore, au nom de ce désir de beau, de bleu et de vent pour soi et autres, et par laquelle il continuera à tourner avec envie, les pages restantes de ce livre qu'écrit son extraordinaire maîtresse, au fur et à mesure qu'il les lit afin, qu'il puisse jour après jour espérer acquérir un peu plus de compréhension, pour peut-être un jour, réussir à se rapprocher au plus près de la sagesse par la connaissance, au nom de l'amour de cette vie, car malgré ‘’ses’’ quelques moments où parfois il est quelque peu dubitatif, voir abasourdi, par ce que qu'il ressent d'elle, il lui est surtout attaché, même si parfois, il aimerait prendre certaines libertés…
Il est grand temps de remettre la pendule diplomatique à l'heure des droits de l'Homme, et l’horloge du temps à la politique des justes… Impossible ici de ne pas citer Pierre KROPOTKINE : « À chaque grand événement de l’histoire correspond une certaine évolution dans la morale humaine.
Certes la morale des ‘’égaux’’ n’est pas la même que celle du riche charitable, du pauvre reconnaissant, du mécène népotique, l’esthète altruiste ou du monnayeur en intérêts particuliers…
À un nouveau monde il faut de nouvelles lois ».
ETUDE NUMËRO SIX
- DROIT DE GARDE ONTOLOGIQUE HUMAIN
Qu’en est-il des plus outranciers que ces pouvoirs philosophico-sociaux liberticides, politico-financiers, religieux, politiques, corporatismes électifs, docteurs en simulacre, clans d’imminence grise et autres ordres politico-templiers voués à la subversion diacide envers les esprits de l’attention ontologique humaine, n’ayant pas raison essentielle pour les prismes intellectuels de l’accaparement invasif des soldats de dieux, autres chiens de guerre et radicalisés(es) aux sources de l’infamie théologique.
Malgré cette sensation je souhaitais vivement continuer ces extraordinaires exercices de lecture, d’écriture et de recherche, m’autorisant à percevoir de meilleures lumières envers cette espèce humaine teintée aux furieuses voix du paradoxe entre l’attachement et la liberté.
Le souhait de compréhension et le déni…
L’éducation sectorielle marchande et la culture universelle…
Le libre-arbitre et la liberté d’expression…
La théorie sociologique a-t-elle réussi à prendre en compte tous les liens, et échanges des sociétés et écosystèmes hors acquisitions matérielles impérieuses ?
La philosophie anthropologique a-t-elle réussie à mettre en adéquation l’anthropomorphisme efficient et morphosyntaxique moderne ?
Le langage mathématique et la logique vont-t-ils réussir à expliquer celui du fonctionnement politico-socio-économico-culturel et la condition individualiste exclusive ?...
Voire la psychologie de la possession et de l’accaparement…
Combien est-il ordinaire de voir les plus imbus de ces amphitryons, dans des propos sans rapport avec leur indifférence d’affinité et insuffisance d’attentions, plus à même de croire qu’ils peuvent par leurs dysfonctions en camouflets de prestance s’émanciper de leur propre superficialité intellectuelle par un verbiage d’attachement en circonscription d’apôtres de feux de paille.
Que nous n’en avons vu de ces courbures en palliatif d’insatisfactions, postures en suceuses de mode accrochées aux grelots de sous-titrage en saupoudrage de billetteries désenchantées. Sinon qu’en mouvements d’aigreur pour leurs propre flatulences en paralogisme de pouvoir inique sans que leur conscience ne leurs rende témoignages de vérité, ni même qu’ils s’en aperçoivent jamais ou d’aucun de leur souffleurs en artifices de cynisme ne leurs signifient le grotesque de l’orthodoxie.
Que ces bonimenteurs d’épitres avec ardeur se portent vers des choses qu’ils répudient dans les éruditions à vacuité humaniste des dévots névrosés aux paralogismes de vestibules cloisonnés, alors que les occasions de bêtes à régner ne manque pas dans chaque colonie de marcheurs en prélats de complot entre les lois des hommes et les règles de dieux en clandestinité de réformes, dont les efforts sur la réalité de vies innocentes s’y immiscent sournoisement aux commissures des convoitions en droit de népotisme ou d’affiliations sanguines…
Admettrez-vous un jour que vos prêches ne sont qu’hypocrisie en forfaitures d’éloquence au nom de dédicaces d’usuriers en ‘’Panama-Papers’’ peu soucieux du scepticisme fiduciaire des veilleurs de conditions humaines ?
Que vous n’en usez qu’en le loisir de ne pas vouloir connaitre la véritable image affichée au réel coût de l’usure en communautés de travail louable au bien-être partagé, sauf en quelques jours saints, de sept en sept, en l’obligation d’écouter la misère intellectuelle de votre discours en défaut d’esprit et futile représentation envers les meurtrissures faites en votre nom.
Que vos existences ne seraient pas de crucifier, anéantir, museler, toiser ou brûler la différence de l’objet en reliures d’errance envers le sujet en dissidence de symbolisme, outrepassant les droits de votre dieu, au nom d’actes, en érection d’entreprises, associés à structures à taille humaine…
Néfastes esprits, vous complaisant dans l’inculture anti-universelle et dans la déconsidération pluridisciplinaire vous oubliez, par narcissisme et avidité, qu’il existe dans cette armée des ombres et autres corps de ‘’Bien’’ quelques intelligences de cœur, assujetties aux attentions et curiosités de bon aloi mobilisées par la pensée cognitive…
A contrario des aficionados et autres serviteurs de la division et de la soustraction des justes valeurs ajoutées propres aux bons acteurs, actrices, imprésarios et réalisateurs de la grande scène française, dont les impostures politiciennes de ces mauvais gardiens sont proches du genre ‘’mammifère-humanoïde’’ dénué d’analyse et de possible compréhension, dans la dimension de la logo-médiation médicamenteuse insolvable à la véritable liberté d’expression inhérente à meilleures théories sémiologiques ayant pourtant potentiel à s’émanciper de la fracture antirépublicaine, anti-démocratique et anti-laïque, où dans cette agitation intellectuelle de peu de raison ‘’humanisante’’, les mauvais esprits se délectent de la destruction des ontologies communautaires, du sectarisme, de l’obscurantisme et du chaos…Tout en faisant fi des droits de l’homme, de la femme et de l’enfant… Hors de leurs clans teintés aux couleurs désuètes du spiritisme des Dévots, et autres sons discordants émis par les serviteurs du ‘’Grand Argentier’’ envers Mammon…
‘’Toute belle valeur ajoutée se définie par tous ces citoyens et citoyennes proches de la belle conscience lorsqu’elle est exercée avec lucidité, sincérité, honnêteté, accompagnée par tout l’amour et la déontologie des savoirs faire afin qu’ils, elles, puissent aspirer à ce que cela devienne un ‘’art’’ de vivre… Pour les générations arrivantes !...
Et celles en partances…
L’entreprise ne fait pas les femmes et les hommes !
Ceux sont les écosystèmes sociétaux de ceux et celles d’avant et de maintenant qui les éduquent, les imaginent, les composent, les ordonnent et les font vivre, afin qu’ils, elles participent par l’addition de leurs savoirs faire et compétences particulières à l’évolution de la belle sensibilité socio-économico-culturelle du savoir être dans les sociétés et entreprises du Monde.
Lorsque la société soi-disant évoluée inhibe trop tôt les rêves de sa jeunesse, et maintient trop longtemps une grande partie des générations précédentes dans le cauchemar des désillusions, elle ne saurait évoluer vers autres chemins que ceux du désespoir… De la rancœur…
Et de l’indifférente violence… Psychologique…
Où celle physique risque parfois malheureusement d’apparaître…
Enlever à l’homme sa mémoire. Il n’aura plus haine, ni amour.
Il restera juste ce mammifère prédateur, que les esprits doués d’intelligence sensible, pourront peut-être comprendre… ???
