C.V - PLUS RIEN A PROUVER
C.V : PLUS RIEN A PROUVER
Printemps 2013
Après 36 ans d’activité professionnelle, dont 33 dans les domaines de l’industrie et du bâtiment, j’avais acquis le statut de ‘’chômeur de longue durée’’. Adhérent au ‘’Pôle Emploi’’ à partir de janvier 2013, pendant toutes les années suivantes ; ma recherche d’emploi est restée vaine et non à venue. La seule proposition d’emploi, fut celle d’Agent Technique auprès des Services Municipaux de St Bonnet le Château. Après ce travail de six mois effectué dans le cadre d’un Contrat Emploi Aidé, même avec toutes mes recherches, mes échanges avec différents organismes ; ainsi que ma bonne volonté à collaborer aux Prestations de Services internes et externes au Pôle Emploi, j’étais redevenu ‘’RSA-YSTE’’ à plein temps. Bien évidemment, cette période sans emploi ne m’a pas permis de suffisamment cotiser aux Caisses de Retraite. J’ai donc décidé, au deuxième trimestre 2019, après analyse de ma propre situation sociale-économique au rapport de mon âge, peut-être, conséquent à n’avoir réussi à réintégrer le milieu économico-professionnel, ainsi qu’autres antériorités quelques peu compliquées ; de demander ma retraite anticipée.
Je ne voyais autre solution à meilleures conditions de vie.
Au rapport de l'estimation indicative de la SECURITE SOCIALE ; effectuée par son service de l'Assurance Retraite, pour une mise en place dès 2021, avec une prévision de cotisation de 138 trimestres et mon analyse personnelle avec 125 trimestres acquis ; ma CARRIERE LONGUE devrait normalement me permettre de partir en 2019, à l'âge de 60 ans.
Dans les deux cas mon revenu financier est supérieur à 1 100 euros. Par conséquent égal à environ 2,3 fois mon RSA.
J'ai donc demandé, par courriel, à l'ASSURANCE RETRAITE de bien vouloir calculer le montant mensuel de ma retraite en option anticipée avec 125 trimestres et m'indiquer si toutes les conditions sont remplies pour que je puisse la prendre en 2019.
Si cette possibilité de retraite anticipée devient une option de droit conforme à ma CARRIERE LONGUE, je n'hésite pas une seconde !
Après plus de quarante années de bons et loyaux services
dans le système socio-économico-professionnel je me casse :
AU DELA DES QUARANTE MALENCONTREUSES
On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années. On devient vieux parce que l’on a déserté son idéal. Vous êtes aussi jeune que votre enthousiasme, vos désirs, vos souhaits, votre bienveillance, vos attentions et votre belle curiosité, aussi vieux que votre air désabusé, votre morne attitude, vos certitudes conformistes, votre malveillance intergénérationnelle.
Nous sommes aussi jeunes que notre confiance en nous et aussi vieux que notre abattement, nos peurs, notre refus d’analyse et notre acceptation d’ostracisme.
DROITS DE L’HOMME, DE LA FEMME ET DE L’ENFANCE
Dans le respect des lois de la Démocratie Républicaine sans distinction de couleur, de morphisme catégoriel, de croyance ou non croyance religieuse, d’ethnie et d’opinions politiques.
« Les experts en intelligence sont-ils devenus espèce à sang froid ? La politique, la religion et la monnaie sont-elles, pour certains clans, un résultat de pouvoir divisionnaire inique ?
Ce qui est certain, c’est que les trois veillent et entretiennent le néo – ordo – ultra – libéralisme social-économique et le capitalisme financier impérieux » […]
Si l’économie était contrôlable, le monde devrait être – en toute logique – équilibré et rationnel ; or il est de plus en plus inhumain, déséquilibré et irrationnel.
Les yeux de l’homme ne réussissent à percevoir les choses que par la… ; connaissance de leur superficialité.
Pourtant l’intelligence humaine a les ressources pour donner forme à leur essentialité.
M.A
Maudit censeur ! Te tairas-tu ?
Ne saurais-je achever mon conte ?
C’est un dessein très dangereux
Que d’entreprendre de te plaire. ‘’
Les délicats sont malheureux :
Rien de saurait les satisfaire.
Jean de La Fontaine
Le principal fléau de l’humanité n’est pas l’ignorance,
Mais le refus de savoir.
Simone de Beauvoir
RECAPITULATIF PROFESSIONNEL
Depuis le mois de janvier de l’année 2013, je m’étais inscrit comme demandeur d’emploi auprès du Pôle Emploi, qui avait me semblait-il pour fonction première d’en retrouver un pour ses adhérents, avec pour la mienne, le souhait évident de retrouver une activité rémunératrice dans mon domaine professionnel, ou un nouvel exercice professionnel conceptualisé au pragmatisme de mes pensées …
Après avoir égrené les premières années de ma vie à essayer d’appliquer les règles et théories éducatives destinées à toutes et tous dans le système socio-économico-culturel démocratique, puis avoir exercé mon métier pendant plus de 30 ans, je souhaitais me sortir de ce statut de chômeur bénéficiant uniquement du RSA, asservi à quelques avantages sociaux, où avant cet état d’assistanat économique, j’étais encore un professionnel du bâtiment avec pour spécialisation celle propre aux énergies, dont maintenant la principale était d’éditer mes compétences et mon cursus par cette suite chronologique nécessaire à l’établissement de mon profil, pour les professionnels du recrutement et les ressources humaines.
A savoir pour moi :
- Naissance le 21 mars 1959 à Bobo-Dioulasso au Burkina Faso. Au bout de ces trois années, nous revenions en France, ma mère, mon frère et moi, alors que notre père nous rejoignait tous les ans pour deux mois, lors des vacances estivales. Nous avons vécu de cette façon tous les trois jusqu’à l’été 1969. Cette année nous allions nous rapprocher de notre père. Notre lieu de destination était Pointe-Noire au Congo…
Eté 1972, retour en France.
