DEVOIRS - UN à DIX
ETUDE N° 1
PRAGMATISME DES SCIENCES HUMAINES
Que pensez-vous du pragmatisme de la science et des technologies qui vont permettre dans un avenir proche la possibilité ''sérieuse'' de réalisation du sujet suivant - à savoir que l’Homme va pouvoir ''grâce'' aux progrès de la biophysique, la chimie et la physique moléculaire, la chirurgie, la médecine, les nanotechnologies, les logiciels informatiques, langages algorithmiques et l'intelligence humaine, greffer la tête d'un être humain sur le corps d'un autre mammifère humanoïde... ???
Vous avez 3 heures et le droit de faire des recherches sur tous supports papier ou/et numériques ; émanant de toutes sources géo-historico-culturelles, épistémologiques et ontologiques...
ETUDE N° 2
PRAGMATISME ET CROYANCES
La croyance religieuse, l’affiliation à un ordre cultuel, formes templières, ésotériques, voire spirituelles sont-elles essentielles à un système politico-socio-économique, physique, biophysique, physiologique, psychologique, philosophique et culturel dans le cadre des échanges de bien(s) et service(s) marchand ?
Supposent-elles disposer de quelques compléments circonstanciels ?
Le cas échéant – Développez…
Vous avez 4 heures et ne pouvez en aucun cas consulter des textes écrits sur quelques supports soient-ils ! Vous disposez de 20 feuilles A4, d’un stylo à billes et ; bien-sûr de vos capacités et facultés intellectuelles.
- Avez-vous des questions avant de commencer l’exercice ?
Un élève se levait, et du fond de la pièce faisant office de classe, il murmura :
- Si je n’ai pas suffisamment d’outils, matériaux et matériel pour exécuter ce devoir, combien d’encre coulera sous les ponts de France et de Navarre avant d’en disposer de (+) plus… ??? Et de quelle façon, un hypothétique dieu ou quelconque entité humaine peut-il faire tomber des feuilles ou tout autre objet du ciel ?
- Je perçois que tu as beaucoup d’humour, TOTO. C’est bien, répondit le transmetteur de savoirs.
Mais ne t’inquiètes pas nous avons suffisamment de papier en différents formats et d’encre dans les stylos pour que tu puisses poser tes pensées sur quelques supports solides et peut-être, plus-tard, sur autres référentiels…
Et saches toutefois, que les feuilles tombent des arbres, et c’est de l’eau qui coule sous les ponts, certes jonchée de débris et déchets.
Mais j’aime bien ta façon de penser, quelques inepties teintées d’un peu d’humour. Cela ne nuit pas vraiment, aux esprits libres.
Allez, membres de cette classe, vous avez toujours 4 heures et vous pouvez maintenant commencer à écrire et développer…
DEVOIR N°3
Etre curieux et attentionné à tout ce qui nous entoure proche ou un peu plus éloigné de notre zone de confort individuelle et communautaire, est-ce un devoir citoyen personnel, ou une faculté affiliée à hommes et femmes des territoires, pays, nations et contrées du Monde... ???
Ou alors, est-ce un comportement politico-socio-économico-cultu(r)el uniquement affiché par quelques conformismes népotiques et identitaires affiliés à clans iniques ?
Vous avez toute une vie biophysique personnelle pour analyser la ''chose''.
Vous pouvez consulter et étudier toutes les informations accessibles sur tous supports numériques et référentiels papier en tant que formats nécessaires, essentiels et indispensables à la retransmission des pensées, établis depuis la naissance de la conscience et stucturés par l'intelligence ''humaine'', ainsi qu'écouter, lire et percevoir les idées et pensées, émises sur tous réseaux, par l'échange textuelle et sémiotique, utile à une possible évolution positive dans le monde du et des VIVANTS...
ETUDE ''X'' - Hors sujet devoirs 1 à 10
Le 24 novembre 2017 à 8h20 sur BFM-TV
Pornographie – Les adolescents sont très exposés
On peut être d’accord avec cette ‘’constatation’’, évidente pour qui n’est pas sourd et aveugle.
Par-contre, il est tout à fait possible d’émettre une remarque, non dénuée de sens, sur le postulat interrogatif émis par un verbiage digne de la cours d’école d’une classe déficiente.
La question était la suivante :
‘’ Comment les adolescents peuvent-ils faire la différence entre réalité et « fiction » ? ‘’…
Non mais, ne sont-ils pas débiles ces commentateurs ?
Croient-ils, qu’employer le mot ‘’fiction’’ pour définir une autre ‘’dimension’’ ou position intelligible concernant la sexualité des hommes et des femmes de quelque âge et émancipation soit-elle, est d’une utilité publique, dans ce genre de média ?
Est-ce une réalité que ce genre de filoutage médiatique émis par des incompétences notoires, quant à la réalité des ‘’choses’’ de la vie ?
Est-ce leur rôle de débattre d’une sexualité potentiellement déficiente, dans la virtualité ‘’réelle’’ des images retransmises par des opportunistes de caves, sur une chaîne d’information en continu, relayant des sujets sociaux-culturels, dopés à une philosophie proche d’une sémantique datant d’avant la caverne de Platon ?
Vous avez trois heures, et ne devez en aucun cas vous inspirez des ‘’merdias’’…
DEVOIR N°4
LA ''CHOSE'' INTERGENERATONNELLE
http://mickael-montest.e-monsite.com/pages/education/la-chose-intergenerationnelle.html
ETUDE N° 5
DEVOIRS ET DROITS EN POLITIQUE – CITOYENNE
Missive d’un ‘’Chômeur de Longue Durée’’ aux Méphistophélès Macronistes et autres suceurs logoto-médiatiques Jupitériens…
Dans le nouveau paradigme…
Lorsque la liberté n’a plus que l’allure d’une stature disloquée, Lorsque l’égalité reçoit des coups de boutoir par l’opprobre félon, lorsque la fraternité est jetée à l’ordre des dealers de mauvaise foi, lorsque la tricherie, le mensonge sont devenus ordo-libéralisme communautairement déficient, lorsque les clans d’or, de pompes, de notables, de pairs sont vilénie, lorsque la théocratie odieuse se love insolente contre la démocratie.
Lorsque la République s’érige pleutre contre les attaques envers les Droits de l’homme, de la femme et de l’enfant,
Alors indignez-vous, résistez, opposez-vous, ne vous soumettez pas, citoyens, citoyennes levez-vous, contre les forces voulant fracasser la juste sociale-économie de bien(s) et services, aboutée à cette extraordinaire culture française.
INDIGNEZ-VOUS… Stéphane Hessel.
J’apprenais que le Conseil National de la Résistance avait mis au point un programme, l’avait adopté le 15 mars 1944, proposé pour la France libérée un ensemble de principe et de valeurs sur lesquels reposerait la démocratie moderne de notre pays. De ces principes et de ces valeurs, nous avons plus que jamais besoin. Il nous appartient de veiller tous ensemble à ce que notre société reste une nation dont nous sommes fiers ; pas cette société fracturée, où les défiances n’ont jamais été aussi dangereuses depuis la fin des années 30… Pas cette société où l’on remet en cause les acquis de la Sécurité Sociale, modifie le système de retraite par des lois idiotes, le marché du travail par des règles de dumping toutes aussi inutiles, dans ce grand chambardement socio-économico-culturel et technologique. Pas cette société où les médias sont dans les mains des nantis, toutes choses que nous aurions refusé de cautionner si nous avions été les véritables héritiers du Conseil National de la Résistance.
Il nous faut réinstaurer une véritable démocratie économique et sociale, impliquant l’éviction, ou tout du moins la mise en ordre moral les grandes féodalités économiques et financières.
L’intérêt général et la préservation du bien commun doivent primer sur le pouvoir de l’argent et celui des castes prônant la division des savoirs être et la soustraction des savoirs faire. L’intérêt général doit primer sur l’intérêt particulier, le juste partage des richesses et des valeurs ajoutées devraient primer sur les pouvoirs uniquement partisans, ainsi que ceux voués à l’ordre de l’argent planqué dans des tirelires internationales, où l’impôt est trop souvent source d’injustice sociale et précarité économique. Les membres de la Résistance, les révoltés, les insoumis, les indignés proposent une organisation rationnelle de l’économie assurant la subordination des intérêts particuliers à l’intérêt général et affranchie de la dictature cultura-professionnelle instaurée à l’image des Etats autocratiques, fascistes et autres Républiques bananières appliquant des solutions sociales-économiques, vocalisées par les malfaisants et malveillantes, datant du temps des politiques-templières, aujourd’hui inacceptables. Les membres de la Résistance Citoyenne, les révoltés(es), les insoumis(es), les indignés(es), les justes et les gens de bien s’en font le relais. Une véritable démocratie a besoin d’une presse et de médias indépendants, nous en sommes persuadés. Cette Démocratie Républicaine le sait, le souhaite, l’exige en défendant ‘’la liberté de la presse’’, des réseaux informatifs objectifs, des médias à juste conscience, la liberté d’expression, leur honneur et leur indépendance à l’égard de l’Etat, des puissances de l’argent et des influences étrangères, impatientes de briser notre espace culturel, attaché aux droits de l’homme, de la femme et de l’enfant.