Où parfois, trop d’inutiles bigoteries, inhibent l’esprit logique et ne permettent plus d’entrevoir cette extraordinaire capacité d’être simplement humain dans le Monde Naturel Vivant…
De sorte qu'après tant d'épreuves de leur faiblesse, ils ont jugé plus à propos et plus facile de censurer que de repartir, parce qu'il leurs est bien plus aisé de trouver des fidèles à leurs veules raisons, que semer alentours belles et justes pensées…
Une religion est-elle toujours nécessaire à la bonne constitution d’un état ?
Et si la réponse est ‘’oui’’, alors quelle hérésie… ???
Car il y en a de trois sortes, dont aucune ne satisfait la plèbe soucieuse de justice et d’équité.
La première est politiquement pernicieuse, car le vrai génuflecteur, en dépit de sa position, se soucie plus du ciel que de la terre : elle est donc, par essence, antisociale, dans le réel espace-temps socio-économico-culturel.
La deuxième est le prosélytisme des cités antiques, qui a l’avantage, au rapport de la première, de confondre le cultuel et l’amour des lois ‘’humaines’’, mais il est exclusif et intolérant.
La troisième est la pire, qui donne deux lois, deux maîtres, impose des devoirs, tant à l’une et l’autre, qu’à l’un et l’autre, et par conséquent intrinsèquement contradictoire et oppose : telle est cette faculté du prêtre, du guide, du mentor ou de l’administrateur anti-démocratique, antirépublicain et anti-laïque, néfaste à l’unité sociale et qui subordonne l’état naturel, de l’homme et la femme, à la théocratie.
M.A
Dieu a créé l’homme à son image, il la lui a bien rendue.
Voltaire
ETUDE NUMËRO SEPT
- DROIT D’OPPOSITION SOCIALE-ECONOMIQUE
Les experts en intelligence sont devenus espèce à sang froid.
La politique, la religion et la monnaie sont des processus et non des produits. Ce qui est certain, c’est que les trois veillent et entretiennent le néo – ordo – ultra – libéralisme social-économique et le capitalisme financier absolutiste […]
N’est-ce pas Mesdames et Messieurs les investisseurs, spécialistes des ressources humaines, experts en gestion d’objets et sujets rentables, politiques, économistes, sociologues, autres consultants et communicants possédant capacités d’analyse des systèmes socio-économico-culturels, entreprises et sociétés commerciales, tout cela, bien évidemment accompagné de la compréhension philosophique et ontologique suffisante et juste envers vos ’’semblables‘’ ?...
Mais, je ne vous en veux pas…
Et pourtant, je devrai haïr ce pays brandissant à l’étranger les couleurs de son étendard gonflé par les vents de l’incompréhension envers une démocratie tangible, où les asthénies sont surtout celles de l’ignorance des véritables définitions utiles à une république à tendances laïques dans l’espace du travail, des emplois et des échanges extra et intra géo-localisés des territoires et de la Cité, dont les gouvernances économiques ne sont plus en mesure d’induire l’application d’une juste activité salariale rémunérée au rapport du besoin de certaines personnes et familles en tant que résidents de la démocratie française, ayant pourtant professionnalisations avérées nécessaires à exercer un emploi à juste valorisation permettant de vivre décemment dans leur zone de confort acceptable, appelée : ‘’Communauté de bien(s) et services’’…
Où sans prise de conscience de l’avènement de la robotisation, du numérique et de l’intelligence artificielle, la gestion des modalités du travail risque de poser encore d’énormes problèmes, d’ici quelques temps… Les dégâts risquent malheureusement de devenir énormes au niveau social, si ‘’l’homme démocratique’’, n’arrive pas à assimiler que les notions de travail, de gérescence et d’emploi liées au temps de l’activité manuelle, intellectuelle et culturelle sont en train de changer, dont les concepts et thésaurisations financières, philosophiques, sociologiques, voire psychologiques, ne réussissent pas à être analysées et étudiés, alors je crains fort que la civilisation humaine ne sombre dans un obscurantisme très éloigné des temps immémoriaux des lumières, grisés depuis longtemps par de néfastes spiritualités politico-religieuses…
Avec pour particularité en celle que les aficionados du refus de compréhension laïque envoient certains signes ostentatoires, et parfois malsains, même depuis la loi de séparation des corps républicains et ecclésiastiques, établie chez nous en 1905…
Je pense que les corps intermédiaires sont seulement devenus de petits administrateurs à la solde de quelques chefs, eux-mêmes par prosternations séculaires ou covalences commerciales rampantes, à disposition servile auprès d’entités d’obscures desseins, avec pour particularité à leurs sous-officiers dépassés par les évènements du moment, et à ce qu’ils ne soient plus de véritables responsables de la gestion des ressources, biens terrestres et services ‘’humains’’ ou ‘’robotisés’’, commençant par ailleurs en l’apprentissage, l’éducation et la retransmission des justes savoirs être et utiles savoirs faire.
Ou alors ont-ils mal été recrutés ?
Ont-ils peur de perdre leur job en ne se conformant pas à la charte des sociétés et systèmes séculiers qui les emplois ?... Sont-ils dépourvus de vision sociologique et philosophique, ou ont-ils l’esprit étroit… ? Ou encore, ont-ils mal été formatés aux nouvelles données sociales-économiques et dotés de peu d’imagination quant aux prochaines possibles évolutions de l’économie participative, et de la société des échanges équitables consciente des changements climatiques et comportements plus dignes de l’espèce ‘’humaine’’ ???
Envers toutes ces alternances citoyennes, acteurs et actrices ‘’invisibles’’ aux yeux du système et insignifiances socio-identitaires vivant avec 15 € par jour, les 9 millions de citadins et ruraux disposant d’un revenu égal ou inférieur à 1 000 € mensuel, soit environ 13,6% de la population. Celles et ceux s’accommodant de moins que le seuil de pauvreté, fixé en France à 890 €, les sans-emploi, les précaires, les mères célibataires, les 3,4 millions de mal logés, les déchus(es), les 6 millions de chômeurs, les sans électricité, sans horizon, les exclus(es) de l’accès à l’éducation, aux apprentissages, aux études par une scolarisation inadaptée aux changements de la société ; notamment par la vision de ce que seront dans quelques années les notions combinées du travail, de l’emploi, de la durée et la rémunération des activités ‘’humaines’’ dédiées à la création, la production, la réalisation, l’échange, la vente, la distribution et la transformation de tout ‘’objet’’ matériel par les bons savoirs faire, justes savoirs être et l’évanescence culturelle, dans la société de bien(s) et services marchands… Française. A réseau ‘’humanisant’’… ??? Les asthénies, le manque de vision alternative, le corporatisme exacerbé et les incompétences de la classe politique de ces quarante dernière années, accompagnée par quelques ‘’génies’’ de l’économie et autres ‘’sorciers’’ de la finance ont malheureusement fait un déni de meilleure évolution communautaire dans la République Démocratique à vectorisation Laïque. Le déclassement social-économique, la destruction de la culture et la ghettoïsation sont, je crois, devenus les standards de ce système sociétal arrivé à bout de souffle. Où la norme devient celle de la starisation politicienne, médiatisée par les mauvais clowns de la logo-atomisation ‘’buzzique’’…
Et par majorité des programmes politiques, associés aux ordres de chaires, d’ors, de pompes et de notables ; je ne vois guère de meilleures lumières à l’horizon de ce beau pays ‘’France’’.
