LA DIGNITE ET L'ATTENTION
La liberté ne peut se côtoyer, que par l'action d'exprimer, de rechercher sans cesse,
sans peur et sans immobilisme, en tant que nécessité de notre propre compréhension,
au nom de la liberté d'existence par non annexion consciente de l'objet conscient et non annexion
inconsciente de la conscience, autorisant discours objectif entre les sciences et les arts.
LA DIGNITE ET L’ATTENTION
La dignité ne se vole pas. Elle ne peut se désaffiliée de ce qu’il peut en être supposé des fraternités humaines quant à leur position au sein de l’univers tant du commencement, du milieu, de la fin, de l’infini et du tout. Elle s’acquiert par l’expérience de l’attention envers ces ‘’choses de la vie’’ entre liberté et attachement. Cette attention est le meilleur point d’équilibre pour ne pas faire preuve outrancière tant des promiscuités de l’attachement envers l’autre que de la préciosité envers les libertés. La fraternité est personne ; mais c’est elle qui détermine les accords réunissant la liberté et l’attachement. La liberté ne peut se côtoyer, que par l'action d'exprimer, de rechercher sans cesse, sans peur et sans immobilisme, en tant que nécessité de notre propre compréhension, au nom de la liberté d'existence par non annexion consciente de l'objet conscient et non annexion inconsciente de la conscience, autorisant discours objectif entre les sciences et les arts.
Ce qui a toujours manqué aux théologiens comme à nombre conséquent de philosophes fut et est de pouvoir s’entendre sur le fait cultu®el et les conséquences civilisationnelles quant aux croyances ou non croyances – à ne pas y assimiler sans discernement de ce qui peut en être des désirs & souhaits inaliénables de la nature humaine – en confrontations et débats de ‘’grâces’’ et de ‘’craintes’’ entre la morale ‘’divine’’ et les incertitudes de la conscience du mammifère-humanoïde. Cette spéculation intellectuelle entre la dimension touchable [matérielle] et celles sensiblement touchantes (existentielles) ne fut quantifiée, tout au long des siècles, que par nombre suffisant réussissant à indexer une croyance politico-religieuse dans une volonté surdimensionnée de l’une au rapport de l’autre et réciproquement… Et cela au détriment des ignorances soumises à l’insolvabilité du principe de subsidiarité entre ces forces dépourvues du réel et véritablement sens du collectivisme sociétal.
N’aurait-il pas mieux valu statuer au fait religieux comme à celui politique, dans une comparaison de moyens, à qui de l’un et de l’autre ne furent, et sont encore, que des puissances adoubées à outils de retransmission n’offrant plus que les affres d’un produit affairiste affriolé par les inadéquations ethno-socio-cultu®elles ; entre ‘’tout’’ et ‘’rien’’… ???
Et tout cela dans une spéculation diligentée à syncrétisme déficient quant au désir de l’homme à s’aligner sur les ‘’grâces’’ informelles en formalisations de formes individuelles en tant qu’objet narcissique en espérance d’avec sujets affectés par le passage du temps sur leur corps vieillissant, dont ils ne peuvent se défaire ni de l’un ni de l’autre pourtant accessibles aux mécanismes de cognition de chaque condition humaine, de tout temps, forgée à l’évolution des utiles connaissances épistémologiques et savoirs ontologiques, par une communication intelligible…
Cette opacité irréductible s'exprime sous la forme d'« une sorte de savoir systémique, qui est beaucoup plus que la somme des savoirs personnels que chacun de nous est capable de formuler et de transmettre, et qu'il n'est donné à personne de pouvoir consciemment reproduire indépendamment des procédures qui lui ont servi de véhicule »
[...]. Ce type de phénomène se rencontre le plus fréquemment et le plus nettement dans le cas où le sentiment, avec sa poussée, vise un objectif absolu, sans s'aviser que toute la satisfaction espérée dépende d'une approche relativiste de celui-ci et basculerait même en son contraire si ledit objectif était entièrement atteint. »
Par ces postulats et axiomes il est possible d’entrevoir que majorités des conflits économiques, sociaux, éducatifs, politiciens, erratiques, territoriaux, géopolitiques, culturels, cultuels et tous invariablement instables étaient essentiellement dus aux désirs intrinsèques, individualistes, corporatistes et sectaires des pouvoirs dominateurs, où la ‘’monnaie’’, en est l’outil ultime pour les mauvais gestionnaires de vies communautaires aux détriments des belles natures, qui seront irrémédiablement détruites avant les croyances en l’impossible finalité monétaire absolue, détournée de son cours essentiel et nécessaire à la fluidité des justes échanges intercommunautaires et interindividuels, dans la fantasmagorie sémiotique monétaire… Corporatiste, Collectiviste, Ignorance ou Déficiences intellectuelles quant à une potentielle sociologie-politique efficiente et respectueuse du bien commun ? M. Asti
‘’C’est se jouer des paroles de dire que vous êtes d’accord à cause des termes communs dont vous usez, quand vous êtes contraire dans le sens’’. Pascal, les Provinciales- 1ère lettre.
‘’Dieu a fait l’homme à son image, mais l’homme le lui a bien rendu ‘’. Voltaire
Mais, ces bandes d’ignares avaient oublié le sens commun, et mystifiée leur propre image, par occultation envers le plus gros problème mondial du moment, à savoir la pollution, le réchauffement climatique et le déni d’attention attisé par cette inconscience en faiblesse de volonté pour ne réussir à mettre en place des solutions adaptées et adaptables, au bien-être minimal des générations arrivantes, et tout cela au nom de la croyance en la toute-puissance de l’argent, au détriment de l’art des gens. Je les déteste, qu’ils soient hommes ou femmes. Leurs dogmatismes liés à l’anthropocentrisme élitiste, le narcissisme, l’avidité et la cupidité me donnent des relents de mépris envers leurs néfastes raisons déshumanisées teintées aux furieuses voix de l’ignorance inavouée, de la pensée grossière ou l’arrogante incertitude déstabilisatrice.