C’est ce que relayaient encore les ordonnances sur la presse, dès 1944. Or, c’est ce qui est aujourd’hui en danger. La Résistance en appelait à la possibilité effective pour tous les enfants français de bénéficier de l’instruction la plus développée sans discrimination ; or les réformes proposées en 2008 vont à l’encontre de ce projet. De jeunes enseignants ont été jusqu’à refuser de les appliquer, et ils ont vu leurs salaires amputés en guise de punition. Ils, elles se sont indignés(es), ont désobéi, ont jugé ces réformes trop éloignées de l’idéal de l’école républicaine, trop au service d’une société de l’argent, endiguée par une compétition primaire dégénérative, et ne développant plus assez l’esprit créatif et critique. C’est tout ce socle des conquêtes sociales initié par la Résistance de 1944 et Indignations d’après, qui est aujourd’hui remis en cause…
Le motif de toutes résistances est l’indignation.
On ose nous dire que l’état ne peut plus assurer les coûts de ces mesures citoyennes. Mais comment peut-il manquer aujourd’hui de l’argent pour maintenir et prolonger ces conquêtes alors que la production de richesses, de biens et services a considérablement augmentée depuis la libération, période où l’Europe était ruinée ? Si ce n’est une économie à déclassement socio-culturel… En 1948 le PIB mondial était de 58 Mds de dollars, (valeur de l’époque), en 2013 il était estimé à 70 000 000 000 000 $. La population mondiale était de 2,8 milliards d’individus et, en 2013 : 7 Mds. La planète financière – Laurent Carroué.
L’endettement est 325% du PIB en 2017…
Sinon parce que le pouvoir de l’argent tellement combattu par la Résistance, n’a jamais été aussi grand, insolent, égoïste avec ses propres serviteurs jusque dans les plus hautes sphères de l’état. Les banques désormais privatisées se montrent d’abord soucieuses de leurs dividendes, et des très haut salaires de leurs dirigeants ; pas de l’intérêt général. L’écart entre les plus pauvres et les plus riches n’a jamais été aussi grand, et la course à l’argent, la compétition autant encouragée. Appelons toujours à une véritable insurrection pacifique par les moyens de communication modernes, contre les médias de masse qui ne proposent comme horizon pour notre jeunesse que la consommation de masse, le mépris des plus faibles, l’indigence envers la culture, l’amnésie généralisée et la compétition à outrance de tous contre tous. A celles et ceux qui feront le XXIème siècle, nous disons avec notre affection :
‘’CREER, C’EST RESISTER.
RESISTER, C’EST CREER.’’
DECENTRALISATION - DU MYTHE A LA PAGAILLE.
En 1981, lorsque les socialistes ont dans le sillage de l’élection de F. Mitterrand à la présidence de la République, obtenu une majorité parlementaire qui leur permettait toute les audaces, l’organisation des pouvoirs politiques territoriaux résultait, pour l’essentiel, de lois centenaires, elles-mêmes d’héritage napoléonien. L’occasion était belle de fonder, par une révolution, de nouvelles libertés qui marqueraient le siècle.
Des lois et des décrets multiples et complexes, échafaudés dans la fièvre et les clameurs de victoire, ont alors épaissi le corpus juridique. Avec l’assentiment complice d’une opposition exsangue, incrédule et impatiente de remonter les marches du pouvoir, fût-ce en repartant de tout en bas, l’articulation nouvelle des pouvoirs locaux a pris sa place sans heurt. Les commissaires de la République nouvellement institués avaient, dans un sursaut corporatiste, réussi à sauver leur grade de préfet et leurs logements de fonction, en se soumettant à une toquade ministérielle toute symbolique pour un intitulé de charge conforme au vocabulaire de la mythologie révolutionnaire. Ils ont accompagné cette évolution d’un œil morne.
Tout le monde attendait depuis longtemps, mais sans trop oser y toucher, que la structure territoriale soit, rénovée. Les textes fondateurs s’étaient dégradés. Leurs stipulations étaient manifestement en retrait de la pratique quotidienne. Malgré l’interdiction formelle de la loi, les collectivités cherchaient, par diverses subterfuges et souvent au risque et détriment de leurs contribuables, à s’immiscer dans des choix d’entreprises en subventionnant des localisations industrielles.
Le général de Gaulle avait échoué à imposer par référendum une modeste évolution institutionnelle qui heurtait les intérêts des notables. Georges Pompidou, président de la République, avait, à sa manière cauteleuse, installé une région molle et timide, mais étayée par une première personnalité juridique. Chacun sentait bien qu’elle progressait vers plus d’ampleur et de puissance.
Enfin les socialistes et leurs alliés communistes, passaient un nouveau pas, instituaient pour les départements et les régions, des exécutifs élus indépendants de l’état, affranchissaient les actes des collectivités de la tutelle de l’état. Prudemment toutefois, pour ne pas perdre la main sur la ‘’légalité’’, ils concédaient aux préfets et sous-préfets un rôle ambigu, de contrôle à postériori sur les actes des collectivités.
Cette surveillance vague et craintive tolérera, sans gloire, l’éclosion de la corruption, et les débordements budgétaires et fiscaux. La République s’était fortifiée avec les notables. Elle venait de donner naissance à des roitelets.
Quelques-uns deviendront des potentats…
Personne dans l’opposition parlementaire d’alors certes, (et de maintenant ?) ; mais aussi peu lucide (pareil qu’aujourd’hui ?), n’a mesuré les coûts, l’impact sur la moralité publique de ces réformes à la hussarde.
Et peut-être en train d’être renouvelée… ?
La France avait crû, après 1968, pouvoir inhaler un air plus sain, et y avait pris goût dans le coup de frais giscardien. Elle étouffait encore.
Elle s’est alors offert l’euphorie d’inspirer de plus grandes bouffées. Pendant que le gouvernement de la gauche, d’une main enserrait l’économie, par des nationalisations d’entreprises dont la seule utilité fut de pouvoir obtenir plus tard un produit budgétaire, de l’autre il donnait leur ‘’liberté’’ aux collectivités locales, ou plutôt à leurs barons. Ce qui restait de la droite comptait bien faire de ce nouveau dispositif le point d’appui de sa reconquête politique – Recyclage politicien constructif ?
Tous les gouvernements se sont, depuis, entêtés à prétendre porter encore plus haut la flamme de la décentralisation : une intention d’efficacité. Le plus ardent à pousser les feux pour accéder à une nouvelle phase a été, dès son retour au pouvoir, le gouvernement d’une droite convertie à la religion de la décentralisation. Ses initiatives se sont enluminées d’une vertueuse obstination et de belles envolées dans le langage parlementaire. Mais soit que les compromis aient obscurcis le contenu, soit que les idées aient pu être confuses pour paraître audacieuses, lorsque Jean-Pierre Raffarin, Premier ministre, eut achevé son ouvrage, la pagaille était mémorable. Elle fut exacerbée sous Nicolas Sarkozy, dans la tension et l’impatience qui ont caractérisé son règne, par des prétentions méprisantes et irréalistes, enterrées après les élections de 2012, mais prêtes à renaitre, tel un ‘’millefeuille’’ territorial institué par un état national, et composé délibérément par une technocratie absconse à toutes pensées moins corporatistes, voire paradoxalement trop proches des audaces intellectuelles clandestines… Par signalisations ‘’séculières’’ définissant quelques politiques-templières… ??? Ou autres religiosités-politiciennes hermétiques à une véritable philosophie-politique autorisant moindre fracture sociale-économique… ?
Et culturelle…
En outre une réforme fiscale sert un intérêt fiscal, pas un objectif institutionnel.
Et ce n’est pas un levier de réforme DANS l’Etat…
Le Prince, la Cour, le Peuple - Atticus
PRAGMATISME
Vers quel nombre tendre par moins disant
A faire une nouvelle opération soustractive
Envers devenu cher à contribution
A oublier sujets intégralement présentés
Au soin d’autres dissidences bâclées
Plutôt qu’à persister dans l’analyse
Inutile aux angoisses des flux contrariés
Chiffrage des amertumes clandestines
Suffit à décider des gibiers de potence
A vies exsangues aux bastions de l’ancienne garde
Le masque cynique des aptitudes savantes
Ni apposa que la symbolique sans partition
Aux sciences inhumaines ex-machina contribuera
Sans aucun scintillement à l’amplitude de l’action
LETTRE AUX MEPHISTOPHELES
Ne croyez-vous pas, Messieurs, que la plupart des gens se voyant tromper dans leur espérance, par les simulacres d’une exhibition politique, excluant territoires et habitants, non soluble avec la photo de famille gouvernementale sollicitée par des cadreurs de censure, n’y trouvent plus raisons suffisantes à attendre votre lente mise en application envers justice sociale, mais plutôt à trouver forces restantes et suffisantes à réparation ?
