DISCERNEMENT
LE MONDE EST UNE RESONNANCE QUI CREE LA DISSERTATION
Lorsque qu’après 36 ans de travail et d’activités professionnelles diverses, après avoir été un bon ‘’petit soldat’’ tant au niveau familial, fraternel, économique et social, bien sûr accompagné par quelques personnes de belles attentions et que vous vous retrouvez avec le statut de ‘’chômeur de longue durée’’, associé à celui affilié au RSA, je puis vous assurer que vous avez intérêt, pour votre santé psychique, à trouver un contre poison intellectuel ET/OU physique, sinon vous n’y survivriez qu’avec dommages irréparables.
Et cela, en ou hors de ce système sociétal, que vous avez servi du mieux possible, depuis vos 17 ans, puis avoir été exclu de votre lieu de vie à 53, et être sans emploi depuis plus de 5 années, du reste de votre vie ‘’active’’.
Et qui plus est quand vous résidez en milieu rural où votre seul lien culturel restant est celui d’une connexion internet, bien évidemment, si vous y avez accès avec possibilité de régler l’abonnement mensuel. Car avec 480€ par mois, tout n’est pas simple, et parfois une forme de colère peut apparaître vis-à-vis de vos congénères et communautés éloignées de vos sensibilités personnelles, où, par ce lien réseau, quelques docteurs en psychologie, savants en bien-être, manipulateurs en bonté, manipulatrices en bienfaits et autres pseudos amis(es) virtuels(les) vous proposent des invitations pour participer à des réunions, débats, symposiums et spéculations de groupes, en salles éloignées de vos possibilités matérielles et financières, vous autorisant en ‘’temps normal’’, d’accéder à ces lieux d’échanges en réseaux biophysiques, psychologiques, culturels, scientifiques, sociologiques, voire physiologiques, par moyens de mobilité suffisants, et souhaits en diversité pluridisciplinaire, hors uniques échanges en ambiance virtuelle, souvent veule…
Tous ces individus fallacieux et fourbes, doivent être gens de peu d’attention envers ces ‘’choses de la vie’’ sortant de leur anthropocentrisme de groupes fermés ; voire secret… ?
Me semble-t-il…
DECENTRALISATION - DU MYTHE A LA PAGAILLE.
En 1981, lorsque les socialistes ont dans le sillage de l’élection de F. Mitterrand à la présidence de la République, obtenu une majorité parlementaire qui leur permettait toute les audaces, l’organisation des pouvoirs politiques territoriaux résultait, pour l’essentiel, de lois centenaires, elles-mêmes d’héritage napoléonien. L’occasion était belle de fonder, par une révolution, de nouvelles libertés qui marqueraient le siècle.
Des lois et des décrets multiples et complexes, échafaudés dans la fièvre et les clameurs de victoire, ont alors épaissi le corpus juridique. Avec l’assentiment complice d’une opposition exsangue, incrédule et impatiente de remonter les marches du pouvoir, fût-ce en repartant de tout en bas, l’articulation nouvelle des pouvoirs locaux a pris sa place sans heurt. Les commissaires de la République nouvellement institués avaient, dans un sursaut corporatiste, réussi à sauver leur grade de préfet et leurs logements de fonction, en se soumettant à une toquade ministérielle toute symbolique pour un intitulé de charge conforme au vocabulaire de la mythologie révolutionnaire. Ils ont accompagné cette évolution d’un œil morne.
Tout le monde attendait depuis longtemps, mais sans trop oser y toucher, que la structure territoriale soit, rénovée. Les textes fondateurs s’étaient dégradés. Leurs stipulations étaient manifestement en retrait de la pratique quotidienne. Malgré l’interdiction formelle de la loi, les collectivités cherchaient, par diverses subterfuges et souvent au risque et détriment de leurs contribuables, à s’immiscer dans des choix d’entreprises en subventionnant des localisations industrielles.
Le général de Gaulle avait échoué à imposer par référendum une modeste évolution institutionnelle qui heurtait les intérêts des notables. Georges Pompidou, président de la République, avait, à sa manière cauteleuse, installé une région molle et timide, mais étayée par une première personnalité juridique. Chacun sentait bien qu’elle progressait vers plus d’ampleur et de puissance.
Enfin les socialistes et leurs alliés communistes, passaient un nouveau pas, instituaient pour les départements et les régions, des exécutifs élus indépendants de l’état, affranchissaient les actes des collectivités de la tutelle de l’état. Prudemment toutefois, pour ne pas perdre la main sur la ‘’légalité’’, ils concédaient aux préfets et sous-préfets un rôle ambigu, de contrôle à postériori sur les actes des collectivités.
Cette surveillance vague et craintive tolérera, sans gloire, l’éclosion de la corruption, et les débordements budgétaires et fiscaux. La République s’était fortifiée avec les notables. Elle venait de donner naissance à des roitelets.
Quelques-uns deviendront des potentats…
Personne dans l’opposition parlementaire d’alors certes, (et de maintenant ?) ; mais aussi peu lucide (pareil qu’aujourd’hui ?), n’a mesuré les coûts, l’impact sur la moralité publique de ces réformes à la hussarde. Et peut-être en train de réapparaitre, en cette période de ‘’renouveau’’ politico-stratégique trouble ?
La France avait crû, après 1968, pouvoir inhaler un air plus sain, et y avait pris goût dans le coup de frais giscardien.
Elle étouffait encore.
Elle s’est alors offert l’euphorie d’inspirer de plus grandes bouffées. Pendant que le gouvernement de la gauche, d’une main enserrait l’économie, par des nationalisations d’entreprises dont la seule utilité fut de pouvoir obtenir plus tard un produit budgétaire, de l’autre il donnait leur ‘’liberté’’ aux collectivités locales, ou plutôt à leurs barons. Ce qui restait de la droite comptait bien faire de ce nouveau dispositif le point d’appui de sa reconquête politique – Recyclage politicien constructif ou progressiste ?