LETTRE D’UN AGNOSTIQUE – APOLITIQUE
Majorité des ‘’grands’’ personnages du monde politico-économico-financier sont devenus les mauvais élèves de la chronologie sociologique déboutée du langage de la logique humainement acceptable. Ou ne sont-ils plus en capacités d’imaginer les effets dévastateurs, ‘’hors de leurs portées’’ ; assujettis à trop de déficiences envers leurs congénères, résidents de zones encore habitables ; où les contraintes utiles à trouver subsides minimums nécessaires à vie digne et honorable sont les uniques lois de la précarité soumettant l’être humain à l’inquiétude, le désœuvrement, les peurs ou la servitude liberticide… Charriant retour vers un système sociétal datant d’avant la loi de séparation des corps républicain et ecclésiastiques, où le négationnisme CULTU®EL et l’ordre du clan d’ILLUMINES(ES) faisaient lois. Les crises sociales, financières, économiques et les guerres nées des régimes politiques, à ferveur politico-templière, destitués de toute forme d’humanisme ne sont-ils pas responsables d’initiatives iniques seulement utiles à engendrer la division et le saccage de l’esprit communautaire ?
De Droite ?
Du Centre ?
Et de Gauche ?
Dans un humanisme sans mesures louables envers cogestion coactive.
L’image starisée des politiques de vernis ne sera jamais le murmure autorisant les accords du chant entre le pauvre et le riche, le maître et l’esclave, l’ordonnateur et le serviteur. Le paradoxe culturel est la faillibilité de l’épreuve matérialiste. Et dans cette incompréhension généralisée l’antivirus de la philosophie politique a été érigé par les règles du corporatisme exacerbé, du productivisme endiablé, de l’identité du clan, du ségrégationnisme vénère, voire de l’ordre des ‘’Catéchèses’’ iniques, de la ‘’Torahnie’’ élective, ou de la vile ‘’Coranie’’ , et autres bonimenteurs d’épitres, où le seul point commun à toutes ces théorisations textuelles est en celui de laisser croire à leurs dévots, bigots, bigotes, serviteurs et génuflecteurs que la seule symbolique de l’entité ‘’virtuelle’’ serait l’excuse d’ignorance et le pardon du déni de sollicitude…
‘’Hors Sol’’… ?
Autorisant la pensée partisane à déterminer le délit de non-initié comme une atteinte aux anciennes écritures ; alors que de par le langage logique la division intellectuelle ne saurait avoir commencé avant l’édiction balbutiante de ces ‘’mots là’’, inscrits sur quelques feuilles désordonnées, et déjà mortes avant qu’elles ne puissent s’approcher de la ‘’gnose’’… ; et de la thèse attachée à l’extraordinaire discours entre les sciences et les arts… Un agnostique, un athée ou tout esprit ‘’libre’’ seraient-ils en incapacité de pouvoir définir les limites du bien et du mal ? De l’attachement, de l’attention et de la liberté ???
La question ne saurait se poser en ces termes, car : ‘’Tout est à l’intérieur et tout vient de l’extérieur…
Et tout est à l’extérieur et tout vient de l’intérieur’’.
Par conséquent toute pensée douée de cognition est en capacité de s’approcher de la bonne conscience grâce à l’intelligence de cœur et de raison bienveillante… Mais je crois malheureusement que chez certaines inconsciences et néfastes consciences, la renaissance de l’esprit des temps immémoriaux des lumières est définitivement compromise… Ou alors est-ce le scélératisme qui habite la philosophie politique, et les asthénies intellectuelles qui formatent la pensée antihumaniste… ???
Je suis etc, etc, etc…
Malgré cette sensation, je souhaitais vivement continuer ces extraordinaires exercices de lecture, d’écriture et de recherches, m’autorisant de meilleures visions envers cette espèce humaine teintée aux malencontreuses voix du paradoxe ||Féminin-Masculin|| ; envers la Liberté et l’Attachement…
Alors que leurs accords sont toujours extraordinaires, et parfois merveilleux…
Hors symbolique fétichiste ou désir d’accaparement vénère.
Avec pour particularité, en celle que l’entité humanoïde n’ait souvent qu’invalidantes obsolescences rendant difficile la détermination de la meilleure forme de mobilité, accompagnée par quelques belles essences lui donnant gestuelle élégante, afin de virevolter avec la liberté, plutôt qu’à s’agenouiller devant l’attachement séculaire, en ignorant que la danse à mille temps est beaucoup plus enrichissante que les blâmes de la génuflexion. Cette vision n’est bien évidemment qu’une de mes expressions parodiées et dépeintes dans et envers la sémiotique livresque affectée par quelques abstractions philosophiques suffisantes, en autorisant peut-être, la fantasmagorie textuelle détroussée hors des tabloïdes mythologiques… Sociologiquement Inopérants…
LES ATTRACTEURS(ES)
Descartes (philosophe et mathématicien) disait: ‘’L'indifférence est le plus bas degré de la liberté’’. Alors que ; Bergson disait: ‘’La vraie liberté n'est pas la liberté d'indifférence, mais la libération de notre plus intime et originale préférence’’. Essayons de démontrer si ces propositions sont potentiellement vraies, ‘’où’’, ‘’comment’’, ‘’pourquoi’’ ou au nom de ‘’quoi’’, et peut-être ‘’pour qui’’... ???
- Avant de nous demander si les deux propositions initiales sont vraies…
Recherchons si les éléments qui les composent sont, indépendamment les uns des autres, du mieux qu'il se peut, ‘’vrais’’. Commençons par le terme final de la première proposition, en ‘’remontant’’ l’axiome jusqu’à ‘’l’indifférence’’. Le terme final de ce postulat étant la ‘’liberté’’.
CHAPITRE 7 – LES ATTRACTEURS(ES) – 49 pages format PDF sur :
http://mickael-montest.e-monsite.com/pages/theories/chapitre-7-les-attracteurs-es.html
TEMPS DE MOTS PERDUS
Qu’il en soit plus qu’il en est de nos raisonnements qui n’eussent d’autres horizons que ceux de nos romances particulières en oubliant que chaque histoire singulière n’autorise en aucune manière de fustiger tout à chacun à propos de chacune ; et réciproquement, dans leurs propres désirs de refuser un démiurge insincère qui n’aurait pas ses fondements dans les lois d’un combat vif dicté par les pensées qui n’ont de vérité qu’à se rencontrer en celles d’observances éveillées ; plutôt qu’en nos rêves tournant trop souvent aux cauchemars entre possédants(es) & possédés(es).