- Education scolaire jusqu'en seconde technologique.
- Entrée dans le monde du travail en 1975 (confiserie - chocolaterie). Et oui, cela ne correspondait pas à mon apprentissage scolaire, mais je souhaitais travailler rapidement à cette époque.
- 1979, armée dans les transmissions pendant un an, mariage, et premier enfant en 1980
- Apprentissage du métier de plombier - chauffagiste en CFPA, puis 2 ans d'intérim dans ce secteur
- 1982, embauche dans une société du secteur des énergies, plus celui du froid et de la climatisation. Exercice du métier de plombier – chauffagiste, avec cours du soir pendant deux ans afin d’apprendre théorie et pratique nécessaire à la professionnalisation de celui de technicien en froid et climatisation
- Fin 1984, changement de société afin de faire évoluer ma carrière, deuxième enfant.
- Eté 1986, accès à un poste de technicien SAV en froid climatisation, troisième fille.
Ce sera la dernière. (Je les adore)
A partir de 1986, j'exerce différents postes dans le secteur de l'énergie en tant que technicien SAV, puis metteur au point d’installations, jusqu'en 1992. Je crée mon entreprise cette année-là, mais malheureusement ne possédant pas de réseaux commerciaux suffisamment denses, ainsi que des capitaux propres trop faibles et pourtant nécessaires à la création d’une entreprise, cela n'a pas été couronné du succès que j'escomptais. Mais cette période m'a permis d’analyser et comprendre certains éléments constitutifs et nécessaires à la gestion d’une société.
Quoiqu'il en soit après être retourné en 1997 dans le secteur salarial en y exerçant divers postes tels que, chargé d’affaires, responsable d’agence, responsable technique, j'ai continué ma carrière professionnelle en tant qu’employé jusqu'au printemps 2005. Après une association ratée, et certains travers de la vie, j’ai intégré en 2008 une période sabbatique, pendant laquelle j’eus temps suffisant pour commencer l’activité d’écriture. Puis afin d’essayer de palier à cette situation assez difficile financièrement, j’ai exercé mon activité dans le cadre d’un statut d’autoentrepreneur à partir de 2009, jusqu’en 2012. Enfin, pour des raisons d’ordre privées, mais pouvant être divulguées en d’autres circonstances, je suis venu m’installer à Montméal (42). J’ai recherché un emploi dans le secteur d’activité de la construction, la gestion technique d'opérations ou le développement et le suivi d'affaires dans le secteur énergétique de l'habitat et notamment en celles d’installations de systèmes de chauffage, climatisation, frigorifiques, ventilation, plomberie, électricité, ainsi que toute la synergie nécessaire à leurs mises en œuvre, techniques d’entretien et de dépannage avec comme spécifié par mon cursus professionnel, une expérience de 34 années, me permettant de prétendre à l’exercice d’un poste de chargé d’affaire, conducteur de travaux, responsable d’agence, ou technico-commercial. Sans avoir obtenu, tout au long de cette période ; une quelconque réponse positive, m’autorisant rémunération honorable et décente…
Etais-je devenu trop vieux ?
Mes compétences professionnelles et personnelles fussent-elles considérées sans intérêts… ???
N’étais-je plus suffisamment rentable pour assurer un travail dans le domaine des techniques et énergies de l’industrie et du second œuvre du bâtiment… ???
Ou alors cela tient-il à des causes que j’ignore, et peut-être assujetties à un système socio-politico-économique quelque peu hermétique à certains sujets… ; pragmatiquement trop qualifiés, mais dénués de diplômes validant ‘’hautes’’ études ou peut-être exagérément ouvert à concept universel permettant, en les imaginations tordues de la nébuleuse des ressources humaines de croire que les cadres et petits chefs n’auraient qu’une faible emprise envers ce type d’individus éclectique, et de par les illogismes intellectuels et suppositions vénères des politiques sociales-économiques pouvoir, sans analyse individuelle, prétendre que ces gens sortant du ‘’cursus standardisé’’ seraient obligatoirement ingérables ou alors de par les manichéismes corporatistes obsessionnels, ont-ils peur des confrontations quant aux véritables professionnels du monde de l’emploi et du travail… Hors asservissement clientéliste, ubérisation exaltée, productivisme despotique ou dumping social-économique et financier déficient.
En conséquence, pour finir ma présentation, en parallèle à cette recherche d'un emploi rémunéré, j'exerce une autre activité, qu'il m'était difficile de pratiquer avant, par manque de temps, à savoir l'écriture. Aujourd'hui j'ai écrit trois manuscrits, dont pour chacun d’entre eux, j'ai eu joie à constater des propositions de publications positives, mais malheureusement, je n'ai réussi à trouver les accords nécessaires et utiles à la diffusion de mes écrits avec un éditeur, notamment mon impossibilité à abonder à la participation financière demandée par les maisons d’édition à compte d’auteur (Variant de 1500 à 6000€ suivant les contrats de publication).
J’ai travaillé deux ans avec une maison d’édition dite ‘’alternative’’ m’ayant répondu favorablement, en août 2013, pour mon premier manuscrit, et avec laquelle je pensais qu’il m’aurait été possible d’envisager un juste partenariat utile à la diffusion de mes écrits, notamment par le fait que cet éditeur ne demandait pas de participation financière, hormis celle nécessaire aux corrections dont je n’avais autres utilités que de réussir à les faire moi-même. Au bout de deux ans, nous allions rompre notre collaboration, pour des causes évoquées dans : ‘’Le journal du sot inconnu dans le milieu éditorial’’.