Tous les gouvernements se sont, depuis, entêtés à prétendre porter encore plus haut la flamme de la décentralisation : une intention d’efficacité. Le plus ardent à pousser les feux pour accéder à une nouvelle phase a été, dès son retour au pouvoir, le gouvernement d’une droite convertie à la religion de la décentralisation. Ses initiatives se sont enluminées d’une vertueuse obstination et de belles envolées dans le langage parlementaire. Mais soit que les compromis aient obscurcis le contenu, soit que les idées aient pu être confuses pour paraître audacieuses, lorsque Jean-Pierre Raffarin, Premier ministre, eut achevé son ouvrage, la pagaille était mémorable.
Elle fut exacerbée sous Nicolas Sarkozy, dans la tension et l’impatience qui ont caractérisé son règne, par des prétentions méprisantes et irréalistes, enterrées après les élections de 2012, mais prêtes à renaitre, tel un ‘’millefeuille’’ territorial institué par un Etat National, et composé délibérément par une technocratie absconse envers toutes pensées moins corporatistes, voire paradoxalement trop proches des audaces intellectuelles clandestines… Par signalisations ‘’séculières’’ définissant quelques politiques-templières… ???
Ou autres religiosités-politiciennes hermétiques à une véritable philosophie-politique autorisant moindre fracture sociale-économique… ?
Et stigmatisation identito-culturelle… ?
Entrainant assurément division et conflits communautaires…
En outre une réforme fiscale sert un intérêt fiscal, pas un objectif institutionnel. Et ce n’est pas un levier de réforme DANS l’Etat…
TOI, L’ENNEMI…
Oui, celui qui est caché sous les voiles de ta vile conscience, régie par le prosélytisme des cités antiques, qui a l’avantage de confondre le cultuel et l’amour des lois ‘’humaines’’, mais qui est exclusif et intolérant et avec lequel tu essaies d’en faire la pire thésaurisation, tel un retour à des privilèges, lois, et règles de castes datant de temps impérieux affectés à l’herméneutique stoïcien. Celle qui donne deux lois, deux maîtres, impose des devoirs, tant à l’une et l’autre, qu’à l’un et l’autre, et par conséquent est intrinsèquement contradictoire et oppose, sans réflexion, les contraintes au lieu d’additionner les véritables solidarités.
Oui, n’en soit pas outragé ; ait au moins la décence d’assumer cette dialectique affichée par guides, mentors, prêtres ET/OU gouvernances en gestion anti-démocratique, antirépublicaine et anti-laïque, néfaste à l’unité sociale et qui subordonne l’état naturel, de l’homme et la femme, à cette théocratie de sombres valeurs… ; bien commode pour les idéaux de ton groupe en politique filoutée à l’ancienne garde des Césars, Satrapes et autres empruntés(es) aux services de mauvaise psychologie et néfaste physiologie en entrée de l’entrejambe déculturé aux cités babyloniennes mortifères…
Oui, c’est toi le véritable ennemi, associé à vil détournement de docte Benthamien en postulats d’autres falsificateurs de Mammon, s’appropriant l’usure de leurs enfants, frères et sœurs.
Oui, celui cerclé à la pudibonderie de ta conscience de clans, en affligeante correspondance de petits hommes sans prestance, auditionnée par tes ascendants ignorants des causes mêmes par lesquelles ils ont été tout aussi clandestinement fermé par des sources ayant suffisamment de sectarisme intellectuel pour formater ton esprit à la législation d’une politique économico-financière pernicieuse, en précession infligée par déni du réel sens affecté à l’ordre naturel des covalences sociologiques, sans intérêt autre que celui de ne pas croire que le génuflecteur, en dépit de sa position théologique, se soucie plus du ciel que de la terre, et donc EST par essence, antisociale, et obligatoirement fractale, dans le réel espace-temps économico-socio-culturel, des territoires du monde…
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D’Est en Ouest, petit homme, sans efficience, tu voudrais, dans la posture médiatique de tes bras ouverts, laisser penser à tes congénères sollicités aux circuits des assentiments louables, qu’il t’a été fait don d’une compréhension, telle qu’elle t’eût laissé croire que toutes les différences culturelles et sociologiques ne puissent entamer ton ‘’hystérographie’’ en gouvernance d’hommes et de femmes sans mémoire, régentée par une pédagogie en lois d’une philosophie-politique templière déféquée dans la vacuité d’un discours entre les sciences et les arts relégué, sans réflexion utile à collectivisme communautaire, aux sonorités suceuses de petits potentats… ???
Que les nouveaux échanges réseaux n’y puissent apportés quelques lumières dans le pesant brouillard en malveillance de nouvelles vérités… ; colorées aux néo-scientistes flottant aux vents d’une métaphysique en sollicitude de bas contes… ?
Que n’est-il pas en cet endomorphisme, une exégèse ontologique tout aussi dissuasive que celle des philosophes tatoués au nombril de leur monde… ?
Une servitude benoite ?
Ou un excès de népotisme en verticalité ?
Dans écosystèmes en fourberies de vie émancipatrice ?
Le nouveau coaching social-économique, n’y saurait apporter entente suffisante, qu’à la condition d’y trouver les vertueuses raisons, affichées à véritables causes sociologiques en pragmatisme équilatéral de bonnes devises économiques, autorisant l’essence même des communautés à croire que la vie n’est pas une longue désuétude, en inoculation de poisons injectés par doctes piqués aux croyances théologiques de monothéistes en défiscalisation des réelles usures, mais existences biophysiques humainement acceptable…
Dans les civilisations individualistes l’ensemble communautaire rationnel n'a plus aucune identité sociologique spécifique – Il est donc incohérent de la part des corporatismes à statuts conformistes béats de contracter avec lui. Peut-être parce que les orthodoxies séculaires ont peur du miroir des contre-évidences.