Nous ne sommes pas tant parfaits et satisfaits par ce qu’il en devrait sortir de nos échanges composés en égal attachement envers ces ‘’choses de la vie’’ qui ne puissent contenter nos propres expressions de la liberté en défaut d’attentions véhiculées par précieux et suffisants(es) pour ce qu’il en retourne des différences de compositions entre les dissonances en dimensions touchables et celles de l’espace sensiblement touchant.
Il n’est de plus imprévisible plume que celle si piquante qu’elle en est dans le paradoxe d’une dureté si tranchante dressée sur ses lignes que d’une souplesse surprenante bordée à composition prévenante et, ainsi ; versée aux courbures des mots engagés. Les feuilles piquées aux sensibilités textuelles des nuits glaçantes s’opposent à potron-minet en effusion de pensées matinales se chauffant aux lueurs des horizons fiers, sans orgueil.
Vaillance aux abords des adjectifs colorés ; le complément circonstanciel en usage restreint n’y trouvait pas toujours places voyageuses postées aux débordements des fontaines à souhaits. Tiraillé entre une position, là… ; bercée aux analogues d’antécédents sans protection, l’humble sollicitude de caractères se fond dans les tourments des occurrences malmenées aux vergues soufflées sous tisons frissons.
En retour de participes passés, l’expression interrogative des rencontres insoupçonnées surveille un futur anticipant l’incertitude des non-dits cachés sous les voiles des mots sans son. L’impression languissante sous verbes taxés aux prémices d’ouvertures soupçonneuses s’immisce aux émissions des volcans chauffés à blanc. Aux abords du cratère les gardiens d’éruption surveillent les assises voyeuses compromises par l’article tant souhaité, sous les silences des contre-verses ardentes.
Que les teintes du désir sous-jacent s’immolent aux jets brûlants des anamorphoses pointées aux exigences consentantes que de cette plume n’y affleure plus les chatoyantes colorations du temps des encres violines s’octroyant tempérances entre les notes bleues des harmonies voluptueuses et les accords rouge vermeils de la passion débarrassée des habits de convenances…
J’estimais fort la contre-mesure des mots… ; étais amoureux de l’essaimage poétique et pensais que ces deux compositions pouvaient être bien utiles à la compréhension de toutes ces choses du monde, tant dans leur dimension touchable qu’en celles sensiblement touchantes ; proches de ma zone de quiétude ou un peu plus éloignées de ma lucarne des discernements…
1- la liberté.
La liberté est un concept
Un concept est une représentation
Une représentation est perceptible par au moins un de nos ‘’sens’’, donc, la liberté est une représentation de notre perception, alors, la liberté est potentiellement ‘’vraie’’…
2 - le degré
Le degré est une unité de mesure
Une mesure est une quantité
Une quantité est un nombre de référentiels
Un référentiel est un objet
Et un objet est une représentation de notre perception donc,
Le degré est potentiellement ‘’vrai’’…
3 - Bas
Le bas est dans ce cas, la position d'un référentiel visualisé comme étant en-dessous’’ par notion de verticalité, d'un autre référentiel, donc le ‘’bas’’ est perceptible et donc potentiellement ‘’vrai’’…
4 - Le plus
Plus est comparatif de ‘’degré’’, donc le lien avec une ‘’position’’ existe, alors ‘’plus’’ (+) est potentiellement ‘’vrai’’…
5 - Est
Du verbe être, et être est un concept, donc potentiellement ‘’réel’’…
6 - L'indifférence
L'indifférence est un concept, donc potentiellement ‘’vrai’’…
Nous avons défini tous les éléments potentiellement sécables de cette proposition, à l'aide de nos outils, facultés et capacités mis à notre disposition. Essayons de procéder à leur énumération en leurs appliquant la notion d'utilité nécessaire à la détermination du ‘’vrai’’ de chaque élément de la proposition, par ‘’oui’’ ou ‘’non’’, afin d'en déterminer le ‘’vrai’’ de la proposition.
1 - La vue. Cette faculté permet-elle la visualisation de cette proposition sur son support ? OUI
2 - L'ouïe. Cette faculté permet-elle d'entendre la proposition écrite ? Oui, si elle est racontée.
3 - le goût. Cette faculté permet-elle de goûter la proposition écrite ? Peut-être, mais si nous la mangions, nous ne pourrions plus la lire, donc NON.
4 - L'odorat. Cette faculté permet-elle de sentir la proposition ? NON, pas assez sensible
5 - Le toucher. Cette faculté permet-elle de ressentir physiquement la proposition ? NON, pas assez sensible, sauf dans les cas de ‘’non existence’’ de la ‘’vue’’, grâce à certains ‘’outils’’, permettant l'écriture du ‘’toucher’’.
6 - la perception ?
Définition: la perception est une faculté biophysique où le phénomène physio-psychologique et culturel relit l'action du vivant aux mondes et à l'environnement par l'intermédiaire des sens et des idéologies individuelles ou collectives. Chez l'espèce humaine, la perception est aussi liée aux mécanismes de cognition par l'abstraction inhérente à l'idée et aux notions apprises par la pensée et conservées dans la mémoire.
Afin de nourrir et alimenter par la pensée cognitive et l’imaginaire,
ces deux partiellement in-connus(es) que sont la connaissance et le savoir…?
Cette faculté a-t-elle la propriété de déterminer une proposition comme réelle?
OUI !
A partir de l'instant où un des cinq sens au moins a réussi à déterminer la proposition comme ‘’existante vraie’’.
Donc cette perception est un des outils essentiels à la construction de la connaissance, et si cet outil était perfectible, le savoir en serait-il affecté ?... ; et par voie de conséquence, la pensée ? La théorie ? Voire l’évolution ?