Ce qui me permettra de recouvrer l’intégralité de mes droits intellectuels, pour mon premier manuscrit : ‘’La clé du temps des murmures’’. Cela m’a paru souhaitable, au regard de leur manque de considération envers l’auteur(e) inconnu(e), déjà partiellement entrevu dans leur contrat de publication, charte d’éditeur et une certaine forme de refus du format du futur livre déterminé par leur logique éditoriale, et auquel je ne souhaitais adhérer, le trouvant trop petit. Avec un prix de vente prohibitif, inadapté au juste montant de ce manuscrit… Car 76 € pour 425 pages, cela me semble totalement impropre à engendrer quelques ventes pour un premier livre, écrit par un apprenti écrivain et concepteur néophyte ; bien que paradoxalement cette éditeur alternatif permet l’accès à diffusion d’écrits d’auteurs(es) inconnus(es) pour un montant proche de la gratuité…
Ont-ils pour des raisons, que j’ignore, pas voulu aller au bout du processus de publication… ?
Ou alors ont-ils voulu par ce prix prohibitif, donner contraintes supplémentaires à diffusion de mes écrits, notifications, statuts et expressions… ???
Bon, il est vrai ; ce n'est pas un milieu facile que celui de la publication éditoriale ‘’médiatisée’’, surtout pour un auteur inconnu de 54 ans, apolitique et agnostique, en désaccord avec certains protectionnismes fermés à l’addition des meilleures attitudes et justes aptitudes, comme par ailleurs nombre de sociétés ‘’corporatistes’’ et corps intermédiaires, parfois inaudibles, présents dans beaucoup de secteurs géo-économico-sociaux, où le milieu éditorial en fait aussi partie, et souvent affilié à quelques viles politiques-élitistes. Je n’avais évidemment pas en ce début d’exercice d’écriture, toutes les connaissances et compétences nécessaires à en réaliser une composition suffisamment cohérente pour en imaginer la possibilité qu’elle puisse devenir un livre proche du désir subtil de la lecture. Mais au lieu d’évoquer des stratégies impropres à la diffusion d’un ‘’objet’’ non abouti, j’aurais préféré qu’il me soit signifié que mon manuscrit l’était aussi… ; à cette époque.
Outre la ferveur envers l’activité textuelle m’autorisant encore à écrire aujourd’hui, surtout en étant un inconnu dans la sphère livresque, je me dis que c’est en forgeant que l’on devient forgeron, avec pour fondement principal donnant pour l’instant, impossibilité à édition et diffusion de mes manuscrits, celle de ne toujours pas avoir les finances nécessaires et indispensables à souscrire à un contrat de publication, auprès des professionnels reconnaissables dans la jungle de l’édition traditionnelle ou alternative… ; sérieux et compétents, mettant un œuvre une certaine forme de véritable et sincère partenariat avec l’auteur(e) non médiatisé(e)…
Cette activité d’écriture facilitée en termes de temps disponible, initialisée en partie par le statut de chômeur de longue durée que j’étais devenu permet à mon esprit, par transmissions des informations présentes sur les différentes chaînes médiatiques, encadrées par quelques recherches complémentaires et autres lectures, accompagnées par d’excellents et enrichissants échanges rédactionnels sur les différents réseaux sociaux, d’entrevoir les mauvais et néfastes comportements de ces entités politico-économico-financières considérant certaines classes sociales, catégories, genres comme éléments humains dotés d‘incapacités de travail, voire socialement inutiles, et dont leurs représentants sans emploi sont pris pour des inutiles profitant de l’assistanat social, auxquels pourtant, certains, avant d‘en bénéficier y ont cotisés quelques années… Après toutes ces contraintes et difficultés ne m’ayant pas permis de réintégrer le milieu de l’emploi, notamment depuis ce début d’année 2013, ainsi que celles qui ont suivies ma mise à ‘’l’écart’’ de mon ancien domaine professionnel, avoir effectué une demande de retraite anticipée, au second trimestre de l’année 2019, j’avais décidé de mettre mon expérience liée à mon ancienne professionnalisation, au même titre que les connaissances acquises dans le cadre de l’écriture au service de personnes désireuses de compléter les leurs, en échanges de bonne sociologie…
Michel ASTI
Lieu-Dit MONTMEAL
42380 ROZIER COTES D’AUREC
Postes recherchés : Responsable d’Agence ou Responsable Technique et Commercial
Responsable Multiservices Entretien des Bâtiments - Technico-commercial.
Disponibilité relationnelle. Infos sur réseaux et blogs : https://www.facebook.com/login/?cuid=AYgbyZhxnRAD0NwLuwF8K5PRNR6dYvlETgSwhJ37E7MOmsUzXgzKeWWRdfeMh0PP3CrKB_bm32qQd2CgF9JYOIXt0TVYOWisNK1B9ZeJtrxqKNg30McT-O4MUnjqfK-jWRK3FGBu1M2cgIKZZuSoO24K
Situation actuelle : En recherche d’emploi depuis février 2013
Activités connexes : Ecriture, Information réseaux, Publication d’articles, Gestion pages Blogs, Recherche, Documentation, Communication, Sociologie, Nouvelles Technologies et Tendances.