J’en serai fort aise, à y trouver nombre d’indignés(es) suffisant à organiser une nouvelle armée des justes, officiant aux chemins d’une plèbe à dissidence intelligible.
Au nom d’un contrat social, entre les lignes des anciennes barricades, du rouge teinté au sang des innocents, n’en reste-t-il pas quelques gouttes invisibles aux yeux des biens garnis… Tiraillés entre la maladie du blé jaune, le virus d’une sarrasine, la mélasse et le plumage ?
N’y voit-on pas là quelques éboulements d’échafaudages, auparavant structurés par la présomption phallique de chaires institutionnelles, à ce qu’elle n’y puisse contenir autres imminences grises que celles des religiosités-politiciennes ruisselantes d’inefficacité accostées par des politiques-templières, vouées à l’ordre de l’accaparement charnel… ?
Suceurs de position en sont assurément les plus fieffées gardiens d’étals… A nul doute, d’un côté à compter pièce d’or et de l’autre, symboles à foutres. La différence y est insignifiante ; de même prosternation, la position en est effarante. Pour l’une, il est d’évidence action, en compte de pièces, le Veau - d’Or à engraisser, et de l’autre à attendre que l’animal en vomisse quelques onces. A la magie des incertitudes, vociférâtes les inutilités aplaties, pour qu’en cette réunion, au cours des jours saints, la prière, de sept en sept, honore la fourberie et apaise les prémices suspicieuses de la condition humaine.
C’est, sûr, celle-ci pousse tant d’imprécations qui s’y trouvent dans les prédicats de cette censure, que je n’ose en croire les possibilités d’une inversion décidable aux abords de la loi du marché.
L’entreprise communautaire ne s’élèvera qu’en avertisseur d’intransigeances, le jour gratifié du nombre suffisant, d’avoir réussi à investir les vestiges d’amphitryon fourrés aux inepties des commandements privés, de toute institution collectiviste abasourdie par le brouillamini des courbettes de fonds…
Que d’une laïcité sortie des procédures d’assouvissement, le problème n’y résistera, qu’en la discontinuité d’incompréhension des termes partisans affichés aux sourdines du multiculturalisme pervers abonné aux poisons d’anathème, d’exécration, d’hérésie, promulgués aux expressions d’horreur transmises par la parabole des virus d’assomption, s’imaginant proposer une nouvelle hystérèse ignorante des soubassements de la détestation, envers les exégèses de docteurs promis en avenir de façadiers sans éthique et morale, mais assurément avec posture propre à bande de fieffés Méphistophélès …
Michel Asti.
https://www.facebook.com/michel.asti
ETUDE N° 6
AU VENT DES EMOIS
La perfection n’est pas de ce monde ; mais la trahison patente, à chaque initiative de groupes, s’y immisce sournoisement pour lui faire offense intergénérationnelle.
La volonté d’en faire recherche et analyse personnelle échangées dans une potentielle étude fraternelle ne saurait aboutir à la concoction ‘’métaphysique’’ dans l’hystérésis concomitante à la malversation communautaire actuelle paraphée par des politiques philosophiques tatouées au nombril de leur monde.
Les ambiances du matérialisme impérieux associé au cynisme ontologique accaparant en sont les principales faillibilités de l’épistémologie sociologique, à réseaux liberticides, véhiculée par les néfastes clowns abrités des mauvaises zones de vie.
Le vent des émois égocentriques a pris le pas sur le temps des incontinences philosophiques au bénéfice des croyances aliénées par la croyance que vivre dans un paralogisme de groupes fermés serait le syllogisme intellectuel d’une politique sociale économique et culturelle ouverte.
Quelle connerie perfide !
La sémantique de l’inorganique n’y changera rien, temps que la pensée humaniste ne s’opposera pas aux conformismes religieux et tout ordre spirituel laissant croire à la plèbe que l’émancipation, physiologique et psychologique, est proche de cette citation édictant que :
‘’Vivre ne serait que le plus lent des suicides’’.
Et par conséquent, pourquoi, en cette vergeture sociale, l’opprobre à satisfaisons confortables aurait attention suffisantes envers l’exclusion et la différence, si ce n’est à laisser les poisons de l’indifférence s’installés dans l’ignorance des classes inutiles à matérialisme inflationniste… ???
Que la sociologie la plus récente rencontre quelques sagesses anciennes, cela serait une bonne nouvelle.
Pour une sémantique des textes. Questions d’épistémologie.
Les sciences sociales sont à un tournant. Au plan épistémologique, le sociologisme issu de certaines formes périmées du marxisme, puis du capitalisme ‘’débridé’’, du communisme d’antan et de l’ordo-libéralisme subjugué par principe de subsidiarité, (une utopie hors formes de népotisme), a perdu les moyens théoriques de leurs servir de langage commun ; elles sont confrontées à des tentatives de réductions provenant des neurosciences et de sciences cognitives. Enfin la ‘’techno-logo-médiatisation’’ croissante de la recherche scientifique conduit à ne plus vraiment subventionner que des programmes susceptibles d’aboutir en principal à des brevets rentables et commercialisables ‘’rapidement’’ ; quitte pour arriver au but proche d’un corporatisme absolutiste, à faire fi des notions de responsabilités dans le système à réseaux ‘’humains’’…
Quant à l’objet des sciences sociales, on ne fait qu’accumuler des connaissances sans précédent sur la diversité des langues et des sociétés humaines, avec un effort sans précédent lui aussi, en tant qu’inventaire et conservation du patrimoine culturel à l’échelon mondial, alors que son véritable degré appelle à présent une réflexion théorique afin de penser la diversité de ce patrimoine, dans le temps comme dans l’espace. Nous sommes confrontés au défi de mettre en valeur la diversité culturelle d’aujourd’hui, pour éviter qu’elle ne se réduise à la portion congrue de sa propre incompréhension aseptisée ; voire irrationnelle ou psychotique.
Cela n’exige pas d’opposer un relativisme frileux à un universalisme dogmatique ; mais loin des réductions biologiques, anthropologiques, ethnologiques ou sociologiques qui ont tentées depuis l’avènement de l’ère industriel, après la Renaissance et le temps des Lumières, d’en déterminer uniquement les lois et règles sur les états successifs des fonctionnements des biosystèmes et écosystèmes, en faisant trop souvent abstraction ou déni des liens communautaires et culturels des échangistes en, et entre ces différents systèmes à réseaux ‘’vivants’’… Cela conduit à affirmer l’autonomie concise et la spécificité sociologique de la sphère culturelle, et ainsi à poursuivre dans la direction tracée par l’entreprise philosophique des formes symboliques, permettant d’en définir les potentiels contours d’une sémiologie des cultures, fédérant en premier lieu les échanges par la linguistique, les mathématiques, la philosophie, l’histoire, l’anthropologie, la métaphysique (sachant que méta signifie : plus, après, entre, plus loin… Et pas autres choses spéculatives non prouvables par les connaissances épistémologiques) et l’étude de tous ces langages en tant que sigles, symboles, axiomes, lemmes, mots et expressions multiformes, qu’ils, elles soient émis(es), sous formes sonores ou écrites…
Dans l’espace touchant et sensiblement touchable.
Par conséquent, cette question technique pose la question d’un projet refondateur pour les sciences sociales, depuis naguère, et encore aujourd’hui teintées par diverses idéologies et néologismes ‘’troubles’’ au rapport épistémologique de l’éthique ontologique… ; et culturelle assujetties à la déontologie économique et commerciale. (Vastes sujets)…
L’étude des objets culturels complexes apporte en ce sens de multiples enseignements. Aussi, François Rastier (Directeur de recherche au CNRS) aborde dans ses analyses et par sa compétence, quelques questions et réflexions sur la ‘’sémantique du texte’’. La linguistique en reste bien souvent à la phrase et la morphosyntaxe, et constitue de l’avis général son domaine de prédilection. Elle doit encore beaucoup à l’héritage séculaire de la grammaire – la linguistique historique et comparée fondait ses fonctionnalités sur l’analyse morphosyntaxique… Le positivisme contemporain a renforcé cette prédilection. Où le vecteur le plus disqualifiant en est assurément la liberté de croire que l’attachement séculaire ne saurait être en aucune façon facteur déstabilisant par le manque d’attentions et le déni de justes curiosités envers ce, celles et ceux présents en ce monde naturel, assujetti à phénomènes holistiques incompréhensibles… Et en constante évolution…
ETUDE N° 7
- DEVENIR
La communication intelligible des esprits multidisciplinaires nous libère… Les communautés ne cesserons de se libérer… ; par la culture, par la révolte, par l’invention, par l’innovation au service de l’Homme, l’économie régulée, les meilleures technologies comprises, les nouveaux comportements, aptitudes et attitudes respectueuses des ressources terrestres et du bien commun… Tout cela s’appelle l’esprit de conservation du et des vivants présents, au nom de la préservation des générations futures.