Et peut-être, d'autres ‘’inconnus (es)’’…? Ou, Où auxquels cas, ces outils supposés perfectibles, seraient-ils aidés par ‘’autres’’… ?
Et à ce moment-là, tout à sa pensée qui ‘’naviguait’’ dans quelques espaces inconnus, prenant des notes, sans parler, ni ‘’Elle’’, afin de transcrire ses idées, il levât les yeux et la regardât. Il vit un large sourire sur son visage, et crû entrevoir aussi une petite étincelle dans ses yeux, mais à part cela, elle ne répondit point à son regard interrogatif.
Lui avait-t-elle envoyé un message…?
Il pensât que oui. Mais sa perception insuffisamment sensible en cette circonstance, ne lui permit pas d'en avoir certitude absolue, il se replongea donc dans ses pensées ‘’mathématiques’’ avec une nouvelle motivation.
Maintenant que sont définis tous les éléments de cette proposition comme étant potentiellement ‘’vrais’’ nous pouvons considérer cette proposition, potentiellement ‘’vraie’’ dans son ensemble de mots, signes et expressions.
Mais, existe-t-elle ?, et surtout où ?
Existence de cette proposition.
Nous avons déterminé qu'elle était ‘’vraie’’, nous aurions tout aussi bien pu, la considérer ‘’fausse’’, si au moins un déterminant, ou tous les termes qui composent ce postulat avaient été ‘’faux’’.
Ce n'est pas le cas, et même si cela avait été ainsi, nous n'aurions pas eu la certitude de sa non-existence ‘’ici’’ ou ‘’ailleurs’’, car nos sens, en tant qu'outils mis à notre disposition, ne sont peut-être pas utilisés de la meilleure façon, et d'autres existants potentiellement, pas encore compris et parfois que partiellement identifiés, voir aujourd’hui encore limités de par notre constitution biophysique et intellectuelle… Avec ce que nous avons à notre disposition (sens, perception, connaissances acquises, pensée cognitive, imagination,........ Etcétéra…), et la façon dont nous avons utilisé ces outils, nous avons réussi à déterminer la proposition comme concept de ‘’vrai’’.
Maintenant, considérons la ‘’liberté’’ et ‘’l’indifférence’’, comme deux ‘’quelques choses’’ possédant la propriété d'être ‘’vraie’’, donc potentiellement réelle, tel que:
‘’… « L = Liberté et I = Indifférence »…’’
Et nous avons dans la proposition, un ensemble énonçant:
Un ‘’quelque chose’’ est plus bas qu'un ‘’autre quelque chose’’, synonyme par définition d'un ‘’quelque chose’’ comme étant ‘’subjectivement’’ ; soit la liberté, soit l'indifférence.
Dans les deux expressions écrites initialement, notre pensée grâce à la vision, nous permet de déterminer une direction de L par rapport à I et inversement et dire en premier instance, I est moins (-) que L. Nous pouvons maintenant représenter la direction par une ligne dont les extrémités serait le - (moins) et le + (plus) représentées comme suit:
… « - I _______________________ L… + » …
Nous avons donc fait la représentation visuelle en langage mathématique et textuel de la proposition écrite en langage ‘’compris’’, énoncée par les signes [+ & -] et réciproquement… « L'Indifférence est le plus bas degré de la Liberté… »
Par cette petite démonstration, il voulait juste lui faire savoir qu'il avait compris ce qu'elle lui avait raconté, et lui faisait confiance lorsqu'elle lui avait dit: ‘’Je veillerai toujours à ce que soit affecté toutes prédispositions d'utilisation à petits morceaux de matière organique ‘’pensant’’ du meilleur outil nécessaire à l'accomplissement de leur art’’ ; et il pouvait maintenant comprendre ce qu'elle lui avait transmis auparavant, par le texte ci-après :
- « Ces êtres doués (prédispositions) de ce langage (art) pour celles et ceux à qui il va être enseigné, par ceux et celles qui vont l'enseigner (transmissions), par activité de reproduction (dispositions), il a été raconté, et bien souvent admis par raisons de nécessité (apprentissage), puisque c'est la seule raison qu'ils, elles comprendront, car cette raison (cause) d'avant (innée ?) sera forcément celle d'après, peut-être légèrement modifiée (évolution) par association d'appartenance (lien), sauf à qui ce langage transmis ne serait plus la reproduction exacte ou légèrement modifiée (autre) de cette apprentissage (culture), par volonté d'en exprimer un autre (dessein) étonnamment, originalement et intimement différent (devenir) »… Au nom d’une potentielle évolution ; positive ou négative ?
Nous avons maintenant visualisé un système à une dimension, représenté par une droite dont le point le plus bas est défini par le signe écrit (-), et le point le plus haut défini par le signe écrit (+), où I est le degré le plus bas et L ; le degré le plus haut de cet ensemble, et notre pensée peut considérer cette espace à une dimension comme un sujet ‘’vrai’’, et ‘’existant’’.
Cette conclusion peut également être considérée comme ‘’vraie’’, car notre pensée, a ‘’symbolisé’’ dans notre ‘’conscient’’, grâce à sa faculté (propriété) de perception, par l'utilisation de ses ‘’outils’’ (sens), et, lui a permis de déterminer par notion de ‘’vraie’’, ‘’l’exigibilité’’ d'un ensemble, et peut être la non ‘’résistibilité’’ d’un système à une dimension en permettant une possible visualisation logique sur l’espace Euclidien, jusqu'au moment où, par notion de temps, cette pensée trouvera un ‘’quelque chose’’ resté inconnu jusqu'à l'instant de sa découverte, par le processus de la connaissance, la mémoire, la pensée, l’imaginaire et a pu être déterminé comme existant ou potentiellement ‘’réel’’ de, en, sur ou avec cette dimension de réalité, dont les propriétés positives, ou négatives auraient un lien avec les attributs déjà connus et considérés comme ‘’vrais’’, à l'instant où ils ont été perçus comme tels, et durables par notion de temps, dans cet espace quadridimensionnel. (Objet-Sujet 3D matérialisé dans le Continuum Espace-Temps, ET/OU dimension - [TEMPO-REELLE])...