EXPERIENCES
? 2017 – 2019 : Auteur - Concepteur 2.0 - Chômeur au statut de RSA-YSTE
? 2016 – 2017 : Agent Technique Service Départemental de la Loire
? 2013 – 2016 : Mise en place, Développement d’une activité d’écriture, 3 manuscrits réalisés (42)
? 2009 – 2012 : Auto entrepreneur Second œuvre du bâtiment – Secteur fluides et énergies (69)
Gestion et mise en œuvre des projets sur les CVPC / électricité
? 2004 – 2008 : Responsable Technique (associé) chez EXEL AIR – Vénissieux (69)
Gestion et mise en œuvre des projets sur les CVPC / électricité
? 2002 – 2004 : Responsable technique chez CLIM MAINTENANCE - Fareins (01)
Chargé d’affaire et responsable SAV – management équipes
? 2000 – 2002 : Responsable technico-commercial Rhône Alpes - FROID CONDITIONNE – (69)
Chargé d’affaire et responsable SAV – management équipes – sous-traitants
? 1998 – 2000 : Responsable Technique chez ATTRAIT FROID - St S. d’Ozon (69)
Gestion technique, commerciale et financière des projets
? 1997 – 1998 : Responsable Région à la SMEF AZUR - St Genis les Ollières (69)
Encadrement équipes et sous-traitant relation client Grande distribution
? 1992 – 1996 : Entrepreneur Individuel second œuvre du bâtiment - Décines (69)
Gestion projet – devis – exécution travaux – dépannage – SAV – facturation
? 1991 – 1992 : Metteur au point d’installations chez BERGEON – Lyon (69)
Mise en service des installations en conformité avec le cahier des charges et DOE.
? 1980 – 1991 : Monteur, technicien SAV, metteur au point d’installations dans différentes sociétés et entreprises du secteur des énergies, réfrigération, chauffage, plomberie, ventilation et climatisation. LYON FRIGO – SIBERIC – SOGEQUIP - FIDEC, et différentes Sociétés Intérimaires de 1981 à 1982.
? 1979 – 1980 : Service Militairedans les Transmissions
? 1975 – 1979 : Entreprise ''Belle Codière'' : Chocolateire - Confiserie
COMPETENCES CONNEXES
Actions en évaluation commerciale, humaine, administrative et comptable.
Expertise technique, communication et conseils auprès des clients.
Conseil technique et énergétique
Assistance en entretien des bâtiments et gestion de l'habitat commercial, industriel et particulier
Gestion administrative, commerciale, technique et financière
Accompagnement et surveillance de la gestion.
Constitution de tableaux de situation.
Suivi des conditions d’adhésion, et réajustements éventuels.
Analyse du fonctionnement, des paramètres administratifs et ressources humaines.
Surveillance des lignes comptables et des ressources au rapport des variations statistiques.
Reporting hebdomadaire, plannings et contrôle d’exploitation mensuel.
Affinage des conditions de fonctionnement.
Etablissement trimestriel d’un plan d’exploitation.
Contrôle des marges financières d’exploitation.
Etudes des potentialités de développement.
Indexation des paramètres de gestion au rapport du plan d’exploitation.
Ecoute et visualisation des tendances du marché.
Etablissement de plans d’action commerciaux.
Ecoute et analyse des doléances et besoins.
Contrôle des liens d’échange internet, information et communication.
Edition de statuts, commentaires et tableaux sur supports informatiques avec mise en page.
Mise en place d’articles techniques et publications d’évènements culturels sur blogs et sites.
Visualisation des dates, liens entre partenaires et adhérents à des programmes événementiels.
Constitution de bases de données prévisionnelles concernant salons, foires et marchés.
Relationnel avec commissions d’étude, organismes, fédérations et partenaires possibles.
Mission d’échanges avec les entreprises et organismes divers.
Surveillance des nouvelles normes de fabrication, de distribution et de commerce.
Etude des liens entre les différentes corporations.
Prescriptions internes quant aux nouveaux modes du marché de biens et services marchand.
Coordination des liens d’échanges internes et externes.
Simulation d’objectifs prévisionnels au rapport de l’existant.
Disponibilité relationnelle. Curiosité pour le discours envers les sciences, les arts et la poésie.
FORMATION
BP plomberie – chauffage en CFPA (centre de formation pour adultes) en 1980
BEP froid et climatisation Ecole la Martinière (en cours du soir et samedi), 1983 - 1985
AUTRES CONNAISSANCES
Pratique de l’informatique (Word, Excel, Power Point),
Bonnes connaissances en électricité, régulation et systèmes thermodynamiques,
Bonnes notions en Gestion – Plans prévisionnels, Analyse rentabilité,
Synthèse de projet en termes d’étude et pratique technique, énergétique et financière,
Encadrement et coordination d’équipes diverses.
Centres d’intérêts : lecture, écriture, nature, sciences, technologie, communication, médias, philosophie, sociologie, cuisine, ski, moto.
Printemps 2019
Je n’ai plus rien à prouver, et surtout pas envers moutons, brebis, bigots, bigotes, soumis(es) et opportunistes de caves, suffisants, dédaigneuses, prétentieux asthéniques et petits bonhommes apathiques se foutant cyniquement de leurs congénères en appartenance de classes sociales-économiques et culturelles différentes… Mais peut-être juste à écouter les murmures de la vie sur Terre, attachement et attention au bien commun ainsi qu’à continuer à échanger avec personnes et groupes réseaux suffisamment lucides pour percevoir que la VIE n’est assurément pas une composition naviguant sur un long fleuve tranquille où les vagues ondulations ne seraient qu’épreuves de soumission envers quelques clans en pouvoir inique agencé par petits potentats, satrapes, Césarines, Césarins et césarisés(es) atteints de perversité narcissique suffisamment malveillante pour laisser croire à leurs subordonnés(es) de type bipède se souciant plus des cieux que de la Terre, que l’existence de chaque ‘’mammifère humanoïde’’, ne serait qu’un cheminement en usure d’un long apprentissage voué à un attachement existentiel borné par les lois et règles en vacuité de réelle bienséance et véritable bienveillance.