Pourtant visibles en d’autres systèmes innovants dont vous n’en percevez encore aucune des possibles belles tendances pour le meilleur avenir de cette civilisation encore atteinte de trop d’individualismes opportunistes !…
Transmis par vos ancêtres prosélytes de cultures, concepts et formes ‘’spirituelles’’ provenant de temps révolus et inadaptées aux sensibles considérations et justes attentions envers les jeunes ‘’pousses’’, avec pour particularités, en celles que tous ces artéfacts à invocations douteuses, ne soit que l’opium des peuples. Et utilisés par quelques dealers de mauvaise foi liés à l’inattention, l’iniquité et l’injustice socio-économico-culturelle… Associés à idéologues voués à l’ordre du ‘’Malin’’, ou philosophes tatoués au nombril de leur monde. Dont une partie de ceux et celles ayant pratiqué leurs allants professionnels dans les sphères de l’occultisme financier indigent, flux monétaires ‘’despotiques’’ et clandestinement rentables, vont assurément, une fois à la retraite, dévoiler quelques nauséabondes applications…
Pour certains et certaines, cela commence…
Afin de peut-être croire que cela permettrait un rachat de leur âme, avant le grand voyage ? Bon, quoiqu’il en soit, ils, elles ne sont pas mon sujet du jour. J’ai déjà évoqué quelques dysfonctionnements les concernant et présents chez certains mauvais imprésarios, réalisateurs, acteurs et actrices du monde de l’emploi dans différents statuts ‘’numériques’’ adressés aux concernés(es) depuis mon inactivité professionnelle… Et, bien sûr restés sans réponse, comme vous l’auriez fait, vous les ’’pros‘’ de la gestion comptable, administrative et juridique du travail, qui en avez pris la ‘’mauvaise habitude‘’, puisque majorité n’est même plus tourmentée, par son inaction consistant à ne plus répondre au CV des candidats, et autres demandes, pourtant envoyées par toutes les convenances établies…
C’est du vécu !
Et par plus que moi…
Envoutés par l’image, les électeurs votent en fonction des sentiments que leurs inspirent les candidats. Ils votent pour le slogan, le sourire, la sincérité présumée, le charme ainsi que le récit de vie du prétendant, rédigé avec le plus grand soin.
Tout est dans le style, dans le scénario, rien dans le contenu, dans les faits.
Les politiciens ont saisi que, pour obtenir des votes, ils doivent reproduire cette fausse identité avec le public que savent si bien créer les célébrités de tout acabit.
Chris Edges.
LES PARADOXES
L’apparition de toute nouvelle technologie suscite inévitablement les espoirs les plus euphoriques ou les craintes les plus sombres. Le développement des technologies de l’information et de la communication (TIC) n’échappe pas à la règle du genre : à ceux qui nous promettent un village planétaire de plus en plus démocratique s’opposent ceux qui nous annoncent une nouvelle ère de domination et de pensée unique.
Les paradoxes, en effet, se bousculent. Ainsi, les TIC permettent une profusion et une diversité inédite des médias, mais elles ouvrent aussi un territoire sur lequel les médias les plus puissants se livrent une concurrence acharnée, au risque d’écraser sous leur poids ou de rejeter sur les marges les acteurs les plus faibles. La maîtrise et l’exploitation de ces nouvelles technologies imposent en effet des capitaux et des compétences d’une telle ampleur que, sur les marchés les plus lourds des médias grand public, elles conduisent inexorablement à davantage de concentration. L’enjeu économique et financier est évident : en 1997, le chiffre d’affaires du plus grand groupe de communication au monde, Time Warner, a été de 24,6 milliards de dollars. Celui du numéro deux, Disney, s’est élevé à 22,5 milliards, dont 6,5 milliards pour la télévision (ABC [American Broadcasting Company], Disney Channel, ESPN [Entertainment and Sports Programming Network]) et les magazines.
Toutefois, et c’est un autre paradoxe, cette concentration intervient alors que l’on assiste à l’éclosion de milliers de nouveaux médias indépendants ou turbulents, là où régnaient le parti unique et le monopole étatique de l’information. En Afrique tout particulièrement et dans les pays de l’ex-Union soviétique, la mainmise de l’État sur les médias a volé en éclats, du moins dans le secteur de la presse écrite. Paradoxe au sein du paradoxe, alors que dans ces pays naguère de parti unique la transition vers la démocratie s’est accompagnée d’une floraison des médias, le retour à la démocratie dans les pays du cône sud ou la fin du régime d’apartheid en Afrique du Sud ont vu disparaitre la liberté des médias. Et de par cette incidence socio-culturelle, avoir mis à l’écart de nombreux titres qui avaient accompagné la lutte pour la liberté. Comme si les périodes de transition étaient plus propices au pluralisme et à la diversité des médias que l’avènement ou le retour de la démocratie.
La « communication sans frontières » est elle aussi paradoxale. La trans-nationalisation des groupes de médias complique la tâche de certains régimes qui souhaitent cacher à leurs populations le « regard des autres », et elle télescope des modèles culturels, politiques et journalistiques. Mais si les nouveaux médias ont pu jouer dans de nombreux pays un rôle de contradiction des discours officiels, cette mondialisation ne s’est pas nécessairement accompagnée d’une universalisation des valeurs (droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, libertés, tolérance, égalité, fraternité et justice sociale-économique) auxquels ses partisans les plus passionnés la croyaient intimement liée.
Dans certains pays, cette « ingérence médiatique » a au contraire provoqué un aiguisement des réactions identitaires ou autoritaires. Si les objections des régimes autoritaires peuvent assez facilement être démontés, au nom des principes de liberté, celles formulées par des pays démocratiques sur la conception fondamentale de la liberté d’expression et surtout sur ses limites méritent une attention particulière. Le débat entre les partisans du free speech (liberté d’expression), sur le modèle du premier amendement à la Constitution des États-Unis d’Amérique, et ceux qui souhaitent imposer des limites plus strictes à la liberté d’expression, au nom de la lutte contre le racisme, la discrimination ou la guerre, est au cœur du nouvel ordre mondial de l’information. La technologie impose ici ses propres urgences, car la liberté d’expression particulière à un pays peut jouer aujourd’hui au « sauteur de mur » et créer ses enclaves virtuelles dans d’autres nations soumises à d’autres normes. « Nous devons réfléchir soigneusement à ces différences, notait le juriste américain Rodney A. Smolla (1992, p. 352), car les nouvelles technologies qui de plus en plus lient le globe au sein d’un seul village électronique géant tendront à créer un marché international de la liberté d’expression, qui à son tour exercera d’énormes pressions en faveur d’une uniformité dans le domaine des politiques de liberté d’expression [souligné par l’auteur]. Il y aura une pression dans un sens sur le reste du monde afin que celui-ci adopte des notions de liberté d’expression plus proches de celle des États-Unis. Il y aura une pression correspondante dans le sens opposé afin que les États-Unis modèrent leurs principes de free speech afin d’être plus conformes au reste du monde. »
C’est l’un des enjeux des systèmes d’étiquetage et de filtrage des sites d’Internet, censés protéger le public, et surtout les enfants, contre des messages «inappropriés». « Les catégories qu’établit l’étiquetage sont porteuses de jugements de valeur, essentiellement subjectives et variables d’une culture et même d’un individu à l’autre, constate Jean Chalaby, chercheur à la London School of Economics. En conséquence, de tels systèmes pourraient nuire à la diversité culturelle du cyberespace. Comme les agences d’étiquetage les plus influentes sont installées aux États-Unis, les procédures de filtrage obéiront aux valeurs morales et croyances nord-américaines »…
Keynes disait : ‘’Suggérer à la City de Londres une action de type social dans une perspective de bien public est l’équivalent de discuter de l’Origine des espèces avec un évêque, il y a soixante-dix ans [dans les années 1870]. La réaction instinctive n’est pas d’ordre intellectuel, mais moral. C’est une orthodoxie qui est mise en question, et plus les arguments seront convaincants, plus grave sera l’offense’’…
Ecrire, c’est la meilleure façon de s’exprimer sans être interrompu.
Jules Renard
Les Français enferment quelques fous dans des maisons pour persuader celles et ceux qui sont dehors de ne pas l’être.
Montesquieu – Lettres Persanes
Le temps de s’impose pas de l’intérieur, mais il est rythme interne existant en la matière des choses…
Michel Onfray – Cosmos
Le temps ne s’impose pas en ennemi intérieur, mais il est une composition particulière par l’énergie extérieure des choses de la vie…
Michel Asti
ETUDE NUMËRO HUIT
- DROIT AUX RAPPORTS D’ETUDES SOCIO-ECONOMICO-CULTU(R)ELLES…
La contradiction entre l’homme et le citoyen fait la misère humaine.