En conséquence de cela, ne rendons toutefois pas, par déni d’attentions, d’analyses et de compréhension, l’autre intrinsèquement responsable de n’avoir su ou réussi à répondre à tous nos besoins insatisfaits et sentiments inassouvis… Où en ces états sensibles, lorsque l’acte de mauvaise intendance est réellement avéré alors, il ne reste plus que la liberté de partir vers de possibles meilleurs horizons… Accepter l’infortune du moment, devenir aphone, écrire ou, se rebeller… S’indigner, Résister… Mais contre qui et au nom de quoi… ???
M.A
Il meurt lentement celui qui devient esclave de l’habitude, refaisant tous les jours les mêmes chemins, celui qui ne change jamais de repère, ne se risque jamais à changer la couleur de ses vêtements, ou qui ne parle jamais à un inconnu, celui qui évite la passion, celui qui ne change pas de cap, celui qui ne prend pas de risques pour réaliser ses rêves, celui qui pas une seule fois dans sa vie, n’a fui les conseils sensés.
Il meurt, lentement, celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de musique, celui qui ne sait pas rire de lui-même. Sans ferveur et passion la vie s’écoule tristement…
Pablo Neruda
A la perdition, vanité fit jeux homolatéraux
La prescription se crût synopsis des grâces morales
La presqu’île de lemme s’y fige sous les oboles
La manie nie coquine, les aiguilles piquent au vif
Je te fiche mon billet qu’idolâtrie est mesquine
M.A
Qu’est-ce que l’Europe ? Un acharnement de voisins qui se battent… Ecrit ainsi, le philosophe et mathématicien, Leibniz (1646-1716).
- En Allemagne, les phases d’expansion des droits civiques et sociaux (L’unité allemande ou les réformes de Willy Brandt) se produisent en période de croissance. La montée du nazisme dans les années trente ou la recrudescence des pulsions anti immigrés se produisent au cours de sévères phases de récession…
Le monde est clos et le désir infini - Daniel Cohen.
Avec pour encore plus mauvaise vision dans le système social-économique français (et autres), en celle d’imaginer la nouvelle possible évolution post-industrielle, comme une désintégration communautaire, par décret en faveur de la déconsidération identito-culturelle, où le plus néfaste schéma d’incompréhension se trouve assurément proche des liens moribonds entre : Le corporatisme paroxysmique > Le déclassement social-économique > La prédation territoriale > Le sectarisme culturel > L’anti-laïcité > Le populisme intransigeant > Le nationaliste exacerbé > Les peurs dans la zone non-sécuritaire > L’obscurantisme > Le nihilisme > La radicalisation > Le fascisme > Etc…
Et pour vecteur ‘’novateur’’ à partir de la fin des années 1970, celui de l’avènement de l’outil informatique, permettant de créer d’autres classifications, grâce aux langages algorithmiques où les mathématiques en autorisent la création des bases de données et autres compositions sujettes à confinements incohérents, dont le pire est d’avoir oublié dans cette histoire à tendance ‘’déshumanisante’’, la pensée profonde de la propre existence ontologique singulière du mammifère-humanoïde…
L’HUMANITE EN PENTE GLISSANTE
L’homme n’apprend rien de ses erreurs.
Une erreur, de ‘’casting’’ ou autres, quelle, soient-elles, est un évènement qui, normalement, se produit une seule fois. Lorsque cette même erreur arrive une seconde fois, c’est une faute.
Nous vivons aujourd’hui aux crochets des générations futures et nous leurs léguons une poubelle explosive très chère à entretenir, tout en ne leur procurant plus les moyens de vivre de leur travail. Le COURT-TERMISME est, parait-il, inscrit dans les règles de politiques seulement et uniquement comptables…
Auparavant, l’individu était une personne morale à valeurs de dignité supérieure aux prix fixés à l’objet de consommation. Le glissement de cette dignité – certes inexistante chez les individus soumis à la tricherie, l’ignominie, l’infamie et l’insincérité patente – part de la personne physique en respect des valeurs éthiques et déontologiques dans le cadre des Droits et Devoirs inscrits dans une société de justiciables et justifiables en tant que personnes physiques morales. Cette personne physique, dotée d’un patrimoine, a été transposée au statut d’entreprise morale, en tant qu’entité fonctionnelle – machine non-humaine – puis fut réalignée, aux Etats-Unis, au milieu du XIXème siècle, par sa mise en place au statut de ‘’personne morale’’, désignée plus tard sous le patronyme de ‘’TRUST’’ - « la Fiducie » de droit anglo-saxon (pays considéré comme le plus grand colonisateur à partir du XVIIème siècle). Cela permit aux individus, personnes physiques de pouvoir s’inscrire dans le sillage de personnes ‘’morales’’ et bénéficier ainsi du pouvoir démultiplié des sphères patrimoniales et de l’influence de l’avènement industriel au cours du XIXème siècle, auquel les individus accédèrent grâce à l’héritage, à la transmission, filiale, à tiers personne ou groupes d’intérêts particuliers – à l’immortalité du trust – qui était désormais garantie par la société morale de l’entreprise capitalistique, anglo-saxonne, américaine, etc… ; suivies par la mise en place du système de circulation mondialisé des marchandises et capitaux…
Ne faut-il pas penser, dans cette évolution de la société ‘’morale’’ une « ruse de la raison » au sens hégélien ?
Et tenter de pouvoir dire que les lois du commerce international sont une parodie de néfastes valeurs collectivistes, corporatistes et communautaires, voire agencée par des groupes de prédation.
Quand une mise en œuvre des principes du marché ultralibéral provoque une crise écologique et idéologique précédée par des crises économiques et financières, sévères au cours du XIXème siècle, puis la première véritable crise financière mondiale en 2008, trouvant sa source aux Etats-Unis. Que peut-on penser de ce système politico-social-économique ultralibéral ?
Qu’il est celui des plus forts ou plus nantis ?
Les banques et organismes financiers ont-ils appris de leurs erreurs ?
Nous allons rendre le système économico-financier plus fiable, ont-ils dit ?
Le résultat de ce système où l’attitude asociale brutale de l’économiste et du comptable a pris le pas sur le prix de toute dignité, en tant que constituante d’une Démocratie Républicaine, dans le cadre des Droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, serait-il devenu un ‘’jeu’’, de dupes, à produit négatif et dommages collatéraux mortifères pour une majorité de l’humanité ?
