OÙ EST ? LA MESURE ? DE LA VALEUR… ?
La liberté ne peut se côtoyer, que par l'action d'exprimer,
de rechercher sans cesse,
sans peur et sans immobilisme,
en tant que nécessité de notre propre compréhension,
au nom de la liberté d'existence par
non annexion consciente de l'objet conscient
et non annexion inconsciente de la conscience,
autorisant discours objectif entre les sciences et les arts.
MA BIBLIOTHÈQUE : COMMUNICATION – LIVRES & LIENS
https://lamarante-des-artisans-francais.com/2024/06/20/resistances-et-indignations/
QU’EST QUE LA VIE… ?
Pour les poètes & poétesses : un recours aux mots.
Pour les politiques : un discours de division.
Pour les financiers : un discours de soustraction.
Pour les philosophes : une interrogation sur le sens de celle-ci.
Et pour les humanistes : une volonté, parfois farouche de désarmer l'invective par trop intransigeante envers le discours entre les sciences et les arts.
RÉSILIENCES DIDACTIQUES
La justice n’est pas aux politiques,
L’école n’est ni du public, ni du privé ;
Comme ;
L’intérêt général n’est pas aux généraux
Et, le bien commun n’est pas de la commune,
Ils sont à minimal une représentation d’ordre national
La valeur n’est pas exclusivité de l’usurier,
Chose à tout prix n’est pas toujours juste prise,
Prix Nobel d’économie n’est pas neutralité,
L’affront d’unité est de laisser les experts se couronner
Ils sont à minimal de collusions en agios clandestins.
La raison n’est pas source inclusive des sciences, dures ;
Devises ne sont pas, toujours, postulats en causes utiles,
Optimisation n’est pas principe de mutualisation,
Collectivisme ne s’immisce plus aux mains travailleuses.
Ils sont à minimum livrés aux forces des chaires impérieuses
Rémunération n’est pas concession à obscurs alliés,
L’avenir n’est pas que membres versés à braderie,
Le civisme n’est pas qu’acceptation de résultat,
Les coûts humains ne peuvent être déconsidérés.
Ils sont dans un déni, maximal, de déontologie.
Privilèges ne sauraient être que situation de rente,
Perspective quantitative se doit de s’associer au qualitatif,
Minimalisation des ressources humaines n’est pas que Direction,
Fragilisation d’estimations n’est pas syncrétisme en réceptions sonnantes.
Compréhension des écosystèmes est préservation des biosystèmes.
Les temporaires ne peuvent payer pour les riens,
Les trébuchants ne peuvent assurer les précaires,
Les classes moyennes les moyennes supérieures,
Les moyennes supérieures en dévotion financière,
Les riches rattachés aux puissances du Veau – d’Or…
Bellicisme intégral est devenu marche en éminence argentière…
Et tout cela n’est pas une péripétie en suite de faits divers…
Au vent des émois – Paru en mai 2021
Que n’est-il pas de chemin plus difficile que de changer sa position, aux sensations de ce qu’il nous fut mal imaginé, par une justice soumise aux seules intransigeances des lois pour qui n’aurait pas des sujets suffisamment attirants, afin qu’elles en abordassent les chemins et voix des inutilités désobligeantes ; versés à la liberté d’opinions prolixes…
Ce combat ne saurait s’accepter sans consentement au retour de nos incapacités à n’avoir réussi à nous destituer de la bienséance des veules parleurs de ramage, où les courtisanes n’y réussissent plus aucun vertige autre que celui de la primauté à éconduire les gardiens des attentions sensibles, aux faveurs d’étranges bourses. Bien que j’en eusse quelques aises en des temps inachevés, ce premier jour de l’an 2013, hors de cette cité, lyonnaise, à cheval sur deux fleuves, je vis quelques lueurs aux courbes des nouveaux horizons. Au cours de cette fin juillet, ayant pris mes quartiers en cette vieille demeure, j’y entrepris de rouvrir quelques livres laissés depuis longtemps sur la table de chevet, aux commissures d’autres contraintes et priorités ajustées à mon ancienne réalité.
Le genre humain ; de type mâle ou femelle, est-il une curieuse composition entre mots (maux) paradoxaux… ?
