BOOK RSAYSTE SENIOR
BOOK M.A - 54 pages A4 - format PDF : Cliquer Book michel asti auteur concepteur 3 (2.03 Mo)
Après 36 ans d’activité professionnelle, dont 33 dans les domaines de l’industrie et du bâtiment, j’avais acquis le statut de ‘’chômeur de longue durée’’. Adhérent au ‘’Pôle Emploi’’ à partir de janvier 2013, pendant toutes les années suivantes ; ma recherche d’emploi est restée vaine et non à venue. La seule proposition d’emploi, fut celle d’Agent Technique auprès des Services Municipaux de St Bonnet le Château. Après ce travail de six mois effectué dans le cadre d’un Contrat Emploi Aidé, même avec toutes mes recherches, mes échanges avec différents organismes ; ainsi que ma bonne volonté à collaborer aux Prestations de Services internes et externes au Pôle Emploi, j’étais redevenu ‘’RSA-YSTE’’ à plein temps. Bien évidemment, cette période sans emploi ne m’a pas permis de suffisamment cotiser aux Caisses de Retraite. J’ai donc décidé, au deuxième trimestre 2019, après analyse de ma propre situation sociale-économique au rapport de mon âge, peut-être, conséquent à n’avoir réussi à réintégrer le milieu économico-professionnel, ainsi qu’autres antériorités quelques peu compliquées ; de demander ma retraite anticipée. Outre cette possibilité, de la législation sur les retraites ; au rapport de ma ‘’carrière longue’’, je ne percevais autre solution à meilleures conditions de vie.
En effet, par quelle fonctionnalité, il y aurait nouvelle édictologie m’autorisant à trouver un emploi, à rémunération digne, sachant que depuis plus de six ans je n’ai eu aucune offre d’emploi en convergence avec mes compétences professionnelles, voire celles personnelles de chômeur-senior de très longue durée au statut du Revenu de Solidarité Actif – RSA… Et quelle phénoménologie serait en intendance d’apparaitre, pour ne pas penser que le système social-économique n’est pas devenu totalement incohérent… ?
Je fis donc recherches nécessaires et utiles afin de vérifier cette possibilité afférente à mon cas… Il me fut signifié réponse négative. Je devais donc attendre 2 ans.
N’y aurait-il pas un problème dans ce système de recrutement atteint d’une sévère incompréhension en ce qui concerne une véritable sociale-économie respectueuse des lois de la Démocratie Républicaine sans distinction de couleur, de morphisme catégoriel, de croyance ou non croyance religieuse, d’ethnie, d’opinions politiques… ; et de classes socio-fiancières ???
En France, les proportionnalités des personnes inscrites au Pôle Emploi sont représentées par 24% pour les moins de 25 ans et 25% des seniors. Plus d’un million de personnes sont au RSA. Elles étaient 600 000 en 2014. Nombre conséquent de sociétés et entreprises, de par leur service de Ressources Humaines, ont fait en sorte que dans leurs offres d’emploi les plus de 55 ans ne soient plus véritablement représentés. Sans compter les offres d’emplois sans réel fondement professionnelle ou obsolètes.
Ces citoyennes et citoyens sont-ils devenus incompétents ?
N’ont-ils plus de perspectives dans ce système social-économique et culturel… ???
Ne serait-ce pas là une forme de ségrégationnisme alliée à lois paradoxales du système de bien(s) et services marchand ; afférant à BANDES DE MEPHISTOPHELES frappés au sceau d’un eugénisme INTELLECTUEL… ?
Dans le cadre de ma recherche d’emploi, fin du mois de février 2019, après avoir répondu à une offre d’emploi de technico-commercial, la réponse qui me fut formulée lors d’un entretien téléphonique, après m’avoir demandé mon âge – depuis quelques temps je ne le spécifiais plus sur mon C.V – me donna certitude en ce principe de ghéttoïsation instruit, depuis quelques années, par des corporatismes fallacieux, sociétés et entreprises dénuées de réel sens déontologique ; n’ayant aucune éthique sociale-économique communautaire, sauf envers les membres de leur clan de falsificateurs et vils opportunistes.
S’intéresser au monde dans lequel nous vivons, n’est-il pas un prérequis pour que nous puissions y trouver la société idéale dans laquelle nous souhaiterions vivre ?