Il y a 600 millions d’année, les dinosaures ont disparu, car ils n’ont pu s’adapter aux changements dû à un phénomène extérieur arrivé sur la Terre. Ils n’avaient aucune possibilité à s’adapter. Le changement fut trop brutal, le temps insuffisant pour permettre une éventuelle modification et en toutes hypothèses les facultés de leur cerveau reptilien étaient insuffisantes à la capacité d’anticipation de leur devenir.
Leur destin fut scellé lorsque la météorite d’un diamètre d’environ 1 000 mètres rencontra la Terre. Il en aurait été de même si nous avions été présents il y 600 millions d’années.
Le biologiste François Jacob a utilisé, à propos de notre cerveau une image admirable : ‘’Le cerveau humain est comme une brouette sur laquelle aurait été greffé un moteur à réaction’’.
Ce qui peut laisser penser, après analyse de cet excellent aphorisme, que la conscience arrive en majorité d’états, à faire un diagnostic objectif, uniquement après la bataille…
Et encore pas toujours, lorsque l’égocentrisme fait loi, et accord avec le pouvoir théocratique insidieux, la fonction matérialiste dominatrice et l’existentialisme théologique frelaté…
N’oubliez jamais cela : << Par tout ce que ‘’l’homo-erectus’’ sociologiquement et chronologiquement inculte refuse de circonscrire hors de ses propres intérêts cupides et narcissiques, il ne saurait exister aucune subtile intelligence suffisante pour réussir à vaincre son ignorance qu'il souhaite garder par déni, (que je n’ai pas, comme autres amis(es) réseaux), des belles facettes amendées à la curiosité physique, philosophique, épistémologique, ontologique accompagnée d'un soupçon de poésie et romantisme, et surtout à ne même plus faire une recherche sérieuse et objective, afin de connaitre la réalité qui se cache derrière le ‘’filoutage’’ des images et des sons dans l'espace de la médication logoto-médiatisante déféquée par la sphère audio-visuelle culturellement sectaire prônant dans la cacophonie générale la division des meilleurs savoirs-être... Et soustraction des savoirs faire dont ‘’l’homme moderne’’ en est assurément le servile benêt... Des imprésarios et réalisateurs de la dramaturgie didactique échangiste, voire civilisationnelle... Et tout cela au détriment de la possible allégeance des extraordinaires pensées, encore présentes chez quelques philosophes, sociologues, poètes, romantiques, analystes et théoriciens de justes mots...
A potentielle renaissance ‘’humanisante’’... >>
Mais même cela ne peut démontrer que l’intelligence humaine et la modernité sont une folie.
Qu’il existe dans le présent, un réel toujours plus fort, refusant de croire que rien d’autre n’est à connaitre, que plus rien n’est à aimer… ; est vrai.
Que le changement ne serait qu’une histoire sans défis dans un flot d’évènements, de rencontres et d’échanges aseptisés, apeurés par l’incertitude des croisements multiples et dépassements accentogènes, dans un monde d’asthénie psychologiques, de fourvoiements physiologiques et malentendus métaphysiques… ; est faux.
Mais que le monde, ainsi versé dans les commodités des zones de confort pressantes, semblerait d’une tristesse infinie pour qui préfère la danse à milles temps accordée aux jeux des évanescences sensibles scindées à nos jeux épars, où le verbe des amitiés et des amours serait teinté aux puissances de la verve des temps passés, dans un présent, riche des traits de lumière, réfléchissant à la couleur des feuilles mortes, tourbillonnant encore au sens des vents mauvais… ; est une évidence humainement acceptable.
L’essence même de l’existence fait la réalité de chaque vie. Elle ne précède pas l’essence, ni ne la suit – elle lui donne un sens – elle est la seule vérité, toujours changeante, toujours singulière, parfois imprévisible, peut-être imparfaite, mais toujours d’instants en instants à préserver.
Quant au devenir de notre propre vie, est-il suffisamment incertain pour ne regarder que son nombril, ou trop népotique pour croire que la seule évidence serait d’afficher notre créance sur les tabloïdes des mini-stars… ?
Toutes ‘’choses’’ est mortelles. Le temps est le gardien de tous les jeux vivants.
Cela est-il, toutefois, suffisant pour infliger la lente usure des hautes classes, à toutes les ignorances des petites et moyennes… ???
Est-il louable de pérenniser le déni d’attentions au profit d’attachements particuliers… ???
Entre indifférence de notation et attachement de triage, n’existe-t-il rien d’autres que compositions liberticides… ???
L’homme ‘’moderne’’ est-il suffisamment stupide pour être devenu le soumissionnaire d’une imagination encadrée par une sémiologie de faux comtes adoubée à lobbying de mauvaises factures… ?
De par toutes ces sensations sensiblement touchantes et proches de tous ces êtres, il m’était impossible de ne pas croire en la possibilité de vivre encore de précieux et joyeux instants, accompagnés par ’’eux’’, et peut-être proches d’autres que je ne connaissais pas encore. Avec le souhait de compréhension envers toutes celles et ceux que j’aurai encore la chance de côtoyer de par leurs effets sensiblement affectant, accompagnés par ce désir toujours présent en moi, me poussant à rechercher à reconstruire quelques petites zones où règneraient les belles facettes d’un agencement harmonieux, dont les accords en seraient entendus par toutes ces personnes proches ou un peu plus éloignées, que j’aime, tout en gardant précieusement dans ma mémoire, tous ces cadeaux reçus d’autres aujourd’hui éloignées, dont les merveilleux souvenirs en permettent la simple ignorance des moins bons et heureux, et où les plus mesquins avaient parfois essayé, en certains temps compliqués d’en détruite leurs belles représentations liées à la belle vie et au bon temps, sans qu’ils aient, jusqu’à présent réussis à annihiler toute forme d’optimisme, m’autorisant encore une fois à imaginer des petites portes, où derrières j’aurai joie à ressentir la présence de quelques murmures enchanteurs et belles lumières attisant ma curiosité suffisante et utile à continuer cet extraordinaire chemin, vers l’attachante liberté de croire à l’intelligence de cœur…
Je laissais à cet instant une autre pensée surgir dans mon présent, dont cette insurrection se manifestait assez fréquemment par la présence de cette petite voix intérieure me prodiguant ses signes sous la forme d’un code proche de celui déchiffrable en les langages de l’attention et de l’estime envers cette vie qui m’emmenait encore sur un chemin parsemé de gros cailloux et autres petites grimpettes en permettant l’accession à quelques postes de vigie, afin de me donner satisfaction à en percevoir à nouveau toute sa beauté. Il est vrai que je ne l’avais pas toujours écoutée, j’avais souvent eu la prétention de croire qu’il me suffisait de foncer tête baissée en direction de portes suffisamment solides pour m’y avoir trop souvent cassé la tête. Mais bon, ‘’Elle’’ m’avait donné un conseil non dénué de toute belle logique applicable à majorité en tant qu’autant d’états propres à la condition humaine, dans chaque lieu d’existence du ‘’vivant’’.
Cette citation que ma belle amie la ‘’Vie’’ avait bien voulu m’envoyer en d’autres circonstances dans un langage connu et déchiffrable était la suivante: << Ne te déni de rien, ni ne prédis sur ton sort par de mauvaises suppositions, tant (temps) ; que je suis à tes côtés, aux mêmes titres que les biens nécessaires et indispensables à ‘’mon’’ honorable et digne entretien, car par la force de cet apitoiement inutile en ce cas, t’apparaîtra le désespoir, voire la rancœur source de bien des maux. Si tu possèdes déjà juste cela, dis-toi que le temps n’est plus ton ennemi et qu’il t’apportera au fur et à mesure de ses passages, ces bienfaits essentiels à l’acquisition de ’’ma’’ belle vie et peut-être la compréhension !...
A toi de trouver la direction du bon sens du vent… En tous ces signes de ‘’moi‘’, qu’il te faut continuer à apprendre, à observer et ressentir proches de tes espaces sensibles… Et tu ressentiras peut-être à nouveau les parfums subtils de l’espace potentiellement touchant…>>
Et elle avait raison, je disposais encore en ce jour, de l’essentiel à assurer l’entretien matériel de ce corps, et surtout les quelques sensations autorisant à croire, avoir encore possibilités à entrer en contact physique avec ce sentiment particulièrement troublant et proche de cette invraisemblance qu’est l’amour, dont ses autres effets singuliers proches du ’’touchable’’ m’avaient déjà fait ressentir toute la beauté et les magnificences de la fervente composition à mille temps, assujettie à tous ces extraordinaires sentiments qui resteront, jusqu’à la fin, dans les méandres de mon corps et au cœur de mon ’’âme’’…
Elle m’avait également raconté la parabole suivante:
LA MORT ET LE LABORIEUX
Un pauvre esprit à peu d’estime envers son fardeau demanda à la mort :
- Pourquoi ta copine la pénitence fait tant et tant par l’effort mon obéissance ?