Le ‘’lieu’’ d'existence de la proposition: ‘’L'indifférence est le plus bas degré de la liberté’’ ; est donc un espace à au moins trois dimensions ‘’considérées’’, de par le fait, didactique, que la ‘’Liberté’’, ‘’l’Indifférence’’ et le ‘’Temps’’ sont chacun, chacune une représentation imaginaire de leur propre espace dimensionnel résidant de la même proposition alphanumérique, nommé Ensemble (E) ou Système (S), dont le lien serait un certain degré, point de vue ou perspective, mais nous ne savons pas où, en dehors de cette dimension qu’est la fonctionnalité textuelle et sémiotique ‘’émise’’, au même titre que la non présence ‘’matérielle’’ du temps dans la proposition, et pourtant existant ‘’réel’’. À cet instant, il eut la sensation qu'elle le regardait écrire depuis un long moment, il levât les yeux de la feuille, pour la regarder, en laissant la pointe de son stylo sur la dernière lettre du dernier mot écrit, comme s'il attendait une réponse de sa part, afin de savoir s'il pouvait continuer dans cette direction ou pas.
Elle dût ‘’entendre’’ sa pensée, car elle dit:
- ‘’Tu vois, grâce à tous ces outils mis à ta disposition, tu as réussi à en percevoir certains et à les ‘’toucher’’, afin d'en acquérir la plus belle des utilisations par et pour ton désir de trouver tous(tes) ces inconnus(es) qui te permettront peut-être de combler quelques vides sur ce grand tableau de la Vie au nom de ton amour d’ELLE…
Par ses mots, ‘’Elle’’ lui laissait espoir à imaginer qu'il devait exister d'autres outils, fonctions, vecteurs, connaissances, savoirs, liens et accords, entre les diverses intelligences humaines. Le tout était de savoir ‘’où’’. Cette pensée excitât son désir de ‘’savoir’’, et l'incitât à continuer vers cette ‘’direction’’…
Il remit le crayon sur la feuille afin de recommencer à écrire ; dans le but de concrétiser ses ‘’idées’’.
- ... Sa présence existe-t-elle dans un autre espace ? [...] + (…) … ∞
... Et si elle existe ; où peut-elle exister ???...
Et pour quoi ou pour qui existerait-elle ?
Seule ou avec un autre ‘’quelque chose’’ lui aussi ‘’où’’ ?
Et Pourquoi ?
Quand ?
Et Comment ?...
Ou pour quoi OU/ET qui ?...
Les questions pleines ‘’d'inconnus(es)’’, fusaient à une vitesse fulgurante dans sa pensée. Il avait repris son crayon, pour essayer de les poser sur la feuille, peut-importe si elles paraissaient incohérentes, c'était juste ‘’à temps’’ ; pour en conserver une trace sur ce support matériel qu'est le référentiel papier, afin qu'il puisse espérer retrouver, après, un peu de cohérence dans ces idées survenues, il ne savait d'où, mais obligatoirement de ses pensées ; et assurément résidantes de son imagination… Et pouvoir envisager l'importance ‘’existentielle’’ de découvrir le plus tôt possible les liens existants entre la parole dite, écrite, le langage mathématique, celui logique, et autres nécessaires aux échanges d’idées et de pensées utiles à une possible, acceptable et peut-être intelligible compréhension du Monde… Et de nous… À ce moment-là, elle lui dit:
- ‘’S'il te plait, mon cœur, pose ton crayon’’. Comme si elle avait senti qu'il était pris de panique, et dont cette angoisse était le cœur du problème.
- Etonné par sa demande, il posa son crayon et se tourna légèrement sur sa gauche, pour mieux la voir, elle était assise à côté de lui sur le banc, elle se levât, passât de l'autre côté du plateau de la table, et s'assit sur le banc en face de lui.
- Écoutes-moi, sinon tu vas péter un câble, lui dit-elle, avec un petit sourire rassurant quant à son possible futur état psychologique.
Je vais te poser une question:
- S'il te plaît, peux-tu me dire quel est le degré le plus bas de ces deux propositions en tant que définitions de l'intelligence ?
1 - L'intelligence est la faculté de se positionner le plus rapidement possible en harmonie avec une situation par tous moyens sensoriels et extra-sensoriels.
2 - L'intelligence est la faculté de positionner le plus rapidement possible une situation perçue, en harmonie avec ‘’soi’’ par tous moyens sensoriels et extra-sensoriels.
Il réfléchit quelques instants, et lui répondit: ‘’Je pense que c'est la première’’.
- Tu veux me laisser croire que ‘’de t'adapter’’ est moins que ‘’de faire adapter’’… ; ‘’apprendre’’ est moins que de ‘’faire apprendre’’… ?
- Oh non, mais je pense que la difficulté est moindre pour m'adapter que pour faire adapter.
- Pourquoi ? Cela te paraît-il plus difficile ?
- Non, mais je me connais mieux que la situation proche, donc les moyens à prendre pour m'adapter sont moindres.
- Tu as raison, tu te connais peut être mieux que la situation extérieure, mais es-tu sûr que cette situation est beaucoup plus compliquée que ce que tu imagines ?... Et très éloignée de tes dispositions intérieures… ???
- Non, je n'en suis pas sûr.
- As-tu utilisé toute ta perception et tes mécanismes cognitifs, afin d'analyser tous les éléments et paramètres de ces propositions comme existants, vrais et démontrables épistémologiquement ?
- Oui je pense.
- Donc, si tu as de par ta pensée, perçu comme ‘’vrai’’, tous les éléments ‘’connus’’ de ces ensembles, et identifié les possibles ‘’inconnus(es)’’, as-tu la certitude que ‘’de t'adapter à autres’’ est moins que ‘’de faire adapter autres’’ ???...
- Non, je ne l'ai pas, même si je suis attentionné.
- Aa haha… Alors, non seulement tu n'as pas la certitude, et en plus tu es attentionné.
- Hou la là, je vois ton joli sourire malicieux.
Non, je n'ai pas la certitude que ‘’de m'adapter à autres’’ par attention, soit forcément moins que ‘’de faire adapter autres’’ avec attentions.