J.J Rousseau
La puissance publique pense que son rôle est d’assurer le bonheur privé des personnes avant même de garantir la sécurité et de réaliser la prospérité collective.
Aussi bien a-t-elle échouée à peu près en tout…
Sauf à avoir entraîné un individualisme exacerbé…
J’étais assis sur un banc en pierre installé sous un énorme platane, et rallumais une autre cigarette. Ma première fille venait de naître dans cette clinique de Vaulx-en-Velin.
Je ressentais cette immense joie à l’intérieur, à contrario de cette responsabilité extrême que j’avais ressentie lors de l’arrivée de cet enfant, où après la vague d’allégresse, ma première pensée fût de me dire que ce ‘’petit bout de vie’’ était le fruit d’une rencontre, dont les auteurs en étaient avant cet avènement, un mâle et une femelle devenus mère et père, où en aucune façon cet enfant avait émis un quelconque désir… ; sur son arrivée ‘’ici’’. Avec cette énorme responsabilité me laissant envisager que ces deux adultes se devaient d’être conscient de leurs mots, actes et retransmissions culturelles, spirituelles, us et coutumes, orthodoxies, émis envers leurs petits(es) apprentis(es), qui seront irrévocablement emmagasinés dans la mémoire et le subconscient de tous ces ’’petites et petits devenirs’’, où les seules certitudes que pourront avoir les grands et les moyens, seront assurément de ne pas savoir comment plus tard seront gérés, voir retransmis les vilaines images absorbées, mauvais mots entendus, autres actes de violences envers eux émis, ou tous autres destitutions d’assistances ; inadmissibles et inacceptables saisines partisanes, que celles-ci soient réduites au niveau de la fratrie, zones communautaires, républicaines, démocratiques, laïques, ainsi qu’en tous prosélytismes prétentieusement comblés par l’incertitude du sens existentiel… Et pour certains, se faisant jouir par la conviction que le futur leurs donnera servitudes nécessaires à baiser les pieds d’un quelconque dieu, et pour autres réussir à ‘’forniquer’’ avec quelques vierges virtuelles… Où dans cette néfaste éthique psychédélique, trop souvent vouée à la soumission intellectuelle et unilatéralement anti-universelle, empreinte parfois, en pires intendances, de trop de violences psychologiques ou inadmissibles cruautés physiques, le seul adage qu’entreverront assez tôt nos ‘’petits et petites apprenties’’ sera invariablement celui-ci : ‘’Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort’’…
Et les éléments primordiaux, possédant effets d’inflexions sur le futur de leurs vies seront proches des capacités et facultés à ressentir, si leur armure est devenue suffisamment épaisse et leur bouclier assez grand, à fin d’être raisonnablement armé, pour n’avoir en leur meilleure nature, jamais à sortir leur épée…Ou éventuellement en cas de meilleures perspectives, réussir à partir vers des horizons d’acceptables tendances fraternelles… Accompagnés par quelques belles et bonnes consciences assujetties aux concepts de morphisme adapté à l’intelligence de cœur… Ainsi qu’à l’allégeance du corps et de l’esprit…
Dans les communautés de Bien.
Je sortis de ma méditation, et retournais dans la chambre afin de rejoindre mon épouse et ce nouveau petit être arrivé aujourd’hui, tout en me disant que seulement cinq ans s’étaient écoulés entre ma sortie du cursus éducatif en 1975, mon entrée dans le milieu économico-socio-professionnel en l’automne de cette même année ; l’aménagement dans un premier appartement situé cours Emile Zola, à Villeurbanne en mai 1977 et le commencement de l’exercice de parents en ce jour de septembre 1980.
Il lui revint tout à coup à l’esprit cette petite histoire que lui avait raconté sa mère, il y a fort longtemps, et partie beaucoup trop tôt, alors qu’il lui semblait qu’elle n’avait pas eu temps suffisant pour en conter d’autres :
Bonjour TOI ! Comment vas-tu ?
Tu viens d'arriver ici ?
Oui, quelqu'un t'a guidé jusque-là !
Je le sais, j'ai vu, j'étais là avec quelques autres pour t'accueillir.
Oh ! Excuses-moi, tu ne comprends pas encore ce que je te dis, mais ne t'inquiètes pas. Mais pourquoi, je te dis de ne pas t'inquiéter, tu ne sais pas encore, ce qu'est l'inquiétude, et tant d'autres choses d'ailleurs… La première évidence que tu dois savoir, mais suis-je encore sotte, tu le sais déjà ! Mais je tiens à te le dire quand même ; de cette façon, je pourrai croire que tu auras pour moi, lorsque tu me connaîtras mieux, ce même sentiment que j'ai pour toi. Je sais aussi, par tout ce que je t’ai apporté jusqu'à aujourd'hui, je ne suis plus tout à fait une inconnue, pour toi. Mais je ferai de mon mieux, pour que tu puisses me connaître encore mieux, et mon souhait le plus cher est que nous partagions en premier lieu tous les deux ce même sentiment, et qui sait, avec le temps, ton père et autres esprits ‘’bienveillants’’, le partageront peut être aussi.
Alors, maintenant même si tu n'as pas tout compris de ce que je viens de te raconter, ce n'est pas grave, dans quelques jours, nous irons dans une autre chambre, où je pourrai te raconter pleins d’histoires. Mais je suis aussi consciente que dans certains lieux où nous irons ensemble, le temps qui nous est imparti, et où tu progresseras plus tard peut être seul(e) ou accompagné(e), d'autres histoires te seront racontées. Et ces histoires que tu entendras ne seront peut-être pas semblables à celle que tu commenceras à imaginer d'ici quelques temps, et à ce moment, toi seul(e) aura la faculté de discerner les parties de ces histoires qui t'apparaitront les plus en accord avec la tienne, et celles qui t’apporteront la sensation de moindre mal possible.
Hé oui, certaines font mal, et j'espère pour toi que tu en connaitras le moins possible de ces vilaines histoires qui nous donnent l'impression d'avoir si mal que nous souhaitons tout casser, même nous parfois. Moi, à ce moment-là, je saurais que tu commenceras à douter, et peut être auras tu peur pour la suite de ton histoire et celle des autres proches de toi, malgré tout ce que j'aurais réussi à te transmettre de mes connaissances que je pouvais considérer à ce moment-là, comme potentiellement vraies et justes, ainsi que ton père et peut être autres, en tant que bonnes choses. Il eut la sensation que cette petite histoire racontée par quelqu’un d’avant, était aujourd’hui applicable à sa situation, et il lui fallait faire de son mieux pour accompagner sa première petite devenir jusqu’à ce qu’elle puisse voler vers des espaces un peu plus loin que le sien, tout en imaginant ce jour venu, la possibilité de pouvoir encore se poser quelques moments en des lieux colorés aux couleurs de l’arc en ciel, avec plus qu’elles deux.
ORIGINE
Ces lignes autour de tes yeux
En d’autres contours de tes lèvres
Cette étincelle ton regard a
Pour gommer ces mauvais signes
En d’autres temps ils sont venus
Pourquoi cacher tes beaux signes
Ton histoire ils ont écrit
D’autres viendront encore
Ton beau regard les efface
Encore un peu de temps
Par quoi sont-ils servis
Juste à les voir encore
Afin que dans tes yeux
Je puisse voir mon histoire
Juste encore quelques signes…
Du bon temps avec toi
TERRE qui t’a accueillie
En tes eaux je suis venu
En quelques gouttes tristes
Tôt tu t’es éloignée
Sans me sentir seul
Car toute la belle partie
De toi, tu m’as confié
Au printemps 1981, nous avions déménagé sur Vaulx-en-Velin, dans un appartement en location proche de l’ancien village Vaudais. Ce logement de type HLM, était un F3, et par conséquent compatible avec une famille composée de deux adultes et d’un enfant. J’avais terminé mon apprentissage en plomberie chauffage au CFPA de St Priest, et je travaillais en intérim avec un collègue rencontré lors de ma période de formation professionnelle. Cette collaboration dura une année, pendant laquelle nous avions réussi André et moi, à trouver des missions en binôme. Au bout de quelques temps, nous n’étions même plus obligés de chercher du travail. Les maisons d’intérim, nous appelaient pour nous proposer des contrats.