DROIT A MULTIPLICITE ESPISTEMOLOGIQUE ET ONTOLOGIQUE
Sitôt que j’ai eu acquis quelques notions générales touchant les sciences et les arts, et que, commençant à les éprouver en diverses difficultés particulières, j’ai remarqué jusqu’où elles peuvent conduire, et combien elles diffèrent des principes dont on s’est servi jusqu’à présent, j’ai cru que je ne pouvais les tenir dissimulées, sans offusquer grandement les lois de la transmission et règles de l’attention qui nous oblige à procurer, autant qu’il est en nous, le bien général. Car elles m’ont fait voir qu’il est possible de parvenir à des connaissances qui soient fort utiles à la vie, et qu’au lieu de cette philosophie spéculative, qu’on enseigne dans les écoles, on en peut trouver une pratique, par laquelle, connaissant la force et les actions du feu, de l’eau, de l’air, de la matière, des énergies et de tous les autres corps qui nous environnent, aussi distinctement que nous connaissons les divers métiers de nos artisans et entrepreneurs, nous pourrions les employer en même façon à tous les usages auxquels ils sont propres, et ainsi nous rendre comme maîtres et gardiens de la Nature.
Ce qui n’est pas seulement à désirer pour une infinité d’artifices, qui feraient qu’on jouirait, sans aucune peine, des fruits de la terre et de toutes les commodités qui s’y trouvent, mais principalement aussi pour conservation de la santé, laquelle est sans doute le premier bien et le fondement de tous les autres biens en l’élan de toute vie ; car même l’esprit dépend si fort du tempérament et de la disposition des organes du corps que, s’il est possible de trouver quelque moyen qui rende communément les hommes plus sages et plus habiles qu’ils n’ont été jusqu’à présent, je crois que c’est dans les sciences de la nature, us et coutumes, orthodoxies humaines, la biologie et la médecine qu’on doit, en ces épistémologies essentielles, le chercher.
Il est vrai que celles en usage superficiel contiennent peu de choses dont l’utilité soit si remarquable ; mais, sans que je n’ai aucun dessein de les mépriser tant en leur faction scientifique et technologique, qu’en celle ontologique, ou inversement, mais plus à même d’y pratiquer quelques incursions analytiques, tout en m’assurant qu’il n’y a personne, même de ceux qui en font profession en un domaine particulier, qui n’avoue que tout ce qu’on y sait n’est presque rien, à comparaison de ce qui reste à y savoir, et qu’on se pourrait exempter de multiples maladies, tant du corps que de l’esprit, et même aussi de l’affaiblissement de la vieillesse, si on avait assez de connaissance de leurs causes, et de tous les remèdes dont la Nature nous a pourvus.
Or, ayant dessein d’employer toute ma vie à la recherche d’une science si nécessaire, et ayant rencontré un chemin qui me semble tel qu’on doit infailliblement la trouver, en le suivant, si ce n’est qu’on en soit empêché, ou par la brièveté de la vie, ou par le défaut des expériences, je jugeais qu’il n’y avait point de meilleur remède contre ces deux empêchements que de communiquer fidèlement au public tout le peu que j’aurais trouvé, et de convier les bons esprits à tâcher de passer plus outre, en contribuant, chacun et chacune pour son inclination et son pouvoir, aux expériences qu’il faudrait faire, et communiquant aussi au public toutes les choses qu’ils apprendraient, afin que les derniers commençant où les précédents auraient achevé, et ainsi, joignant les vies et les travaux de plusieurs, nous allassions tous ensemble beaucoup plus loin que chacun(e)…
Les connaissances et le savoir sont le sel de la vie, les réelles amitiés et la sincère fraternité en sont le sucre. Si l’enfer est un tunnel creusé par une colonie munie de pics d’incertitude, alors la raison est un bouquet d’attentions que l’on arrose de lucidité.
‘’L’espérance est une blague :
Ou bien on arrive à réparer, ou alors on devient fou’’.
Mad Max : Fury Road, film de George Miller (2015)
Les Français enferment quelques fous dans des maisons pour persuader celles et ceux qui sont dehors de ne pas l’être.
Montesquieu – Lettres Persanes
Le temps ne s’impose pas en ennemi intérieur, mais il est une composition particulière par l’énergie extérieure des choses de la vie…
La recherche du superflu donne une plaisante excitation, plus grande que l’acquisition du nécessaire.
L'homme est une création du désir, non pas une création du besoin. Le bonheur, n'est pas un idéal de la raison, c'est un idéal de l'imagination, par la vision de la totalité des satisfactions possibles… Où le murmure entre les sciences et les arts ne saurait, en aucun cas, être une contrainte à l’étude des pensées d’autres temps, analyse et compréhension d’autres savoirs, connaissances et cultures…
M.A
La vie est comme un rêve livré à l’imagination.
« C'est nous qui avons rêvé l'univers ».
Nous l'avons rêvé solide, mystérieux, visible, omniprésent dans l'espace et fixe dans le temps… Mais nous avons permis qu'il y eût à jamais dans son architecture de minces interstices de déraison, pour attester de sa fausseté.
Jorge Luis Borges
En toute vraisemblance, je me devais pour me libérer des esprits chancelants, faibles ou par trop opportunistes de ne plus chercher à comprendre leur danse de Saint Guy, et même à m’en éloigner. Car à percevoir leurs gesticules sans véritable fondement pragmatique et par là-même inopérantes à rendre lucidité à leurs actions utiles à la nécessité d’une potentielle préservation du bien commun, ne réussissaient qu’à m’irriter.