LA LOI DU MARCHE AVANT LA BIENVEILLANCE… ?
Le XIXème siècle fut celui de l’avènement industriel initialisé par les premières découvertes scientifique de la fin du XVIIIème après la Renaissance au XVIIème. La technologie, les sciences et la création de nouvelles technologies, matériels, matériaux, moyens techniques, outils de communication et facultés humaines, nécessaires à indexer l’évolution des sociétés, prennent une ampleur extraordinaire, jusqu’à nos jours. Une partie de notre « modernité » commençât véritablement au début du XIXème siècle. Les nouvelles idéologies aussi.
Les paradoxes de la philosophie-politique également.
Ce siècle de l’avènement industriel vît, sur l’ancien continent la chute des monarchies. La fin de la révolution d’octobre en Russie enclencha une nouvelle ‘’guerre’’ entre le modèle capitaliste anglo-saxon, émancipé à plus grande échelle outre Atlantique, notamment en Amérique du Nord, et le communisme soviétique induit par la face autocratique, voire despotique de Lénine et Staline.
L’histoire n’avance que par son mauvais côté, disait Marx.
Il est intéressant de voir que l’histoire de l’ancien au rapport du nouveau continent affichée par le nouveau monde des Amériques est en train de réapparaitre, telle une forme simiesque d’un passé sombre. Certes la modernité a apporté ses bienfaits. Notamment dans les domaines des transports, de l’alimentation, des normes de sécurité, l’hygiène, la médecine, les connaissances, la retransmission de l’information, la rapidité des échanges commerciaux… ; etc…
Mais tout cela n’a pas suffi à diminuer, proportionnellement à l’évolution démographique, les inégalités entre les hommes, les femmes et les enfants, l’iniquité sociale-économique, les conflits territoriaux, la fracture culturelle, le refuge identitaire et communautaire. L’accessibilité aux biens essentiels est de plus en plus compliquée, même dans nos sociétés occidentales. Ces dernières décennies l’incompréhension intellectuelle entre systèmes d’échanges de biens et services des villes, où sont concentrées les richesses, et régions rurales, en déficit d’emplois, s’est accentuée. La fête s’est terminée à la fin des années 80, après les ‘’trente glorieuses’’. Elles ne reviendront jamais, soyez en certain. Il faudrait que les sociétés modernes se réinventent en fonction de leurs évolutions technologiques, économiques et culturelles, si elles veulent s’émanciper des carcans sociétaux, de l’ignorance inflationniste installée par de néfastes corpus sociaux-économiques et culturels fracturant les communautés, territoires, pays et nations inconscientes du drame en déclin civilisationnel.
Après la liesse faisant suite à la fin de la deuxième guerre mondiale et le renouveau de la construction européenne les démons affectés à l’anthropocentrisme de l’homme et des clans ressurgirent. Les fantômes de l’ancien monde réapparaissent. Les peurs, les incertitudes, la pression économico-socio-financière et les dogmatismes des nouveaux paradigmes culturels affichés aux néo-scientistes s’installent patiemment, au nom des lois et règles de marchés des « changes », soient disant inédits… ???
Mais bienveillants, parait-il…
Quand l’histoire se répète, disait Marx, la deuxième fois c’est une farce.
« La monnaie doit se donner pour légitime et cette légitimité ne peut se construire sur la base de la seule conscience qu'auraient les agents financiers du nécessaire recours à des objets conventionnels. Or, seule cette conception de la légitimité répond aux exigences et naturalités des thèses individualistes. Techniquement, c'est au travers de l'hypothèse d'anticipations rationnelles qu'elle se trouve formalisée dans les modèles socio-économico-culturels. En effet, cette hypothèse signifie que les représentations des agents sont identiques au vrai modèle de l'économie. A contrario, la légitimité suppose la croyance en une certaine matérialité des symboles…»
Aussi est-elle contemporaine d'un certain délitement ou déni d’évolution collectiviste, voire mutualiste des sociétaires, acteurs, actrices, réalisateurs, imprésarios, agents et échangistes des scènes nationales et internationales, perceptibles en et par les dysfonctionnements géo-politico-socio-économiques, devenus aujourd’hui divisions communautaires, où en certains lieux de conflits géo-politico-financiers, la valeur immanente est en ces états, indubitablement, ‘’ARMEE’’…
Au détriment de toutes ’’cultures’’…
Où le temps de la potentielle entente sera invariablement utopie.
Dimension qui ne peut être en aucun cas désolidarisée de tous objets symboliques, matérialisés par leurs essentialités, utilités, nécessités, disponibilités ou toute autre sensibilité en tant que sujet porté à son propre pouvoir, sur soi ou autres par l’effet de cette symbolique affective, devise sécuritaire, liberté attractive, attachement séculaire, immanence séculière, causes plaisantes, passion communautaire raisonnable, raisonnée… ; ou alors individuellement déraisonnable… ???
LETTRE AUX MEPHISTOPHELES
Ne croyez-vous pas, Mesdames, Messieurs en tâche de gouvernances, que la plupart des gens se voyant tromper dans leur espérance, par les simulacres d’une exhibition politique, excluant territoires et habitants, non soluble avec la photo de famille gouvernementale sollicitée par des cadreurs de censure, n’y trouvent plus raisons suffisantes à attendre votre lente mise en application envers justice sociale, mais plutôt à trouver forces restantes et suffisantes à réparation ? J’en serai fort aise, à y trouver nombre d’indignés(es) suffisant à organiser une nouvelle armée des justes, officiant aux chemins d’une plèbe à dissidence intelligible. Au nom d’un contrat social, entre les lignes des anciennes barricades, du rouge teinté au sang des innocents, n’en reste-t-il pas quelques gouttes invisibles aux yeux des biens garnis… Tiraillés entre la maladie du blé jaune, le virus d’un sarrasin envers la liberté d’une sarrasine, la mélasse, le voilage et le plumage, le néo-ordo-libéralisme, la franc-maçonnerie, les partisanneries cultuelles iniques, la soumission liberticide, les intérêts corporatistes antisociaux, le néo-scientisme, la culture anthropocentrique de l’entre-suit, le conformisme béat, la starisation politico-médiatique, le marketing et Mammon…
N’y voit-on pas là quelques éboulements d’échafaudages, auparavant structurés par la présomption phallique de chaires institutionnelles, à ce qu’elle n’y puisse contenir autres imminences grises que celles des religiosités-politiciennes ruisselantes d’inefficacité accostées par des politiques-templières, vouées à l’ordre de l’accaparement, au nom d’une vénalité inique ?