La mort lui répondit :
- L’effort que tu consacres à possible jouissance matérielle ne sera jamais suffisant au ravissement du moment partagé. Reposes toi de temps en temps, afin de t’ouvrir à autres médites existentielles envers le bon temps et la belle vie !
- Est-ce là un luxe pour un des plus pauvres œuvrant douze heures par jour et toute une vie pour cette machine infernale ? Ma femme, nos enfants, mes créanciers, mes contraintes, l’impôt, la corvée et l’usure, font mon tableau noir et toujours inachevé.
- Alors tu aimes donc la vie !
Elle est une extraordinaire et laborieuse semeuse, alors que moi, je ne suis qu’une petite faucheuse.
Le malheureux bûcheron courbé sous son fagot lui dit :
- Je ne comprends rien à ce que tu me racontes.
Si je n’étais pas si paresseuse, possédés(es) et possédants(es), je vous aurais tous fait mourir d’efforts et de chagrin, lui répondit-elle.
Et lorsque tu auras compris, que le pire n’est pas moi, mais la souffrance, l’injustice, l’accaparement, la cupidité et l’iniquité chez les hommes, alors tu sauras que je n’y suis que pour peu de choses quant à la lourdeur de ton fardeau.
On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années. On devient vieux parce que l’on a déserté son idéal.
Vous êtes aussi jeune que votre enthousiasme, vos désirs, vos souhaits, votre bienveillance, vos attentions et votre belle curiosité, aussi vieux que votre air désabusé, votre morne attitude, vos certitudes conformistes, votre malveillance intergénérationnelle. Nous sommes aussi jeunes que notre confiance en nous et aussi vieux que notre abattement, nos peurs notre refus d’analyse et notre acceptation d’ostracisme.
ETUDE N° 8
CES MOTS FLOUS ; ENTRE ATTACHEMENT ET LIBERTE
- Descartes (philosophe et mathématicien) disait: ‘’L'indifférence est le plus bas degré de la liberté’’. Alors que ; Bergson disait: ‘’La vraie liberté n'est pas la liberté d'indifférence, mais la libération de notre plus intime et originale préférence’’. Essayons de démontrer si ces propositions sont potentiellement vraies, ‘’où’’, ‘’comment’’, ‘’pourquoi’’ ou au nom de ‘’quoi’’, et peut-être ‘’pour qui’’... ???
Et commençons par la première si tu veux bien.
- Les accords de pensée sont souvent limités aux abords des dénégations, lui répondis-je.
A causes des guerres de classe, je me dis que les violences physiques ont dû prendre naissance aux feux des distensions suffisamment prononcées pour qu’organismes humains n’y réussissent plus à entendre le processus d’attachement envers symbolique dépassée par les poussées sociologiques du réel, à contre-vindicte des nouveaux scientistes prônant le dogmatisme judéo-chrétien comme une vérité évangéliste digne de suffisances supérieures envers toutes autres contrées à dissidences suffisamment disgracieuses, afin que les forces occultes permettent d’aucun à chacune et de chacun à d’aucune d’y prescrire les lois et orthodoxies au mur des incertitudes, quant au paradoxe ‘’corps-esprit’’.
A qui ne veut le lécher aux abords des terres saintes, des prosternations d’Orient aux génuflexions d’Occident, les pensées ‘’méditérannéÿques’’ s’y perdirent dans les abstractions des mots vénus de terres oubliées, aux vestibules des flux de dénégations désorientées.
N’y aurait-il pas en cette ‘’diablotinerie’’ quelques filoutages par ‘’mots dits’’ écrits m’autorisant à croire fermement qu’il ne saurait exister petite liberté d’attachement sans attentions concentrées sur les ravines de nos liens partagés, aux vents des libertés d’être bien… ???
L’histoire nous démontre qu’il n’en faut qu’en toute rareté des expressions affichées au discours entre les sciences et les arts, de ne s’y point désengager, pour qu’en cette phénoménologie à volonté d’être incomprise par toutes pensées n’y signifiant qu’ardentes présomptions courtisanes, n’y puisse plus subsister iniques désirs, sous des paravents des présents défaits entre théologies absconses et philosophie-politiques particulières.
Je vous serai, bien aise, de vouloir, pour notre instance commune, m’assistez à la vôtre, lui dis-je en cette finalité de texte, afin que nos imaginaires additionnés, y trouvent quelques accords plaisants…
- Hou la là, ‘’Einomhra’’, attends un peu, s'il te plaît… Avant de faire de cette ‘’chose’’ textuelle une possible synthèse d’accords et de liens entre nous, permets-moi de te lire les écrits suivants :
« Le ‘’vrai’’ n'a pas la notion du bien ou du mal, et pourtant il est nécessaire au rapport de vérité entre les individus. Il est le point de départ de cette ‘’vérité’’, et la confiance en est le point d'arrivée. Cette confiance née de cette vérité disparaît lorsque les actes faits, ne sont plus considérés comme en ‘’phase’’ avec ce qui a été pensé, dit, crû, et surtout en ‘’harmonie’’ avec cet ordre des choses édité par cette vie, dont ses codes et symboles sont souvent compliqués à déchiffrer, ou lorsque dans ce langage d'incompréhensions, l'inacceptable, l’absence de sincérité et le refus apparaissent, alors, les doutes et les peurs s'installeront s'en suivront la défiance, la colère, voire le silence, ou parfois lorsque l'image de la trahison apparait dans cette conscience, viendront alors tous les autres ressentiments, marqueurs de la rancœur, la haine, ou autres vecteurs d’actes visant à combler le désir de vengeance, par l'espérance inutile de croire que nous avons le pouvoir de remplir le ‘’vide’’ par la destruction, qui n'est juste dans notre ‘’réel’’, qu'une croyance en une possible annihilation de la pensée, voire de la matière pour rendre notre propre espace vide des éléments que nous croyons nocifs, à tort pour certains, ou à raison par d'autres, et inversement, pour la seule préservation de notre propre existence, de celles et ceux que nous pensons aimer, ce qui est ‘’physiquement’’ d'une totale ineptie, car comme le disait, Albert Einstein: ‘’Rien ne se créer, tout se transforme’’…
Et nous savons que l'espace ‘’vide’’, n'existe pas, car il y demeurera au moins, toujours la solitude, et la solitude, c’est ‘’quelque chose’’.
Donc, essayons d'abord de connaitre, d’analyser, d’expérimenter, de comprendre et de faire connaître les différentes pensées nées de l’imagination au nom du ‘’savoir’’, le pourquoi et le comment de notre propre existence en ce monde, avant d'appliquer tout déterminisme, dont ses deux réponses ne sont que ‘’oui’’ ou ‘’non’’, et où le ‘’peut-être’’ est, peut-être, juste une méconnaissance existentielle ou incertitude ‘’temporelle’’. Ce qui en langage mathématique peut se traduire par 1 chance sur deux d'avoir raison, ou 50% de malchance d'avoir tort, et inversement, et, je pense parfois que certains de nos actes, résultant de nos pensées égoïstes et cupides, souvent cachées sous les voiles des besoins insatisfaits ou intérêts égocentriques, au détriment de la pensée partagée, sont empreints de trop de conséquences importantes pour se permettre d'en déterminer les choix avec de simples lancers de dés, surtout s'ils sont lancés par un nombre inférieur à deux, n'en permettant pas la perception de la ‘’trace’’ d'une possible véracité, hormis celle ‘’édictée’’ par le lanceur de dés, qui à ce moment-là n'est plus une trace, mais le risque de son diktat ; où l’ignorance ne serait, en ce cas, que le déni de compréhension envers le paradoxe entre le corps et l’esprit, n’autorisant plus l’allégeance entre l’attachement et la liberté…
Peut-être par oubli de cet extraordinaire discours entre les sciences et les arts.
Alors oui, soyons lucide qu'il y a dans la conscience un mystère, non élucidé… Comment ce petit morceau de matière que je suis, peut-il sortir de lui, se tenir à distance d'une réalité qu'il est aussi, pour se mettre à exister dans le double statut de sujet de la représentation et d'objet représenté. Méditer le fait de conscience, revient-il ainsi, à méditer notre expérience la plus familière et pourtant la plus étonnante ?