Leurs us, coutumes et orthodoxies alliées de l’espace commercial où la réelle valeur du sujet-objet considéré comme provision suffisante en le degré le plus haut de son essentialité étaient pathétiques. Non que je m’offusquasse plus que le commun des hybridations grégaires à ne pouvoir y émettre attentions suffisantes aux raisons de leurs devoirs d’engagement particuliers en l’attachement envers un authentique humanisme, moins à même d’apporter à notre conceptualisation du système socio-économico-culturel affichée à l’esprit de ma communauté formulée par les bienséances d’échanges pour compréhension collectiviste, que la falsification de leurs tares dans un e-commerce, à vacuité de doctes, pourvu à un militantisme anti-pluridisciplinaire, où sous couvert d’inattention ; Big Brother était en train de vaciller sous les coups des applicateurs et applicatrices de B to B, en Bla-Bla des nouveaux monnayeurs d’esclavagisme sans chaînes apparentes…
Quelle bandes de sots, inconscients et inconscientes quant à la facture en solde de leurs enfants soumis aux ravages d’un népotisme culturel et/ou ségrégation d’intérêts particuliers, sans valeurs tangibles où l’information en transmission de savoirs me semblait proche d’une affiche collée au mur du sectarisme intellectuel, en allégation de rares onces de pédagogie, par dissidences de bienveillance intergénérationnelle, au profit de certitude en images de logo-atomisation appropriées par quelques pervers narcissiques, partiellement inutiles aux délais d’apprentissage et de respect des lois naturelles.
J’y mettais entre ces interstices textuels des consistances didactiques en vœux de libre échange imaginatif une espèce de déshérence en sollicitude de dimensions touchantes par une volonté à vouloir vaincre les intendances prônant un empirisme, sans distinction de zones d’existences non sécurisées, en règne de possession absolutiste, avec pour singularité en celle de laisser croire que ce matérialisme inique ne serait pas source malheureuse en grande consommatrice d’énergies falsifiées par accaparante désuétude, mais, souvent, exsangue des forces humanistes. Même si je pensais en comprendre partiellement la peur existentielle de mes congénères, je n’en approuvais guère la méthode et le discours…
MÊME LES SUFFISANTS IGNORENT QU’ILS LE SONT…
Quelle est cette vertu consistant à commencer un échange textuel par quelques ressentiments dénués de certitude, donnant droit à accostage par un verbiage tendu en procès de conjectures lapidaires ?
Qui plus est lorsque l’invective sémantique est une forme palpable asservie à rapidité d’intervention contradictoire au seul but de générer une déconstruction outrancière, en confrontation de colère inutile à une potentielle objectivité, par trop invasive, voire pléthorique, dans un dialogue suffisamment discordant pour en oublier le sens de la liberté d’expression, au détriment même d’un possible libre arbitre, dans la projection constructive du sujet commun.
La stupidité d’une première intervention en prétention de connaissances suffisantes est par toujours, une porte qui se refermera sur un potentiel dialogue d’infortune, par cette tragédie consistant à être sûr que nous avons la performance individuelle, autorisant à bénéficier d’une mansuétude d’esprit compatible avec un meilleur futur commun. Je ne saurai croire, qu’en toutes relations échangistes physiques ou virtuelles, il puisse y exister une seconde porte à ouvrir, alors que la première eut été fermée par ostracisme intellectuel, sensibilité en indifférence ou indigence didactique…
Le surplus d’intransigeances en sera toujours le vestibule du désintéressement… Reléguant les attentions amicales, voire ces pertinences attentionnées, en sincérité partagée, suffisamment éloignées des jouissances égoïstes, pour qu’il n’en reste que le souvenir d’un voyage posé aux quais des attentions et émotions sans considération…
Cela n’est-il pas une entame alléguée à forme de sectarisme envers une divergence de point de vue, et cela avant même une réponse de l’inconnu(e) présent(e), de l’autre côté de l’écran, sachant déjà qu’une barrière supplémentaire vient d’être, en suffisance lexicographique, hérissée ?
Faudrait-il, toutes et tous œuvrer pour un monde totalement aseptisé et conforme à une norme sociale édictée par une ou autre intelligence éructant souvent sa vérité sans autres ressources que la suffisance de ses consultations sectorielles, ou bien essayer de prendre temps utile à quelques précieux moments de réflexion en débat de partage et contradictions constructives au nom d’une attentive thèse en bien commun, voire pour les plus fervents une recherche en amélioration multidisciplinaire… ???
Cette démarche en installation de conformité n’est-elle point une volonté d’ignorer sujets trop éloignés de nos facultés personnelles ?
Un refus de savoirs ?
Ou pire une filiation particulière autorisant l’individu à ne plus essayer de changer ces choses de l’infamie envers autres que soi et ‘’étants’’ insuffisamment proches de notre dimension touchable ?
Hors de notre zone de confort, justifiable, en légitimité d’acquis ?
Ou encore une forme d’asthénie intellectuelle atrophiée par une satisfaction matérialiste suffisante à l’inaction envers autres congénères, tout aussi justifiables à disposer de l’essentiel vital ?
Un abandon au profit d’un isolationniste de circonstance ?
Une pénitence en acceptation d’existences mornes ?
Une dichotomie en reconnaissance de népotisme défiscalisé d’affiliation en humanisme ?
Ou tout simplement un ‘’je m’en foutisme’’ généralisé, tant en ascendance qu’en descendance ?
Songez-vous toutes et tous, ainsi, avec toutes sortes de camouflets, que personne ne saurait mesurez vos impostures et calomnies cachées sous les voiles du politiquement correct et/ou la pudibonderie en toutes différences culturelles que vous en ayez suffisance en cette ‘’vertu’’ pour vous-même et les vôtres, dans cette prétention que vos ‘’dons’’ ne sauraient m’irritez, moins de les retransmettre sans analyses autres que la béatitude en prédécesseurs grisés aux voix de l’impénétrable, pour les moins nocifs, qu’une marche en colonie d’élus aux incertitudes des grâces et vierges, pour les plus déficients en défrichage de voies terrestres ?