Suceurs de position en sont assurément les plus fieffées gardiens d’étals… A nul doute, d’un côté à compter pièces d’or et de l’autre, symboles à foutres. La différence y est insignifiante ; de même prosternation, la position en est effarante. Pour l’une, il est d’évidence action, en compte de pièces, le Veau - d’Or à engraisser, et de l’autre à attendre que l’animal en vomisse quelques onces. A la magie des incertitudes, vociférâtes les inutilités aplaties, pour qu’en cette réunion, au cours des jours saints, la prière, de sept en sept, honore la fourberie et apaise les prémices suspicieuses de la condition humaine.
C’est, sûr, celle-ci pousse tant d’imprécations qui s’y trouvent dans les prédicats de cette censure, que je n’ose en croire les possibilités d’une inversion décidable aux abords de la loi du marché. L’entreprise communautaire ne s’élèvera qu’en avertisseur d’intransigeances, le jour gratifié du nombre suffisant, d’avoir réussi à investir les vestiges d’amphitryon fourrés aux inepties des commandements privés de toutes institutions collectivistes abasourdies par le brouillamini des courbettes de fonds…
Que d’une laïcité sortie des procédures d’assouvissement, le problème n’y résistera, qu’en la discontinuité d’incompréhension des termes partisans affichés aux sourdines du multiculturalisme pervers abonné aux poisons d’anathème, d’exécration et d’hérésie, promulgués aux expressions d’horreur transmises par la parabole des virus d’assomption, s’imaginant proposer une nouvelle hystérèse ignorante des soubassements de la détestation, envers les exégèses d’experts en toutes doctes, génies de l’économie-financière et autres sorciers de l’usure promis en avenir de façadiers sans éthique et morale, mais assurément avec posture propre à bande de fieffés Méphistophélès …
Si l’économie était contrôlable, le monde devrait être – en toute logique – équilibré et rationnel ; or il est plus en plus inhumain, irrationnel et déséquilibré. A l’ère de l’information, l’ignorance est un choix… ; à moins que ce soit un déni de réalité ou un refus de meilleure attention en échange de bonnes intentions… ?
REPRESENTATION ET INTROSPECTION
L’Homme est un mammifère : VRAI
Tous les hommes et toutes les femmes sont des mammifères : VRAI
L’Homme est un bipède humanoïde : VRAI
Tous les hommes et toutes les femmes sont des êtres-humains cultivés, rationnels et intelligents : FAUX
L’Homme est un animal grégaire à actions répétitives et réactions désordonnées existant dans un système sociétal multiculturel à conformisme béat et consumérisme endiablé : PEUT-ÊTRE…
Que peut-il rester d’un réalisme ordinaire si le réalisme de la mesure est réduit à néant par un antiréalisme inspiré par la seule préséance de la pensée mathématique sur la pensée analogique?
Et tout particulièrement dans la pensée unique ?
Qu’adviendrait-il du pragmatisme ordinaire ?
Quelle échelle de représentation autoriserait l’une ou l’autre, sans l’une et l’autre – i.e. la pensée analogique sur la pensée mathématique et inversement – dans un ensemble (E)… ???
Encore faut-il réussir à ne pas passer outre les calomniateurs convaincus et ne pas recourir à leurs maximes sans analyse des paralogismes particuliers et syllogismes divers, afin que la flétrissure culturelle, sémiologique, sémantique et didactique généralisée ne soit plus une fragrance à en adopter le verbiage, sans attention ni étude envers la divagation ahurissante. Ne serait-ce pas en cette thématique, son reniement choisi ou une adhésion intrinsèque envers reliques en formulation de différence, physico-ontologique, sans preuves véritables… ; autre que celle édictée par un corporatisme inique, en postulats de paradoxes, tout aussi incertain… ???
En l’occurrence si un ou une différente en voudrait établir quelque autre attachement, hors robe, chaire, pair, pompes et intérêts empruntés à doctes en prescription d’adhérence supposée, il et/ou elle, en seraient-ils immédiatement taxés de simples d’esprit ou hérétiques… ?
Que pouvons-nous répondre, par quelques rhétoriques sensées, à tous ces calomniateurs et calomniatrices, infectés(es) par les ‘’choses’’ sans preuves formellement établies, accusant autres de leurs congénères, sexués, sans logique didactique évidente, au rapport d’une sociologie humainement acceptable ?
Qu’ils en bâtissent leurs trésors par une forme clandestine approvisionnée à leur état d’insincérité ?
Que doit-on étudier, de même, à tous ces discours vagues de cette sorte, qui se trouvent dans leurs livres des restitutions réduisant les créanciers humanistes en une usure à ruissellement de lentigos proches de la porte, usée, entrouverte aux germes des imprécations sans foi, ni lois… ?
Ou à pratiquer un suivi circonstanciel, plus à même d’emprunter les ressemblances destructrices d’une colonie munie de pics d’incertitude, au détriment d’actions en construction d’une philosophie-politique et sociologique moins absconse… ?
En attribution du prix des accords privilégiés proches du discours entre les sciences, les arts et la poésie… ???
Afin d’imaginer pouvoir faire quelques introspections sur ces sujets, il se doit, en premier lieu, et à minimum, de comprendre Syllogisme et Paralogisme…
SYLLOGISME
Un syllogisme est un raisonnement où, certaines choses étant prouvées, une chose autre que celles qui ont été accordées se déduit nécessairement des choses qui ont été accordées.