Lorsque la conscience ne considère l'expérience que familière, le désir, vecteur de ce morceau de matière organique pensant, lui autorisant à pouvoir émettre qu'il est étonnant, et l'être parfois, celui qui lui permet sans certitude particulière, mais juste avec quelques suppositions qui deviennent pour lui souvent convictions et vérité, de parcourir ce petit morceau d'univers, le temps d'un temps ridiculement court qui lui est accordé devient alors contrainte, au détriment de la liberté de croire au plus étonnant et au plus beau des rêves, celui qui ne peut avoir aucune représentation matérielle.
Ce rêve qui nous a été donné dans notre ‘’subconscient’’, et que cette conscience née de nos expériences et suppositions nous fait parfois oublier, alors à l'angoisse de dire, à la peur de l'incompréhension et au désespoir de faire, s'ajoute la croyance que cette vie n'est qu'attente de ‘’l’inconnu’’, que cette vie nous présentera tôt ou tard. Cette conscience, par l'expérience de la déraison, nous amène parfois à croire qu'après que nous aurions côtoyé cette ’’inconnue’’, ce petit morceau de matière sera peut être libre, sans ‘’existant’’ ici…
Libre de quoi après ?
Libre ou avoir été contraint de partir dans l’inconnu, avec cette inconnue dont il ne sait rien, et qui l'emmènera il ne sait où, mais que son inconscience arrive à lui faire supposer que l'existence d'après serait meilleure que celle d'avant ou proche du rien pour ‘’autres’’… Qu'il n'a plus d'instants maintenant, juste celui créé de son inexpérience et incompréhension, qui ont fait que sa conscience à effacer le possible bel instant joyeux d'après au profit du tristement mauvais maintenant, et qu'au nom de cette raison née de sa conscience, lui laissant imaginer, que son seul destin est de parcourir son chemin dans les peurs, la souffrance, et la violence, qu'il possède maintenant la conviction qu'il peut faire ce qu'il désire, sans se soucier de ce, celles et ceux qui l'entourent, par ces notions de déni, consistant en l'action de penser: ‘’Perdu pour perdu… ?’’, ou ‘’Après moi le déluge…’’? Mais après cet instant, une fois ce morceau de matière organique devenu inerte restera-t-il encore la représentation de lui-même par la conscience collective ?
Toutes ces questions qui n'ont aucune réponse vraiment précise n'ont leur attrait que par le fait d'être posé, par le désir de recherche des ‘’inconnus(es)’’, afin que nous puissions entrevoir que notre vie n'existe que dans l'instant présent, toujours inconsciemment conscient que le rêve qui nous a été proposé à notre arrivée est toujours en nous, que nous avons certainement quelques desseins à accomplir, même si nous ignorons lesquels et pourquoi ? Qu'ils nous paraissent petits ou grands, ils sont toujours le reflet de notre représentation ici, et au regard de l'évolution de nos connaissances acquises depuis que l'humanité est apparue sur ce petit morceau de matière sphérique, existant lui aussi dans un système stellaire, et à l’intérieur d’un univers partiellement connu, nous pouvons maintenant comprendre que les constituants principaux, essentiels et élémentaires appris, sus et liés à notre existence corporel et à toutes autres ‘’formes’’ sont les mêmes dans toutes nos dimensions existentielles et physiques, réellement existantes également par et en tout espace de réalité connu, depuis leurs et nos origines par la force d’attraction servant de ‘’liant’’ inter-dimensionnel à tous ces espaces temps.
Nous pouvons voir la beauté de ce qui est et parfois entrevoir la beauté sensiblement ‘’touchante’’ de ‘’ce’’ que nous ne voyons pas, nous nous devons donc d'être humble devant le fragile équilibre qui nous permet d'être là et de ressentir cette beauté, le temps qui nous est donné, même s'il nous parait court à l'échelle cosmique.
Alors au nom de cette vision, faisons de notre mieux avec cette attention et cet amour qui nous ont été légués à notre arrivée, et parfois transmis en cours de route, pour être au moins conscient que le désir génère le cheminement vers la connaissance, mais lorsqu'il engendre la déraison, même si ce potentiel délire, peut parfois nous faire croire qu'il est source du plaisir par la force du désir dans son accomplissement, qui lorsque ce sentiment est ‘’dénudé’’ de tout partage, le chaos surviendra, tout cela en ayant à l'esprit que tout ce, celles et ceux que nous pouvons voir, entendre, toucher, sentir, goûter et ressentir nous ont été prêté. Et même si notre seule certitude est l'aboutissement de notre non existence dans cette dimension, rien ne devrait nous empêcher d'être libre d'aimer, de croire et de partir, temps que l'objet de notre déraison n'est que nous même et pouvons, nous en amuser avec joie… Et si parfois un autre ‘’petit morceau de matière organique sensible’’ désire sans contrainte partager cette joie, alors nous aurons peut-être, le temps d'un instant, touché un peu de ce rêve, car nous nous serons certainement approchés(es) un peu plus du lieu où réside l'arbre des âmes sensibles, et par lequel, nous avions jusqu'auparavant, seulement éprouvé une faible sensation de réalité, que nous trouvions juste ‘’touchante’’, et maintenant ‘’fortement‘’ attachante.
Oui, cette conscience n'est que mystère, et peut être génère t’elle quelques suspicions, ne serait-ce de par le fait qu'elle ne peut avoir confiance que dans l'objet dénué de parole, de conscience et peut être immobile.
Alors utilisons nos sens, insuffisamment nombreux et développés, ceux qui nous servent de récepteurs, à tout ce qui est perceptible près de nous, et qui nous permettent grâce à l'interface de notre cerveau, source potentielle de notre pensée, lui aussi insuffisamment performant, mais toutefois capable de générer cette mystérieuse et parfois belle conscience, pour essayer de nous comprendre nous-mêmes… En regardant, écoutant et ressentant tous ces nouveaux petits morceaux de matière organique, qui viennent d'arriver parmi nous, le temps qui leurs est et nous est impartit, pour essayer de savoir pourquoi notre existence consciente consiste majoritairement à exercer cette activité qui est de nous contempler, nous représenter à nous même, ici ou ailleurs, en tant que vérité inaltérable donnée par le temps de nos croyances, en comparaison de ces ‘’quelques choses’’ de la nature, de l'univers qui n'existent qu'immédiatement et que d'une seule façon dans la dimension de notre réalité, afin de leurs transmettre toute notre connaissance implantée dans notre inconscient, acquise par notre conscience et donner par cette vie en tant que notion de ‘’beau’’ de ‘’bleu’’ et de ‘’bien’’, afin d'espérer, que ces petits morceaux de matière devenus conscients, deviennent meilleurs que nous, afin qu'un jour lointain, tous ces petits devenirs inconscients puissent trouver la beauté en l’harmonie du bien-être et de l’être bien par la vraie bonne conscience laissant liberté d’expression à tous ces ‘’quelques choses’’ ; souvent intouchables, mais tellement touchant de par leurs effets immatériels. »…
- Merci infiniment Monahrie pour cette lecture, permets-moi, en contrepartie de te livrer ces quelques vers, si tu veux bien :
AU MARAIS DES PSYCHEDELICES
A tous ces godillots de terres brulées
Exorciseurs de manche à balais tordus
Massacreurs d’images à jeux
Sonneurs à déficience mentale
Briseurs de communautés et d’espoirs
Suceurs de micros maniaques
Je vous le dit tout haut
Vous n’aurez plus ma voix
De vous savoir là est un problème,
Comme le destin, l’inattention et la servitude
La droite à bigots et la gauche défroquée
Les mises sur cheval de mauvaise close
Les chantres de coffres à blé noir
La laïcité, la justice et les coups de pieds au cul
La démobilisation des anges de la liberté
Sont des problèmes à cire glissante
L’homme à cervelle vide comme un bidon
La jeune fille en verve au mur des magazines
Miroir de la belle dame aux appâts mûrs
Psychologues en habits de conversion
Philosophes tatoués au nombril de leur monde
Usuriers des flux migratoires
Marchands du sang des affaires
Vendeurs de sexe à chimères désunies
A celles des cœurs battants de peur
Tout cela n’est pas un problème dans le marais des psychédélices
Mais à la pensée des idéoles, il n’y a pas pléthore indigente
La lumière des matins arrose les sourires
Le brouillard des songes écarquillent les yeux
Au doigt du réel, la rosée devient tendresse
Et sous les hauts-vent, les murmures se pausent
Tels des feuilles venues de la forêt d’allégeances
Les placiers de grabuges ont déserté le portique des cultures
Bien leurs en a pris,
Je n’en ai plus de nouvelles
Et cela me sied à merveille
Mais vous, Chères et Chers Idéols(es)
Comment allez-vous… ?