Participer à sa mise en place n’est-il pas le meilleur moyen d’y parvenir ?
Si la passivité des citoyens est compréhensible dans des dictatures, où toute forme d’expression contradictoire au pouvoir peut entraîner une condamnation à mort, qu’en penser dans les pays démocratiques ?
L’expression libre et la même importance que revêt chaque citoyen de par son droit de vote,
ne constituent-elles pas de belles opportunités pour construire une société dans laquelle
il fait bon vivre ?
ECRIRE POUR NE PAS SOMBRER & DEVENIR FOU
En lecture libre 150 pages au format PDF sur le lien :
http://mickael-montest.e-monsite.com/pages/politiques-particulieres/ecrire-pour-ne-pas-sombrer.html
Faudrait-il, toutes et tous œuvrer pour un monde totalement aseptisé et conforme à une norme sociale édictée par une ou autre intelligence éructant souvent sa vérité sans autres ressources que la suffisance de ses consultations sectorielles, ou bien à essayer de prendre temps utile à quelques précieux moments de réflexion en débat de partage et contradictions constructives au nom d’une attentive thèse en bien commun, voire pour les plus fervents une recherche en amélioration multidisciplinaire ?
Cette démarche en installation de conformité n’est-elle point une volonté d’ignorer sujets trop éloignés de nos facultés personnelles ?
Un refus de savoirs ?
Un déni de sollicitude ?
Ou pire une filiation particulière autorisant l’individu à ne plus essayer de changer ces choses de l’infamie envers autres que soi et ‘’étants’’ insuffisamment proches de notre dimension touchable ?
Hors de notre zone de confort, justifiable, en légitimité d’acquis ?
Ou encore une forme d’asthénie intellectuelle atrophiée par une satisfaction matérialiste suffisante à l’inaction envers autres congénères, tout aussi justifiables à disposer de l’essentiel vital ?
Un abandon au profit d’un isolationniste de circonstance ?
Une pénitence en acceptation d’existences mornes ?
Une dichotomie en reconnaissance de népotisme défiscalisé d’affiliation en humanisme ?
Ou tout simplement un ‘’je m’en foutisme’’ généralisé, tant en ascendance qu’en descendance ?
Enfin ! Songez-vous toutes et tous, ainsi, avec toutes sortes de camouflets, que personne ne saurait mesurez vos impostures et calomnies cachées sous les voiles du politiquement correct et/ou la pudibonderie en toutes différences culturelles que vous en ayez suffisance en cette vertu pour vous-même et les vôtres, dans cette prétention que vos dons ne sauraient m’irritez, moins de les retransmettre sans analyses autres que la béatitude en prédécesseurs grisés aux voix de l’impénétrable, pour les moins nocifs, qu’une marche en colonie d’élus aux incertitudes des grâces et vierges, pour les plus déficients en défrichage de voies terrestres ?
Mais en toute évidence en procession de terrorisme intellectuel pour les deux clans en écoute de falsification d’outrages portée aux oreilles de prostrés(es) se souciant plus des cieux que de la Terre des hommes, des femmes et des enfants…
Je crois malheureusement que ces consciences grossières ont une chose en commun, formellement, proche d’un mécanisme cognitif logo-atomisé par négociants en spiritualité, guides en reliques cultuelles, despotes, potentats et autres dévots ayant réussi à faire gober les plus ravageurs illogismes au rapport de leur déconsidération envers la condition échangiste naturelle humaine… Et dans ce paralogisme datant de la naissance de la conscience et des intelligences, concomitantes au mammifère humanoïde, le plus néfaste attribut est, sans doute, l’apparition depuis quelques décennies d’une espèce de scientisme immature indexé en vulgaire marchandising par souscription d’opérateurs en flux d’omission (volontaire ?) d’étude et analyses logiques envers le sujet ontologique au rapport de l’objet physique…
Dans le monde naturel du et des vivants…
Comme le disait Descartes: ‘’L'indifférence est le plus bas degré de la liberté’’. Si je ne suis que partiellement d'accord avec lui, à la seule différence, de penser que la liberté est une notion définie par chaque conscience, et par conséquent, elle peut être représentée par autre quelque chose, en temps qu'autre degré d’indépendance envisagé par cette conscience individuelle et proche du libre arbitre sensibilisé par une autre forme d’attachement envers l’expression d’une autre liberté, sensiblement partagée.