La proposition mineure d’un syllogisme est établie, soit par une induction, soit par une hypothèse, soit par une évidence, soit par des syllogismes. Un syllogisme permet de mettre en lien une conclusion à deux termes :
1 – Le majeur
2 – Le mineur
Par un ordre de moyens termes, dans une table de vérité…
Le majeur et le mineur ne doivent apparaître qu'une fois chacun dans les prémisses, le moyen terme est présent dans chaque prémisse (puisqu'il permet la mise en rapport des deux autres termes) tandis que la conclusion expose le rapport entre le majeur et le mineur, de sorte que le syllogisme est un « rapport de rapports » (expression de Renouvier, Traité).
PARALOGISME
Un paralogisme est un raisonnement faux qui apparaît comme rigoureux et où le locuteur est de bonne foi, contrairement au sophisme qui est un argument fallacieux, c'est-à-dire destiné à tromper. Le paralogisme est un antonyme de syllogisme.
Dans la Critique de la raison pure, Kant a identifié les paralogismes comme étant des illusions de la raison.
On peut distinguer deux types de paralogismes : les paralogismes formels et les paralogismes informels.
John Stuart Mill montre dans A System of Logic que le syllogisme classique est lui-même un paralogisme : aucune vérité particulière ne peut être inférée de principes généraux puisque c'est au contraire l'ensemble des premières qui doivent être démontrées pour garantir la validité des secondes :
« [...] Il est irréfutablement avancé par les adversaires du syllogisme que la proposition, Socrate est mortel, est présupposée dans l'hypothèse plus générale : Tous les hommes sont mortels ; que nous ne pouvons être assurés de la mortalité de tous les hommes, à moins d'être déjà certains de la mortalité de chaque homme individuel ; que s'il reste douteux si Socrate, ou tout homme que nous souhaitons citer, est mortel ou non, le même degré d'incertitude doit peser sur l'affirmation – Tous les hommes sont mortels – que le principe général, au lieu d'être donné comme preuve du cas particulier, ne peut lui-même être tenu pour vrai sans exception, avant que toute ombre de doute qui pourrait affecter quelque cas qu'il inclue ne soit dissoute depuis une autre source ; et alors que reste-t-il à prouver au syllogisme ?
Que, en bref, aucun raisonnement du général vers le particulier ne peut, en soi, prouver quoi que ce soit : puisque depuis un principe général nous ne pouvons inférer aucun [cas] particulier, sinon ceux que le principe lui-même présuppose connu. » Mills nous dit ici que, lorsque nous prétendons avec un syllogisme parler de la réalité (ou de toute situation concrète), alors le principe général posé comme point de départ du raisonnement repose en fait lui-même sur une autre affirmation à propos de chaque cas particulier concerné
Les métaphores propres aux mathématiques (théories), lorsqu’elles ne sont pas démontrées scientifiquement, demeurent des métaphores, c’est-à-dire, qu’elles sont des instruments d’interprétation du réel qui peuvent nous tromper utilement ; ou fallacieusement ?
Conclusion partielle :
Ce n’est que par un effet de rhétorique que l’on peut arriver à faire croire que la vérité mathématique en économie incomplète a autorité suprême, comme si toute vérité pouvait s’émanciper de l’utilité d’un pragmatisme d’échelle présent, pour ensuite venir la justifier, en s’émancipant d’une autre thésaurisation, en prémices ordonnées et subordonnées à un passé volontairement rendu valorisant, au profit de postulats en futur particulier… En intérêts pour seuls clans de chaires, d’ors, de robes, de notables, de pompes et autre empruntés(es) en comptes de valeurs ajoutées, falsifiés… Marketing de lobbies, néo-scientistes ou PARAPHEURS en paradigme de faux-culs ?
Rien n’est plus incertain que la conscience
La sagesse maitresse par ses mots affiliés
Murmura aux oreilles de son estudiantin(e) :
‘’ Nous nous laissons souvent séduire,
Et sans fondement sur la belle vision,
Comme tout à chacun et chacune,
D’une certitude nouvellement née,
Croyons fort aisément,
A ce que nous craignons des plus grands désastres
Et désirons du plus grand des plaisirs’’.
MESURES DU LANGAGE
La mesure du [langage] ne dit pas tout, au contraire, elle dissimule ce qu’elle est incapable de dire. Plusieurs philosophes ne réalisent pas que toute nouvelle mesure, tout nouveau calcul, toute nouvelle théorie naît avec un lot inséparable de métaphores qui n’ont rien de vrai, mais qui sont indispensables à leur usage. Seule compte ici l’utilité. Et cette utilité est concomitante de la technologie ou de la technique qui crée un nouveau domaine d’expériences. Cela implique que des analogies et des métaphores meurent et se fossilisent au gré du déclin de l’usage et de la popularité des technologies qui les alimentent.
Les premières théories d’une, possible ; langue universelle allant de pair avec une classification conceptuelle exhaustive par catégories fait encore débat à différents niveaux. Michel Foucault pensait qu’une telle classification devait être subjective, citant comme exemple la classification fictive des animaux établie par Jorge Luis Borges, la Celestial Emporium of Benevolent Knowledge's Taxonomy.
Une récente synthèse philosophique a également relié à l’écologie du système l’intérêt que Leibniz portait à l’ingénierie de l’environnement. On a proposé la langue de l’écologie du système comme forme moderne de la caractéristique universelle de Leibniz. Cette langue a été utilisée dans le développement de systèmes de vue d’ensemble économiques et écologiques des paysages, des technologies et des pays.
En conséquence, il semble que le projet de Leibniz au siècle des Lumières est toujours poursuivi et est exécuté à l’échelle mondiale afin d’améliorer le processus de développement durable. Le terme de langue universelle fait référence à une langue hypothétique ou historique parlée et comprise par l’ensemble, ou presque, de la population mondiale. Dans certains contextes, il fait référence à un moyen de communication considéré comme compréhensible par toutes les ‘’choses vivantes’’ et tous les être-humain.