Rien ne change vraiment,
Une idée, d’aventure, c’est enthousiasmant,
Mais pour aller où ? Avec qui… Et quand ?
https://lamarante-des-artisans-francais.com/2023/08/06/presentation-michel-asti-auteur-retraite/
LES NÉO-NATIONALISTES DU MILIEU ÉDITORIAL
L’homme qui ne modifie jamais ses opinions est comme une eau stagnante ; il nourrit les reptiles de l’esprit.
[…]
C’est là ce que m’apprend la voix de la nature.
J’abandonne Platon, je rejette Épicure.
Bayle en sait plus qu’eux tous ; je vais le consulter :
La balance à la main, Bayle enseigne à douter, »
https://lamarante-des-artisans-francais.com/2024/11/03/les-vils-contes-nationalistes/
Nous sommes donc en guerre les uns contre les autres ; un front de bataille traverse la société tout entière, continûment et en permanence, et c’est ce front de bataille qui place chacun de nous dans un camp ou dans un autre. Il n’y a pas de sujet neutre. On est forcément l’adversaire de quelqu’un. » Michel Foucault
Qu’est-ce que l’Europe ?
Un acharnement de voisins qui se battent… écrit ainsi, le philosophe et mathématicien, Leibniz (1646-1716). En Allemagne, les phases d’expansion des droits civiques et sociaux se produisent en période de croissance. La montée du nazisme dans les années trente ou la recrudescence des pulsions anti immigrés se produisent au cours de sévères phases de récession… Le monde est clos et le désir infini – Daniel Cohen
Avec pour encore plus mauvaise vision dans le système social économique français (et autres) en celle d’imaginer la nouvelle possible évolution post-industrielle comme une désintégration communautaire par décret en faveur de la déconsidération cultura-identitaire nationale où le plus néfaste schéma d’incompréhension se trouve assurément proche des liens moribonds entre : Le corporatisme paroxysmique « Le déclin social économique » « La prédation territoriale » « Le sectarisme culturel » « L’anti-laïcité » « Le populisme intransigeant » « Le nationaliste exacerbé » « Les peurs dans la zone non sécuritaire » « L’obscurantisme » « Le nihilisme » « La radicalisation » « Le fascisme », etc. Et pour vecteur novateur à partir de la fin des années 1970, l’avènement de l’outil informatique, permettant de créer d’autres classifications, grâce aux langages algorithmiques où les mathématiques en autorisent la création des bases de données et autres compositions sujettes à confinements incohérents, dont le pire est d’avoir oublié dans cette histoire à tendance déshumanisante, la pensée profonde de la propre existence ontologique singulière du mammifère humain.
Lorsque les hommes ne peuvent (veulent) pas changer les choses ; ils changent les mots. Jean Jaurès (1914)
L’humanité en pente glissante
Nous vivons aujourd’hui
https://lamarante-des-artisans-francais.com/2024/11/08/quest-ce-que-leurope/
La révolution sans intellectualisation des mémoires est une guerre sans fin. Et lorsque la machine aura dépassé les facultés de celle humaine alors apparaitront de parfaits imbéciles.
Ne pouvant plus adoucir ses comportements, orthodoxies, us & coutumes ; le mammifère humain se tournera indubitablement sur des arbitraires, en soumission à des impératifs qui dénaturent ses propres fonctions vitales dans une nouvelle scénographie n’ayant plus ni queue ni tête, mais dont il s’en accommodera par l’emprise de ce qui se passe à l’extérieur de son corps. N’aurait-il pas mieux valu en considérer le sens avant la fin… ?
La retraite… et après ? Plus rien ? Plus d’intéressement… ?
Liens, Multidisciplinarité et Lectures
Le renard et la cigogne
Compère le Renard se mit un jour en frais
Et retint à dîner commère la Cigogne
Le régal fut petit et sans beaucoup d’apprêts…
Le galant pour toute besogne
Avait un brouet clair ; il vivait chichement
Ce brouet fut par lui servi sur une assiette.
La Cigogne au long bec n’en put attraper miette
Et le drôle eut lapé le tout en un moment
Pour se venger de cette tromperie.