Ne suis-je pas libre de ma vie ?
En quoi et pourquoi croire à une protection où la dignité et le respect, de toute existence organique, en sont absents ?
Avec pour singularité, en ce Monde de déraisons, faussetés, tricheries et inconscience, en celle de croire que le monothéisme de l’inorganique serait une défense interindividuelle dans celui Naturel du Vivant ?
Ou pour particularité, en celle d’y entendre, pour les chaires phalliques et leurs dévots, se souciant plus des cieux que de la Terre, quelques accointances en perversité narcissique ?
« Si Dieu existe, disait Marc Aurèle, tout est bien ; si les choses vont au hasard, ne te laisse pas aller, toi aussi, au hasard. »
Bergson – Lui – disait: « la vrai liberté n'est pas la liberté d'indifférence, mais la libération de notre plus intime et originale préférence. »
Même si je ne le disais à tous vents, j’aimais mieux cette dernière définition, car il me semblait qu'elle était teintée d'un peu plus de poésie que la première, qui, elle était dotée de beaucoup trop de cette logique parfois illogique pour mon acceptable compréhension envers les échanges interindividuels & intergénérationnels ; affiliés à mes congénères ; en tant qu’étant : MAMMIFERE-HUMAIN.
NEPOTISME DE POSITIONS SECURES
Sécure : Le latin securus a donné le français Sûr. Et, si l’on trouve dans un texte du XIVe siècle « La securissime cité de Capue (Capoue) », il s’agit d’un latinisme qui transcrit le superlatif securissima. Les formes Sécure et Insécure sont des anglicismes que l’on ne doit pas employer pour Sûr, de confiance ou dangereux, qui n’est pas sûr.
A qui point ne s’émeut au « bon sens » par études des lois naturelles avant d’y faire actions qui n’auraient d’autres atours circonstanciels que ceux du refus d’une entente de raison dans une langue dont ils ont été instruits par les précepteurs de leur enfance qui n’eussent pour seule ambition que celles d’envoyer la génération d’après aux combats qu’eux-mêmes n’eurent aucun courage à mener ne peuvent être d’aucun jugement en leurs insuffisances à pouvoir expliquer les éléments narratifs constitutifs d’une période socio-anthropologique qui aurait conduit celles et ceux qui avaient emplois honorables aux traitement de la terre, des eaux, de l’air et de la nature à se révolter contre les pouvoirs d’une régence prostrée envers croissance infinie dans un monde fini par prescription d’un népotisme intellectuel conformiste qui n’ayant pour volonté que l’instrumentalisation de la génération future au profit de leurs uniques accaparements matériels corporatistes dont ils ne sauraient faire positions souveraines de leur propre vieillesse sans observance de leurs acquis, dont ils ne sauraient, en cette temporalité, jouir ; n’ont aucune efficience de préemption morale sur ces révoltés(es) soumis à l’inique diktat d’un pouvoir en gouvernances de divisions des utiles savoirs faire par sanctions équivoques envers justes causes et essentiels savoirs être en souhaits versés à une potentielle vision équilatérale du partage des richesses suffisantes, essentielles et nécessaires aux labeurs positionnés au respect des règles de conservation des lois de l’éthique du monde naturel du vivant.
Mais qu’est-ce donc cette liberté, demanda-t-il, à qui n’a jamais le choix… ???
Attachement envers une figure rassurante ?
Une présence uniquement guidée par la voix de son maître ?
Image moderne d’iconographies sans charges passées, courbées à l’hystérie d’une starisation en branlette intellectuelle, dans un ajustement sans souvenir autre que celui d’un moment d’oubli du réel sens de la conservation du bien commun ?
Quel est ce choix d’exister dans un lieu où la sociologie n’est que celle des ardents défenseurs du snobisme ?
Dans un entre soi de petits garçons levant les yeux devant de vieilles reines sur le déclin et un entre-suit de courbettes de palais, en patrimoine de château de cartes fissurés au soin des spécialistes en malversations.
Quel est cette façon de penser ses rêves comme seule défense envers des autocraties absconses, stimulées par un népotisme de vils contes ?