En insistant sur l'ensemble de mots ‘’soit forcément’’.
- Excuses-moi, c'était juste pour te taquiner.
Tu as raison, mais il m’a semblé que tu n'en es toujours pas certain ?
Car j’ai perçu ton insistance, sur l'ensemble formé par les mots:
‘’Soit forcément’’.
Elle ne lui laissât pas le temps d'acquiescer et continuât:
- Tu penses peut être que l'une est moins bien que l'autre ? …
Ne lui laissant toujours pas le droit de réponse.
- Je voulais juste te montrer la difficulté de déterminer le plus bas degré d'une de ces propositions l’une par rapport à l'autre et te faire toucher la difficulté de ce langage parlé parfois source plus facile de tromperie, par rapport au langage ‘’écrit’’, au langage ‘’mathématique’’ et, surtout au langage ‘’logique’’ intelligible et compréhensible. Mais à cet ensemble de propositions, tu viens de trouver une ‘’inconnue’’ déterminante pour la définition de la catégorie de ces ensembles de mots. C’est : ‘’l'ATTENTION’’ ; accompagnée par la juste ‘’CURIOSITE, et de plus elles permettent de rendre jusqu'à un certain degré, tes sens plus performants et aiguisés. Mais cela est ‘’autre chose’’, car dans ces deux propositions existe un paramètre commun et indéfinissable qui est : ‘’le plus rapidement possible’’. Et ce déterminant est indéfinissable, car il est fonction du temps qui lui est un intouchable dans toutes les dimensions connues, mais perceptible partout, et à tous les degrés fonctions de sa ‘’temporalité’’ dans l’espace de sa potentielle synchronique. Mais laissons cela de côté, même si cette ‘’synchronicité’’ a une grande incidence, ‘’ici’’, entre nous, notre dimension intérieure et notre espace extérieur.
- J’aimerai te dire quelque chose, si tu veux bien.
- Oui, je t’écoute.
- Je crois depuis assez longtemps à une ‘’chose’’ dont nous ressentons plus ou moins ses effets sensibles en ses différentes forces représentées dans toutes les dimensions, mais dont les positions et degrés perçus par nous-mêmes sont fonctions des espaces ‘’touchables’’ et ‘’touchants’’ dont nous sommes plus ou moins proches et où cette énergie ‘’attractive’’ en est toujours partie intégrante depuis notre venue dans ce monde et certainement présente depuis l’origine de la conscience… ; jusqu’à notre maintenant dans notre propre espace de réalité et à l’intérieur de nous ; lorsqu’à un certain moment de notre évolution, où sont apparus les langages et les pensées cognitives, sources de la possible compréhension de notre propre perspective dans le Monde Naturel du Vivant et de l’Imaginaire potentiellement conceptualisable… Rousseau écrivait que l’homme ne naît pas ‘’mauvais’’, mais devenait ‘’malveillant’’ en fonction du milieu socio-économico-culturel et sa zone communautaire où il vit…
Et s’y épanouit ou pas en échangeant idées et théories avec ses congénères.
Elle me regardât avec des yeux tout ronds, où je pouvais déceler quelques petits points d’interrogations furtifs, accompagnés par quelques ‘’étonnements’’…
- Peux-tu m’expliquer un peu mieux cette croyance car je pense qu’elle peut avoir quelques petites connexions avec la mienne.
- Je veux bien essayer de te transmettre du mieux que je puisse ma pensée tant philosophique que physique ; et peut être logique, mais plus tard si cela ne te dérange pas, car il me manque encore quelques inconnus(es) importants(es) pour la rendre quelque peu cohérente, surtout aux niveaux des perspectives philosophiques, sémiologiques, épistémologiques, physiologiques, et ontologique.
Et je suis certain que tu vas m’aider à donner corps à cette ‘’chose’’ présente dans mon imagination.
- Moi ? Et comment ?
- Avec tout ce que tu es et ce que tu représentes pour moi.
- Ho, merci de me dire cela, mais je ne vois toujours pas comment ?
- Tu le verras avec le temps. Hihihi i… Sachant que : Si l’enfer est un tunnel creusé par une colonie munie de pics d’incertitude, alors la raison est un bouquet d’attentions que l’on arrose de lucidité.
Donc, ces deux propositions initiales, sont ‘’existantes’’ et ‘’vraies’’, leur degré respectif, l'une par rapport à l'autre est difficile à déterminer, et il n'est pas moins une vertu ‘’de faire adapter’’, que ‘’de s'adapter’’, mais tu n'as pas vraiment considéré dans cet ensemble deux ‘’existants’’ avec des attributs potentiellement connus, que sont ‘’harmonie’’ et ‘’extra-sensoriel’’. Les deux font parties des propositions, mais ‘’inconnus(es)’’ dans les deux dimensions que sont les deux propositions. Le premier que j'ai cité en tant qu'élément inconnu est ‘’harmonie’’ et ‘’Harmonie’’ est l'une des quatre composantes essentielles de la musique, comme les quatre couleurs principales nécessaires à faire une représentation graphique colorée sont le rouge, le bleu, le jaune et le vert, le magenta étant un degré entre le rouge et le bleu, le noir considéré comme absence de couleur et le blanc toutes les couleurs, même si je ne vois pas tout à fait les choses de cette façon, à savoir pour moi, le ‘’point noir’’ une ‘’singularité’’ et toutes les autres ‘’couleurs’’ des ‘’représentations’’, avec pour particularité, en celle que le ’’vert’’ n’existe pas en physique quantique… Mais réel en physique classique, biophysique et chimie moléculaire. Laissons cela de côté pour l’instant, il est trop tôt pour en parler. Tu n’as, me semble-t-il pas encore toutes les connaissances nécessaires à la possible compréhension de ces dimensions épistémologiques. Et en musique une ‘’harmonie’’ est un degré perçu, voire entendu, les trois autres en permettant la composition musicale étant, le timbre, le rythme et la mélodie, (un, deux et trois…)… Et dans nos propositions, le deuxième, forcément restant, est ‘’extra-sensoriel’’. Je pense que tu es en pleine possession de tes ‘’cinq sens’’ et de tes ‘’facultés’’, et tu les connais bien…!?...