- Je te remercie, Einomhra, pour tes écrits, et pour terminer cette épisode entre nous, j’aimerai de soumettre mes mots :
Que n’est-il pas de chemin plus difficile que de changer sa position aux sensations de ce qu’il nous fut mal imaginé, par une justice soumise aux seules intransigeances des lois pour qui n’aurait pas sujet suffisamment simple pour qu’il en abordasse les chemins des inutilités désobligeantes.
Ce combat ne saurait s’accepter sans consentement au retour de nos incapacités à n’avoir réussi à nous destituer de la bienséance des beaux parleurs de ramage, où les courtisanes n’y réussissent plus aucun vertige autre que celui de la primauté à éconduire les gardiens des attentions sensibles, aux faveurs d’étranges bourses.
Bien que j’en eusse quelques aises en des temps inachevés, ce premier jour de l’an 2013, hors de cette cité à cheval sur deux fleuves, je vis quelques lueurs aux courbes des nouveaux horizons. Au cours de cette fin juillet, ayant pris mes quartiers en cette vieille demeure, j’y entrepris de rouvrir quelques livres laissés depuis longtemps sur la table de chevet, aux commissures d’autres contraintes et priorités ajustées à mon ancienne réalité.
Mais vous, mes anciens camarades,
Où êtes-vous ?
Que faîtes-vous ?
Et comment allez-vous… ?
Transigez-vous plus qu’avant ?
Au restez-vous toujours dans quelques accaparements désuets ?
Je vous serai gré de ne pas alourdir mes songes.
Le crépuscule de mes murmures y suffit amplement.
Oooh, je te remercie, Monahrie pour tes mots… A bientôt peut-être…
ETUDE N° 9
LE GOÛT DE CHANGER
La curiosité est le meilleur remède contre l’ennui. Il n’y rien d’autre après la curiosité. Ne pas croire que la vie est une opportune attendant chatoyant potron-minet serait faire insignifiance à son extraordinaire présence biophysique et une indifférence à sa réminiscence physiologique permanente.
Cela rejoint le syllogisme consistant à croire que la différence est, trop souvent jugée par une sociologie philosophique exsangue d’épistémologie suffisante, dénuée de sens envers les esprits libres.
Ce petit exemple donne une idée de la difficulté à changer la vision ontologique conformiste, radicale, consistant à refuser la réalité qui se cache derrière le mur de l’indifférence. Y penser librement ne peut s’établir sans conditions élémentaires à disposer d’un refuge contre les voracités extérieures, nourriture terrestre essentielle à chaque ‘’corps’’ et accessibilité à pluridisciplinarité culturelle intelligible du discours entre les sciences et les arts, autorisant émancipation de ces mêmes esprits libres bienveillants, et peut-être autres attachés à soulagement d’un conformisme pesant délibérément sur une justice et une égalité de cloisonnements grégaires.
Ce que je fis, tout au long des années suivantes à mon insertion dans le milieu social-économique de la grande cité, au troisième trimestre 1975, n’était en fin de compte provisoire, qu’activité alimentaire filmée aux parfums insipides et goûts aseptisés. Mes différentes professionnalisations avaient utilitarisme à m’inscrire dans l’évidence de pouvoir subvenir à mes besoins nécessaires et ceux de ma famille. Après quelques folies douces et merveilleuses histoires, dans cette ville à cheval sur deux fleuves, notamment en la seconde partie de la décennie fermant le XXème siècle et celle ouvrant le XXIème, ce début d’année 2013 était en train sans que je ne le perçoive, de donner une nouvelle inclination au cours de mon histoire. Le temps devenait de plus en plus respectueux des limitations de vitesse du mien. Ce petit village, de la Loire, situé à 800m d’altitude sera la tour de contrôle de ce chapitre affiché à mon existence en ce lieu, et, sans que je ne le sache encore, un extraordinaire poste d’observation de mon ancienne idéal et peut-être une tour de vigie pour le futur.
Je n’avais pour l’instant, qu’à me régler sur mes propres pensées et celles posées sur les feuilles de quelques livres laissés, plusieurs années, par autres contraintes et priorités, sur la table de chevet. Cet exercice, que j’aimais tout particulièrement m’autorisait en cette phénoménologie ; accompagnée par quelques esprits brillants rencontrés au gré de mes divagations sur le réseau virtuel, à remplir les cases vides de mes évanescences inabouties, et peut-être concevoir autres sensibilités épistémologiques, artistiques et littéraires.
Il existait de biens vaillants combattants et marquantes amazones, sur la toile, comme des suffisamment serviles au programme de désengagement social-économique servi par des experts, guides et autres dévots voués à l’ordre d’une pagnolade de caves. Mais cette infertilité intellectuelle associée à rupture de beau, de bleu et de bien pour autres qu’eux, ne faisait nul ombrage à mon souhait de dénicher ces poltrons, malveillants et autres empruntés(es) aux sceaux des tristes caches, cérusés en ronds-de-jambes aux abords des vents mauvais
‘’C’est se jouer des paroles de dire que vous êtes d’accord à cause des termes communs dont vous usez, quand vous êtes contraire dans le sens’’.
Pascal, les Provinciales, première lettre.
‘’Dieu a fait l’homme à son image, mais l’homme le lui a bien rendu ‘’…
Voltaire
Les hommes politiques ne connaissent la misère que par les statistiques.
On ne pleure pas devant des chiffres.
L’abbé Pierre
Par ces axiomes, il ne devrait donc y avoir aucune possibilité d’ordre politique transcendant ; donnant à l’art des gens, cette qualité de juste compréhension envers la totalité du système Socio-Economico-Culturel… Dans la zone géographique de production, d’échange et de valorisation des bien(s) et services représentée dans et par la République Française Démocratique à tendances Laïques…
Que ne sont-elles, parfois, ridicules ces ‘’têtes bien faîtes’’ à tomber dans des extravagances telles que mêmes les meilleurs docteurs, experts en toutes matières et magiciens de nos romans n’y puissent les rendre réels, pour tout le monde, mais que les prétentions des promus d’écoles d’administration normale et celles de haute volée d’affaires et de commerce pensent pouvoir donner suffisance pour conceptualiser ces desseins des lumières qui passent très largement au-dessus des facultés de leur perfide gestion classificatoire et que les restes de leurs propriétés népotiques n’y suffisent pas en la clarté de leur discours d’orgueil. Ils sont assurément gens compétents, à ce qu’en disent leurs maîtres et professeurs, en leur domaine ; mais la faiblesse de leur curiosité envers autres doctes ne leurs permet plus examens et études utiles à n’être autre que de petits commerciaux marchand derrière un idéal de pacotilles. Je ne souhaitais, pour l’instant, n’émettre rien de plus envers leur philosophie-politique tatouée au nombril de leur monde, car il m’y faudrait consacrer trop d’humeur touchant les cabinets de leurs présomptions vaniteuses, et en toutes vraisemblances à essayer de discerner le vrai du faux ne suffirait à mon extrême désir de trouver un contre poison à leur vilénie troublante et pour les moins mauvaisement lotis une contre mesure à leurs clowneries désuètes, agencées à transmissions défiscalisée aux soins d’une élite régentée par un conformisme ruisselant d’orthodoxies clandestines et ordres pyramidaux… ; et assurément très éloigné des potentiels accords du discours entre les sciences et les arts.
CLASSES DEFIGUREES
La tâche géographique à chaque allaire démentie,
Les lieux d’incidences en multiplication divisionnaire,
Par l’inattention d’experts en toutes matières,
L’effet indésirable sacrifié à l’aubaine médiatique
L’exutoire terne de cette classe n’y fit suffisance.
Par l’hystérographie versée aux désillusions,
L’abîme des individualismes par vacuité ;
Chez les sommités en commissions déchirantes
Aucun gisement de crise n’y eut intensité
Uniformes vestibulaires, dans cette classe, n’y firent acte.
Actifs de ségrégation, discriminations cumulées,
Aux clans des quotidiennetés, capacité de mèche
Avec communes simplistes, par harangue de distinctions
En retardateurs d’éruptions, le stock vulcanise.
Prévention sécuritielle, par cette classe, n’y fit qu’implosion.
Guéridons en files à succès, camp de base satisfait,
Ô frénésies de reconnaissance, éruptions secondaires,
Les places de privilège, en stock-options généreuses,
Les parodies moyennes songent aux marches détaxées.
En marketing de faveurs, cette classe promut cauchemar.
Les autres, en logo-atomisation d’images
Avec l’espérance d’une partition moins pauvre,
Par les statuts d’une phénoménologie triste,
Au nombre des illusions par troupes divisées
S’y fourvoyèrent dans des chantiers incendiaires.
En inculture télécommandée, cette classe n’y fit qu’exode.
M.A
IMPUDENCE DU POLITIQUE, IMPOTENCE DE L’ETAT
Le désir de pouvoir est inhérent à toute carrière politique. Le pouvoir s’obtient. Il vous tombe rarement dans les mains. Qui reçoit le pouvoir avait, à minimum, par des manières de conjuré cotonneuses et discrètes, créé les conditions pour l’obtenir.