Mais en toute évidence en procession de terrorisme intellectuel pour les deux clans en écoute de falsification d’outrages portée aux oreilles de prostrés(es) se souciant plus des cieux que de la Terre des hommes, des femmes et des enfants…
Je crois malheureusement que ces consciences grossières ont une chose en commun, formellement, proche d’un mécanisme cognitif logo-atomisé par négociants en spiritualité, guides en reliques cultuelles, despotes, potentats et autres dévots ayant réussi à faire gober les plus ravageurs illogismes au rapport de leur déconsidération envers la condition échangiste naturelle humaine…
Et dans ce paralogisme datant de la naissance de la conscience et des intelligences, concomitantes au mammifère humanoïde, le plus néfaste attribut est, sans doute, l’apparition depuis quelques décennies d’une espèce de scientisme immature indexé en vulgaire marchandising par souscription d’opérateurs en flux d’omission (volontaire ?) d’étude et analyses logiques envers le sujet ontologique au rapport de l’objet physique… Dans le monde naturel du et des vivants…
AUTOMNE - HIVER 2012
Ce travail qu'il a retrouvé avec joie, en tant que valeur implantée comme plusieurs autres dans sa conscience, par celles et ceux qui l'ont accueilli à son arrivée, et par, cette vie qui le guide depuis le premier jour. Et même si après en avoir exercé plusieurs, il avait toujours cette impression au fond de lui, qu'il n'avait pas encore réalisé une partie essentielle de son ‘’rêve’’, il parcourait les différents chemins indiqués par la ‘’VIE’’, dont il essayait d'en comprendre le sens, afin de trouver la bonne direction. Mais souvent, il n'entendait, et ne voyait pas très bien tous ses signes et expressions qu'<< ELLE >> lui montrait, et dont il ne comprenait pas toujours la signification, et, parfois lorsque le vent soufflait très fort en apportant avec lui les nuages noirs annonciateurs du moins bien que la lumière, il comprenait juste que cette VIE était en ‘’grande dépression’’, et la cause qui en découlait, était, en l’action de déverser cette eau, source d'elle-même, quitte à ce qu'elle le fasse parfois avec fracas.
Lui, apprenait parfois dans la douleur, mais il continuait à regarder ses différents états, afin d'en comprendre sa justification ; et puis, il y avait au moins trois êtres auxquels il souhaitait en montrer certaines facettes, de sa beauté, car, il savait qu'elle avait des côtés merveilleux. Il les avait perçus et ressentis plusieurs fois, dans sa ‘’réalité’’. Il y en avait à l'heure actuelle de son histoire au moins six sûrs, mais il savait qu'ils y en avaient d'autres, plus ou moins proches.
Cette vie, il l’a aimé dès qu'il a réussi à lui donner un nom, même avant je pense, et il l'aime toujours. C'est elle la source de toutes ces leçons qu'il a retenu en tant que prémices de la compréhension. Il l'a regardée, écoutée, touchée, sentie, goûtée et ressentie. Oh, bien sûr, parfois il l'a détestée, sur l'instant, mais ensuite, il a compris ce qu'elle voulait lui dire.
Il a plusieurs fois éprouvé la présence de ‘’celle’’ qui la suit sans arrêt, et a trop souvent voulu parler à un autre être proche, qui comme lui avait été engendré par cette vie. Il ne l’aime pas ! Alors qu'elle, ‘’ELLE’’ est sa plus belle maîtresse. Mais son inconscient sait ce que sa conscience élude par notion d'ignorance, incompréhension et refus, qu'un jour sa copine voudra l’emmener, mais pas trop tôt si possible…, dans son ordre des choses, malgré que bien souvent il ne comprenne pas très bien sa disposition phagocytée et entachée d’injustice, accaparement, cupidité et iniquité chez les hommes…
Alors, oui, aujourd'hui en ce lieu nommé Val d'Isère, où le nombre de ‘’petits grains de matière organique’’ doté de la pensée, est faible, et où il peut trouver ces instants pour être seul avec ELLE, il lui a donné un rendez-vous intime, et il souhaite lui parler longuement, peut être jusqu'au moment où elle lui ouvrira la dernière porte de cette maison, et où à cet instant il pourra se débarrasser de son ‘’ego’’, en espérant qu'il deviendra avant cet événement, presque insignifiant, ou tout du moins, suffisamment proche de sa pensée, afin qu'elle ne le combatte plus.
Mais pour arriver à cela, elle avait ancré dans son subconscient, qui lui était impossible de lui parler à voix haute, et la seule solution pour que cette entité narcissique ne l'agresse plus de ses intentions anthropocentriques, il lui suffisait d'ouvrir toutes les portes de ses sens afin de percevoir toute l’extraordinaire beauté, de par tout ce, celles et ceux qui faisaient partie de ses espaces touchants, afin d'avoir la merveilleuse sensation de ressentir au fond de lui, tout ce ‘’qu’ELLE’’ avait pour lui, le temps qui leurs était imparti…
Maintenant !
Il commençât à lui raconter, par ces mots : […
… Comment pouvons-nous réussir à bouger ce corps tous les matins, réveiller en même temps cette conscience, qui d'instants en instants nous fait croire à toutes ses convictions, bonnes ou mauvaises, qui deviennent souvent notre vérité, sans nous dire comment avons-nous agit le jour d'avant ? Comment, avons-nous instinctivement ou délibérément prononcé ces paroles, produit ces actes que notre esprit à engendrer pour une raison ou une autre, sans préjuger de nous-mêmes, le jour d'après ? Comment pouvons-nous croire que ce que nous avons fait le jour d'avant puisse être la vérité pour le jour d'après, sans réveiller notre conscience, en nous disant, qu'avons-nous pas fait de bien, pour prétendre penser faire moins mal après, afin de peut-être un jour réussir à nous dire, aujourd'hui, je ne prononcerai pas ces paroles violentes souvent dopées au pouvoir de détruire ou produire et organiser par soumission aux prosélytismes fallacieux, le chaos, alors que peu de fois, elles sont aussi dotées de cette merveilleuse faculté, de créer un peu de beau, de bleu et de bien, en et de par leurs dimensions attentionnées, et peut-être attachantes. Comment tous les jours pouvons-nous avoir cette extrême prétention de croire que nous sommes meilleurs que ce qui nous a créé, sans penser une seule seconde que ce, celles et ceux que nous pouvons voir, entendre et toucher ont été créé par même.