Mais bon, c’était une autre époque, où le travail manuel était considéré et rémunéré à sa juste valeur professionnelle… Cette association de compétences cessa, au printemps 1982, lorsque j’eus une proposition d’emploi en CDI, dans une petite entreprise, du nord-ouest lyonnais, exerçant son activité dans le chauffage, la climatisation, la plomberie et la réfrigération, alors que mon ami André, à plus de 40 ans créa son entreprise, non sans bien sûr m’avoir proposé une association. Ce que je refusai, en le remerciant pour son offre, tout en lui signifiant, que je pensais être encore trop peu compétent professionnellement pour pouvoir collaborer à ce projet de création d’entreprise. Nous nous sommes revus quelques fois, puis nos chemins divergèrent, quelques années plus tard, après avoir passé un excellent weekend dans sa maison de campagne en Haute Loire. J’ai eu la joie d’apprendre, quelques temps après, lors d’une dernière rencontre, qu’avec son épouse, ils allaient avoir une autre fille.
En mai 1981, le socialisme avait pris le pouvoir, représenté par le Président de la République Française de l’époque : Mr François Mitterrand. J’avais 22 ans, et c’était la première fois, (et la dernière fois en 1988, après avoir voté pour le parti de l’opposition de l’époque), que je m’approchais de l’urne républicaine, afin d’y mettre ma voix… ; en ce début des années 80, en faveur du parti édictant vouloir engranger une bonne sociale économie. Je ne savais même pas ce qu’en était la définition exacte, mais déjà les médias avaient réalisé leur mission d’information, ce qui m’avait autorisé à croire que j’avais fait le meilleur et juste choix. Et nous entendions déjà, de par les voix de cette information, les commentaires des personnes de bons savoirs, édictant que le temps de l’équité sociale-économique était en marche, et que les ‘’patrons’’ pouvaient commencer à serrer les fesses. Je n’avais, par méconnaissance, pas encore perçu, que la politique n’était qu’une représentation exacerbée de la vie communautaire corporatiste, où l’état premier est trop souvent un conflit permanent entre les ‘’possédants’’ et les ‘’possédés’’ par l’addiction égocentrique ou l’indifférence sociologique… […]
Et cela peu importe le type de ‘’classes’’ et la zone géographique où elles exercent leurs activités d’échanges économiques, sociaux, culturels… Etcétéra… Et de plus à cette période, ce n’était pas nécessairement mon crédo et je n’étais de toutes façons, pas sociologue, ni un expert des fonctionnements économico-financiers, qui allaient aux cours des années suivantes devenir de plus en plus complexes, notamment par la mise en place de ce langage algorithmique immiscé à l’outil informatique, tendant à vouloir vaincre les notions de temps, en la vente et l’achat rapides de biens et services, invectivés par hypothèque envers les potentialités énergétiques humaines et matériels, objets, outils pouvant être envisagées réalisables par des communautés territoriales, le plus rapidement possible, en ne tenant aucun compte des conditions ou inaptitudes individuelles ou communautaires à vouloir ou pouvoir être en dépendances suffisantes pour exercer ces tâches majoritairement destinées au salut prospère des sphères financières et de pouvoirs, aux détriments d’une petite forme d’équité envers et dans les bulles ‘’nourricières’’, mobilières et immobilières déstabilisées…
Socialement…
Financièrement, économiquement…
Culturellement… ???
Où le paradoxe social-économique atteindra son apogée lors de la crise de 2008, engendrée par ses génies de la thésaurisation monétaire, ayant encore une fois mis en place des placements qui n’auront bénéfices conséquents, que pour les organismes financiers, bancaires et autres aficionados aux gains produits par les intérêts des placements à court et moyen termes, accompagnés par quelques politiques économiques intéressées par ce système fluctuant, et par évidence instable, mais assurément lucratif pour ceux et celles ayant compris les fonctionnements internationaux de ce référentiel fiduciaire boursier nécessaire à visualiser les flux de biens, capacités productives et énergétiques de chaque zone d’activités, entreprises ou sociétés, et par voie de conséquence imaginer pouvoir en déduire les informations et ‘’futures’’ potentialités valorisantes les ‘’autorisant’’ à déterminer les tendances rentables quant au système politico-social-économique étudié, avec but ultime pour ces gens-là, à prétendre être suffisamment intelligent, pour penser par excès de cupidité, que certains de leurs congénères n’entreverraient pas, à terme, leurs manigances basées sur la dévalorisation sectorielle des activités humaines, dont ils décident, pour certaines, qu’elles ne seraient plus utiles à leurs dogmatismes tordus par le prosélytisme absolu envers le monothéisme ‘’Argent’’, par destitution du polythéisme apprêté à ‘’l’Art des Gens’’. Et déni d’effet holistique de tout système à focal humain. Quitte pour arriver à cela, à détruire l’outil de travail national, et à en chercher d’autres ailleurs ; moins coûteux.
Où actuellement dans nos sociétés soient disant évoluées technologiquement et ethnologiquement, le but ultime pour certaines entités de pouvoirs obscurs, est assurément, d’après ce que je perçois ; de diviser les savoirs être cultura-identitaires, aux profits d’inutiles résurgences, incapables d’engendrer quelques meilleures et plus justes factions déontologiques et visions ontologiques, avec pour vecteur vindicatif, voire addictif, la techno-logo-médiatisation, rendant assurément les esprits les plus fragiles, totalement hermétiques à la pluridisciplinarité des ‘’sujets-objets', et pour celles et ceux désireux de s’y intéresser, que de faibles possibilités, pour la simple raison que le système social-économique ‘’supérieur’’ les a enfermés dans un continuum espace-temps, où les moments disponibles à cette activité intellectuelle, sont devenus pour majorité réduit à la portion incongrue et déficiente. Le temps de la culture est souvent défiguré par des médias sémio-centriques à présentation déculturée occultant sciemment la programmation d’émissions aux choix de réels divertissements judicieux autorisant quelques investigations intellectuelles moins béates.
Mais n’oublions pas que tous ces transmetteurs d’images et de sons, à peu d’efficience, ne sont que le reflet de la demande, au rapport de leurs offres, dans la société ‘’buzzique’’, à consumériste fougueux, soumise aux désirs de possessions matérielles et physiques par ce même monothéisme nommé ‘’Argent’’, avec pour seules différences que les notions d’essentiel, de nécessaire, ou d’utile ne soient pas perçues ou envisagées de la même façon par celles et ceux qui ont déjà plus que le superflu au prorata d’autres individus qui ont moins que le nécessaire. Et tout cela frappé au sceau du marketing économique, tendant à favoriser l’offre, même si pour grand nombre la demande de l’essentiel et du nécessaire est loin d’être atteinte dans les territoires, départements, régions, contrées, nations, états… Etc… Bien qu’avec une impression de diminution globale de la pauvreté dans le monde, il y ait encore un accroissement notable des inégalités. Voir en France actuellement, 9 millions de personnes vivent avec moins de 1000 euros par mois, le chômage ne cesse d’augmenter, le nombre ‘’d’adhérents’’ aux restos du cœur croit invariablement… En Europe et dans nombre de pays la pauvreté, la précarité et l’incertitude augmentent dans et par l’écart financier entre possédants et possédés ; et j’en passe et des meilleurs. Il me semble que ce système social-économique arrivé à bout de souffle dans divers pays européens, voire mondiaux, ne saurait avoir que pour conséquences l’augmentation des conflits communautaires, corporatistes, et maintenant culturels et identitaires par uniques défenses sécuritaires, où les adeptes de néfastes idéologies, esprits incultes et autres cerveaux reptiliens, ou néandertaliens caracolent en tête vers l’obscurantisme destructeur…
Et le pire, est que ces bandes de prédateurs se fichent éperdument des générations arrivantes, sauf en celles de leur progéniture directe… Auxquelles ces fratries de discutables tendances retransmettent évidemment leurs mêmes néfastes prosélytismes… Avec ablation de l’esprit des communautés de bien(s) en première évidence national puis, peut-être humaniste.