Il crut sentir une brève petite incertitude de sa part, mais il était tellement attentionné à tout ce qu'elle lui racontait, qu'il ne fit pas vraiment attention au ‘’sens’’ de sa dernière question, qui devait assurément être adressée à son endroit…
- Mais par contre les autres, les ‘’extras’’ pas vraiment ? Me semble-t-il.
Rassures toi, ce n'est pas de ta faute, c'est une question entre l’observateur et l’observé, fonction des conditions de ton corps dans le continuum espace-temps, du conscient, du réel, de l’inconscient, voire du subconscient. Ne sois pas inquiet, moi je les connais, et, ce n’est pas mal pour un début !
Et, elle se mit à rire avec une telle sincérité, qu'il ne put émettre qu'un rire joyeux, en accord avec ‘’Elle’’. D'un coup, elle s'arrêta, il en fit de même, comme pour la suivre, et quand il n'émît plus aucun son, elle lui dit, avec un petit sourire satisfait: ‘’Tu viens de rencontrer ‘’Harmonie’’!
- Quoi ? Dit-il, la bouche grande ouverte, comme pour avaler ses mots sonores qu'il n'avait réussi à saisir à la volée.
- Oui, tu viens de croiser Harmonie, insistât-elle, toujours satisfaite. Et ces homomorphismes, voire syllogismes ; sont interrogations quant à l’échange didactique, la convention, le choix, le désir, et l’intentionnalité…
Là, j'essayais de reprendre un visage, presque normal, signe de la confiance que je lui accordais.
- Voilà, je t'ai indiqué, ‘’qu'« harmonie »’’, est une des quatre composantes principales de la musique, mais en plus, c'est elle qui accorde le rythme, la mélodie et le timbre.
Le timbre étant l'émission sonore.
Le rythme, l'onde sonore périodique.
La mélodie, la succession des hauteurs sonores.
- Oui, et alors ? Marquant mon impatience.
- Alors, ‘’Harmonie’’ a intégralement accordé mon timbre, ma mélodie et mon rythme, aux tiens, avec joie, et je pense que tu en as pris autant de plaisir que moi.
Son visage était empreint d'une telle satisfaction, qu'il ‘’transpirait’’ de bonheur.
Et là, je la regardai moi aussi, avec un tel bonheur intérieur, de par la beauté que je venais d'entrevoir, que je me levis. Elle était assise sur le banc en face de moi, la table nous séparant, je m'approchai, me baissa derrière elle, jusqu'à pouvoir mettre mes bras autour de ses épaules, comme pour lui dire: ‘’Je m'attache à toi, et je te suis’’, et je l’embrassai avec douceur dans le cou, comme pour lui transmettre tout ce que j’avais de beau pour elle à l'intérieur.
Elle me prit la main en se levant, la serrant ‘’fortement’’, mais avec précaution, se mit sur la pointe des pieds pour m'embrasser, et elle m'emmena par la main, vers un autre endroit de la ‘’maison’’.
Je ne lui demanderai jamais la fin de son exposé sur ‘’l'intelligence’’, j’avais compris que le plus haut degré, était: ‘’l'intelligence de cœur’’… Autorisant parfois la belle allégeance du corps et de l’esprit…
Je ne connus pas le temps écoulé jusqu'au moment où je me réveillai, et cela n'avait aucune importance, elle dormait paisiblement au creux de mon épaule, j’enlevai très doucement mon bras pour ne pas la réveiller, ces traits détendus, me laissaient penser qu'elle était en paix, je la regardai tendrement, voyais le haut de son corps, le ‘’reste’’ étant sous les draps enluminés. Elle dégageait une beauté incroyable.
Je lui murmurai comme si je voulais garder égoïstement ce sentiment pour moi…
Je me levai doucement, sans faire de bruit, et fermai sans à-coups la porte de la chambre. Je me servi un jus d'orange, un café et un croissant, me mît devant la fenêtre où les rayons du soleil passaient au travers des vitres, et dégustai ce mélange, sans me précipiter, comme pour donner au temps une longueur plus grande, afin d'apprécier le maximum de ce que je ressentais.
Il me vint une pensée: ‘’C'est incroyable, en pensant à ‘’Elle’’, que certains êtres humains, engendrés par cette vie, puissent avoir à ce tel point cette formidable ‘’logique du cœur’’, alors que le cœur n'est logique que de par son fonctionnement biophysique. Alors je me souvins des quelques notions de base de la Métaphysique – Philosophique…
Il est dit depuis longtemps par majorité que les trois composantes de cet art, sont la physique, la logique, l'éthique et leurs dérivés dont l’éthique, dans et par ses formes liées à la morale, en a un nombre exponentiel, sans pouvoir exactement leurs donner un degré d'importance les unes envers les autres, à cause de la difficulté d'y trouver un lien entre l'éthique, la morale et les autres que sont : la métaphysique, la logique, l’ontologie, la déontologie et la poésie. Mais, aujourd'hui je commence à penser qu'il doit exister un lien entre la physique ; l’ontologie ; la métaphysique ; la morale, l’épistémologie, la logique, le romantisme et la poésie ; qui serait certainement en, par et avec :
- ‘’ Les accords entre les sciences et les arts, pour la compréhension des langages, au nom d'une possible pensée humainement acceptable, hors des orthodoxies prédatrices ; pour une potentielle synchronicité entre le corps et l’esprit ‘’…
Il se rassit, sur le banc, laissât cette pensée dans un lointain coin de sa mémoire, et reprit son crayon, le taillât lentement, cela lui permettait de rêver encore un peu, puis il se remit à cette écriture. J'ai un ‘’espace’’ à une dimension, dont les deux attributs connus sont immobiles dans ce système représenté par I et L. Je peux donc raisonnablement dire que la position ‘’vraie’’ représentée par L et I, immobiles est ‘’l'espace’’ lui-même, en tant que référentiel ‘’stabilisé’’, temps qu'il n'est pas trouvé un ‘’inconnu’’ ; une ‘’inconnue’’ élément de [ LI ], proche ou non de I ou de L, permettant de supposer que cet ou cette inconnu(e) perturbe cet espace de telle façon que la proposition initiale, s'en trouverait elle-même perturbée par un élément inconnu, élément de IL, appelé ‘’X’’ ou ‘’Y’’… ???