Pourquoi ne pas nous reposer de temps en temps afin d'entendre cette petite voix au fond de nous, avec laquelle nous passons le plus clair de notre temps à ne pas l'écouter, et après avoir fait le contraire de ce qu'elle a bien voulu nous faire comprendre, nous avons parfois l'impression que nous aurions mieux fait d'écouter ses murmures…
Elle lui répondit cela:
‘’Même si tu as peur de te tromper encore une fois, par pressentiment de croire que ce que tu as vécu avant, sera situation comparable où tu penserais ne rien ressentir de ce que tu désires du meilleur, fais comme l'enfant qui apprend à marcher, tombe et se relève jusqu'à ce qu'il apprenne l'art de marcher. Entrouvres encore avec moi cette porte devant toi, tout doucement, sans faire de bruit, afin de ne pas faire entrer ton fardeau de convictions et de préjugés qui t'ont été inculqués par celles d'avant et ceux de maintenant, et derrière tu trouveras certainement encore une clé qui te permettras peut-être d'ouvrir la porte suivante, afin de trouver un jour, ce que tu cherches depuis longtemps, cette beauté qui ne s'achète pas, l'art d'aimer, pour la paix de ton âme et le repos de ta conscience, et à cette instant tu toucheras peut être du doigt, le Beau, le Bleu, le bien et le Bon Sens du Vent…
LE CLAN, LE ROI, LE PRINCE ET LES ADORATEURS
Des signes éclairés aux foudres du ciel
Du feu sorti des entrailles de la Terre
Le nouveau prince se senti pousser des ailes
Et par cette ignorance de la nature et des hommes
Il s’autoproclama messager du grand ordonnateur
A l’éloge de son père, petit bourgeois de province
La louange fut sienne et par là même, la chose engagée
Le discours encore confus, il s’en alla déterminer
Prêt à lire philosophes et engager conversation usurière
Et par autres voix chercha Sophia, fille de Vénus et Simonide
Ceux sont là bien des maximes bonnes et valorisantes
Auxquels nous voudrions en porter ferveurs et allégeances
Rousseau n’en dit pas moins, et quant à moi y souscrit
Mais l’homme moderne n’en est pas moins un génuflecteur
Adorateurs, adoratrices, néanmoins il mange, boit, dort et aime
La sélection naturelle l’a fait robuste et agile
La maladie, l’existentialisme humaniste, la mort il veut s’en décharger
Il n’a même pas conscience de son activité grégaire chancelante
Ses sens communs sont d’une extrême vivacité accaparante
Sa sensibilité n’est souvent que réflexion matérialiste
Son objectivé s’arrête aux frontières de la cour des contre-mesures
Par son dieu, il construit les suspicions aux abords des politiques templières
Il se souci plus de la voûte céleste que du monde des vivants
Le beau prince par narcisse envoya bordée d’échos à droite et à gauche
Oubliant que peuple ne peut s’abouter à justes devises sans réelle bienfaisance
Que bienséance ne se résume pas à transmission inique sectorisée
Si les convives ne sont choisis qu’aux abords des guéridons du clan
Si peur de perdre dû, n’est que gré de la louange du roi
Alors Festine et Bacchus de votre table de mauvaises humeurs
Ne riront, mangeront, boiront et ne festoieront point
Le prince par vénalité absconse, par la sottise et l’injustice ajoutées
Son aveuglement et abus, exemptèrent le juste contrat social
Serviteurs s’y fourvoyèrent avec les oboles du riche charitable
Par soumission et idolâtrie envers reines de Saba et rois de Pique
Adorateurs furent incapables de s’afficher à la cour des reines de cœur et poètes esthètes
Les chevaliers des temps modernes sous couverture des nouvelles amazones
Prirent voies vers la presqu’ile de Lemme
Et sans perdre le prix des vers, avertirent le clan des domestiques
Sous les pendules des justes et des innocents d’antan
Que le discours des nouveaux adorateurs du prince,
Associés aux chants falsifiés des sirènes du souverain d’éloquence
Ne pourront empêcher, par temps faire, dans les conspirations du pouvoir
Que cette maison, dans les oubliettes du château, ne sombre à l’envers.
Pourtant jadis, l’Olympe et le mont Parnasse avaient frères et bons amis(es)
A contre-courant de la mondanité libertine
Dans le silence de Port Royal, au pinacle de l’austère
Des solitaires aux ordres de l’abbesse Angélique, Pascal
Par les lettres de Louis de Montalte, provincial de ses amis
Pestèrent reliquats symboliques, aux grâces divines entre Jésuites et Jansénistes
Adossées à disputations des soixante et onze docteurs de la Sorbonne.
L’échange fut grandiose, à examiner ce qu’il y avait de faux ou de réel
Epanchement exercé par la véritable conscience des uns et des autres
Dans ce qu’il y avait de bon en dieu, ou de mauvais chez les hommes
Ne surent rien, avec certitude définir, même pas leur portée
Vide de l’esprit flirtant aux accords enchanteurs entre charnel et extase
Au présent des commissures entre attachement et liberté
Les coercitions des anciens, à l’attention des connexions nouvelles
Les néo-jeunes ne purent s’affranchir des nouvelles vacuités cessibles
Emancipées aux évasions virtuelles, où flottent encore quelques vagues à l’âme…
Au Vent des Emois
Michel Asti – Auteur – Chômeur de longue durée depuis janvier 2013…
Après 34 ans dans le secteur des énergies, second œuvre du bâtiment et l’industrie.
Et plus de quarante ans dans différentes professionnalisations attachées au système social-économique & culturel français.
Au Delà des Quarante Malencontreuses
Date de dernière mise à jour : 26/02/2019
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