Ce terme peut rejoindre la notion de langue auxiliaire internationale, utilisée par des groupes de personnes de langue maternelle différente pour communiquer entre eux. D’un autre point de vue, il peut s’agir de la langue principale de tous ses locuteurs, ou bien la seule langue qui existe. Selon certaines traditions mythologiques ou religieuses, il existait autrefois une langue unique et universelle parlée par tous et partagée par les être-humains, et d’après les anciennes écritures avec des entités surnaturelles. Cependant il n’en existe aucune preuve historique, hormis le fait anthropologique que l’hominidé trouve son origine en un seul lieu terrestre. Homo-sapiens marchât, ensuite ; sur le monde. Dans d’autres traditions, on porte un intérêt moindre à la question, ou de manière générale, elle est détournée.
Diffusion de l’anglais dans le monde
L’anglais reste la langue dominante dans les domaines du commerce international et de la communication internationale du fait de l’influence des médias mondiaux et de l’ancien Empire britannique qui a instauré l’utilisation de l’anglais dans des régions du monde entier comme en Amérique du Nord, en Inde, en Afrique, en Australie et en Nouvelle-Zélande. Cependant, l’anglais n’est pas la seule langue utilisée dans les organisations mondiales telles que l’Union européenne et l'Organisation des Nations unies, car beaucoup de PAYS ne reconnaissent pas l’ANGLAIS comme langue universelle.
Le temps ne s’impose pas en ennemi intérieur, mais il est une composition particulière par l’énergie extérieure des choses de la vie… M.A – La Clé du Temps des Murmures.
On connait la célèbre définition qu’a donnée Kant de la dignité :
- Dans le règne des fins, tout a un PRIX ou une DIGNITE. Ce qui a un prix peut être aussi bien remplacé par quelque chose d’autre à titre équivalent ; au contraire ce qui est supérieur à tout prix, ce qui par suite n’admet pas d’équivalent, c’est ce qui a une dignité. La dignité, étant supérieure à tout prix, échappe par définition au calcul économique. A ce premier inconvénient, elle en ajoute un second : en tant qu’impératif catégorique, elle constitue un devoir, et pas seulement un droit individuel... Dans le cadre de la pensée primitive, la personne humaine est constituée de l’ensemble des choses où sa présence est perceptible par autrui […].
[…] La personne, c’est son corps, son ombre, toutes les représentations qui peuvent être faites d’elle (photos, enregistrement de sa voix, etc…), les rognures de ses ongles, les mèches de ses cheveux, ses vêtements, la trace de ses pas au sol, voire, dans la pensée rationnelle chinoise, les caractères la représentant dans la langue écrite, etc… Tous ces éléments sont en effet susceptibles d’évoquer à autrui sa présence ; Lévy-Bruhl les appelle les appartenances de la personne.
Chaque mammifère-humain est enfant de la connexion d’un individu mâle et d’une femelle. Nous sommes enfants d’une rencontre, et parents d’enfants pour la plus grande partie des adultes. Nous sommes affiliés à une origine terrestre dont nous ne connaissons pas encore exactement la date de notre apparition en tant qu’espèce d’hominidés, mais avant tout nous sommes des êtres-vivants de type mammifère-bipède appartenant au genre humain doués des capacités cognitives suffisantes à l’analyse de toute situation constituée de sujets-objets positionnés dans notre zone d’existence. La retransmission de nos valeurs en tant qu’« adultes sensés » est d’une importance capitale pour la, voire les générations suivantes, et ces apprentissages, tant manuels qu’intellectuels ne sauraient être soumis à dogmes particuliers, uniquement individualistes, au nom de prosélytismes n’ayant à cœur que l’expression complotasse d’une thèse en partisannerie sectaire, n’alimentant que les feux de la division générale…
Toutes ces définitions de la personne opèrent, dès qu’elles sont assimilées à leur réelle fonction sociale, philosophique et culturelle attachée à la pensée partagée et à l’idée du débat démocratique, alors les intérêts individuels alimentant les corporatismes délétères ne sauraient résister au pouvoir émancipateur du collectivisme…
Ces aptitudes d’échanges, d’attention et de respect orientent universellement, au sens où elles valent pour tout individu et dans toutes communautés et sociétés, y compris pour celui dont il est question : de la même manière qu’autrui peut considérer comme étant variations associatives pour tout ce qui évoque pour lui, ma propre représentation de ce qu’est ma personne comme même : l’ensemble des choses qui évoquent ma présence à autrui et, réciproquement, comme ces choses d’autrui envers ma présence.
Au sein des sociétés, le domaine du Moi s’étend bien au-delà de l’image du corps propre à travers de nombreuses ramifications qui nous paraissent excessives, à nous les individus lucides, dont la perception du Moi est beaucoup plus ramassée autour de l’image covalente du « réel » prisme interactif.
Ce domaine du Moi, au-delà du corps propre ; correspond aux associations en « APPARTENANCES ». Pourtant, la propriété privée exacerbée dans nos sociétés contemporaines hyper-médiatisées, étend le domaine de nos appartenances de manière pléthorique, voire incohérentes, multipliant les moyens par lesquels les autres, et les objets eux-mêmes, ont une emprise sur nous. Souvent dans l’imposition liberticide plus que dans la réflexion et l’humilité.
Sitôt que j’ai eu acquis quelques notions générales touchant les sciences et les arts, et que, commençant à les éprouver en diverses difficultés particulières, j’ai remarqué jusqu’où elles peuvent conduire, et combien elles diffèrent des principes dont on s’est servi jusqu’à présent, j’ai cru que je ne pouvais les tenir dissimulées, sans offusquer grandement les lois de la transmission et règles de l’attention qui nous oblige à procurer, autant qu’il est en nous, le bien général. Car elles m’ont fait voir qu’il est possible de parvenir à des connaissances qui soient fort utiles à la vie, et qu’au lieu de cette philosophie spéculative, qu’on enseigne dans les écoles, on en peut trouver une pratique, par laquelle, connaissant la force et les actions du feu, de l’eau, de l’air, de la matière, des énergies et de tous les autres corps qui nous environnent, aussi distinctement que nous connaissons les divers métiers de nos artisans et entrepreneurs, nous pourrions les employer en même façon à tous les usages auxquels ils sont propres, et ainsi nous rendre comme gardiens et gardiennes, en bienveillance, de la Nature.