Quelles sont ces dissidences s’interrogeant sur la complétude des intérêts d’une thésaurisation monétaire en usure d’une sociologie démutualisée, pour les moins nocifs, qu’analyses insensées, quant à véritables Droits et Devoirs d’une Démocratie Républicaine ayant oublié le cadre des Droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, et se fourvoyant avec les fantômes de la liberté, de l’égalité et de la fraternité dans les immondices d’une justice dépassée par les clandestinités mafieuses… ???
Quelle est cette culture des moins émancipatrices quant à une politique culturelle, éliminant tout ce qui n’est pas conforme à la ligne du clan inique ou du corporatisme conformisme ?
L’addition des compétences, savoirs faire et savoirs être, fait l’évolution de tout système social-économique & culturel…
Une intelligence ordinaire est comme un mauvais chien de chasse, qui se met rapidement sur la piste d’une pensée et la perd non moins rapidement ; une intelligence hors du commun est comme un limier qui ne se laisse pas détourner de la piste jusqu’à ce qu’il ait attrapé sa proie vivante.
Le Livre des Amis - Hugo Von Hofmannsthal
Chacun se sentant si sûr de sa propre vérité qu’il en oublie trop souvent le sens de la formulation pour que la transmission verbale et/ou écrite de son discours puisse s’insérer dans un débat en recherche de ce qui ne saurait pas être qu’une approche en suffisance cachée sous le masque de l’ambiguïté opportune sinistrée par l’incompréhension d’une possible différence de point de vue analytique quant à l’évanescence des expressions textuelles sensibilisées aux impressions sémiotiques des vagabonds de mots…
La mesure du [langage] ne dit pas tout, au contraire, elle dissimule ce qu’elle est incapable de dire.
Plusieurs philosophes ne réalisent pas que toute nouvelle mesure, tout nouveau calcul, toute nouvelle théorie naît avec un lot inséparable de métaphores qui n’ont rien de vrai, mais qui sont indispensables à leur usage. Seule compte ici l’utilité. Et cette utilité est concomitante de la technologie ou de la technique qui crée un nouveau domaine d’expériences. Cela implique que des analogies et des métaphores meurent et se fossilisent au gré du déclin de l’usage et de la popularité des technologies qui les alimentent.
RESILIENCES DIDACTIQUES
La justice n’est pas aux politiques,
L’école n’est ni du public, ni du privé ;
Comme ;
L’intérêt général n’est pas aux généraux
Et, le bien commun n’est pas de la commune,
Ils sont à minimal une représentation d’ordre national
La valeur n’est pas exclusivité de l’usurier,
Chose à tout prix n’est pas toujours juste prise,
Prix Nobel d’économie n’est pas neutralité,
L’affront d’unité est de laisser les experts se couronner
Ils sont à minimal de collusions en agios clandestins.
La raison n’est pas source inclusive des sciences, dures ;
Devises ne sont pas, toujours, postulats en causes utiles,
Optimisation n’est pas principe de mutualisation,
Collectivisme ne s’immisce plus aux mains travailleuses.
Ils sont à minimum livrés aux forces des chaires impérieuses
Rémunération n’est pas concession à obscurs alliés,
L’avenir n’est pas que membres versés à braderie,
Le civisme n’est pas qu’acceptation de résultat,
Les coûts humains ne peuvent être déconsidérés.
Ils sont dans un déni, maximal, de déontologie.
Privilèges ne sauraient être que situation de rente,
Perspective quantitative se doit de s’associer au qualitatif,
Minimalisation des ressources humaines n’est pas que Direction,
Fragilisation d’estimations n’est pas syncrétisme en réceptions sonnantes.
Compréhension des écosystèmes est préservation des biosystèmes.
Les temporaires ne peuvent payer pour les riens,
Les trébuchants ne peuvent assurer les précaires,
Les classes moyennes les moyennes supérieures,
Les moyennes supérieures en dévotion financière,
Les riches rattachés aux puissances du Veau – d’Or…
Bellicisme intégral est devenu marche en éminence argentière…
Et tout cela n’est pas une péripétie en suite de faits divers…
Michel Asti
Date de dernière mise à jour : 27/08/2019
Ajouter un commentaire