A leur descendance…
Je n’ai pas écrit trop de bêtises sur ce sujet, j’espère…
Je ne crois pas, même en l’action de penser prioritairement aux générations arrivantes…
En l’occurrence de mes, presque, 59 ans, celles de mes filles et petits enfants…
ETUDE NUMËRO NEUF
- DROIT A L’IMAGINATION
D’autres m’apporteront également leurs considérations, aussi bien physiquement proches, que virtuellement par les réseaux sociaux, auxquels je consacrerai quelques bons moments en complément à l’exercice d’écriture…
J’allais donc avec ces bases essentielles accompagnées par mon extraordinaire maitresse la ‘’Vie’’, pouvoir imaginer reconstruire quelques parties de mon château de sable, même si j’étais conscient qu’il me restait encore beaucoup de chemin à faire afin d’accéder à sa plus merveilleuse représentation. Mais j’avais suffisamment de motivation pour continuer, et même si je ne disposais pas encore de tous les éléments nécessaires à constituer une belle et bonne composition, je percevais le regard de mes filles dans lequel il m’était possible de ressentir tout ce qu’elles avaient pour moi. De plus, une avait donné la vie et les deux autres allaient le faire aussi, avec des hommes devenus pères, et chez lesquels, je percevais également quelques belles présences.
Donc, de par toutes ces sensations sensiblement touchantes et proches de tous ces êtres, il m’était impossible de ne pas croire en la possibilité de vivre encore de précieux et joyeux instants, accompagnés par ’’eux’’, et peut-être proches d’autres que je ne connaissais pas encore.
Avec le souhait de compréhension envers toutes celles et ceux que j’aurai encore la chance de côtoyer de par leurs effets sensiblement affectant, accompagnés par ce désir toujours présent en moi, me poussant à rechercher à reconstruire quelques petites zones où règneraient les belles facettes d’un agencement harmonieux, dont les accords en seraient entendus par toutes ces personnes proches ou un peu plus éloignées, que j’aime, tout en gardant précieusement dans ma mémoire, tous ces cadeaux reçus d’autres aujourd’hui éloignées, dont les merveilleux souvenirs en permettent la simple ignorance des moins bons et heureux, et où les plus mesquins avaient parfois essayé, en certains temps compliqués d’en détruite leurs belles représentations liées à la belle vie et au bon temps, sans qu’ils aient, jusqu’à présent réussis à annihiler toute forme d’optimisme, m’autorisant encore une fois à imaginer des petites portes, où derrières j’aurai joie à ressentir la présence de quelques murmures enchanteurs et belles lumières attisant ma curiosité suffisante et utile à continuer cet extraordinaire chemin, vers l’attachante liberté de croire à l’intelligence de cœur…
Ma belle maitresse la ’’Vie’’ m’avait donc éloigné de mon ancien lieu de résidence depuis quatre mois et je m’étais plié sans trop de résistance à ses raisons lorsqu’elle m’avait suggéré d’aller à Montméal, petit village situé dans cette région nommée la Loire, où cette évasion m’avait apporté grâce à quelques bienveillances rurales, l’habitat essentiel à protéger mon corps et mon esprit des éléments extérieurs…
Moi qui avait majoritairement vécu dans la deuxième puis devenue troisième plus grande ville de ce pays, je me trouvais aujourd’hui proche du territoire des ’’Verts’’ dont la proximité entre la capitale des ’’Gaules’’ avec la première ville du ‘’42’’ était depuis longtemps un derby typiquement français où coexistent plus que ne se combattent les forces économiques et sociales du bassin Rhône-Alpin. Et même si une fois par an sur le gazon de l’une ou l’autre agglomération apparait un affrontement footballistique, les représentations des quelques autres rapprochements aboutés aux savoirs faire encore visibles en les ’’Terres Noires’’, des mineurs stéphanois et l’histoire des ’’Soyeux Lyonnais’’ demeuraient aussi bien dans les mémoires de St-Etienne que de Lyon où certains de leurs habitants se croisent deux fois par jour sur l’autoroute reliant ces deux pôles départementaux, en pensant peut-être aux descendants des ‘’Frères Lumière’’ qui tout au long des années suivantes à la découverte de la mise en mouvement des photos grâce à la pellicule, ont développé les techniques sonores et lumineuses mises en films afin de raconter d’autres histoires de rencontres, d’attachements, d’éloignements et de libertés… J’avais atterri en cet endroit encore dirigé par les lois ancestrales de la nature, des cultures vivrières et de l’élevage à taille ‘’animale’’ et ’’humaine’’, au mois d’août 2013 lors de la rédaction de mon premier manuscrit envoyé courant juillet à quelques maisons d’édition avec l’espoir de pouvoir commencer un nouveau chapitre de ma vie.
Car cette garce m’avait fait en cette fin d’année 2012 un cadeau assez particulier en me désistant de tout l’essentiel à une existence sociétale honorable, à savoir de disposer au moins d’un logement ainsi que la majorité des éléments physiologiques, matériels et outils utiles à une réalisation humainement proche de mon concept de bien-être minimum. Je ne lui en voulais pas, car je devais en avoir ma part de responsabilité, au moins, en celle de n’avoir pas toujours été à l’écoute de ses murmures, et par conséquent opté pour des directions pas toujours adaptées au milieu du moment, mais certainement proches de mon ’’être’’. Même si je n’en avais pas encore compris le fonctionnement complexe et dual entre l’esprit et ce corps, qui en cette période me faisait bien ‘’chier’’ à être la prison de mes pensées, le gardien de mon inconscient et le bourreau de mon imaginaire.
J’avais l’impression, comme certainement ’’autres’’ en pareilles situations, de ne plus faire partie de cette société civile, même à en avoir pendant des années appliqué tous les apprentissages, règles, et lois de vie sociale souvent dénaturés par quelques acteurs et actrices de ce marché de l’emploi déréglé et dérégulé, dont l’orientation de certains de ses imprésarios, avait me semble-t-il bifurqué vers quelques voies dont la navigabilité était toujours rendue difficile pour les moins bien outillés ou autres naufragés du système, car certains armateurs avaient trafiqué leurs boussoles, les empêchant par ce phénomène de rejoindre le port des emplois, des savoirs faire et autres compétences liées aux véritables savoirs êtres en tant que liens à tout bel échange. Où la juste qualité majeur se devrait logiquement, par et dans un type de comportements normaux, d’être celle de prêter attention aux fonctionnements des multiples zones sociales-économiques, afin d’entrevoir tous ces ‘’petits navigateurs et navigatrices’’ n’ayant plus moyens d’aller en dernier ressort, visiter d’autres contrées plus vivables que celles où ils résident, pour le simple commentaire que leurs revenus indispensables à une vie honorable et digne ne sont mêmes plus ceux du juste rapport entre l’essentiel et le suffisant, ou pire, lorsque les conflits internes à leurs pays sont sources de guerres civiles ou/et ethniques…
Mais leurs laissant toutefois faculté à percevoir ailleurs, grâce à la diffusion rapide d‘images et de sons, les ’’zones de confort’’ de certaines communautés possédant plus que le superflu, où le leur à terme risque, en néfastes causes, raisons et devises, d’être celui de la révolte attisée par les sentiments de l’injustice et de la rancœur, puis pour certains hommes, femmes et enfants, disposant de ressources suffisantes, la fuite après persécutions devenues assez facilement visualisables en certains lieux où les biens sont parfois mal acquis, destitués ou emprisonnés en trop grandes proportions loin de leurs possibilités à être de consistants et magnanimes outils proches du bel art des gens, où cette caisse vidée de ses meilleurs ustensiles sera assurément source de mauvaises tâches, inflexions dérogatoires inutiles et autres incidences socio-culturelles sombres, dont la seule cause première en laquelle pourront tous et toutes croire sera celle des rivalités imbéciles… ; suivies des inutiles corporatistes ou communautaristes exacerbés, par l’esprit de la division attisé par des classes proches du sectarisme, voire plus grands dédains et déchirements envers et entres autres espaces sociologiques fractals et dimensions dissonantes, génératrices de zones civiles chaotiques où pour meilleur compte, ces défiances et ces peurs se devraient d’être atténuées au nom de la belle évolution, en y trouvant les meilleurs accords proches de la liberté, de l’égalité et de la fraternité accompagnés d’une certaine forme de justice et attention humaniste, où les sensations de mauvaises compositions, présences fractales de déviances et mauvais accords ne peuvent être en cette conséquence, que le résultat du déni des vrais savoirs faire et bons savoirs être au nom du respect de ‘’SOI’’ et ’’AUTRES’’, où leurs meilleurs et extraordinaires effets participent pourtant bien aux belles évolutions amalgamées à ce genre appelé et nommé: « Espèce Humaine… Civilisée… ??? »
Non ?...