A quelque temps de là la Cigogne le prie :
« Volontiers, lui dit-il ; car avec mes amis
Je ne fais point cérémonie. »
A l’heure dite, il courut au logis
De la Cigogne son hôtesse
Loua très fort la politesse
Trouva le dîner cuit à point
Bon appétit surtout ; renards n’en manquent point.
Il se réjouissait à l’odeur de la viande
Mise en menus morceaux, et qu’il croyait friande
On servit, pour l’embarrasser.
En un vase à long col et d’étroite embouchure
Le bec de la Cigogne y pouvait bien passer
Mais le museau du sire était d’autre mesure.
Il lui fallut à jeun retourner au logis
Honteux comme un renard qu’une poule aurait pris
Serrant la queue, et portant bas l’oreille.
Trompeurs, c’est pour vous que j’écris :
Attendez-vous à la pareille.
Jean de la Fontaine
Serions-nous, tous et toutes, plus ou moins soumis à une emprise, dont nous ne pourrions jamais nous défaire ? L’apparition de nouveaux desseins imposés par le monde extérieur, en vue d’une satisfaction des besoins plus aisée envers nous-mêmes serait-elle possible hors de nos humeurs attachées à d’incommensurables divagations individuelles dont notre conscience collective n’a aucun ancrage envers cette emprise destinée à laisser croire, à majorité, que le sentiment d’échec ne serait que la mauvaise dynamique de l’autre ?
Et faut-il s’en accommoder ou à essayer de comprendre ces notions d’affects donnant trop souvent la certitude que nos actions sont, toujours, effectuées dans le bon sens de nos frêles existences ?
Le poète et la poétesse ne sont pas là que pour être sage, accommodant et charmant. Ils sont, au passé comme au présent, une dissidence agitant les esprits insipides, apathiques ou trop égotiques.
L’horloge des liaisons
Auprès des heures sourdes, les sourcils se froncent,
On est rarement prêts à les attendre rondes.
Éphémères actes en défi d’une crânerie,
Ce ne fut que tonneau des Danaïdes.
Y sortir sans faillir demande sursis.
On en perçut des démarches altières,
Comme traînées par un cheval sans rênes.
Après des accents vains aux fronts tendus,
L’inspiration se fit sommations obtuses.
S’y atteler oriente la description.
On le dit, un jour, à défendre l’idée,
La glace et le feu ne point s’en défaire.
De mots en strophes les exigences s’étiolent,
La couleur du pôle profère des menaces.
S'ya ranger aux bornes sans nervures, complaît.
Ils le prescrivent au mur des révérences,
Association de mâtins sans déférences.
Et de dire et redire du côté obscur,
Que la chose élémentaire est meurtrie.
S’y adonner sans vive culture, aseptise.
Que nous la recherchions chez l’une ou l’autre,
Il ne faut jamais qu’elle se visse par défaut.
D’Est en Ouest comme du Nord au Sud,
On oppose les vies aux éclairs funestes.
D’observations et de compréhension,
On a d’histoires que les plis de liaisons ;
S’y refuser chasse les « Paroles » du réel.
Michel Asti – Auteur retraité, mais pas, encore, de la Vie…
Après 40 ans dans la grande cité lyonnaise, à cheval sur deux fleuves, Michel Asti se retrouve en 2013, par les hasards du destin, en conditions de sérénité idéales pour engager cet exercice d’écriture. Fin 2021 il obtient sa retraite, après 8 ans au RSA, ce qui lui permet d’envisager l’avenir sous de meilleurs horizons, tout en continuant à pratiquer l’écriture, dans un nouveau lieu de résidence.
L’AMARANTE ET LE DROSERA
La vraie jeunesse ne s’use pas. On n’a beau l’appeler souvenir, on a beau dire quelle disparaît, on a beau dire vouloir dire que tout s’en va, tout ce qui est vrai reste là. Jacques Prévert.
Ce qui précède, dans le temps, n’est pas toujours une bonne cause, mais, à coup sûr, ce n’est pas sujet pour un effet de bon aloi envers les petites gens.
Cliquer pour lire : Il n’y a pas de réelle valeur derrière un prix : la seule chose qu’il y ait, Là, masqué, c’est un rapport de force entre les hommes.
De même pour la : Présentation de l'auteur
Date de dernière mise à jour : 08/12/2024