La pouvoir est le but de l’engagement politique.
En démocratie comme dans un régime despotique, il se désire, se convoite, s’acquiert. De ce point de vue, rien ne différencie les systèmes politiques. Selon la culture du moment, l’impatience et la paranoïa s’expriment dans des niveaux différents de violence et de cruauté. Mais la trame et le but sont éternellement les mêmes. Se hisser au pouvoir et le conserver, telle est la loi.
La politique est à l’image de la vie sociale. Elle en est la pointe la plus dangereuse. La convoitise du pouvoir existe dans les familles, dans les associations, dans les copropriétés, dans les syndicats. Dans les organismes où s’imposent les hiérarchies les plus articulées, où la progression dans le rang est la plus réglementée, les convoitises individuelles sont, normalement, contenues, parfois désavouées ou réprimées. C’est la raison pour laquelle nombre de politiques s’échappent de ces prisons. Ils fuient, par exemple, la fonction publique, ou trichent avec les règles. Dans le monde politique ils vivent dans des mœurs d’habilités soyeuses. Ils prospèrent par la fréquentation de cocktails et la rémunération des services rendus. L’usage du poison pourvu qu’il soit celui de la médisance, est légitime, voire admiré. Les appareils des partis et les cercles annexés fournissent de belles échelles aux ambitieux. Les carrières qui s’y ouvrent en valent bien d’autres. Elles mènent aux mêmes ports. Pour servir la collectivité, but de l’engagement politique, l’humble combat du citoyen est, normalement, le moyen le plus direct. Cette évidence est pour le moins contournée. Dérives et reconversions individuelles sont tolérées, sinon recommandées. L’insuffisance de résultats concrets légitime, au nom de la maturité acquise, tous les changements d’itinéraires. Tout échec est provisoire, toute manière de retrouver un axe intelligible est digne d’estime. C’est la variante contemporaine du bel aphorisme de Guillaume d’Orange, métamorphosé par la sombre imbécilité de ceux et celles qui se font une conviction du soin de leur bonheur personnel.
Quand, le pouvoir s’exerçait dans un ordre symbolique, note Michel Schneider, l’énonciation de l’institution politique, se faisait dans la forme du ‘’au nom de’’ : l’Etat, le bien public. Elle est passée au : en tant que, ‘’porte-parole de la famille politique, du groupe social d’appartenance’’.
A qui parlent les princes ?
A eux-mêmes.
Ou à leur miroir médiatique.
De quoi ?
D’eux-mêmes.
De leurs ambitions.
Lorsque De Gaulle disait : ‘’La France pense, la France veut’’.
Nul ne contestait l’identification, même abusive, de sa personne à celle de la France. En ce temps-là sa personne pouvait être haïe tout en étant respectée.
Quand un ministre des Affaires étrangères emploie se mode d’expression devant une tribune internationale, on perçoit qu’il est mandaté, et que l’omission du ‘’au nom de’’ constitue, face à une institution, dans un discours solennel, une facilité tolérable. Dans une société où le politique revendique la normalité tout en consentant au voyeurisme, l’identification de la nation à une personne, pratiquée à tout bout de champ, assumée sans retenue ni pudeur, assume la dégringolade du pouvoir public dans la sphère du privé.
Elle relève de la perversion narcissique du gouverner…
La vénalité est absconse, même à la sottise…
L’aveuglement et les abus empêchent la raison…
Les rapports humains ne seront jamais les accords entre le riche charitable et le pauvre reconnaissant, l’idolâtrie et la soumission, l’homme esthète et la femme conquise…
Et inversement.
Le corporatisme financier en est la faillibilité de l’épreuve collectiviste…
ANALYSES SEMIOLOGIQUES OU ETUDE DES SIGNES, EXPRESSIONS ET SENS…
Langages ↔ Expressions ↔ Sens ; […]
Dans un échange textuel ou verbal, si la dialectique émise est en perceptible ‘’décodage’’ de ce que représente un réel et véritable lien d’amitié, notamment par un partage ou une notification empreint(e) du langage de la logique humainement acceptable ou de la contradiction prévenante, pertinente, objective et constructive ; alors la notion de sincère inclination délicate est en potentiel d’existence intelligible. L’espace ’’physiquement touchable’’ n’en perturbe pas l’intendance du langage de l’amitié, de l’attention, de la juste curiosité et du respect mutuel, assujetti aux ‘’bulles’’ textuelles partagées dans l’instant présent.
Les limites sans les lumières d’autres ; temps, contrées, savoirs et cultures, jamais n’indiqueront le juste chemin….
L’intérêt personnel n’a nulle convenance envers les évanescences de l’espace sensiblement touchant, sauf lorsqu’il devient obsolescence matérialiste programmée par l’individualisme incertain.
L’égocentrisme en est l’épreuve absolue et inabordable dans le monde naturel des véritables savoirs être. Mais le bon sens, parfois sensiblement exprimé dans la dimension ‘’virtuelle’’ connectée aux extraordinaires attracteurs(es) communicant, par échanges intelligibles et socialement prévenant…
- Lorsque ‘’l’Homme’’ aura assimilé qu’il est une infinitésimale partie du TOUT que nous appelons UNIVERS.
- Qu’il aura entrevu que son existence personnelle représente moins d’une seconde à l’échelle de l’univers connu…
- Qu’il est un mammifère-humanoïde communicant et social, et ne peut qu’en rare cas vivre seul.
- Que son langage appris, su et compris est le lien premier dans ses ‘’dimensions’’ échangistes multidisciplinaires, nommées dans l’ensemble de ; … ses réseaux : Espace Touchable et Sensiblement Touchant.
- Que les lois de la procréation sont les liens utiles et nécessaires à la survie de son genre…
- Que le maintien d’un équilibre existentiel dans ses zones de confort terrestres est le bien essentiel autorisant les accords entre le ‘’VIVANT’’ et son référentiel ‘’TERRE’’.
Et qu’enfin dans la totalité de son écosystème biophysique, majorité comprenne que la somme de tous les savoirs et connaissances ne fait pas la totalité de cet ensemble (E), à cause du phénomène holistique, partiellement assimilable… ; alors l’évolution du genre ‘’humain’’ pourra prendre une direction nouvelle après celle de l’ère industrielle, du productivisme béat et du culte de l’information ‘’buzzique’’ ; déconnectés des bons savoirs faire et utiles savoirs être…
Tout est question de point de vue, de degré et de perspective…
D’anthropocentrisme … ? … ; d’égocentrisme ?
De corporatismes iniques ? De symbolisme ?
Ou alors de paradoxe entre le corps et l’esprit ?
D’accaparement ?
Ou encore un défi obscur entre possédants(es) et possédé(es)…?
Entre ces deux ‘’dimensions’’ que sont : la Liberté et … ; l’Attachement…
N’aurait-il pas mieux valu ; en considérer le sens avant la fin ?
ETUDE N° 10
A VOUS DE JOUER
JE TE FICHE MON BILLET
A la perdition, vanité fit jeux homolatéraux
La prescription se crût synopsis des grâces morales
La presqu’île de lemme s’y fige sous les oboles
La manie nie coquine, les aiguilles piquent au vif
Je te fiche mon billet qu’idolâtrie est mesquine
Aux envies abasourdies, hermine fuit justice fortuite
Sans lèche vitrine, les psalmodies s’amollissent sous ruine
Vies inutiles dans la city, dépriment la composition cynique
Bien caché sous les buis, les fleurs de liberté se terrent
Je te fiche mon billet que la posture est liberticide
A l’empirisme d’antan, discours copine avec félonie
Corpus universaliste devise sous matérialisme
Les jalousies se ravivent dans les ravines de façades
Le vernis de papier aseptise les feuilles mortes
Je te fiche mon billet que l’essence est plastique
Les paons et les gorgones vocifèrent sur les colonnes
Les postulats perfides succèdent aux chants des innocents
Les fauteuils d’hémicycle sont devenus articles miteux
Les disputations des justes se meurent sous transactions
Je te fiche mon billet que les ténors nichent capital
Le nœud des alliances s’exaspère sous corporatismes
L’image déguisée transgresse les accords stimulants
La boue d’inculture recouvre les habits de mémoire
Où élixirs sans évidence dénaturent fruits de la passion
Je te fiche mon billet que fontaine à souhaits est miroir lugubre
Loin des simulacres, sur des landes de terres encore vierges
Après avoir rejeté, les restes du service fraternel démystifié
Avoir vu attentions entre estime et liberté
Les bourgeons des vieux chênes tomberont encore sur Gaïa
Je te fiche mon billet que les amphitryons iront bon temps
Michel Asti sur : https://www.facebook.com/michel.asti
Date de dernière mise à jour : 22/02/2018
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