Sans être devin, d’ici une trentaine d’années, j’éprouve quelques craintes pour celles et ceux qui seront présents dans ces mauvaises contingences futures, si les comportements de l’humanité n’obliquent pas vers le bon sens du et des vivants… Et du ‘’mammifère humain’’… Où ces deux états naturels se devraient d’exister en symbiose… Au nom d’une certaine forme de synchronique entre le corps et l’esprit… Dans les nouvelles dimensions de l’espace communautaire à viabilité existentielle et matérielle acceptable…
La curiosité est le meilleur remède contre l’ennui. Il n’y rien d’autre après la curiosité. Ne pas croire que la vie est une opportune attendant chatoyant potron-minet serait faire insignifiance à son extraordinaire présence biophysique et une indifférence à sa réminiscence physiologique permanente.
La théorie, c’est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c’est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi… Ici, nous avons réuni théorie et pratique, rien ne fonctionne et personne ne sait pourquoi… Albert Einstein.
ETUDE NUMËRO DIX
- DROIT A MULTIPLICITE
Sitôt que j’ai eu acquis quelques notions générales touchant les sciences et les arts, et que, commençant à les éprouver en diverses difficultés particulières, j’ai remarqué jusqu’où elles peuvent conduire, et combien elles diffèrent des principes dont on s’est servi jusqu’à présent, j’ai cru que je ne pouvais les tenir dissimulées, sans offusquer grandement les lois de la transmission et règles de l’attention qui nous oblige à procurer, autant qu’il est en nous, le bien général. Car elles m’ont fait voir qu’il est possible de parvenir à des connaissances qui soient fort utiles à la vie, et qu’au lieu de cette philosophie spéculative, qu’on enseigne dans les écoles, on en peut trouver une pratique, par laquelle, connaissant la force et les actions du feu, de l’eau, de l’air, de la matière, des énergies et de tous les autres corps qui nous environnent, aussi distinctement que nous connaissons les divers métiers de nos artisans et entrepreneurs, nous pourrions les employer en même façon à tous les usages auxquels ils sont propres, et ainsi nous rendre comme maîtres et gardiens de la Nature.
Ce qui n’est pas seulement à désirer pour une infinité d’artifices, qui feraient qu’on jouirait, sans aucune peine, des fruits de la terre et de toutes les commodités qui s’y trouvent, mais principalement aussi pour conservation de la santé, laquelle est sans doute le premier bien et le fondement de tous les autres biens en l’élan de toute vie ; car même l’esprit dépend si fort du tempérament et de la disposition des organes du corps que, s’il est possible de trouver quelque moyen qui rende communément les hommes plus sages et plus habiles qu’ils n’ont été jusqu’à présent, je crois que c’est dans les sciences de la nature, les orthodoxies humaines et la médecine qu’on doit, en cette essentialité, le chercher
Il est vrai que celle en usage contient peu de choses dont l’utilité soit si remarquable ; mais, sans que je n’ai aucun dessein de la mépriser tant en sa faction épistémologique, qu’en celle ontologique, ou inversement, mais plus à même d’y pratiquer quelques incursions analytiques, tout en m’assurant qu’il n’y a personne, même de ceux qui en font profession en un domaine particulier, qui n’avoue que tout ce qu’on y sait n’est presque rien, à comparaison de ce qui reste à y savoir, et qu’on se pourrait exempter de multiples maladies, tant du corps que de l’esprit, et même aussi de l’affaiblissement de la vieillesse, si on avait assez de connaissance de leurs causes, et de tous les remèdes dont la Nature nous a pourvus.
Or, ayant dessein d’employer toute ma vie à la recherche d’une science si nécessaire, et ayant rencontré un chemin qui me semble tel qu’on doit infailliblement la trouver, en le suivant, si ce n’est qu’on en soit empêché, ou par la brièveté de la vie, ou par le défaut des expériences, je jugeais qu’il n’y avait point de meilleur remède contre ces deux empêchements que de communiquer fidèlement au public tout le peu que j’aurais trouvé, et de convier les bons esprits à tâcher de passer plus outre, en contribuant, chacun et chacune pour son inclination et son pouvoir, aux expériences qu’il faudrait faire, et communiquant aussi au public toutes les choses qu’ils apprendraient, afin que les derniers commençant où les précédents auraient achevé, et ainsi, joignant les vies et les travaux de plusieurs, nous allassions tous ensemble beaucoup plus loin que chacun(e)…
Discours de la méthode – René Descartes – 1637
On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années. On devient vieux parce que l’on a déserté son idéal.
Vous êtes aussi jeune que votre enthousiasme, vos désirs, vos souhaits, votre bienveillance, vos attentions et votre belle curiosité, aussi vieux que votre air désabusé, votre morne attitude, vos certitudes conformistes, votre malveillance intergénérationnelle. Nous sommes aussi jeunes que notre confiance en nous et aussi vieux que notre abattement, nos peurs notre refus d’analyse et notre acceptation d’ostracisme.
L’humanisme
L’Humanisme est un courant de pensée qui apparaît pendant la Renaissance. Il consiste à valoriser l’Humanité, à la placer au centre de son univers. Dans cette optique, le principe de base de cette théorie est que la personne humaine est en possession de capacités intellectuelles potentiellement illimitées. La quête du savoir et la maîtrise des diverses disciplines sont nécessaires au bon usage de ces facultés. Il prône la vulgarisation de tous les savoirs, même religieux : pour certains humanistes, la parole divine doit être accessible à toute personne, quelles que soient ses origines, sa langue ou sa catégorie sociale. Ainsi, cet Humanisme vise à lutter contre l’ignorance, et à diffuser plus clairement le patrimoine culturel, y compris le message religieux (sans imposition politico-réligieuse liberticide, ou ordre templier absolutiste). Cependant l’individu, correctement instruit, reste libre et pleinement responsable de ses actes dans la croyance de son choix. Les notions de liberté (ce que l'on appelle le « libre arbitre »), de tolérance, d’indépendance, d’ouverture, d’attention et de curiosité sont de ce fait indissociables de la théorie humaniste classique.
L'Humanisme désigne toute pensée qui met au premier plan de ses préoccupations le développement des qualités essentielles de ‘’l'être humain’’, en tant que potentiel ‘’d’être bien’’.
