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"Le propre de la vraie forme c'est que l'esprit se dégage d'elle immédiatement, instantanément, tandis que la forme défectueuse le retient comme un mauvais miroir et ne nous rappelle rien qu'elle-même."
KLEIST
On n’a jamais beaucoup ni peu d’amis, leur nombre est par essence suffisant. On peut être parvenu à l’âge de soixante ans sans avoir l’idée de ce qu’est un caractère. Rien n’est plus obscur que les choses que nous avons perpétuellement sur les lèvres.
HAMANN à son frère, en 1760
Dans les civilisations individualistes soporifiques l’ensemble communautaire rationnel n'a plus aucune identité sociologique spécifique – il est donc incohérent de la part des corporatismes à statuts conformistes béats de contracter avec lui – peut-être parce que les orthodoxies séculaires ont peur du miroir des contre-évidences.
L’intérêt personnel n’a nulle convenance envers les évanescences de l’espace sensiblement touchant, sauf lorsqu’il devient obsolescence matérialiste programmée par l’accaparement ET/OU l’individualisme incertain. L’égocentrisme en est l’épreuve absolue et inabordable dans le monde naturel des véritables savoirs être.
N’aurait-il pas mieux valu en considérer le sens avant la fin… ?
‘’Toute valeur ajoutée homogène se définie par tous ces citoyens et citoyennes proches de la juste conscience intelligible lorsqu’elle est exercée avec lucidité, sincérité, honnêteté, accompagnée par tout l’amour et la déontologie des savoirs faire afin qu’ils, elles, puissent aspirer à ce que cela devienne un art de vivre… Pour les générations arrivantes !...
Et celles en partances…
L’entreprise ne fait pas les femmes et les hommes !
Ceux sont les écosystèmes sociétaux de ceux et celles d’avant et de maintenant qui les éduquent, les imaginent, les composent, les ordonnent et les font vivre, afin qu’ils, elles participent par l’addition de leurs savoirs faire et compétences particulières à l’évolution de la belle sensibilité socio-économico-culturelle du savoir être dans les sociétés et entreprises du Monde.
Lorsque la société soi-disant évoluée inhibe trop tôt les rêves de sa jeunesse, et maintient trop longtemps une grande partie des générations précédentes dans le cauchemar des désillusions, elle ne saurait évoluer vers autres chemins que ceux du désespoir… De la rancœur…
Et de l’indifférente violence… Psychologique… Où celle physique risque parfois malheureusement d’apparaître…
Or dans tous systèmes naturels vivants dotés de la conscience peu importe leurs fonctionnements et pragmatismes, l’analyse sera intrinsèquement soumise à l’étude historique, sociologique, éthique, morale de l’axiome suivant : ‘’Toute valeur ajoutée se définie par actions d’utilité, de nécessité, d’essentialité ou de superflu… Dans la dimension sociale-économique individuelle ou communautaire, culturelle et ontologique attachée au mammifère-humanoïde pensant, présent dans l’écosystème…
Mais pourquoi, pour qui, pour quoi, où, quand et comment…’’ ?
Là sont les questions ! Où les deux réponses soumises elles-mêmes à études, analyses et théories philosophiques, sociologiques, mutationnistes, anthropologiques, culturelles, théologiques, morphosyntaxiques, sémiotiques, philologiques et psychologiques ne sauraient être que celles de comprendre le bon sens du faste et du néfaste dans l’aire communautaire, ou l’intérêt est majoritairement lié à la nécessité d’exister par l’anthropocentrisme, hors d’une potentielle compréhension des notions de justice et d’équité… Et des liens interindividuels… Avec pour présomption primaire, souvent celle d’une forme mégalomaniaque de soi ; par l’argent et le désir névrotique de possessivité, et d’accaparement.
Il est certain que la culture d’homme, femmes et gens de ‘’bien’’ ne saurait convenir aux machistes, goujats, pervers ainsi qu’aux mauvais sens de leurs suceuses à déficiences sémiologiques, lèches-cul, petits potentats, césars, satrapes corrompus et autres ‘’putes royales’’, ayant suffisamment de biens sécuritaires pour n’être pas obligé d’arpenter les quais du métro, de brumes ou pouvoir s’entrainer en ronds de jambe de bourgeois, suffisamment éloignés de la réalité du petit peuple, où l’opprobre est devenue une logo-atomisation culturelle starisée par des stéréotypes émancipateurs de violences psychologiques adoubées à dédain, scepticisme ou cynisme envers les grâces physiologiques, ou si vous préférez : « Les subtils préliminaires en bienséance charnelle » …
Que n’est-il pas de chemin plus difficile que de changer sa position aux sensations de ce qu’il nous fut mal imaginé, par une justice soumise aux seules intransigeances des lois pour qui n’aurait pas sujet suffisamment simple pour qu’il en abordasse les chemins des inutilités désobligeantes. Ce combat ne saurait s’accepter sans consentement au retour de nos incapacités à n’avoir réussi à nous destituer de la bienséance des beaux parleurs de ramage, où les courtisanes n’y réussissent plus aucun vertige autre que celui de la primauté à éconduire les gardiens des attentions sensibles, aux faveurs d’étranges bourses affichées par les postures prétentieuses des trop garnis..
Vous, mes anciens camarades,
Où êtes-vous ?
Que faîtes-vous ?
Et comment allez-vous… ?
Transigez-vous plus qu’avant ?
Vous inquiétez-vous d’autres histoires humaines ?
Prêtez-vous attention à zones de vie, autres que la vôtre ?
Ou restez-vous toujours dans quelques accaparements désuets ?
En salonardes de dindes, dindons, coqs, porcs de basse besogne, pintades et pintadeaux idiots ? Promiscuité d’opportunistes de caves ?
En enfilage de colonies s’occupant plus du ciel que de la terre ?
Groupe d’ignorants(es) muni de pics d’incertitude ?
Paroles versées aux vanités d’une danse de saint Guy ?
Si mauvaises doctes ainsi établis sont en principal,
Vos raisons, causes et devises,
Je vous serai gré de ne pas alourdir mes songes.
Le crépuscule de mes murmures y suffit amplement…
Date de dernière mise à jour : 20/06/2019
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