Ce qui n’est pas seulement à désirer pour une infinité d’artifices, qui feraient qu’on jouirait, sans aucune peine, des fruits de la terre et de toutes les commodités qui s’y trouvent, mais principalement aussi pour conservation de la santé, laquelle est sans doute le premier bien et le fondement de tous les autres biens en l’élan de toute vie ; car même l’esprit dépend si fort du tempérament et de la disposition des organes du corps que, s’il est possible de trouver quelque moyen qui rende communément les hommes plus sages et plus habiles qu’ils n’ont été jusqu’à présent, je crois que c’est dans les sciences de la nature, us et coutumes, orthodoxies humaines, les technologies et techniques, la biologie et la médecine qu’on doit, en ces épistémologies essentielles, le chercher.
Il est vrai que celles en usage superficiel contiennent peu de choses dont l’utilité soit si remarquable ; mais, sans que je n’ai aucun dessein de les mépriser tant en leur faction scientifique et technologique, qu’en celle ontologique, ou inversement, mais plus à même d’y pratiquer quelques incursions analytiques, tout en m’assurant qu’il n’y a personne, même de ceux qui en font profession en un domaine particulier, qui n’avoue que tout ce qu’on y sait n’est presque rien, à comparaison de ce qui reste à y savoir, et qu’on se pourrait exempter de multiples maladies, tant du corps que de l’esprit, et même aussi de l’affaiblissement de la vieillesse, si on avait assez de connaissance de leurs causes, et de tous les remèdes dont la Nature nous a pourvus.
Or, ayant dessein d’employer toute ma vie à la recherche d’une science si nécessaire, et ayant rencontré un chemin qui me semble tel qu’on doit infailliblement la trouver, en le suivant, si ce n’est qu’on en soit empêché, ou par la brièveté de la vie, ou par le défaut des expériences, je jugeais qu’il n’y avait point de meilleur remède contre ces deux empêchements que de communiquer fidèlement au public tout le peu que j’aurais trouvé, et de convier les bons esprits à tâcher de passer plus outre, en contribuant, chacun et chacune pour son inclination et son pouvoir, aux expériences qu’il faudrait faire, et communiquant aussi au public toutes les choses qu’ils apprendraient, afin que les derniers commençant où les précédents auraient achevé, et ainsi, joignant les vies et les travaux de plusieurs, nous allassions tous ensemble beaucoup plus loin que chacun(e)…
LE MONDE EST UNE RESONNANCE QUE CREE LA DISSERATION
DISCERNEMENT
A qui, n’en, croire sincère intéressement
Pour nul s’en fasse figure guerrière,
Aux objets en structure inconsistante
Sans sujets à marteler,
Aux officines, enchères, déchues.
Par épistémologie à rivets compensatoires,
Avec versatiles en commodités viscérales,
Les fils du tissage en irritations,
Rien n’en fit ostensibles conditions,
Aux consultations des ridules appointées.
Avec romance sans passage captivant,
Sous présages des crépuscules énamourés
En sursis des condensats aseptisés,
Les promiscuités d’quintessences censurées,
Sues les soubresauts en filigranes,
Aux résistances des circonspections affables.
Sans se soucier des vues ravagées,
Ici, en contrées d’évasion,
Aux sens des dissidences inhabituelles,
Les vocalises en finitude, sans intolérances,
S’accordèrent moment pausé aux frontons malicieux ;
Au nom des discernements sans raisons précipitées…
Plus je vieillis, plus je me rends compte que je ne veux plus être entouré de mauvaises causes et néfastes devises. Je désire tout simplement un lieu confortable, un peu de nourriture, quelque élixir fort auguste, des gens agréables et des amis(es) dopés(es) à cette extraordinaire intelligence de cœur ; avec lesquels(les) je puisse partager ces merveilleux moments, un peu magiques, assujettis à sincère amitié, amours évanescents et charmants.
Les autres, je les écouterai lorsqu'ils auront commencé à construire une réelle fraternité, la solidarité, la paix et une véritable justice chez les hommes…
Être obsédé par les règles sans le sens revient à étudier la grammaire en espérant comprendre la poésie. Les limites sans les lumières, d’autres temps, contrées, cultures et savoirs, jamais n’indiqueront le juste chemin….
Il y a aussi, ancrée à leur puissance, cette non-limite, cette espèce de vaste possible qu'ils, elles baladent avec nonchalance et élégance depuis des ans en tout plein de gens.
La vigueur des vers et l'absence de limites textuelles, ces deux expressions que j'ai toujours versées aux sources naissantes des ruisseaux, puis jetées à la couleur transparente des torrents tumultueux.
Au fond, l'on aime chez les autres ce que l'on a, parfois pendant des années, bâillonné en soi, mais qu'instinctivement, l'on reconnaît.
Il existe une grande malédiction chez les hommes d’indigence textuelle et sémiotique qui n’ayant aucune compréhension logique des actions en flux d’échanges intercommunautaires, ou qui en refusent le portage en justice d’analyse usurière, par peur d’en perdre leurs acquisitions liberticides, s’en crûrent capable de faire des lois donnant insolvabilité à tous sujet-objets n’entrant pas dans les règles de leurs pastiches textuels en paralogisme népotique d’affiliation à pouvoir de division et soustraction au bénéfice d’un déterminisme matérialiste impérieux de clans formatés aux pires formes de l’herméneutique sophistique fracturant allègrement le bien commun…
Dans le monde naturel du et des vivants.
Date de dernière mise à jour : 14/09/2018
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