PRAGMATISME
Vers quel nombre tendre par moins disant
A faire une nouvelle opération soustractive
Envers devenu cher à contribution
A oublier sujets intégralement présentés
Au soin d’autres dissidences bâclées
Plutôt qu’à persister dans l’analyse
Inutile aux angoisses des flux contrariés
Chiffrage des amertumes clandestines
Suffit à décider des gibiers de potence
A vies exsangues aux bastions de l’ancienne garde
Le masque cynique des aptitudes savantes
Ni apposa que la symbolique sans partition
Aux sciences inhumaines ex-machina contribuera
Sans aucun scintillement à l’amplitude de l’action
La vaseline des suppositoires multiplie les têtes de cul
La thèse pragmatique n’est que contre-valeurs suceuses
Les figurines frappées au sceau scriptural
Ont déposé la monnaie de singes
Dans un échange textuel ou verbal, si la dialectique émise est en perceptible ‘’décodage’’ de ce que représente une réelle et véritable covalence intelligible, voire un lien d’amitié, notamment par une notification ou un partage empreint du langage de la logique humainement acceptable ou de la contradiction prévenante, pertinente, objective et constructive ; alors la notion de sincère inclination délicate est en potentiel de véritable existence. L’espace ’’physiquement touchable’’ n’en perturbe pas l’intendance du langage de l’amitié, de l’attention, de la juste curiosité et du respect mutuel, assujetti aux ‘’bulles’’ textuelles partagées dans l’instant présent.
Les limites sans les lumières d’autres ; temps, contrées, savoirs et cultures, jamais n’indiqueront le juste équilibre… Entre essentialisme et matérialisme. L’intérêt personnel n’a nulle convenance envers les évanescences de l’espace sensiblement touchant, sauf lorsqu’il devient obsolescence matérialiste programmée par l’accaparement ET/OU l’individualisme incertain. L’égocentrisme en est l’épreuve absolue et inabordable dans le monde naturel des véritables savoirs être.
N’aurait-il pas mieux valu en considérer le sens avant la fin… ?
Tous les esprits libres, sensés et valorisés à l’intelligence de cœur savent cela. Ils, elles comprennent également que sur l’ouvrage, avec passion, il faut s’entendre…
L’enfer est un tunnel creusé par une colonie munie de pics d’incertitude. La raison est un bouquet d’attentions que l’on arrose de lucidité.
M.A
Les hommes politiques ne connaissent la misère que par les statistiques. On ne pleure pas devant des chiffres
L’abbé Pierre
Si la pauvreté est la mère des crimes… Le défaut d’esprit en est le père.
Jean de La Bruyère
Par ces postulats, il ne devrait donc y avoir, en ces temps troublés, aucune possibilité d’ordre politique transcendant ; donnant à l’art des gens, cette qualité de juste compréhension envers la totalité du système Socio-Economico-Culturel… Dans les zones de production, d’échange et de valorisation des bien(s) et services représentées dans et par la République Française Démocratique à tendances Laïques…
M.A
Une population instruite, éclairée et informée est une des façons les plus sûres de promouvoir la bonne santé de la démocratie…
Nelson Mandela
Dans les civilisations individualistes l’ensemble communautaire rationnel n'a plus aucune identité sociologique spécifique – Il est donc incohérent de la part des corporatismes à statuts conformistes béats de contracter avec lui. Peut-être parce que les orthodoxies séculaires ont peur du miroir des contre-évidences.
En conséquence de cela, ne rendons toutefois pas, par déni d’attentions, d’analyses et de compréhension, l’autre intrinsèquement responsable de n’avoir su ou réussi à répondre à tous nos besoins insatisfaits et sentiments inassouvis… Où en ces états sensibles, lorsque l’acte de mauvaise intendance est réellement avéré alors, il ne reste plus que la liberté de partir vers de possibles meilleurs horizons… Accepter l’infortune du moment, devenir aphone, écrire ou, se rebeller… S’indigner, Résister… Mais contre qui et au nom de quoi… ?
M.A
Il meurt lentement celui qui devient esclave de l’habitude, refaisant tous les jours les mêmes chemins, celui qui ne change jamais de repère, ne se risque jamais à changer la couleur de ses vêtements, ou qui ne parle jamais à un inconnu, celui qui évite la passion, celui qui ne change pas de cap, celui qui ne prend pas de risques pour réaliser ses rêves, celui qui pas une seule fois dans sa vie, n’a fui les conseils sensés.
Il meurt, lentement, celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de musique, celui qui ne sait pas rire de lui-même. Sans ferveur et passion la vie s’écoule tristement…
Pablo Neruda
A la perdition, vanité fit jeux homolatéraux
La prescription se crût synopsis des grâces morales
La presqu’île de lemme s’y fige sous les oboles
La manie nie coquine, les aiguilles piquent au vif
Je te fiche mon billet qu’idolâtrie est mesquine
M.A
Qu’est-ce que l’Europe ? Un acharnement de voisins qui se battent… Ecrit ainsi, le philosophe et mathématicien, Leibniz (1646-1716).
- En Allemagne, les phases d’expansion des droits civiques et sociaux (L’unité allemande ou les réformes de Willy Brandt) se produisent en période de croissance. La montée du nazisme dans les années trente ou la recrudescence des pulsions anti immigrés se produisent au cours de sévères phases de récession…
Le monde est clos et le désir infini - Daniel Cohen.
Avec pour encore plus mauvaise vision dans le système social-économique français (et autres), en celle d’imaginer la nouvelle possible évolution post-industrielle, comme une désintégration communautaire, par décret en faveur de la déconsidération identito-culturelle, où le plus néfaste schéma d’incompréhension se trouve assurément proche des liens moribonds entre le : corporatisme paroxysmique > Le déclassement social-économique > La prédation territoriale > Le sectarisme culturel > L’anti-laïcité > Le populisme intransigeant > Le nationaliste exacerbé > Les peurs dans la zone non-sécuritaire > L’obscurantisme > Le nihilisme > La radicalisation > Le fascisme > Etc…
Avec pour vecteur ‘’novateur’’ à partir de la fin des années 1970, celui de l’avènement de l’outil informatique, permettant de créer d’autres classifications, grâce aux langages algorithmiques où les mathématiques en autorisent la création des bases de données et autres compositions sujettes à confinements incohérents, dont le pire est d’avoir oublié dans cette histoire à tendance ‘’déshumanisante’’, la pensée profonde de la propre existence ontologique singulière de l’être humain…
‘’La monnaie doit se donner pour légitime et cette légitimité ne peut se construire sur la base de la seule conscience qu'auraient les agents financiers du nécessaire recours à des objets ‘’conventionnels’’. Or, seule cette conception de la légitimité répond aux exigences et naturalités des thèses individualistes. Techniquement, c'est au travers de l'hypothèse d'anticipations rationnelles qu'elle se trouve formalisée dans les modèles socio-économico-culturels. En effet, cette hypothèse signifie que les représentations des agents sont identiques au vrai modèle de l'économie. A contrario, la légitimité suppose la croyance en une certaine matérialité des symboles…
Aussi est-elle contemporaine d'un certain délitement ou déni d’évolution collectiviste, voire mutualiste des sociétaires, acteurs, actrices, réalisateurs, imprésarios, agents et échangistes des scènes nationales et internationales, perceptibles en et par les dysfonctionnements géo-politico-socio-économiques, devenus aujourd’hui divisions communautaires, où en certains lieux de conflits géo-politico-financiers, la valeur immanente est en ces états, indubitablement, ‘’ARMEE’’… Au détriment de toutes ’’cultures’’… Où le temps de la potentielle entente sera invariablement utopie.
Dimension qui ne peut être en aucun cas désolidarisée de tous objets symboliques, matérialisés par leurs essentialités, utilités, nécessités, disponibilités ou toute autre sensibilité en tant que sujet porté à son propre pouvoir, sur soi ou autres par l’effet de cette symbolique affective, devise sécuritaire, liberté attractive, attachement séculaire, immanence séculière, causes plaisantes, passion communautaire raisonnable, raisonnée… ; ou alors individuellement déraisonnable… ???
Au delàdes quarante malencontreuses - Michel Asti
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Date de dernière mise à jour : 11/04/2018
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