Liberté d'aimer, liberté de croire, liberté de partir.
Trop tôt ou trop tard ?
Le passé n'est plus et le futur pas encore.
Seuls existent ces précieux instants vécus avec amour et sincérité, et même s'ils ne sont plus, ou ne seront plus, peu importe les raisons, gardons les en nous, car ce qui a existé de beau, ne peut totalement être détruit, et s'ils ne sont plus que des existants incorporels, gardons les comme persistants présents dans notre mémoire, car à eux seuls, ils ont le pouvoir de nous empêcher d'aller vers le côté obscur.
Il eut à cet instant une pensée pour toutes celles et ceux n’ayant jamais ressenti ces instants un peu magiques, en la représentation de la vie par ses belles facettes, depuis qu'elle est en, et autour d'eux, surtout pour tous ces ‘’petits êtres’’ qui viennent d'entrer dans ‘’sa’’ maison, où, malheureusement la pièce où ils vont y résider quelques temps, n'est pas coloré de la beauté d'un arc en ciel, qu'ils ne peuvent encore peindre eux-mêmes. Mais je sais aussi que certains ‘’beaux êtres humains’’ font du mieux qu'ils le peuvent pour essayer de teinter les murs de leurs chambres, afin de mettre un peu de couleur dont le souhait est d’en apporter quelques enchantements en ces endroits.
De penser cela lui permet encore de laisser sa peur à distance respectable.
Cette énième porte qu'il met tant d'énergie à entrouvrir, va t’elle bientôt s'ouvrir, trouvera-t-il encore la clé d'un autre enclos aux loups ? Il aurait aimé être là avant la mascarade lugubre, ou tout du moins avoir un ‘’passe partout’’, lui procurant permission à ouvrir beaucoup de grandes portes.
Quelle prétention, ce n'est pas lui le gardien des clés ouvrant les grands battants, s'il en possède une, ce ne peut qu’être la clef ouvrant la porte de la souricière, lui donnant peut être petite liberté à parcourir champs et déserts non vide, où réside la pensée à le devenir aussi, afin de trouver la clé du chant entre la colombe et le faucon.
Trop tard, le mal a t’il été fait ?
Oui, non, il ne sait plus !
La seule certitude qu'il ait, est que cette ou ce malappris apparaît toujours par incompréhension ‘’d'autres’’, cachés par le masque du différent, du refus, et tout le cortège des autres serviteurs de la dénégation.
De l'innée au devenir, de l'attachement à la liberté, de l'essentiel au superflu, des passions à la raison, des pulsions au plaisir, du réel à l'imaginaire, du faux au vrai, du mal au bien, de la peur au courage, de la lâcheté à la vanité, de soi à autres, des certitudes aux doutes, de l'amour à la haine, de la souffrance à la sérénité, de l'obscur à la lumière, de la destruction à l'unité, de l'existence à la disparition, du rien au tout, de l'ignorance à la connaissance, de la connaissance à la sagesse, de l'unité à l'union, de ET à EST…
Quels sont les chemins à parcourir, afin de parvenir à cette conscience qui fera qu'un jour ce petit morceau de matière doté de la pensée sera en harmonie avec tout ce qui l'entoure, respectera toutes les consciences de ce lieu, à partir du moment où les incertaines et néfastes, n'auront pas commis actes de destruction dictés par intérêts obscurs, convictions égoïstes, pouvoir narcissique ou déraisons inacceptables bien souvent nés des premières croyances, philosophie-politiques et politiques-templières néfastes, spiritualités déficientes, peurs, souffrances…
Veules ou désuètes mystifications et pénitences vénères...
Ou encore autres prosélytismes de mauvais et tristes augures...
Déféquées par les idéaux, dogmatismes, et suppositions obscures.
Où la meilleure porte à ouvrir est celle de la transmission des meilleurs savoirs être et utiles savoirs faire, afin que le temps des justes lumières élucidées n'ait d'importance que par l'addition des nouvelles connaissances et savoirs affétés aux beaux instants présents partagés, s’écoulant avec joie, afin que ce temps d’ICI ait une texture de plus en plus douce, permettant, ce jour-là, d'avoir la sensation qu'ils, elles auront commencé à percevoir la présence durable d'une ‘’petite harmonie’’, héritière de la belle vie et du bon temps.
Par conséquent toute pensée douée de cognition est en potentielle capacité de s’approcher de la bonne conscience grâce à l’attention et à ‘’l’intelligence de raison’’ ; bienveillante, arque-boutée par traits en perspectives bienséantes, dans une possible scénographie territoriale en justes causes et bonnes devises. Le mammifère-humanoïde est soi-disant, au sommet de la pyramide du vivant.
Si la liberté humaine qui tend à décider du bien, n'est qu'une oscillation de la pensée
humaine en fonction de ce qu'elle considère comme ‘’bien’’.
Si la liberté humaine qui tend à considérer le vrai, n'est que le degré de connaissance
humaine en fonction de ce qu'elle a acquis comme ‘’réel’’.
Alors ‘’l'être’’ qui tend à acquérir le ‘’bien-vrai’’ ou le ‘’vrai-bien’’ est une tendance de notre conscience en fonction de ce que notre corps peut accepter comme contraintes. Et la pensée humaine qui tend à imaginer la liberté de ‘’bien être’’, est peut être juste la volonté de notre inconscient en fonction de ce qu'il peut exprimer de vrai en tant ‘’qu’être bien’’, par la réelle bonne conscience en son lieu d'existence.
En conclusion, la liberté ne peut se côtoyer, que par l'action d'exprimer, de rechercher sans cesse, sans peur et sans immobilisme, en tant que nécessité de notre propre compréhension, au nom de la liberté d'existence par non annexion consciente de l'objet conscient et non annexion inconsciente de la conscience, autorisant discours objectif entre les sciences et les arts.
Date de dernière mise à jour : 27/01/2020
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